A quelques mois de la sortie de Fallout 4, leur prochain jeu AAA, Bethesda a fait descendre les néophytes et redescendre les fans de la licence dans l’abri pour leur mettre l’eau à la bouche avant l’arrivée du messie post-apocalyptique. Pari réussi ?

1 – Fallout Shelter

Fallout Shelter est disponible depuis quelques semaines et rencontre déjà un énorme succès auprès des fans de la licence mais également de ceux qui la découvrent tout juste.

Fallout Shelter

Le principe est simple : vous devez gérer un abri anti-atomique à l’image de ceux présents dans l’univers du jeu. Comme dans tout bon jeu de gestion sur mobile, vous devrez veiller au bien être et à la sécurité de votre petit peuple en gardant un oeil vigilant sur l’état et la production de vos ressources mais également sur les différentes menaces extérieures qui vous guettent…

2 – Graphismes et Interface

Les graphismes sont soignés et orientés cartoons. Rien à dire de ce côté là, si vous avez un bel écran comme celui du Galaxy S6 Edge par exemple, c’est un vrai régal.

Fallout Shelter : l'abri

L’affichage général du jeu est semblable à celui que l’ont rencontre dans beaucoup de jeux de gestion de type « immeuble » à la différence prêt qu’ici, cela se passe sous terre ! L’affichage des fenêtres d’information et statistiques rappelle parfaitement l’interface du Pip-Boy, le célèbre assistant greffé au poignet du héros dans les jeux Fallout avec la même couleur dominante : le vert pétant !

L’accès aux différentes fonctionnalités est assez intuitif et permet de rapidement prendre le jeu en main.

3 – Gameplay

L’univers de Fallout Shelter est organisé verticalement avec une vue en coupe de votre abri. Vous gardez ainsi un oeil sur l’ensemble de vos salles avec la possibilité de zoomer sur chacune d’entre elle pour afficher les détails ou les bulles de dialogues des personnages qui les habitent.

Vous devrez donc construire des salles diverses et variées pour subvenir aux besoins de vos habitants à savoir la nourriture, l’eau potable et l’électricité. Les salles à construire sont au nombre de 20 différentes à déverrouiller en augmentant la population de votre abri.

Fallout Shelter : De nombreuses constructions

Chaque pièce coûte des caps (la monnaie du jeu) et devra être occupée par des habitants dont la caractéristique principale correspondra à celle requise par la salle en question. Ces caractéristiques sont au nombre de 7 et compose le fameux S.P.E.C.I.A.L. (Strenght / Perception / Endurance / Charisma / Intelligence / Agility / Luck) qui est propre à chaque personnage.

Fallout Shelter : le S.P.E.C.I.A.L.

Certaines salles spécifiques permettent avec de la patience d’augmenter ces caractéristiques. L’équipement que vous trouverez dans le jeu vous permettra également de booster vos personnages. Cet équipement peut être trouvé de plusieurs façons :

Soit par les habitants de l’abri que vous enverrez en exploration à la surface sans garantie qu’ils reviennent en un seul morceau :

Fallout Shelter : l'exploration

Soit par les personnages extérieurs qui viendront rejoindre vos rangs, soit dans des caisses bonus que vous pourrez obtenir via la boutique en argent réel, soit en récompense des quêtes que vous aurez à remplir :

Fallout Shelter : le système de quêtes

Mais avoir un abri prospère vous mettra également à la merci des pillards qui tenteront de vous attaquer, mais vous pourrez aussi subir des invasions de radcafards ou encore des incendies que seuls vos résidents pourront combattre ! Un incident non maitrisé peut rapidement vous mener à la catastrophe donc soyez vigilant !

4 – Conclusion

Fallout Shelter est très très très addictif, j’ai tout de suite accroché au jeu et ramassé toujours plus de caps est pratiquement devenu une obsession (derrière la nécessité de m’abreuver de Nuka-Cola bien évidemment). On retrouve bien l’ambiance de la propagande du jeu et cela m’a rappelé pas mal de souvenirs de mes parties sur Fallout 3. L’obtention des ressources est assez équilibrée et vous pourrez vous permettre quelques erreurs sans pour autant perdre votre partie mais attention, le tir devra être rapidement rectifié pour ne pas courir à la catastrophe !

Vous n’avez pas de réseau ? Aucun problème, le jeu n’en a pas besoin en permanence. La grande force du jeu est qu’il est gratuit et disponible sur iOS et Android, mais malheureusement rien de prévu sur Windows Phone… Si vous ne l’avez pas encore installé sur votre smartphone ou votre tablette, je ne peux que vous conseiller de le faire et si vous gérez déjà votre abri comme un as, je vous souhaite bon courage pour les semaines restant à attendre Fallout 4 !

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On ne présente plus Telltale Games, spécialisé dans l’adaptation de franchises connues telles que The Walking Dead ou Game of Thrones sous forme de jeux vidéo par épisodes. JV le Mag leur a d’ailleurs consacré un dossier entier dans le numéro 15 dont je vous conseille fortement la lecture d’ailleurs (ainsi que de prendre un abonnement au magazine) !

JV Le Mag 15 Telltale Games

Aujourd’hui, je vous propose donc le test d’une des dernières créations Telltale Games : Tales from the Borderlands.

Tales from the Borderlands est directement tiré de l’univers de Borderlands, un jeu vidéo créé en 2009 par Gearbox software et qui a connu depuis 2 suites à succès : Borderlands 2 et Borderlands : The Pre-Sequel. Tout comme avec Retour vers le futur, Jurassic Park ou plus récemment The Walking Deads, Telltale Games nous sert une fois de plus non pas un jeu vidéo par épisode tiré d’une oeuvre cinématographique mais une toute nouvelle aventure, basée sur le monde et les personnages de la franchise vidéo-ludique Borderlands. Vu le succès rencontré par la franchise, l’enjeu est élevé pour le studio. Défi relevé ?

Tales from the Borderlands : timeline

Tales from the Borderlands se déroule après les événements de Borderlands 2 (et donc par extension après ceux de Borderlands et de Borderlands The Pre-Sequel). Vous incarnez Rhys, un employé cyborg de la firme Hyperion (vous savez, ceux qui ont fabriqué une partie de l’arsenal disponible dans les autres opus) dont le rêve est de devenir le nouveau Beau Jack. Mais vous incarnerez aussi Fiona, une escroc de Pandore qui rêve de l’arnaque de sa vie. Rhys descend sur Pandore avec son acolyte, Vaughn, pour acheter une clé de l’arche au nez et à la barbe de leur nouveau patron : Vasquez. Pour l’acquérir, ils rencontrent August, un personnage un peu louche de la planète Pandore qui détient une clé de l’arche mais tout ne se passe pas comme prévu… Les deux héros, Rhys et Fiona, seront bientôt lancés à la poursuite de la mallette d’argent, tous deux convaincus qu’elle leur revient de droit. Malheureusement, la récupérer ne va pas se révéler être l’opération la plus facile…

 Tales from the Borderlands : August, Vasquez, Fiona, Sasha, Rhys, Vaughn

Dès les premières minutes du jeu, on reconnait tout de suite la direction artistique en cel shading façon bande dessinée chère à la franchise Borderlands. Les graphismes sont assez soignés bien que parfois perfectibles et on est tout de suite replongé dans le monde de Pandora. Peut être à déplorer, la maniabilité de certaines phases d’exploration n’est pas toujours au rendez vous mais elles sont si peu nombreuses que l’on s’en accommodera (mais c’est la dernière fois hein !).

L’intrigue démarre avec Rhys dont nous avons le contrôle des décisions qui vont planter le décors de l’intrigue. Les choix s’enchainent à un bon rythme, ni trop présents ni trop peu, et à chaque demande d’action, 4 choix différents s’offrent à nous sous forme de QTE. Chacune de vos décisions modifiera la perception que les autres ont de vous alors prenez garde de ne pas vous mettre tous le monde à dos ! L’histoire est donc très bien rythmée et cela s’enchaine parfois assez vite lors des combats où il faudra appuyer rapidement sur la bonne touche du pad au risque de se voir renvoyé au dernier checkpoint ! De temps à autres, vous pourrez explorer certaines petites zones grâce à l’oeil bionique de Rhys et bien que ces explorations n’ont pas vraiment d’utilité ni d’intérêt et auraient même tendance à couper un peu le rythme du jeu, il faut admettre qu’elles permettent d’en savoir un peu plus sur l’environnement qui nous entoure et le monde de Pandora.

Tales from the Borderlands : le choix de la tactique du Loaderbot

Vous pourrez également contrôler Fiona en alternance avec Rhys mais ce ne sera pas vous qui déciderez quand contrôler l’un ou l’autre des personnages. En effet, c’est le jeu qui fera la transition entre chaque personnage en modifiant l’interface de QTE, plutôt Steampunk futuriste avec Rhys et Far West pour Fiona. Les compagnons respectifs de chacun des deux protagonistes seront présents au départ mais beaucoup trop peu exploités par la suite. Dommage, le jeu aurait gagné en épaisseur. Les personnages rencontrés tels que Vasquez ou bien August sont tous haut en couleurs et totalement dans l’esprit déjanté de l’univers Borderlands.

Avec sa durée de vie d’environ 1h30 (j’ai bien pris mon temps), ce premier épisode avait comme un goût de trop peu et j’attends la suite avec impatience tout en espérant qu’elle sera cette fois ci au moins sous titrée en français, la version actuellement disponible étant en VOST Anglaise. L’épisode 1 est actuellement disponible sur Xbox 360, PS3, Xbox One, PS4 et PC, ainsi que sur iOS et Android, les 4 autres sont à paraitre.

Ce test a été réalisé a partir d’une version commerciale.

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Développé par Dynamighty, CounterSpy est un jeu d’action/espionnage disponible sur PS4, PS3 et PSVita (cross-buy), mais aussi sur iOS et Android.

CounterSpy : un jeu d'espionnage et d'infiltration

Scénario

L’action de CounterSpy prend place pendant la Guerre Froide, alors que Socialistes et Impérialistes se livrent à une course à l’armement dans le seul but est d’envoyer une bombe nucléaire sur la Lune, vous, espion membre de l’agence secrète C.O.U.N.T.E.R., devez tout mettre en oeuvre pour les empêcher d’arriver à leurs fins.

Votre mission sera donc de collecter des fragments de plans qui une fois assemblés dévoileront une partie du missile nucléaire destiné à détruire la Lune. Vous découvrirez également pendant vos explorations des fragments de plans d’armes qui déverrouilleront petit à petit un arsenal que vous pourrez alors acheter pour mieux vous équiper.

L’ambiance Guerre Froide est parfaitement retranscrite avec les affiches de propagande, les spots « publicitaires » et l’ambiance Est vs Ouest, on se croirait dans un James Bond comme Dr. No ou Bons Baisers de Russie !

CounterSpy : la propagande est partout ! 

 

Gameplay

Pour CounterSpy, l’éditeur a pris le parti de faire un jeu de plateforme à défilement horizontal. Vous pourrez avancer et reculer dans les niveaux pour les explorer dans les moindres détails, à la recherche des précieux plans ou objets qui vous rapporteront de l’argent.

Les niveaux sont assez vastes, truffés de passages cachés et vous aurez bien souvent plusieurs chemins possibles pour atteindre le bouton validant le niveau. Malheureusement, les niveaux se suivent et finissent par se ressembler malgré le fait qu’ils soient générés en procédural, donnant ainsi un aspect un peu répétitif au jeu. L’IA elle aussi souffre d’un réel manque d’originalité puisque les ennemis réagiront quasiment tous et tout le temps de la même manière. Dommage…

Le maitre mot dans CounterSpy est la discrétion. En effet, votre personnage n’encaisse pas bien les balles, il ne faudra donc pas compter vous la jouer Rambo ou John McClane, cela ne fonctionnera jamais ! De plus, en attaquant les ennemis de front, vous risquez que ces derniers déclenchent une alerte, augmentant ainsi le niveau de vigilance qui s’échelonne de 5 à 1, 1 étant le plus élevé. Si jamais vous atteignez le plus haut niveau d’alerte, la superpuissance concernée déclenchera une guerre nucléaire et signera la fin de votre aventure.

CounterSpy : la tension est à son paroxysme

Les munitions ne sont pas illimitées, vous serez donc contraint d’utiliser votre arsenal avec parcimonie au risque de vous retrouver à vous battre à main nue. Certes, vous pourrez trouver de temps en temps une caisse de munitions mais votre moyen le plus sûr pour refaire votre stock sera sans aucun doute l’achat entre 2 missions grâce à l’argent récolté dans les niveaux précédents. Il vous faudra alors choisir entre des bonus, des munitions, des nouvelles armes ou bien les 3 à la fois en fonction du budget donc vous disposerez, vous contraignant ainsi à explorer chaque niveau dans ses moindres détails pour en accumuler un maximum.

 

Maniabilité

CounterSpy est plutôt maniable, le système de visée ou de combat bien pensé. Parfois, il arrive que la visée soit un peu imprécise mais cela reste minime. Enchainer les ennemis dans les différents niveaux à coups de headhost ou d’uppercuts est assez facile et permet de progresser rapidement dans les complexes ultra secrets.

Dans l’ensemble, le jeu est agréable à manipuler et je n’ai pas eu le sentiment que mon personnage ne faisait pas ce que je lui demandais. Le tactile est quant à lui un peu trop sous exploité mais d’un autre coté je ne vois pas vraiment comment les développeurs auraient pu le rendre plus présent.

 

Graphismes

Les graphismes de CounterSpy sont un mix de bande dessinée, de cartoons, d’affiches et de spots télévisuels de propagande des années 60. Ce mélange donne un rendu esthétique très réussi à mon goût, renforcé par une palette de couleurs bien particulières composée de teintes plutôt pastelles. Le design a été volontairement épuré pour donner des décors et des personnages avec des arrêtes très prononcées et dénués de milliers de détails.

CounterSpy : Prenez vos ennemis par derrière...

Bref vous l’aurez compris, si CounterSpy brille par son scénario, son ambiance, ses graphismes et sa bande son, il pèche en revanche sur la répétitivité qui viendra s’installer sur le dernier quart de l’aventure. Un point noir qui, si il avait été gommé, aurait pu faire monter le jeu encore d’un cran en terme de qualité.

Proposé au tarif de 12.99€ sur le Playstation Store (version Cross-buy PS4, PS3, PSVita), le jeu vous fera tout de même passer entre 4 et 6h sympathiques si vous n’êtes pas un aficionado du Platine.

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Orange, en partenariat avec Gameloft, propose une offre de jeux à la demande pour tous les utilisateurs de smartphones Android : All You can Play.

Le principe est simple :

Pour 1.49€ par semaine (sans engagement), tout client Orange possédant un smartphone Android peut télécharger et jouer à tous les jeux proposés dans le catalogue en illimité. Parmi les 150 jeux proposés actuellement, on retrouve des jeux de grands éditeurs mobiles tels que Gameloft ou Electronic Art  comme par exemple Rayman, TETRIS, Asphalt ou encore R-Type.

Comme nous sommes arrivés à la période des fêtes de fin d’année, les 4 premières semaines sont actuellement offertes, l’occasion pour vous d’essayer sans plus attendre cette offre et voir si elle vous convient. Plus d’informations sur le site officiel d’Orange : http://mobile.jeu.orange.fr/.

Concours Orange Gameloft

Si vous souhaitez tester le service, sachez que si vous souscrivez à l’offre All You Can Play avant le 25 décembre, vous participerez automatique au tirage au sort du 29/12 organisé par Orange et Gameloft vous permettant peut être de remporter les lots suivants :

1er lot : un séjour au ski 7nuits au Club Med de Val d’Isère pour 2 d’une valeur de 4000€

2ème lot : un week end de 2 jours pour 2 personnes d’une valeur de 1000€

3ème au 10ème lot : des chèques cadeaux Kadéos d’une valeur de 100€

10ème au 30ème lot : des produits High Tech et des goodies Gameloft

 

Concours en partenariat avec Orange et Gameloft

Vu qu’un bonheur n’arrive jamais seul, j’organise également un concours en partenariat avec Gameloft et Orange Jeux pour vous permettre de remporter les lots suivants :

1er lot : 1 exemplaire du jeu The Crew sur Xbox One, 1 tee shirt Asphalt Airborne 8 et une coque pour iPhone 5S Asphalt Airborne 8

@lounis54

2ème lot : 1 tee shirt Asphalt Airborne 8 et une coque 5S pour iPhone Asphalt Airborne 8

@XerwanX

3ème au 10ème lot : une coque pour iPhone 5S Asphalt Airborne 8

@eustasskid35

@OmAar51

@aphrodite13190

@juluseless

@Otakute

@GameKlein88

@SeulementJules

@Coccinelle_76

Pour participer c’est très simple :

Sur Twitter, follow mon compte @exeprod et RT mon tweet : https://twitter.com/exeprod/status/546741855569080320

Tirage au sort le 1er janvier !

FarCry 4 et Assassin’s Creed Unity ne font pas partie des lots de ce concours !

Bonne chance à toutes et à tous.

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En tant que gros fan de la franchise Magic The Gathering, je ne pouvais pas passer à côté de Magic 2015, le nouvel opus vidéo-ludique de Wizards of the Coast.

Lancé le 16 juillet lors d’une soirée de folie, Magic 2015 est avant tout destiné à ceux qui veulent découvrir Magic et ses mécanismes grâce à un tutoriel découpé en 6 quêtes qui permettront aux novices d’appréhender les bases du jeu.

Cette phase d’apprentissage est suivie de la traditionnelle campagne qui fera évoluer le joueur au sein des 5 plans de l’univers Magic (Innistrad, Theros, Ravnica, Shendalar et Zendikar). Chaque plan est découpé en 4 missions accompagnées d’une série d’explorations.

Magic 2015 : Les Plans

Au cours de ces missions, vous rencontrerez des planeswalkers et leurs serviteurs à qui vous devrez vous confronter et que vous devrez vaincre si vous souhaitez obtenir des informations sur l’emplacement de Garruk, votre objectif final.

Magic 2015 : Celui la, il va prendre cher

Pour un joueur qui connait les rouages du jeu, il ne faudra pas s’attendre à une durée de campagne exceptionnelle puisqu’elle ne devrait vous tenir en haleine que 5 à 6h (un COD quoi ^^). Au cours de la campagne, vous remporterez des boosters qui vous permettront d’étoffer votre collection de cartes.

Les défis ont quant à eux disparu, dommage car j’ai toujours adoré me creuser la tête pour arriver à bout de mes adversaires, même dans des situations désespérées…

La grosse nouveauté qui fait sont apparition est la gestion TOTALE de vos decks ! En effet, suite à une forte demande de la communauté, Wizard of the Coast a ajouté la possibilité de constituer son deck de A à Z à partir de votre collection de cartes, et c’est là que ça devient intéressant. De base, vous disposerez d’un petit pool de carte que vous pourrez étoffer au cours de la campagne grâce aux duels qui vous permettront de gagner des boosters. 

Sur Steam, en fonction de l’édition que vous aurez acheté, vous obtiendrez des sets de cartes supplémentaires. Ces sets pourront être achetés par la suite directement dans la boutique intégrée :

 Magic 2015 : Des collections de cartes disponibles sur la boutique

Tout comme les autocollants premium :

 Magic 2015 : Envie de customiser vos cartes ?

Envie d’étoffer votre collection ? La boutique en ligne vous permettra d’acheter les boosters pour alimenter votre réserve de cartes :

 Magic 2015 : Des boosters disponibles à l'achat

Petit bémol, certaines cartes ne pourront être obtenues qu’en achetant des boosters :

Magic 2015 : Des cartes inaccessibles sans payer

Une fois que vous aurez une bonne quantité de cartes, vous pourrez vous lancer dans la confection d’un deck. L’interface est assez bien foutue, vous pourrez filtrer les cartes en fonction de leur couleur, rareté, coût en mana… et en ajouter 1 ou plusieurs dans votre deck suivant les disponibilités de chaque carte.

Magic 2015 : L'outil de gestion de decks est une tuerie !

A noter qu’une fois votre deck constitué, vous pourrez ajuster le nombre de terrains comme bon vous semble. C’est une véritable évolution du jeu qui ne proposait pas d’opération aussi poussée jusqu’à présent ! Pour ceux qui voudraient tenter l’expérience mais qui ne sauraient pas par où commencer, ils pourront sélectionner un deck de base (bi-colore) et lui apporter leur touche personnelle en ajoutant / supprimant les cartes de leur choix :

Bien sûr, vous pourrez créer plusieurs decks et vos cartes pourront être réutilisées dans chaque deck si besoin sans que vous ayez à les retirer d’un pour les mettre dans l’autre.

Coté multijoueurs, le choix a également été épuré puisque vous ne pourrez créer que des parties à 2, 3 ou 4 joueurs. Exit les modes tels que le troll à 2 têtes ou le paquet scellé ! Cela permet d’avoir une fragmentation moins importante des joueurs entre les différents modes de jeu et donc de passer moins de temps à attendre un ou des adversaires. Une stratégie à mon avis payante car je n’ai jamais attendu un adversaire plus de 2min !

Bien que destiné tout d’abord à faire de nouveaux adeptes du JCC, Magic 2015 conviendra également parfaitement aux joueurs expérimentés qui ne perdrons pas de temps avec la campagne et se concentrerons principalement sur la partie multijoueurs qui apporte une durée de vie quasi illimitée. J’ai pour ma part énormément apprécié l’outil création de deck qui peut faire naitre des decks tout simplement redoutables et cette nouvelle version du jeu vidéo tiré de l’univers Magic m’a donné envie de reprendre les tournois… Bravo Wizards of the Coast !

Proposé au tarif conseillé de 9.99€ (prix de l’édition de base), Magic 2015 est disponible sur Xbox 360, Xbox One, iOS, Android et Steam. Comme vous pouvez le constater, l’éditeur a choisi de faire l’impasse sur une version Playstation… Dommage. A noter qu’une version de démonstration est disponible sur Android afin de tester le jeu (et donc voir si votre device est compatible). Vu le temps de jeu proposé, ce prix est totalement justifié et il est donc normal de trouver des achat in-app.

Si vous aimez le jeu, je ne peux que vous déconseiller d’acheter des boosters virtuels, mais je vous recommande chaudement de trouver la boutique la plus proche de chez vous pour aller y taper le carton, en général, même si vous ne connaissez personne, les gens sont sympa !

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J’ai reçu il y a quelques semaines une manette bluetooth de la marque Ipega, compatible Android et iOS, l’occasion pour moi de vous en proposer un petit test.

Le package est assez réduit et contient les éléments suivants :

– La manette bluetooth

– le cordon de recharge

– une notice 

 

Manette Bluetooth Ipega Smartphone Android et iOS

La manette semble d’assez bonne facture au premier coup d’oeil. Assez légère, elle tient bien en main, le pad directionnel et les boutons A, B, X et Y sont autant espacés que le stick analogique gauche et les boutons A, B, X et Y d’une manette de Xbox 360, coïncidence ? Je ne crois pas ^^ On trouve également 2 boutons LB et RB, 3 boutons Select, Start et Home ainsi que 2 sticks analogiques. Puisqu’on parle des sticks analogiques, il ne faut pas s’attendre sur ce point à des sticks qu’on pourrait retrouver sur une manette de console de salon car ils sont vraiment cheap…

Manette Bluetooth Ipega Smartphone Android et iOS

Au niveau de la notice, on nous invite d’emblée à installer un logiciel. J’ai tenté le coup malheureusement, il est tout en chinois et demande des tonnes d’autorisations… Dans le doute, j’ai refusé et réinitialisé entièrement mon smartphone ^^. Pour choisir le mode de fonctionnement, il suffit de presser un des 4 boutons A, B, X ou Y et d’appuyer en même temps sur le bouton Home servant à l’allumage de la manette. L’appairage est ensuite rapide et facile comme tout bon produit connecté en bluetooth.

Le maintien sur le smartphone se fait grâce à un bras rétractable de 7cm de long qui permet de maintenir sans problème les smartphones de grandes tailles, y compris mon Galaxy Note 3 ! Une fois en place, rien ne bouge et l’ensemble est suffisamment équilibré pour ne pas avoir à trop forcer pour tenir l’écran dans une position confortable.

Manette Bluetooth Ipega Smartphone Android et iOS

J’ai pu tester la manette sur Modern Combat et Asphalt, deux jeux Android. J’ai trouvé sur Modern Combat que la maniabilité était perfectible, dûe au fait des sticks « analogiques » trop bas de gamme qui accrochaient régulièrement lors de la visée. En revanche, dans Asphalt ils se sont révélés suffisants pour diriger les divers bolides à disposition. J’ai testé un ou deux autres jeux tels que BattleBears qui se sont révélés non compatibles… Dommage !

Proposé habituellement à un prix avoisinant les 35€, je ne peux vous recommander cette manette qui souffre malheureusement d’une maniabilité insuffisante de mon point de vue.

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J’ai eu la chance, grâce à Deloriand qui avait besoin d’un remplaçant, d’assister à l’événement de présentation du nouveau jeu vidéo basé sur la licence Magic The Gathering : Magic Duels of the Planeswalkers (DOTP) 2015 !

Etant un grand fan de la franchise aussi bien cartonnée que numérique, j’étais impatient de découvrir ce qu’on allait nous dévoiler sur le prochain jeu vidéo de Wizard of the Coast.

L’événement a eu lieu dans la boutique Magic Bazar dans le 14e à Paris. Nous avons donc été accueillis par Yannis, de l’agence Warning Up, et par Nicolas Gabillon, le community manager de WOTC dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Vu l’heure matinale du rendez vous, le buffet avait des allures de petit déjeuner où même les macarons étaient déguisés pour l’occasion !

Macarons Magic 2015

La présentation a débuté par un petit rappel des chiffes de Magic :

Magic c’est 20.000.000 de joueurs, 15.000 cartes et 5.000 boutiques dans le monde. En quelques années, les revenus générés ont été multipliés par 3 aux USA et par 2 en France, signe d’un véritable essor du jeu de cartes à collectionner. Les tournois internationaux sont de plus en plus prisés par les joueurs parmi lesquels un français, Jérémy Dezani, est actuellement le n°1 mondial, le reste du top 5 étant 100% américain !

Magic 2015, pour l’édition cartonnée du jeu, est prévue pour juin 2015, soit quelques semaines avant le jeu vidéo. Sa sortie sera marquée par l’apparition d’un nouveau design des cartes, laissant plus de place à l’illustration, et se composera de 269 cartes.

Le jeu vidéo aussi arrivera avec son lot de nouveautés ! 

La campagne du jeu s’articulera autour de Garruk qui, sous l’emprise de la malédiction du voile de chêne, trouve bien terne la chasse aux grosses bêtes et qui retrouvera le frisson de la chasse en traquant ses confrères planeswalkers.

Duels of the Planeswalker est depuis le tout début orienté principalement vers les gens qui débutent à Magic. Ce point n’a pas changé, le tutoriel assez complet permettra aux néophytes d’assimiler les règles de base du jeu. La campagne est prévue pour une quinzaine d’heures de jeu, où nous aurons la possibilité de visiter différents plans du monde de Magic, comme dans Magic 2014. Petite nouveauté, à chaque partie gagnée, nous remporterons un booster de cartes qui viendra alimenter notre collection. Une collection ? Mais pour quoi faire me direz vous ?

Lors du développement de leur nouveau jeu vidéo, Wizards of the Coast a écouté les demandes de la communauté de joueurs et à adapté son jeu en conséquence. Pour la toute première fois, nous aurons accès à la construction de deck ! En puisant dans votre collection de cartes virtuelles, vous pourrez créer vos decks de A à Z, les enregistrer, leur attribuer un nom perso ainsi qu’une boite perso. Une carte est utilisable dans plusieurs decks, et le nombre d’exemplaires d’une carte ainsi que le nombre total de cartes dans le deck est entièrement personnalisable. C’est VOUS qui faites votre deck. Vous voulez 30 terrains ? C’est possible ! Vous voulez un deck de 80 cartes ? Possible aussi ! Pour composer vos decks, vous aurez à disposition plus d’une centaines de cartes au lancement du jeu pour vous amuser et tester différents decks. Ce nombre sera amené à évoluer au fil du temps et des DLC.

Magic 2015 Deck Construction 

Le mode multijoueur est toujours présent et le jeu sera également connecté aux boutiques. Cette dernière fonctionnalité s’inscrit dans la politique de WOTC qui veut donner envie aux joueurs de franchir les portes des boutiques pour jouer avec de vraies cartes. Cette volonté est renforcée par le booster promo (à aller chercher en boutique) offert pour tout achat du jeu vidéo.

Le jeu devrait sortir courant de l’été dans nos contrées au tarif attractif de 19€ sur PC, Xbox One, Xbox 360, iPad, tablettes Android et Amazon Kindle. Non, malheureusement ce n’est pas un oubli, Sony ne bénéficiera pas du titre sur ses consoles. 

Rendez vous cet été pour le test du jeu !

Une fois la présentation terminée, nous avons pu faire une petite partie de draft bien sympathique avec quelques personnes présentent à l’événement :

Magic The Gathering Draft

Merci à Warning Up, Wizards of the Coast et Magic Bazar pour l’organisation.

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Fin janvier, j’ai eu la chance d’être sélectionné par Samsung pour rejoindre le programme SamsungReporter. Pour me permettre de mener à bien ma mission en tant que Samsung Reporter, Samsung m’a équipé d’un smartphone dernière génération : le Galaxy Note 3.

J’en entends déjà faire référence au reportage qui est passé récemment dans Capital et je les invite à laisser un commentaire, je me ferais un plaisir de leur répondre (si la question reste pertinente, constructive et correcte bien évidemment).

Comparé à mon Galaxy S3, on voit nettement la différence au niveau de la taille, 5.7 pouces c’est même presque trop grand ! En revanche, malgré sa taille plus imposante, son poids n’est que de 30g supérieur à celui du S3 mais cela ne se ressent pas tellement une fois en main, c’est grâce à cette conception plastique qu’il peut conserver un poids raisonnable. Le dos du Galaxy Note 3 est une imitation cuir assez réussie visuellement.

La Samsung Galaxy Note 3 est livré en version 32Go de base. En effet, pour ce modèle il n’y a pas 36 capacités différentes, seulement une version 32Go, déclinée en 3 couleurs : Noir, Rose et Blanc. Fort heureusement, bien que n’ayant pas eu le choix de la couleur, j’ai eu la chance d’être doté de la version blanche (celle que j’aurai choisi) ! 

 Samsung Galaxy Note 3 White

Sous le capot, on trouve les spécifications suivantes :

Processeur : Snapdragon 800 Quad-Core 2.3 GHz
Mémoire vive : 3 Go
Stockage/mémoire interne : 32 Go
Mémoire extensible : Prise en charge des cartes micro-SDHC/SDXC jusqu’à 64 Go
Ecran Super AMOLED tactile Full HD (1080×1920 pixels) 5.7″ 
APN : 13 MP avec auto focus, flash LED, caméra frontale 2 MP
Réseaux mobiles : 4G LTE/3G+/2G
Connectivité : NFC, DLNA, Bluetooth 4.0, GPS, Wi-Fi 802.11 a/b/g/n/acmicro-USB 3.0, jack 3.5mm, MHL 2.0
Batterie : 3200 mAh

Le système de base est toujours Android, une version Jelly Bean 4.3 avec la surcouche TouchWizz Samsung, tant détestée par de nombreuses personnes. Cette version du système d’exploitation a été récemment remplacée par Android Kit Kat 4.4 lors qu’une mise à jour. Pas vraiment dépaysé donc par rapport à mon ancien smartphone donc et la prise en main est donc très rapide. En quelques minutes, la configuration du Galaxy Note 3 est faite et les applications indispensables réinstallées, on va pouvoir commencer à voir ce qu’il a dans le ventre.

L’interface, bien qu’équipée de la surcouche Touch Wizz, est réactive et fluide. L’écran est très lumineux et d’une excellente qualité ce qui donne un confort d’utilisation optimal notamment lors de la navigation web, la lecture de fichiers multimédias ou bien les jeux.  si l’on ne pense pas à activer le mode économie d’énergie ou à baisser la luminosité de l’écran, on se retrouvera vite à cours de batterie. A propos de l’autonomie, il faut compter sur une journée complète en utilisation intensive (Twitter, navigation web, jeu, wifi…) avec l’option économie d’énergie activée, c’est donc tout à fait honorable pour un smartphone avec un écran de cette taille. Avec une utilisation modérée, il est possible de d’augmenter significativement l’autonomie du Galaxy Note 3 pour la pousser à 36 voir 48h maximum.

Samsung Galaxy Note 3 Autonomie

Un des gros plus du Galaxy Note 3 par rapport aux autres smartphones, c’est l’intégration du stylet. Précis, il permet de prendre rapidement des notes ou de remplacer notre doigt lors de l’utilisation du tactile du téléphone. Certaines applications exclusives au Galaxy Note 3 car dépendantes du stylet sont directement intégrées comme Scrapbook qui permet de récupérer des morceaux d’écrans (screenshots) grâce au stylet et d’y apposer des notes manuscrites :

Samsung Galaxy Note 3 Scrapbook

Autre application intéressante, Ecriture sur écran permet d’apposer des notes directement sur l’écran courant, de rogner pour ne conserver que ce que l’on souhaite pour ensuite l’envoyer par mail, mms ou sur les différents réseaux sociaux :

 Samsung Galaxy Note 3 Ecriture sur écran

Pour ceux qui seraient soucieux de leur ligne, l’application SHealth, que l’on retrouve également sur le Galaxy S4, sera leur compagnon d’exercice, comptera chacun de leurs pas et leur indiquera leur progression vers l’objectif qu’ils se sont fixé :

Samsung Galaxy Note 3 SHealth

Malheureusement, cette application ne gère (pas encore) les programmes d’entrainement poussés ou la fréquence cardiaque, poussant les plus sportifs à lui préférer un matériel plus adapté comme une montre Suunto Ambit 2 par exemple.

Puisqu’on parle capacité, les 32Go embarqués de base vous permettront d’être à l’aise au niveau contenu, que ce soit application, musiques, photos ou vidéos, et si par hasard vous vous retrouviez à l’étroit, le port MicroSD volera à votre secours vous permettant d’augmenter la capacité de 64Go supplémentaires au maximum !

Du coté de l’appareil photo, le Samsung Galaxy Note 3 se débrouille plutôt pas mal avec une qualité plus qu’acceptable même en basse lumière, en voici quelques exemples :

Journée ensoleillée aux jardins du Luxembourg :

Samsung Galaxy Note 3 Photo journée ensoleillée

 

Spectacle de Michael Gregorio :

Samsung Galaxy Note 3 Spectacle de Michael Gregorio

 

Soirée Samsung Launching People :

Samsung Galaxy Note 3 Launching People

Comme vous pouvez le constater, les photos sont de bonne qualité quelle que soit les conditions. Attention toutefois, il ne faut pas hésiter à jouer avec les modes et les réglages pour obtenir des clichés satisfaisant, malheureusement encore très loin en qualité d’un compact, d’un hybride ou qu’un réflex, mais ce n’est pas le même usage.

Un des plus gros points faibles de ce téléphone : c’est sa taille. Plus grand qu’un smartphone standard mais néanmoins plus petit qu’une phablette, le Samsung Galaxy Note 3 reste imposant et ne tient pas dans toutes les poches. Cette taille, bien que caractéristique de ce type de smarphone, est difficile à manier d’une seule main. Ayant l’habitude d’un smartphone de la taille d’un Galaxy S3 par exemple, j’ai manqué de faire tomber plusieurs fois mon Note 3 en voulant le manier d’une seule main.

Pour conclure, je dirais que ce smartphone est très bien conçu pour le secteur commercial qu’il vise avec des applications dédiées au stylet permettant de gagner en productivité lorsque l’on sait les exploiter correctement. Néanmoins, si vous cherchez un téléphone qui vous permet d’être nomade et qui ne vous gênera ni dans votre poche ni lors de l’utilisation à une main, passez votre chemin, vous serez déçu.

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Il y a quelques semaines, EA et Mythic, une filiale de EA Games à l’origine du développement de Dark Age of Camelot, ont décidé de ressusciter un titre du célèbre Peter Molyneux : Dungeon Keeper !

Développé à l’époque par Bullfrog et édité par EA, ce jeu, avec son univers heroic-fantasy, vous permettait d’incarner le gardien maléfique des souterrains d’un donjon (d’où le nom Dungeon Keeper : Gardien du Donjon) qui doit gérer l’intendance, l’aménagement, la population et bien entendu la protection de son domaine.

Les graphismes ont été retravaillés pour s’adapter aux nouvelles technologies et nous offrir ainsi un jeu somme toute assez joli, bien loin de l’univers pixelisé d’il y a 15 ans. Vous aurez la possibilité de recruter des diablotins pour effectuer vos basses besognes telles que la construction, l’évolution ou le minage et devrez par la même occasion leur rappeler régulièrement qui est le maître en les tabassant pour qu’ils gagnent en efficacité (oui, je sais, c’est paradoxal). Le temps de construction ou de minage dépend de la nature de l’objet à construire ou à miner et bien sûr, plus vous ferez évoluer vos bâtiments, plus chaque évolution prendra du temps (et des ressources) !

Dungeon Keeper sur Android et iOS

Mines d’or, carrières de pierre, pièces aux trésors et ateliers divers ne manqueront malheureusement pas d’attiser les convoitises, c’est pour cela qu’il faudra également construire des défenses pour repousser l’envahisseur. Quand je parle d’envahisseur je fais bien sûr allusion aux autres joueurs qui pourront vous attaquer quand bon leur semblera, à vous de faire ce qu’il faut pour vous protéger. Vous pourrez par exemple construire des tourelles, des portes ou encore des herses, mais également recruter tout un tas de serviteurs plus ou moins coriaces pour veiller sur votre trésor.

Outre le « PvP », vous aurez également le loisir de réaliser la quarantaine de missions qui composent la campagne du jeu et qui deviendront de plus en plus dangereuses et lucratives à mesure de votre progression. Vous devrez pour cela impérativement entraîner une petite troupe capable de défaire n’importe quel équipement du donjon attaqué ou de protéger farouchement le votre en fonction du type de mission.

Enfin, pour ceux qui n’ont pas le temps d’attendre mais qui ont de l’argent, vous pourrez vous ruer sur les micro-transactions pour acheter des gemmes, sésame magique qui vous permettra de terminer les constructions, les évolutions ou encore le minage instantanément.

Proposé gratuitement sur Android et iOS, je vous recommande chaudement ce jeu qui m’a fait passer dernièrement quelques heures sympathiques. Compatible smartphone et tablettes.

Google Play : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.ea.game.dungeonkeeper_row&hl=fr

Apple Store : https://itunes.apple.com/ca/app/dungeon-keeper/id659212032?mt=8

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Après avoir cherché la meilleure façon de transférer mes fichiers audio favoris de mon PC vers mon smartphone Android, et surtout la moins contraignante parce que je suis un peu une feignasse, j’ai trouvé LA solution. Voici la marche à suivre…

 

Vous utilisez iTunes pour écouter votre musique préférée et l’organisation en de jolies playlists ? Alors aujourd’hui je vais vous montrer comment transférer facilement et automatiquement vos playlists directement sur votre périphérique Android via votre Wifi domestique.

Voici le seul pré-requis : Avoir iTunes installé et une (ou plusieurs) playlist(s) créée(s).

 TuneSync : Playlist Itunes

Le petit utilitaire que nous allons utiliser se nomme « TuneSync« . Il existe pour Windows ET Mac OS et est totalement gratuit. Il fonctionne de paire avec une application Android elle aussi nommée TuneSync mais qui est payante et vous coûtera la somme de 4.49€ (et oui… malheureusement la simplicité à un prix…). Néanmoins, vous pouvez télécharger la version Lite du programme qui vous permettra alors de transférer une seule playlist de 20 chansons seulement.

Le principe est le suivant :

vous installez TuneSync sur votre PC/Mac. Il fait office de serveur auquel l’application de votre smartphone/tablette vient se connecter. Une fois la connexion établie, le transfert des fichiers démarre (suppression des fichiers absents de la liste et copie des nouveaux fichiers), le tout en Wifi.

Mise en place de TuneSync :

La première étape est de télécharger le logiciel sur le site officiel de TuneSync et de l’installer. Une fois que c’est fait, les seules options à régler sont le nom de votre liste de lecture (un nom générique) et un mot de passe type code PIN. Lorsque vous avez terminé, vous pouvez passer à l’étape suivante.

TuneSync : Paramétrage du serveur

La seconde étape consiste à acheter et à installer l’application sur votre périphérique Android. Rendez vous sur la page de TuneSync sur le Play Store, faites chauffer la carte bleue et patientez pendant l’installation sur votre smartphone ou votre tablette. Lorsque c’est terminé, lancez le logiciel qui va vous proposer de choisir la liste de lecture TuneSync qu’il doit récupérer :

Puis il vous demande le mot de passe que vous avez choisi sur l’application installée sur le PC/Mac :

TuneSync : Configuration de l'application

Et pour terminer, vous devez choisir une ou plusieurs playlist(s) iTunes à synchroniser :

TuneSync : Choix de la playlist à transférer

Dans le cas où vous ne disposez pas d’un gros volume de stockage interne sur votre périphérique, je vous conseille vivement d’aller faire un tour dans « Paramètres > Emplacement du stockage » pour sélectionner un nouvel emplacement de stockage :

TuneSync : Configuration de l'emplacement de stockage

Vous trouverez également dans les paramètres toutes les options vous permettant de customiser le transfert, notamment pour l’utilisation du Wifi ou encore la gestion des fichiers de vos playlists. Lorsque vous avez terminé la configuration de l’application sur votre smartphone, soit vous patientez jusqu’à ce qu’elle lance la synchronisation elle même de vos fichiers musicaux, ou bien vous lui forcez la main en touchant l’option « Synchroniser maintenant ». Il ne vous reste plus qu’à patienter pendant le transfert de votre playlist !

J’espère que ce tutoriel vous aura été utile et si vous souhaitez tester l’application avant de l’acheter, je vous invite à visiter la page de TuneSync Lite sur le Play Store.

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