J’ai eu la chance d’être invité à la soirée de lancement de Gears of War 4 et j’ai également reçu dans la foulée ma Xbox One S Gears of War 4 Limited Edition ! Je vous fais donc part de mon avis sur l’ensemble 🙂

1. Retour sur la soirée de lancement

Jeudi soir, avait lieu à Paris une soirée exceptionnelle pour le lancement de la toute dernière exclusivité Microsoft : Gears of war 4 ! Nous avions donc rendez vous dans un lieu grimé aux couleurs du jeu avec au programme :

– bruits angoissants

– graffitis en tout genre

– menu spécialement concocté par le commandant en chef de la soirée : Yves Candeborde

– fumée

– éclairage à dominante rouge

Tout était là pour nous mettre dans l’ambiance du jeu avec des bornes de jeu à disposition pour nous montrer un aperçu du début du jeu et pour nous asseoir… Des lits de camp militaires !

Le menu était le suivant : 

 Menu de la soirée Gears of War 4

Bien entendu, votre serviteur a testé et c’était vachement bon, quoi qu’un peu bizarre bien évidemment. Le chef Candeborde nous a d’ailleurs servi lui même le plat qu’il avait concocté, en tenue militaire pour pousser le réalisme jusqu’au bout ! Voici d’ailleurs une galerie avec quelques photos de la soirée :

Je remercie Xbox de m’avoir invité. Passons maintenant à la suite du programme : la Xbox One S Gears of War 4 Limited Edition !

 

2. Caractéristiques de la Xbox One S

La Xbox One S est une version améliorée de la Xbox One standard, mais également une version allégée puisque Microsoft a réalisé un certain nombre d’améliorations sur ce nouveau modèle. La taille a été réduite de près de 40% ce qui donne une console bien plus petite que la One d’origine avec en plus un transformateur électrique qui a disparu car directement intégré à la console. Fini le gros bloc qui traine derrière le meuble TV, un cable électrique et le tour est joué.

  Xbox One Xbox One S
 Lecteur Blu-ray 4K UHD Non  Oui 
 Upscale 4K  Non  Oui 
 Support HDR  Non  Oui 
 Processeur  AMD Jaguar (28nm) 8 coeurs 1.75GHZ  AMD Jaguar (28nm) 8 coeurs 1.75GHZ
 GPU  AMD Radeon GCN à 853MHz (1.31TFLOPS)   AMD Radeon GCN à 914MHz (1.4TFLOPS)
 Mémoire   8Go DDR3 à 2133 MHz (68.26Go/s)  8Go DDR3 à 2133 MHz (68.26Go/s)
 Disque dur   500Go / 1To  500Go / 1To / 2To
 Manette   classique compatible sans fil Windows 10 
 Ports   2 USB3.0 / Port Kinect 3 USB3.0 
 Sortie optique   Oui Oui 
 Réseau   Ethernet Gigabit / Wifi 802.11 abgn Ethernet Gigabit / Wifi 802.11 abgn 
 Sortie vidéo   HDMI in / HDMI 1.4a out

HDMI 2.0a 4K / HDR 

 Dimensions   33.3 x 27.6 x 7.8 29.7 x 23.2 x 6.5 
 Poids   3.2kg 2.3kg 

Comme vous pouvez le constater, la Xbox One S embarque désormais un lecteur Blu-ray ce qui en fait le lecteur le moins cher du marché (en plus de faire console de jeu) et la console supporte également le HDR et la 4K (pour peu que l’on soit équipé d’un écran compatible).

La Xbox One S, console Microsoft

Autre changement, la disparition du port Kinect qui implique de se procurer un adaptateur qui coûte environ 50e, sauf si vous passez d’une Xbox One à une Xbox One S où là le support Microsoft vous en enverra un gratuitement !

Comme à son habitude, Microsoft décline la console en tout plein d’éditions collector, spéciales ou limitées et j’ai opté par la version Gears of War 4 Limited Edition.

 

3. Unboxing et avis

Le carton annonce la couleur et promet une console magnifique aux couleurs de la saga.

L’intérieur du carton est rouge et paré des motifs propres à Gears of War, chaque élément étant parfaitement calé dans le carton pour un transport en toute sécurité :

 

On trouve dans un premier compartiment le câble d’alimentation de la console, un cable HDMI ainsi que la manette :

Cette dernière est juste magnifique, rouge comme le sang avec un effet coagulé à certains endroits, du plus bel effet !

On retrouve bien entendu le logo Gears of War sur la partie gauche, tandis qu’à droite prend place une trace de griffe en relief, comme si un Locuste avait tenté de nous arracher la manette !

En toute sincérité, c’est l’une des plus belles manettes Xbox One que j’ai pu voir à ce jour avec des finitions irréprochables. Du grand art ! La console trône fièrement dans le fond du carton, bien calée par de la mousse. Une fois sortie, c’est une belle claque ! La console est magnifique, dans un style identique à celui de la manette.

On retrouve une trace de griffe plus prononcée que celle de la manette et également le logo Gears of War peint sur la grille de ventilation. Les détails sont ultra soignés, la finition impeccable comme pour la manette et le petit détail qui couronne le tout : au démarrage de la console, elle joue un court extrait de la musique de Gears of War 4 !

La console est livrée dans une version 2To et avec l’édition Ultimate de Gears of War 4, de quoi passer de longues heures peinard sur le canapé ! Au niveau tarif, vous pouvez encore trouver le pack à environ 449€ sur Amazon, mais je pense que les stocks ne seront pas éternels compte tenu du fait qu’il s’agit d’une édition limitée…

Retrouvez toutes les photos de la console en attendant mon avis sur le jeu (SPOIL : c’est une tuerie) :

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Le Raspberry Pi 2, la version boostée du Raspberry Pi B+, est sorti il y a quelques semaines un peu partout sur le net. Compte tenu de la puissance, j’ai eu envie de m’en commander pour mettre en place un projet de longue date : une console de jeu rétro, un projet dont je vais vous parler à travers une série d’articles !

ATTENTION : un guide beaucoup plus complet est en cours de rédaction et sera découpé en plusieurs articles. Vous pouvez le consulter dans la section « Raspberry Pi > Retrogaming« .

1 – Pourquoi une console de jeu rétro ?

Cette question est à mon avis pertinente car les réponses sont diverses et variées, motivées par les envies de chacun.

Pour ma part, j’ai étudié la question quelques temps avant de me lancer mais je dirais que le premier argument est le coût. Aujourd’hui, et même les gens lambda l’ont compris, le rétrogaming est un marché en pleine explosion et les prix deviennent souvent complètement fous. Les habitués des brocantes le savent bien, il devient très difficile de trouver une vraie bonne affaire sur les étales des vendeurs dès qu’il s’agit de consoles ayant un peu de bouteille et ceux qui arpentent les rayons des magasins spécialisés n’auront surement pas manqué l’apparition brutale de rayons entiers dédiés au jeu vidéo rétro. Oui, le jeu rétro est en plein essor et forcément les tarifs grimpent pour atteindre parfois des sommes colossales.

Le rétro-gaming : un marché en pleine explosion ! 

Si vous voulez posséder les consoles de votre enfances et souhaitez faire l’acquisition des ces dernières en les chinant sur les brocantes ou les magasins spécialisés, il vous en coûtera une petite fortune et je ne parle pas des jeux qu’il vous faudra bien entendu acquérir ! C’est donc la première raison qui fait que je me suis lancé dans ce projet : le coût, un Raspberry Pi valant autour de 40 euros.

La seconde raison est la place occupée. Stocker ces consoles prend de la place, il faut y dédier un espace assez conséquent à partir du moment où l’on commence à en avoir quelques unes avec leurs jeux respectifs et lorsque l’on vit sur Paris comme moi, les m² sont chers. L’avantage d’une console rétro basée sur une architecture Raspberry Pi, c’est justement la faible place qu’il occupe constituant ainsi un concentré de toutes les consoles old school, un peu à la manière de la Retron5 mais en mieux !

Troisième raison et non des moindres : la connectique. Si la plupart de nos téléviseurs actuels étaient jusqu’à présent dotés d’une prise péritel par obligation légale (décret du 21 mars 1980), sachez que depuis le début de l’année les constructeurs n’ont plus aucune obligation concernant la présence de ce connecteur sur leurs nouveaux modèles de TV. Cela pose un petit soucis car bon nombre de nos vieilles consoles adorées sont dotées de cette fameuse prise péritélévision (oui, c’est son vrai nom) et à moins de se procurer un adaptateur, difficile de jouer lorsque votre téléviseur vous aura laché. L’avantage du Raspberry Pi, c’est qu’il possède un port HDMI, compatible avec tous les téléviseurs récents. La Haute Définition nous importe peu ici puisque la plupart des jeux old school sont plus proches du pixel art qu’autre chose, seule compte la compatibilité !

 

2 – Principe de fonctionnement

Puisqu’un schéma vaut mieux qu’un long discours, voici tout de suite le schéma de principe de ma future console rétro :

 Raspberry Pi et rétro-gaming : schéma de principe

Comme vous pouvez le constater sur le schéma ci-dessus, le Raspberry Pi est la pièce centrale de la console puisque c’est lui qui va faire tourner les différents émulateurs. Un hub USB lui servira d’alimentation et me permettra de connecter les périphériques de contrôle, ainsi qu’un disque dur externe.

Grosso modo, le système d’exploitation sera stocké sur la carte micro-sd du Raspberry Pi qui lancera ensuite les ressources dont il a besoin depuis le support amovible branché sur un port USB (un disque dur externe ou une clé USB).

Dans un prochain article, j’aborderais la liste du matériel et le choix du système d’exploitation !

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Le géant Japonais bat de l’aile depuis quelques mois, voire depuis quelques années. L’entreprise a enregistré des pertes à hauteur de 164 Millions d’euros sur les 12 derniers mois. Sa dernière console a beaucoup de mal à se vendre et cela ne s’est pas arrangé depuis l’arrivée des deux « next-gen » de Sony et Microsoft. Nintendo se lance dans une grande opération de reconquête en cette seconde partie d’année en s’appuyant sur ses précédents succès.

Des succès mondiaux de retour

Au cours des dernières années, les plus gros succès Nintendo furent Pokémon, Mario Kart et Super Smash Bros Brawl sorti en 2008. Depuis, le géant japonais s’est surtout concentré sur ses consoles portables comme la 3DS, qui, soit dit en passant, enregistre de beaux chiffres. Ces trois franchises ont déjà, ou vont revoir le jour en cette année 2014. Mario Kart 8 est très récemment sorti sur Wii U et plaît aux joueurs même si beaucoup de fans de la série ne souhaitent pas se procurer la Wii U « juste » pour jouer à ce nouvel opus. La sortie du nouveau Super Smash Bros sur Wii U et sur Nintendo 3DS pourrait les faire changer d’avis. Qui ne rêverait pas de retourner quelques années en arrière et de passer des journées a plusieurs à jouer avec Mario et ses potes sur des circuits ou dans des arènes ? Le site officiel existe déjà et propose notamment la liste des personnages présents dans ce nouvel opus. Pour faire la promotion d’un jeu vidéo, créer un site internet reste sans aucun doute la meilleure façon de faire parler de celui-ci. Via les hébergeurs tels 1and1.fr par exemple on peut développer son propre site, avec un nom de domaine unique et un style adapté. Pokemon fait également son retour sur Nintendo 3DS et 2DS avec un remake des versions Rubis et Saphir sorties en 2003. Ces refontes seront nommées Pokémon Rubis Omega et Saphir Alpha.

Le retour de Zelda

Hyrule Warriors lancera le retour de Link. Ce jeu beat’em all, croisement entre Zelda et Dynasty Warriors, sortira en Septembre en France et de nombreuses info ainsi qu’une vidéo de présentation sont tombées durant l’E3 la semaine dernière. Ce jeu a pour but de réunir les fans des deux franchises croisées. Enfin le tout nouvel épisode de Zelda sortira en 2015 et aura pour mission de sauver Nintendo et sa Wii U. Celui reste assez mystérieux mais un trailer est d’ores et déjà disponible. On remarque un design vraiment séduisant ainsi que quelques images du jeu tant attendu.

En s’appuyant sur ses nombreuses séries à succès, Nintendo espère bien se tailler de nouveau une part dans le marché des jeux vidéo dans les mois et années à venir. Ces différentes sorties lanceront peut-être (et enfin) la Wii U, deux ans après sa sortie.

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Commandée lors de la Paris Games Week 2013, j’ai reçu mon pack Xbox One + Call of Duty Ghosts le jour de sa sortie mondiale et n’aimant tester ce genre de produit à la va vite après 1h d’utilisation où l’on n’a pas le temps de tester les choses en profondeur, j’ai préféré prendre mon temps afin d’avoir un peu de recul.

Déballage

Le package contient les éléments suivants :

– La console Xbox One

– Le capteur Kinect 2.0

– Une manette

– Un micro casque filaire

– Un câble HDMI

– Un câble d’alimentation

– Un bloc d’alimentation

– Le code de téléchargement du jeu Call of Duty Ghosts

– Un code pour un abonnement de 14 jours au Xbox Live

Premier constat : les dimensions imposantes. Que ce soit la Xbox en elle-même, le capteur Kinect ou le bloc d’alimentation, on est bien loin de la taille du modèle d’avant, la Xbox 360 Slim. J’ai même bien cru à un instant qu’elle ne rentrerait pas dans mon étagère !

Xbox One : un design carré et massif

Son design est plutôt massif, carré et entièrement noir, alternant brillance et mât. Exit le tiroir du lecteur dvd, on alimentera maintenant le lecteur Blu-ray de la console par une fente située en façade.  Les grilles d’aérations sont situées sur la moitié du dessus et sur les côtés pour assurer une ventilation optimale.

La manette a quelque peu évoluée. Design et matériaux retravaillés, la manette s’adapte parfaitement à ma main et est très agréable au toucher. J’avais déjà eu l’occasion de l’avoir en main et de la tester lors de l’événement Area One à Paris et je retrouve exactement le même plaisir. Elle est un cran au-dessus de la manette 360.

Concernant la connectique, on retrouvera sensiblement la même que sur la Xbox 360 à quelques ajouts prêts :

– Port d’alimentation

– Port HDMI Out

– Port S/PDIF

– 2 ports USB à l’arrière et un sur le coté

– Port pour le capteur Kinect

– Port pour un capteur infrarouge déporté

– Port RJ45

– Port HDMI IN

Xbox One : une connectique complète

Ce dernier port est la grande nouveauté, il permet de brancher un décodeur TV pour l’afficher et le piloter directement depuis la console. C’est pratique lorsque l’on veut tout au même endroit mais l’inconvénient c’est que pour regarder la TV, il faut impérativement allumer la console.

Pour 530€, on notera que le package est tout à fait correct et on est en présence d’un produit d’une grande qualité. J’aurais néanmoins beaucoup apprécié qu’il contienne les éléments suivant à la vue de son prix tout de même élevé :

– Un abonnement de 6 mois ou un an au Xbox Live en lieu et place de la période d’essai de 14 jours… C’est du contenu numérique et ça ne coûte rien en termes de production.

– Une manette avec une batterie rechargeable d’origine. Cela aurait permis d’entrée de jeu de s’affranchir des piles et d’éviter d’avoir à acheter un kit play and charge à 20€…

Le branchement des divers éléments est aisé et en 10 minutes, la console est prête à être mise sous tension.

 

Déballage

Microsoft a conservé le petit son de mise sous tension, la console démarre et elle commence par télécharger et installer la mise à jour promise par Microsoft. Avec la fibre, il faut environ un petit quart d’heure pour télécharger et installer le patch mais de nombreuses personnes disposant d’un accès ADSL à faible débit se sont plaintes de la durée de mise à jour…

Place à la configuration initiale avec les options habituelles et quelques innovations concernant le mode de fonctionnement de la Xbox One. En effet, afin de rendre les mises à jour du système transparentes et nous éviter un temps d’attente avant utilisation, Microsoft a eu la bonne idée de nous proposer de choisir le mode de fonctionnent de notre console en nous proposant 2 choix :

– Mode éco : démarrage plus lent avec interruption pour appliquer les mises à jour

– Mode instantané : Démarrage plus rapide, téléchargement et installation des mises à jour automatique

Le choix du deuxième mode est parfait pour ceux qui ne souhaitent jamais attendre mais risque d’alourdir (légèrement) la facture électrique, obligeant la console à rester sous tension en permanence.

Après quelques minutes passées à régler les options de la console, me voici enfin sur l’interface de démarrage… Au final, il m’aura fallu environ 45min du déballage à l’arrive sur le dashboard ce que je trouve plutôt rapide pour une mise en route initiale (merci la fibre…).

 

Prise en main

Lorsque l’on est habitué à l’interface de la 360, cette nouvelle interface basée sur celle de Windows 8 fraichement sorti est un peu déroutante.

Pour l’interface à proprement parler, je ne me fais pas trop de soucis. Je dirais qu’elle est encore en phase de développement, peu d’options pour la personnaliser à notre guise et certaines fonctionnalités sont encore manquantes. Mais il s’agit d’une partie entièrement logicielle qu’il est facile de faire évoluer lors de mises à jours futures, ce qu’a déjà commencé à faire Microsoft lors de son dernier patch.

A l’heure actuelle, il n’est pas possible de paramétrer dans les moindres détails les tuiles que l’on souhaite afficher ni d’affecter un code couleur personnel ou encore un fond d’écran. J’espère que ces possibilités de customisation nous seront offertes dans le futur afin que chacun puisse adapter SON profil à SA personnalité.

Je configure ensuite rapidement mon compte Xbox Live et on me propose de paramétrer Kinect.

 

Kinect, ce big brother

Le fameux Kinect, celui qui a fait couler tant d’encre et levé tant de boucliers… Big Brother is watching me ! (au même titre que Facebook, Google et cie…)

Xbox One : Kinect is watching you !

Trêve de plaisanterie, la caméra s’allume et me demande de me placer devant elle afin qu’elle puisse me reconnaitre. J’ai également droit à un petit cours accéléré concernant les différentes vocales permettant d’effectuer les tâches courantes telles qu’allumer ou éteindre la console, lancer une application, se rendre dans le magasin Xbox…

Parlons-en justement de cette reconnaissance vocale. Je vois beaucoup de tests « minute » (ceux publié 2h après le déballage de la console) qui vantent les méritent de Kinect et sa reconnaissance vocale.

Je ne suis pas de cet avis malheureusement. Trop souvent, j’ai dû m’y reprendre à plusieurs fois avant que ma console ne daigne démarrer grâce à la commande qui lui est associée. En revanche, pour naviguer dans le dashboard, lancer un jeu ou même dans certains jeux, je dirais que cela fonctionne plutôt bien… Lorsqu’on prend la peine le bien prononcer chaque commande avec une voix calme et posée.

En revanche, dans les jeux, l’interaction vocale via Kinect est assez bluffant ! On peut invectiver les boss, attirer l’attention des ennemis, etc… Au début, je n’ai pas vraiment utilisé cette fonctionnalité car j’avais peur d’être ridicule à parler à ma TV, et puis je me suis pris au jeu. L’inconvénient de cette fonctionnalité se rencontre en revanche le soir, lorsque la maison dort, il est alors difficile de parler à voix haute…

Et pour mémoire : il n’est plus nécessaire d’avoir Kinect connecté à la console pour que celle ci fonctionne (cela fait partie des nombreux revirements parmi les décisions de Microsoft).

 

Mais Kinect ce n’est pas que cela.

Le capteur est également capable de reconnaitre les QRCode. Inutile me direz-vous ? Pas tant que ça… En effet, les cartes d’abonnements, les jeux ou contenus à télécharger vendus sur de petites cartes en cartons, disposent non seulement d’un code à 25 caractères que l’on peut entrer caractère par caractère sur le site ou le dashboard, mais également d’un QRCode. Ce code, une fois placé devant l’œil de la caméra, est lu, analysé et permet de lancer le téléchargement du contenu qui lui est associé. Simple, rapide, efficace !

Comme je le disais plus haut, le capteur est également capable de nous reconnaitre (aller arrêtez de flipper un peu… vous traversez la route tous les jours !) et dans ce domaine, je dois avouer qu’il est vraiment redoutable.

Reconnaissance initiale : en tee shirt sans lunette, sans barbe.

Première tentative : en sweat, sans lunette, sans barbe. Succès !

Deuxième tentative : en sweat, avec lunette, sans barbe. La console m’a demandé de confirmé que c’était bien moi. Elle m’a reconnu, mais a préféré me demander la confirmation. Pas mal !

Troisième tentative : en sweat, sans lunette, avec barbe. La console ne m’a pas reconnu et j’ai été obligé de lui indiquer que c’était moi.

Depuis, elle me reconnait sans problème, quelle que soit ma tenue, mon port de lunette ou la taille de ma barbe. On sent que la caméra Kinect 2.0 a un très gros potentiel, espérons juste que les développeurs en tirent parti dans leurs prochains titres.

 

Silence !

Alors que j’étais habitué à une 360 ayant tendance à souffler fort pour expulser l’air chaud (très chaud ?) et à faire vrombir régulièrement le lecteur de DVD pour ses accès en lecture lorsque l’on n’installe pas les jeux sur le disque dur, j’ai été plus que surpris d’être obligé de tendre l’oreille tout prêt de la console pour l’entendre ronronner.

Je me suis tout d’abord dis qu’étant sur le dashboard, il était normal qu’elle ne peine pas trop. Je passe donc mon QRCode Call of Duty Ghosts, patiente pendant le téléchargement et l’installation du jeu et c’est parti pour une petite tuerie !

A ma grande surprise, la console reste silencieuse. Même après quelques heures, elle ne bronche pas. Vraiment plaisant !

Niveau température, elle ne chauffe pas outre mesure. Le flux d’air doit être assez bien optimisé et l’air chaud est expulsé par la grille supérieur, celui-ci allant toujours vers le haut, l’emplacement de la grille et l’orientation du flux d’air est donc plutôt bien pensé (nombre de boitiers PC ne proposent toujours pas de grille en haut de leurs boitiers…).

Et le lecteur Blu-ray dans tout ça ? Lui aussi, il se révèle plutôt silencieux que ce soit lors de l’installation initiale d’un jeu ou lors d’une partie. N’ayant pas de disque Blu-ray à disposition, je n’ai malheureusement pas pu tester la lecture d’un film.

 

Une console multimédia

La possibilité de connecter le décodeur TV sur la console permet d’avoir la TV sur la console de jeu, concentrant tout sur un seul et même périphérique. L’ancrage TV ravira ceux qui veulent garder un œil sur la TV tout en jouant mais ne sera pas ou peu utilisé par les gros gamers qui au fond s’en fichent de la TV…

L’ancrage ne se limite pas qu’à la TV car il est également possible d’ancrer Skype et de poursuivre sa partie tout en tchatant vocalement avec un ami ou sa famille.

Skype est une composante importante dans le système de Microsoft. Racheté par la firme de Redmond, le logiciel de visioconférence tire parti de Kinect pour la partie audio et vidéo. Lors de discussions vidéo, le capteur de la caméra va suivre l’interlocuteur pour qu’il soit en permanence au centre de l’image. Si c’est un groupe de personnes qui est face à l’écran, Kinect est non seulement capable de s’adapter pour afficher l’ensemble du groupe, mais il fera également parfois le focus sur la personne ayant pris la parole.

La possibilité de connecter un décodeur TV et la présence de Skype par défaut sur la Xbox One lui confère déjà une bonne dimension multimédia mais Microsoft ne doit pas en rester là pour continuer de conquérir les foyers. Pour ma part, je n’utilise encore que très peu les fonctionnalités multimédia qui se résument à une session Skype de temps à autre.

 

Verdict

La Xbox One est un peu massive, au design réussi avec des accessoires ayant une finition excellente. Niveau performance, on sent qu’elle en a sous le capot mais que ce potentiel ne sera pas exploité pleinement dans l’immédiat. Kinect est assez précis, aussi bien pour la reconnaissance vocale que vidéo et dispose d’un potentiel que les développeurs devront plus exploiter dans le futur.

La dimension multimédia, déjà présente avec l’ancrage de la TV lors d’une partie est un plus qui devrait séduire les foyers qui ne cherchent pas qu’une console de jeu et sera d’autant plus renforcé à la fin de l’année lors de l’arrivée de Netflix en France.

Pour son prix, on aurait aimé avoir une manette incluant par défaut une batterie rechargeable, cela aurait évité des frais supplémentaires (environ 20€) pour un kit play & charge. Mais forcément, cela aurait fait moins de ventes d’accessoires pour Microsoft.

Tout ce qu’on attend maintenant, ce sont des jeux qui exploitent beaucoup plus les possibilités de la Xbox One et qui dévoileront pleinement son potentiel.

Si vous ne vous êtes encore décidé ni pour la Xbox One ni pour la PS4, patientez encore un peu, presque tous les jeux sortant sur la next gen sortent aussi sur l’ancienne génération, Xbox 360/PS3. Pour ma part, je suis satisfait de mon achat mais j’attends tout de même de vrais jeux next gen.

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Vendredi soir, Margxt m’avait missionné pour la représenter à la soirée PS4 qui se déroulait à l’Appartement 4 près de Bastille à Paris…

[Vous retrouverez toutes les photos en bas de l’article. Elles ne sont pas libres de droits.]

19h00 pile, j’arrive à l’appartement presque en même temps que l’ami Liryc-sama que moi.

Appartement 4

A peine entrés, premier couac : photos des écrans interdites ! Etrange quand on sait que dans la soirée du concurrent, c’est no limite sur les photos (excepté pour Battlefield4), je me suis même fait reprendre pour une photo d’ensemble ! Bref… C’est parti pour les tests !

Appartement 4 : un décor sympa

On a commencé avec Drive Club, un jeu de simulation automobile et permettant de participer à divers défis en multijoueur avec un système de club permettant par exemple des courses à 3 contre 3.

Drive Club

1 circuit et 2 voitures disponibles, une fois le choix du bolide effectué, la course démarre. Le jeu est joli sans plus, pas de réel coup de cœur ou de choc émotionnel pour autant, il rivalise avec les jeux de la génération actuelle. Outre faire la meilleure performance au chrono possible, il faut également remplir des objectifs (drifts, trajectoires parfaites, vitesse…) pour accumuler des points de réputation qui détermineront également notre classement.

Jusque-là tout va bien, le feu passe au vert, j’enquille la première ligne droite et premier vira… a ben non le mur. Je retente ma chance sur le second vira… hop le bas-côté… Et bien sûr à chaque fois, dès qu’on fait une légère ou rapide sortie de piste, un compte à rebours irritant de 3s s’enclenche et nous replace automatiquement sur la route une fois écoulé… Pénible (surtout pour un jeu qui se veut être une simulation) !

Le freinage est très mal dosé, même en appuyant sur le bouton avec une grosse anticipation, impossible d’avoir une vitesse adéquate pour ne pas se foutre en l’air dans le virage. Du coup, j’ai dû modérer ma vitesse tout au long de la course. Idem dans les virages, on a beau jouer du stick, la voiture donne l’impression de tourner au ralenti…

Loin des sensations de course ressenties lors du test de WRC4, je m’étais engagé à fournir un avis presque objectif sur la soirée à Margxt (je suis plutôt Microsoft au cas où vous n’auriez pas remarqué) donc j’ai lancé une seconde course avec le deuxième bolide disponible mais même conclusion… Lyric-sama m’a un peu rassuré en ayant eu le même ressenti. Next !

Le deuxième jeu proposé était Hohokum, un jeu indépendant où l’on incarne un serpent que l’on doit diriger dans des niveaux ultra colorés.

Hohokum

Le but ? J’ai eu du mal à le saisir. J’ai juste compris qu’il fallait ramasser des pommes de pin permettant de déverrouiller certaines zones interactives de la map grâce à des pingouins situés sur notre dos. Un jeu zen mais qui ne nous à pas accroché plus de 10 minutes… Next !

Le jeu suivant est une bonne surprise. Il s’agit du jeu « Contrast » où vous incarnez Aube, une jeune femme énigmatique explorant le monde de Contrast. Il faut improviser avec les décors et les jeux d’ombres et de lumières pour avancer dans les niveaux qui nous permettront d’avancer dans l’histoire.

Contrast

J’ai testé ce jeu avec les lunettes que Sony est en train de développer et la démo en elle même était plutôt sympa avec des graphismes qui m’ont beaucoup comme l’ambiance où l’ombre est aussi importante que la lumière.

L'Oculus Rift version Sony

Si j’ai bien accroché avec le jeu, malheureusement les lunettes ne m’ont pas séduit loin de là. Lourdes, inconfortables avec une image tout juste moyenne, elles m’ont explosé les yeux ce qui a un peu gâché mon expérience de jeu. Contrast devrait être disponible sur Steam, Xbox 360, PS3 et PS4. Next !

Au premier étage, je tombe sur un jeu qui avait retenu mon attention lors de l’E3 : Knack.

Knack

On y incarne un petit bonhomme de bric et de broc qui doit ramasser des matériaux qui lui permettent de grandir mais son chemin est semé d’embuches et d’ennemis qu’il va falloir combattre grâce à des attaques plus ou moins dévastatrices.

La caméra non orientable nous a un peu dérangés au départ mais une fois la période de prise en main passée, cette gène s’est estompée et nous avons pris un réel plaisir à parcours le niveau disponible. Les graphismes sont plutôt réussis, l’ambiance à la sauce cartoon et le gameplay m’a beaucoup fait penser à un Fable par moment. Très plaisant ! Next !

Vous l’attendiez, le voilà… Je parle bien sûr d’Assassin’s Creed 4 : Black Flag.

Liryc-sama concentré sur Assassin's Creed 4

Ubisoft Montreuil avait fait le déplacement pour conseiller / surveiller les joueurs (rayez la mention inutile) ce qui nous a permis d’en savoir un peu plus sur le jeu. N’ayant pas encore joué à Assassin’s Creed 3, j’appréhendais la gestion des combats naval tant au niveau de l’intérêt pour la trame du jeu que pour la maniabilité. La démo commençant par l’attaque d’un fort en bateau, je vais avoir ma réponse très rapidement  !

N’étant pas habitué à la manette Playstation, il m’a fallu un petit temps d’adaptation avant de maitriser mon navire et ses canon mais je me suis ensuite vite rattrapé en coulant tout ce qui passait à portée et je suis ensuite passé à l’attaque du fort.

J’ai trouvé la maniabilité lors des phases de combats navals très bonne voir excellente, le système de visée pour les canons est assez simple, les graphismes sont magnifiques malgré une démo datant de plusieurs mois et j’ai trouvé l’ambiance pirate vraiment très plaisante. En plus de nos armes et combots habituels, de nouveaux enchainements ont fait leur apparition ce qui donne encore plus d’intérêt aux combats !

Coté IA, les ennemis ne sont plus aussi courtois. J’ai été souvent attaqué par plusieurs ennemis simultanément alors qu’auparavant ils ne nous attaquaient qu’un part un. Un bon point pour l’IA donc qui semble avoir subit une cure de jouvence et permet d’avoir des combats présentant une difficulté plus élevée !

J’ai également testé le mode « Open world » dans lequel Ubisoft a reconstitué la mer des Caraibes avec ses iles, ses épaves, ses requins et ses pirates ! On peut y naviguer, prendre les forts qui s’y trouvent, couler ou piller les bateaux ennemis et faire de la plongée pour explorer les épaves. J’ai adoré !

J’ai dû passer plus d’1h30 sur cette borne tellement j’ai accroché à ce nouvel opus… ^^’ Next !

La Playroom, j’ai fait l’impasse. J’ai regardé 3 min à quoi cela ressemblait et n’ayant pas du tout accroché, j’ai préféré passer mon chemin… Next !

Nous voilà arrivé sur Fifa14. L’ayant déjà testé sur PC je savais grosso modo à quoi m’attendre.

FIFA14 : au plus proche de la réalité

Bien que n’étant pas un grand amateur de ce genre de jeu (j’ai pris un joli 3-0 dans les dents), j’ai trouvé les graphismes et la modélisation des joueurs plutôt réussis, la maniabilité m’a semblé satisfaisante et du coup j’ai regardé lyric-sama et un autre pote s’affronter dans des matchs sans merci (il pleuvait des cartons) pendant une heure. Les stades sont vivants, la gestions de ralentis au top, cette petite session m’a presque donné envie de me le prendre !

Il y avait aussi une démonstration de Killzone Shadowfalls. Je dis démonstration car c’était bel et bien une démonstration : un mec jouait pour nous montrer les graphismes et les effets soignés ainsi que les possibilités. Désolé, je ne pourrais malheureusement pas vous en dire beaucoup plus car nous n’avons pas eu la chance d’avoir la manette en main.

Killzone Shadow Falls

J’ai presque failli oublier de vous parler d’un truc important : la console !

Le design est sobre et pas trop imposant et qui plus est, bien qu’il y avait quand même un peu de bruit dans l’appartement, la console m’a paru plutôt silencieuse. L’effet mat + brillant est du plus bel effet et devrait s’intégrer sans problème dans la plupart de nos salons.

Playstation 4

La prise en main de la manette Playstation m’a toujours posé un réel problème, peut-être trop habitué à celle de Microsoft que je trouve bien plus agréable à l’usage. J’ai trouvé que les sticks avaient tendance à être glissants. Un bon point lorsque l’on joue à plusieurs, par exemple à FIFA, l’éclairage de la manette change pour s’adapter à la couleur d’équipe ce qui permet de savoir qui est qui d’un seul coup d’œil.

Manettes Playstation 4

Le point noir : l’éclairage émis par la manette se reflète dans l’écran. Sur un jeu aux graphismes clairs, cela ne pose pas trop de problème lorsque l’on joue mais dès que l’image s’assombrit, dès que l’on bouge un peu la manette, la tâche de lumière projetée sur l’écran a tendance à attirer notre œil. Lorsqu’on est juste spectateur d’une partie, comme c’était mon cas pour FIFA par exemple, on a l’impression de ne voir que ça ce qui m’a vraiment dérangé pour ma part.

Pour conclure, mis à part AC4, Knack et Contrast, je n’ai pas été plus impressionné que ça par le contenu présenté lors de cette soirée organisée dans un lieu atypique de Paris. A la vue des photos et des tweets qui ont fusés, ça avait l’air d’être d’un tout autre niveau chez Microsoft !

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Voilà un petit moment que la grand messe du jeu vidéo, j’ai nommé l’E3, est terminée. C’est pour moi le moment de vous présenter les quelques jeux que j’attends avec impatience !

1 – Watch Dog :

Une grosse claque ! Incarner un hacker dans un GTA-Like solo/multijoueur où il sera possible de pirater tout est n’importe quoi dans un Los Angeles plus vrai que nature me mets déjà l’eau à la bouche ! J’ai vraiment été scotché par les possibilités et les graphismes et l’interaction avec smartphones et tablettes ! C’est ma plus grosse attente sur next gen !

 

2 – Battlefield 4 :

Mode solo

Mode multi

Afficionados du volume 3, les graphismes du mode solo et du mode multijoueur sont un cran au dessus de son petit frère. EA a poussé loin l’interaction avec l’environnement afin que le joueur puisse tirer parti du monde qui l’entoure pour vaincre ses ennemis. Les maps multijoueurs ont l’air immenses, j’ai hâte d’en fouler les moindres recoins, d’autant qu’ils visent des parties jusqu’à 64 joueurs en ligne ! L’interaction avec Smartglass et le « Commander » m’ont scotché à mon siège…

 

3 – Quantum Break :

La petite surprise des différentes conférences. Ce titre a capté mon attention par son originalité et sa réalisation (le bateau qui entre en collision avec le pont… magnifique !) et j’espère que l’ensemble sera à la hauteur de mes espérances !

 

4 – Dead Rising 3 :

Cela fait déjà longtemps que je mange du zombie régulièrement (World War Z le livre, bientôt le film, Walking Dead la série, le jeu et bientôt la BD, DeadRising 1 et 2, etc…) et j’adore ça ! La démo ingame m’a mis en appétit, j’ai hâte de pouvoir rouler sur ces hordes de mort-vivants assoiffés de sang et des les pourfendre avec l’aide de Smartglass…

 

5 – Assassin’s Creed 4 : Black Flag :

Fan des Assassin’s Creed depuis le premier et fervent admirateur de Jack Sparrow, le nouveau titre d’Ubisoft est bien parti pour me ravir. Les graphismes sont magnifiques, les décors bien immersifs et les batailles navales ont l’air dignes des combats de Barbe Noire…

 

6 – The Division :

Un MMO post-apocalyptique, depuis le temps que j’en rêvais ! Certes, vous allez me dire qu’il existe Infestation : Survivor Stories mais honnêtement, je vois pas en quoi il est massive multiplayer ! Bref, ce nouveau titre a l’air de déménager !

 

7 – Halo :

Une clameur de folie dans la salle quand la capuche a dévoilé le casque de Masterchief… Et moi qui bavait devant mon écran… ^^

 

8 – Titanfall :

http://www.youtube.com/watch?v=KnOxE4i1-XA

Alors que Pacific Rim débarque prochainement sur nos écrans, Titanfall explore une nouvelle voie chez les FPS. Un titre prometteur, j’espère néanmoins qu’il sera à la hauteur.

 

9 – Metal Gear Solid 5 :

La franchise débarque enfin sur Xbox !

 

10 – Splinter Cell Blacklist :

L’un des agents secrets les plus célèbres du monde du jeu vidéo revient et ça envoie ! 

 

11 – Ryse, Son of Rome :

Un titre à la sauce 300 / Spartacus, je crains un peu les nombreuses phases de QTE mais le jeu a vraiment l’air très sympa !

 

12 – The Elder Scrolls Online :

http://www.youtube.com/watch?v=VHj5VvFWbtE

Après avoir fait Morrowind, Oblivion et Skyrim, j’espère qu’ESO m’apportera autant de plaisir que ses 3 frangins avec un monde gigantesque, des créatures à ne plus savoir qu’en faire et surtout l’aspect multijoueur qui faisait jusque alors défaut…

 

13 – Kinect Sports Rivals :

http://www.youtube.com/watch?v=7WDX1Jqnfww

J’aime le sport donc je suis assez curieux de voir à quoi va ressembler ce titre qui, si il est amusant et intéressant, fera probablement partie de ma ludothèque.

 

14 – Forza 5 :

http://www.youtube.com/watch?v=iYTx9DFWMSI

Forza 3 a été mon tout premier jeu sur Xbox 360, par conséquent, il est probable que j’essaie son grand frère malgré le peu d’attirance que j’ai pour les jeux de voiture… (excepté ceux où le but est de les casser !)

 

15 – COD : Ghost : 

Je sais que je vais me faire cracher dessus, mais j’assume. Si les retours des joueurs sont corrects (je m’attends pas à ce qu’ils soient bons, bandes de vilains trolls !), il est probable que je le tâterais vite fais !

 

16 – Dying Light : 

Vous reprendrez bien un peu de zombies ^^ ?

 

17 – Project Spark :

Le concept m’a plut, j’attends d’en savoir un peu plus sur les possibilités du titre mais il est probable que je l’essai pour voir ce qu’il donne !

 

18 – Plants vs Zombies : Garden Warfare :

Le premier volet m’a occupé des heures entières sur Smartphone / Tablette / Xbox 360 et PC, pas de prise de tête, un jeu assez fun, il y a donc toutes les raisons pour que je passe quelques heures sur ce nouvel opus !

 

19 – Sunset Overdrive :

Déjanté, rapide, fun… De quoi passer de bons moments à tabasser du mutant ! 

 

 

Et voila, le tour des jeux next gen que j’attends avec impatience est terminé et on arrive quasiment à une vingtaine ! Ce nombre est dépassé je vous rassure, car je n’ai pas tout listé dans mon article, je pense notamment à Fifa, Destiny, D4, ou encore Mad Max, qui ne feront peut être pas parti de ma ludothèque dès leur sortie mais qui arriveront probablement un jour sur mes étagères. Vous l’aurez sûrement compris, malgré tout ce que l’univers connu ou inconnu reproche à Microsoft, je resterais sûrement fidèle au géant de Redmond.

Il y aura d’ailleurs peut être un article expliquant pourquoi… ou pas !

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