Histoire de finir l’année en beauté, j’ai reçu un colis assez fou de la part de la branche gaming de chez Acer avec à l’intérieur un pc portable Acer Predator 17 modèle G9-793-74EJ et voici mon avis sur ce monstre.

1. Packaging et Design

Le pc portable Acer Predator 17 m’a été livré dans son carton d’origine, un emballage assez imposant mais d’excellente qualité car il est arrivé sans une égratignure.

A l’intérieur, tous les éléments livrés avec le produit sont calés au millimètre pour éviter tout dommage pouvant subvenir lors du transport et nous pouvons ainsi retrouver :

– le pc portable Acer Predator 17 G9-793-74EJ

– le bloc d’alimentation et son câble secteur

– un Predator FrostCore

– une notice de mise en route rapide

Rien de superflu ou d’inutile dans le carton donc mais pour le prix de ce petit bijou, on aurait apprécié avoir quelques trucs en plus dont je parlerais dans le reste du test.

Le Acer Predator 17 reprend les codes qui font l’identité de la gamme Predator du constructeur à savoir une dominante noire avec quelques touches de rouge ça et là. Sur le dos de l’écran, on retrouve ainsi le logo Predator en métal brossé du plus bel effet.

Le plastique noir mat qui compose la coque du portable est d’excellente qualité et est très doux au toucher ce qui procure une sensation très agréable lors de la manipulation et à l’utilisation.

Les grilles de ventilation situées à l’arrière ont un design rappelant l’avant de certaines voitures de sport d’aujourd’hui, donnant un look assez agressif au pc portable.

Le clavier du Acer Predator 17 est un clavier complet de 105 touches avec pavé numérique. Le pavé tactile est de grande taille comparé à ce que l’on peut retrouver chez d’autres marques, comporte 2 boutons de clic et un bouton permettant de le désactiver si l’on a une souris et que l’on ne souhaite pas que le pavé tactile intégré interagisse par mégarde lorsque l’on passe sa main dessus.

Cerise sur le gâteau et parce que c’est la grande mode du moment, Acer a décidé que le clavier serait RGB ce qui donne donc un clavier éclairé par un dégradé de couleurs du plus bel effet si on aime ce genre de détail.

L’écran de 17 pouces est un écran IPS Full HD d’une résolution maximale de 1920 x 1080 pixels, un peu dommage quand on connait la configuration qui est embarquée et estampillée « VR Ready »… Et c’est donc sans transition que nous passons maintenant à la fiche technique du produit !

 

2. Fiche Technique

Sur le papier, le pc portable Acer Predator 17 G9-793-74EJ est impressionnant sur pratiquement tous les points de son anatomie :

SYSTÈME D’EXPLOITATION

 
Système d’exploitation
Windows 10 Famille 64 bits
Langue de l’OS
Français
Système d’exploitation fourni
Oui

PROCESSEUR ET CHIPSET

 
Processeur
Intel Core i7-6700HQ Quad-Core – Cache 6 Mo
Fréquence CPU
2.6 GHz / 3.5 GHz Turbo
Nom courant du chipset
Mobile Intel HM170 Express

MÉMOIRE

 
Taille de la mémoire
16 Go
Nombre de barrettes
2
Fréquence(s) Mémoire
PC4-17000 – DDR4 2133 MHz
Taille de mémoire Max
64 Go

GRAPHISMES

 
Chipset graphique
NVIDIA GeForce GTX 1070
Taille mémoire vidéo
8 Go

AFFICHAGE

 
Type de Dalle
Dalle LED IPS
Taille de l’écran
17,3 pouces
Résolution Max
1920 x 1080 pixels
Format de l’écran
16/9
Spécificités Dalle mate / Traitement antireflet / NVIDIA G-SYNC / VR Ready

STOCKAGE

 
Disque dur
SSD 128 Go M.2
Disque dur secondaire
HDD 1 To 7200 RPM SATA 6Gb/s
Nombre de disques max
1
Emplacement mSATA/M.2
1
Type de Lecteur / Graveur
Graveur DVD Super Multi, Graveur CD, Lecteur CD, Lecteur DVD
Lecteur de cartes
SD (Secure Digital)

COMMUNICATION

 
Norme(s) réseau sans-fil
Wi-Fi B (IEEE 802.11b), Wi-Fi A (IEEE 802.11a), Wi-Fi G (IEEE 802.11g), Wi-Fi N 150 Mbps (IEEE 802.11n), Wi-Fi AC
Norme(s) réseau Ethernet
10/100/1000 Mbps
Technologie Bluetooth
Bluetooth 4.1

MULTIMÉDIA

 
Webcam
Oui
Microphone intégré
Oui
Type de H.P
4 H.P + caisson de basses

EQUIPEMENT

 
Norme du clavier
AZERTY
Clavier rétroéclairé
Oui
Pavé numérique
Oui
Touches Multimédia
Oui

CONNECTIQUE

 
Connecteur(s) disponible(s)
1 x RJ45
1 x HDMI Femelle
1 x Jack 3,5mm Femelle Stéréo
4 x USB 3.0
1 x DisplayPort Femelle
1 x USB 3.1 Type C Femelle

CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES

 
Couleur
Noir
Dimensions
321,5 mm x 423 mm x 39,7 mm
Poids
4,2 kg

Comme nous pouvons le constater sur la fiche technique, le pc portable Acer Predator 17 G9-793-74EJ promet une configuration plutôt haut de gamme avec une vraie GeForce GTX 1070 de chez NVidia, et pas un modèle estampillé M qu’on a l’habitude de retrouver dans beaucoup de configurations de portables gaming, ce qui explique donc pourquoi cet Acer Predator est estampillé VR Ready !

Plutôt généreux en connecteurs, les 4 USB 3.0 et les port HDMI et RJ45 permettent de profiter de toute la puissance du pc et sans concession, permettant ainsi d’y connecter un écran WHQD voir 4K lorsque l’on est à son domicile.

 

3. Performances et autonomie

Le pc portable Acer Predator 17 G9-793-74EJ embarque un processeur Intel i7 6700HQ cadencé à 2.6GHz et 16Go de RAM ce qui est digne d’une configuration gaming actuelle et très suffisant pour faire tourner n’importe quelle application. Doté d’un SSD, il s’assure ainsi un démarrage ultra rapide et comme je vous avais proposé dans les colonnes du blog le test d’un SSD Samsung 850 Pro, je me suis dit qu’il serait bon de comparer les performances de ce dernier à celles du SSD embarqué dans le Acer Predator 17 G9-793-74EJ.

Le constructeur s’est tourné vers des disques SSD LiteOn pour ses pc portables gaming, avec sur le papier une vitesse de lecture correcte mais où l’écriture rame un peu comparé à la concurrence. Pour être exact, le SSD livré dans mon Acer Predator est un LiteOn CV1-8B128, un disque de 128Go de capacité au format M.2 avec une vitesse de lecture de 520 Mbit/s et d’écriture de 160 Mbit/s selon le constructeur.

Je me suis donc amusé à le confronter au protocole de test sous CrystalDiskMarck que j’utilise habituellement pour ce genre de matériel et voilà ce qu’il en ressort :

 

 

Les spécifications annoncées par le constructeur sont plutôt exactes et on peut remarquer que le LiteOn CV1-8B128 est largement à la hauteur des SSD Samsung en lecture. En revanche, en écriture c’est une autre paire de manche avec un débit qui plafonne à « seulement » 180 Mbit/s, un peu dommage pour un pc portable gaming de ne pas avoir misé sur un SSD un peu plus haut de gamme.

Pour avoir une idée un peu plus précise de ce qu’il peut encaisser, j’ai ressorti mon petit 3DMark et j’ai soumis le pc portable et sa carte graphique NVidia GTX 1070 à toute une batterie de tests.

Comme vous pouvez le voir, le portable s’en sort plutôt bien dans la plupart des tests mais chute sur les tests Fire Strike Extreme et Ultra. Il faut préciser que ces 2 tests sont normalement réservés à des pc fixes multi-gpu prévu pour balancer de la 4K… 

En jeu, le Acer Predator 17 G9-793-74EJ encaisse sans sourciller n’importe quel jeu récent en qualité ultra et dans la résolution maximale permise par l’écran (Full HD). Que ce soit Rainbow Six Siege (avec pack de textures Ultra HD), Call of Duty Infinite Warfare ou encore Overwatch, le jeu est fluide, il n’y a aucune saccade et les graphismes sont magnifiques. C’est là que l’on voit que l’on est bien sur un modèle GTX 1070 standard offrant ainsi toute la puissance du chipset graphique et non pas sur un modèle GTX 1070M réservé aux laptops habituellement. Le refroidissement du pc fait un peu de bruit cela dit mais est vraiment efficace car le pc ne monte pas trop en température même en pleine session de jeu. Cette prouesse est probablement dû à la trouvaille ingénieuse du constructeur avec son Predator Frostcore.

Le Predator Frostcore est un périphérique de la taille d’un lecteur de dvd de pc portable et contient un ventilateur. Pour l’insérer dans le portable, on doit d’abord déverrouiller le lecteur de dvd et le retirer pour laisser la place au Predator Frostcore qui une fois en place sera alimenté par une connectique SATA et pourra alors aspirer l’air frais sur le coté du pc pour le propulser à l’intérieur, là où ça chauffe le plus !

Cela permet d’avoir un refroidissement optimal pendant les sessions gaming sans pour autant devoir se passer totalement d’un lecteur de dvd ou d’être obligé d’en acheter un externe.

Comme vous l’avez surement remarqué sur la fiche technique, le constructeur indique un système sonore constitué de 4 hauts parleurs + 1 caisson de basse avec une petite marque Dolby Audio juste au dessus du clavier. Comme d’ordinaire le son émis par les pc portable n’est jamais de très bonne qualité, j’étais un peu sceptique… Alors j’ai regardé un peu plus en détail et lorsque l’on retourne l’ordinateur, on tombe nez à nez avec un subwoofer !

Les 4 hauts parleurs sont situés dans les coins gauche et droite, 2 de chaque coté à l’avant de l’ordinateur. 

La qualité est vraiment très bonne même quand on pousse un peu le son, les basses sont bien présentes mais n’écrasent pas le reste de la bande audio. Confirmation avec la vidéo de démonstration du son Dolby :

Même la spacialisation du son est bien retranscrite ! Du coup, j’ai redécouvert certaines bandes annonces de films que j’avais regardé dernièrement avec un casque et c’est assez plaisant. 

 

4. Quelques ombres au tableau

Mais malheureusement, même sur un pc portable de ce niveau tout n’est pas parfait loin de là.

Tout d’abord, la première déception c’est la taille du SSD fourni car aujourd’hui on nous (sur)vends les SSDs pour le monde du gaming pour notamment l’accélération du chargement des jeux et il est clair qu’Acer a ici loupé sa cible avec un SSD de seulement 128Go. Une petite explication s’impose pour ceux qui ne seraient pas forcément férus d’informatique… Un SSD de 128Go une fois formaté propose environ 120Go d’espace utile disponible, une installation de Windows 10 vierge de tout logiciel va déjà en utiliser environ 30Go ce qui ne nous laisse plus que 90Go pour installer nos logiciels habituels et nos jeux qui prennent aujourd’hui pas loin de 50Go chacun pour les plus gourmands en espace disque. Alors oui, j’en entends certains qui disent qu’on a un HDD de 1To pour ça… Sachez que quand on a goûté au SSD pour faire fonctionner ses jeux favoris, on voit tout de suite la différence et on ne peut plus s’en passer ! Je pense que si je vois passer une offre intéressante sur un SSD de grosse capacité (512Go ou plus), j’en profiterais pour changer celui qui est fourni avec le Acer Predator 17 G9-793-74EJ, l’inconvénient étant le format M.2, plus onéreux qu’un format 2.5 pouces standard.

Deuxième point qui pose problème mais qui est dû à la taille de l’écran et à la configuration embarquée : le poids. Le pc affiche un poids de 4,2 kg sur la balance ce qui est énorme ! Sans compter qu’il faut bien souvent ajouter le poids du bloc d’alimentation qui pèse presque 1,5 kg, la souris et le casque que tout gamer voudra embarquer dans son sac, on s’approche dangereusement des 6 à 8 kg de matos ! A ce niveau là, on ne parle plus vraiment d’un ordinateur portable mais plutôt d’un ordinateur transportable mais pour un écran et une configuration de cette taille, il fallait s’y attendre et Acer n’aurait de toute façon pas pu faire beaucoup moins lourd. Tant qu’on parle de l’écran, se limiter à du Full HD est clairement dommage compte tenu de la configuration embarquée, une dalle IPS en WHQD (2560 x 1440) aurait été parfaite.

Le bruit en cours d’utilisation est également un point qu’il faut souligner. Sur les jeux les plus gourmands demandant le plus de puissance de la part de la carte graphique, le Acer Predator 17 n’est pas un modèle de silence loin de là et je recommande soit de monter le son du pc pour couvrir le bruit de soufflerie du système de refroidissement, soit de vous équiper d’un casque à réduction du bruit ambiant.

Pour finir, pour un tarif d’environ 2000 euros on aurait aimé que le sac à dos de transport Acer Predator soit inclus dans le carton ce qui n’est malheureusement pas le cas. Le sac à dos dédié aux pc portable Acer Predator existe pourtant bel et bien et est disponible chez certains revendeurs à des prix très variables.

 

5. Conclusion

Avec quelques petits points à améliorer, le pc portable gaming Acer Predator 17 G9-793-74EJ est tout de même un excellent produit. Sa grande capacité de stockage, sa carte graphique puissante et le son Dolby qu’il est capable de diffuser font de lui un sérieux candidat sur le marché des pc portables gaming. Son design est un quasi faute qui reprend tous les codes de la marque Predator et du monde du gaming d’aujourd’hui. J’ai particulièrement apprécié la connectivité généreuse et sa puissance de calcul qui font de lui un excellent produit pour jouer.

Vous pouvez retrouver le Acer Predator 17 G9-793-74EJ sur Amazon à un tarif conseillé avoisinant les 2000e. Et pour ceux qui souhaiteraient une plus grande mobilité, sachez qu’une version 15 pouces existe avec une configuration matérielle identique.

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J’ai reçu il y a quelques semaines un colis assez exceptionnel de la part de Thrustmaster, contenant l’un des meilleurs joysticks du marché.

Je parle bien entendu du Thrustmaster HOTAS Warthog, un combo poignée de gaz + joystick au réalisme absolument hallucinant ! C’est parti pour la review !

 

1. Packaging

Comme à son habitude et comme pour l’ensemble de ses produits, Thrustmaster à soigné l’emballage afin que le produit arrive intact et en parfait état à bon port. Le HOTAS Warthog est livré dans un carton plutôt imposant dans lequel il est parfaitement calé par le polystyrène. Une fois extrait de ce dernier, nous découvrons le contenu de la boite à savoir :

– le HOTAS Warthog Flight Stick livré en 2 partie (socle + joystick)

– le HOTAS Warthog Dual Throttles

– une notice explicative

 

Rien de plus, rien de moins mais l’essentiel est là. A l’heure du tout dématérialisé, on se demande encore pourquoi les constructeurs fournissent des notices papier alors qu’ils tendent peu à peu à faire disparaitre les CD/DVD d’installation de leurs cartons mais bon, ce n’est qu’un détail. Le package sent bon le produit haut de gamme et ça, ça me plait.

 

2.Design et finitions

Le Thrustmaster HOTAS Warthog se veut comme une réplique à l’identique des commandes du célèbre avion de l’US Air Force : l’A-10C.

 Thrustmaster HOTAS Warthog : A10-C Replica

Soyons précis, les seuls éléments reproduits à l’identique sont l’intégralité du joystick et le panneau de commandes que l’on trouve sur la poignée de gaz. Le reste a été créé de tout pièce par le constructeur qui propose un produit très bien fini et tout en métal. Qui dit réplique dit métal, beaucoup de métal. Sur le socle bien entendu, pour faire du poids, avoir un périphérique stable et solide mais également sur le joystick en lui même ainsi que sur la poignée de gaz.

Les seuls éléments plastiques sont certains boutons qui sont également en plastique sur les commandes de l’A-10C. Nous sommes donc face à un produit massif, très réaliste et qui en jette un max. Le joystick et la poignée des gaz sont tous deux posés chacun sur une grande plaque de métal épaisse qui leur donne une excellente stabilité. Pour ceux qui souhaiteraient se créer un cockpit à demeure dans leur gaming room, chaque plaque est percée aux 4 coins pour leur permettre d’être boulonnées sur un support quelconque.

La peinture noire recouvre presque la totalité des éléments à l’exception des boutons, d’une partie du socle du joystick en alu brossé du plus bel effet. Des inscriptions gris clair et blanches ont été sérigraphiées à proximité des différents bouton pour indiquer à quoi ils correspondent. Un peu futile sachant que vous pouvez les configurer comme bon vous semble mais cela donne un peu plus de réalisme. Une petite plaque avec un numéro est rivetée sur le socle de la manette des gaz, preuve que le joystick n’a pas dû être fabriqué à beaucoup d’exemplaires…

La manette des gaz est composée de 2 parties distinctes que l’on peut bloquer ensemble ou laisser indépendantes si le besoin s’en fait ressentir. De plus, toutes les inscriptions blanches du socle s’illuminent en vert dès que l’on branche le cable USB au PC. Pratique la nuit quand on joue dans le noir pour repérer les boutons, cette lumière verte donne encore plus une impression de réalisme car on se croirait réellement dans le cockpit d’un avion !

Sur le joystick, on retrouve 9 boutons :

. 1 x chapeau « point de vue » 8 directions

. 2 x chapeaux 8 directions

. 1 x chapeau 4 directions avec bouton poussoir

. 1 x double gâchette en métal

. 2 x boutons poussoir

. 2 x boutons poussoir petit-doigt

Et pas moins de 20 boutons sur la manette des gaz !

. 1 x Molette TRIM

. 2 x boutons poussoir

. 5 x interrupteurs 2 positions (2 permanents)

. 2 x interrupteurs 3 positions (1 momentané + 2 permanents)

. 2 x interrupteurs 3 positions (3 permanents)

. 1 x chapeau souris avec bouton poussoir et capteur magnétique 3D (Hall Effect)

. 1 x chapeau 8 directions

. 1 x chapeau 4 directions avec bouton poussoir

. 1 x bouton poussoir

. 1 x interrupteur 3 positions (2 momentanés + 1 permanent)

. 2 x interrupteurs 3 positions (3 permanents)

. 1 x interrupteur 3 positions (1 momentané + 2 permanents)

Clairement, cela fait énormément de boutons à mémoriser mais ce n’est pas forcément pire que d’avoir autant de raccourcis clavier. En tout cas, je pense que vous l’aurez compris, le Thrustmaster HOTAS Warthog c’est du lourd, du très lourd et c’est d’une finition assez remarquable. Voyons maintenant comment tout ceci se paramètre.

 

3. Installation et configuration

Le joystick est constitué de 2 parties, le manche et le socle, qui s’imbriquent et restent solidaires grâce à un bague que l’on vient visser à la base du manche. Le montage s’effectue très facilement en 2 minutes et la bague de serrage maintenant fermement le manche sur le socle. La connexion se fait au moyen de 2 cables USB, un pour la manette des gaz et un pour le joystick.

Pour que le joystick soit correctement calibré et les différentes touches bien configurées, il faut impérativement installer le logiciel TARGET (Thrustmaster Advanced pRogramming Graphical EdiTor). Cet outil va non seulement vous permettre de réaliser tout le paramétrage du HOTAS, mais il va également vous donner la possibilité d’importer et d’exporter des profils de configuration ! Vous vous dites surement que c’est pas forcément fou, mais pour ceux qui ont déjà joué à Elite Dangerous, vous savez combien c’est long et fastidieux d’attribuer tous les raccourcis nécessaires…

Thrustmaster HOTAS Warthog : le logiciel TARGET

Et pour nous faciliter la tâche, Thrustmaster propose même sur son site quelques profils déjà tout prêts pour les jeux suivants : 

– Elite Dangerous

– FS X Combat Pilot Series

– Star Citizen

– Il2 Stalingrad

– War Thunder

– World of Warplanes

Thrustmaster HOTAS Warthog : le logiciel TARGET

Avec ces 6 profils, Thrustmaster balaie la quasi totalité des jeux de simulation aérienne qui prennent en charge le HOTAS Warthog car même en cherchant bien, il faut bien se rendre à l’évidence, il n’y a que très peu de simulation de vol sur PC comme sur console de jeu. Dans le cadre de mes tests, j’ai téléchargé et importé War Thunder / Star Citizen / Elite Dangerous et à un ou deux détails près, ces configurations se révèlent plutôt bien pensées. Pour Elite Dangerous qui demande énormément de temps pour attribuer tous les raccourcis, l’importation du fichier de configuration est alors quasiment indispensable ! Du coup, le temps de prendre connaissance des différents raccourcis et d’en réattribuer certains, j’étais près à voler en 15 à 20 minutes.

Pour War Thunder ce fut vraiment très simple puisque je n’ai rien eu à faire à part déclencher le logiciel TARGET et à faire les configurations dans le jeu.

J’ai voulu configurer le HOTAS pour Battlefield 4 afin de pouvoir piloter les avions et les hélicoptères avec beaucoup plus de facilité. Malheureusement, pas de fichier tout fait et il a donc fallu que je mette les mains dans le cambouis avant de pouvoir décoller. Quand on a pas l’habitude, TARGET demande un peu de temps pour être maitrisé avec quelques subtilités de configuration. Mais Internet est mon ami, et à force d’acharnement j’ai fini par réussir à faire décoller l’hélicoptère et à le faire voler. Cela m’a tout de même occupé une bonne partie d’un dimanche matin mais les sensations de vol en valaient la peine !

 

4. Sensations en jeu

a. War Thunder

War Thunder est un jeu comme World of Tank mais avec des avions de la Seconde Guerre Mondiale. Pas ce qu’il y a de plus manoeuvrant mais avec le HOTAS, c’est juste l’éclate. On se fait très vite aux commandes et le rase motte devient tout de suite plus facile, comme se sortir du pétrin quand on a un ennemi aux fesses qui veut transformer notre carlingue en passoire. J’ai testé le jeu à la souris et au clavier et je me demande comment c’est possible de jouer sans joystick en fait…

b. Battelfield 4

Ah hélicoptère mon amour. Alors pour BF4, jouer à la souris et au clavier ça se fait assez bien même si parfois c’est un peu approximatif quand on slalome entre les immeubles avec un missile STINGER au cul mais bon… Du coup, j’ai passé un peu de temps à configurer le HOTAS car j’avais envie de voir si cela faisait une réelle différence. Et bien le résultat est sans appel : c’est de la balle. Alors bien sûr, il faut sacrifier un peu de temps de jeu afin de trouver la bonne configuration qui fonctionne mais une fois que c’est fait c’est que du bonheur et notre espérance de vie en vol augmente drastiquement. Il est beaucoup plus facile d’esquiver les missiles ou de faire du rase motte avec le joystick plutôt avec les flèches du clavier ou bien la souris. Bref, j’arrive plus à jouer à BF4 sans avoir le HOTAS prêt à faire feu quand je monte dans un avion !

c. Elite Dangerous

Alors là… Je dois dire que Thrustmaster m’a fait redécouvrir le jeu. Sans rire, je me souviens de mes débuts sur Elite Dangerous lorsque je galérais à trouver les raccourcis (parce que j’avais zappé quelle fonction était attribuée à quelle touche) et que mon vaisseau était quelque peu livré à lui même à certains moments… Et bien avec la HOTAS c’est une toute autre expérience. Si on prends le temps d’adapter la configuration toute prête fournie par Thrustmaster pour l’adapter parfaitement à ses besoins, le jeu devient tout de suite beaucoup plus agréable et se balader dans l’espace mais également dans l’interface du vaisseau est presque facile. Quelques petites choses tout de même restent un peu pénibles mais c’est inhérent au jeu, pas au joystick.

d. Ace Combat Assault Horizon

Pour Ace Combat, clairement le HOTAS ne change rien. Le jeu est moisi de base et un joystick de la mort n’y change rien. J’ai passé 30 minutes a essayer de descendre un avion avant de ragequit tellement le jeu est imprécis et avantagé par rapport à nous (oui, les avions ennemis font du demi tour frein à main… normal…).

e. Star Citizen

Je n’ai malheureusement pas encore eu le temps de me pencher sur le cas de Star Citizen faute de temps. Le jeu a l’air assez fou et si c’est comme pour Elite Dangerous, je ne peux qu’imaginer la plus-value lors du pilotage des vaisseaux spatiaux. Promis, dès que j’ai testé le jeu je vous ferais part de mes impressions (et cela ne saurait tarder vu qu’une certaine Elisa m’a dit que c’était de la bombe ce jeu avec le HOTAS !).

 

5. Conclusion

Avec une conception et une réalisation absolument parfaites, une configuration ultra poussée lui permettant de s’adapter à tous les jeux possibles et imaginables de simulation de vol (mais pas que) et une prise en main intuitive, le Thrustmaster HOTAS Warthog est actuellement sans conteste le meilleur joystick disponible sur le marché. Vous l’aurez surement compris au fil de mon test, je suis absolument conquis par ce joystick qui a complètement changé l’expérience que j’avais jusqu’alors sur certains jeux.

Le tableau n’est toutefois pas complètement rose. En effet, le Thrustmaster HOTAS Warthog est plutôt encombrant et par conséquent, si pour vous la simulation de vol est occasionnelle, je vous conseille de conserver le carton pour pouvoir ranger le périphérique dedans lorsque vous ne vous en servez pas et que votre bureau est un peu petit. Autre point a soulever : la configuration des différentes touches qui peut se révéler fastidieuse si vous décidez de ne pas utiliser les fichiers de configuration fournis par le constructeur pour certains jeux (ou si il n’y a pas de fichier de configuration pour le jeu en question).

Mais c’est plutôt un produit qui frise l’excellence et cela a un prix : 449€ sur le site officiel du constructeur, ce qui ne le met pas à portée de toutes les bourses. Une solution existe néanmoins : vous pouvez acquérir le joystick et la poignée de gaz séparément et ainsi étaler la douloureuse.

Un grand merci à Thrustmaster qui m’a permit de réaliser ce test !

 

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J’ai eu l’occasion de tester plusieurs accessoires de l’écosystème racing de Thrustmaster et après avoir passé le volant T150 Ferrari Edition au grill, c’est au tour du volant TMX … de passer à la moulinette.

1. Packaging

A la réception du carton, ma première impression a été de me dire « oh oh… y’a eu une erreur d’expédition » car le carton du T150 et celui du TMX sont exactement de la même taille ! Au niveau de l’emballage, c’est une fois de plus très sérieux, avec un carton de protection épais et un produit solidement calé à l’intérieur, aucun risque que le volant arrive abimé.

Une fois ouvert, le carton d’emballage dévoile le carton du volant TMX, là encore d’une taille identique à celui du T150 mais aux couleurs de la Xbox One, la console de Microsoft.

Thrustmaster TMX Force Feedback : un carton imposant

Pour le contenu, pas de surprise puisque l’on retrouve exactement les mêmes accessoires que pour le T150 à savoir :

– le volant TMX

– la pince de serrage et sa vis

– le pédalier

– une notice succinte

Comme vous pouvez le voir, pour l’instant le TMX s’annonce comme une copie conforme du T150 à la seule différence qu’il est compatible PC et Xbox One.

 

2. Design et conception

Le TMX reprend les mêmes codes que le T150 avec du plastique noir de bonne qualité. On retrouve les 2 palettes métal derrière le volant d’un diamètre de 28cm pour le changement de vitesse.

Thrustmaster TMX Force Feedback : un T150 version Xbox One

Une petite différence au niveau des boutons tout de même, le TMX étant compatible PC et Xbox One, il intègre donc les boutons relatifs à la console à savoir le bouton Home, le bouton Start et les boutons LB / RB / A / B / X / Y.

Thrustmaster TMX Force Feedback : les boutons Xbox

Le volant dispose également de grips en caoutchouc noir, plus sobre que le rouge ou le bleu du T150, afin d’avoir une bonne prise en main lors de la conduite.

Le pédalier est tout en plastique et ne dispose que de 2 pédales, l’une pour accélérer et l’autre pour freiner. Il faudra vous passer de la pédale d’embrayage donc.

Thrustmaster TMX Force Feedback : le pédalier double pédale

Pour plus d’informations techniques, je vous encourage à jeter un oeil sur la page officiel du produit.

 

3. Installation et configuration

Sur PC, une fois les derniers drivers téléchargés et installés, le volant est immédiatement reconnu et permet d’attaquer l’asphalte dans Assetto Corsa ou PCars rapidement moyennant un petit passage par la case réglages. En effet, le volant n’est pas reconnu comme un T150 mais bien comme un volant distinct et donc les paramètres sont à configurer !

 Thrustmaster TMX Force Feedback : la configuration sur DiRT

Sur Xbox One, la mise en route est la simplicité même. On branche, on ajuste la sensibilité et en voiture Simone ! Le récent DiRT (photo ci dessous) dispose de quelques options de réglages assez poussées. En revanche, sur un jeu un peu plus ancien comme Forza Horizon 2 il faudra se passer des réglages, mais cela fonctionne assez bien au volant une fois le temps d’adaptation passé. Gros point noir : le cable USB est bien trop court par rapport à ce que l’on peu attendre d’un volant console. Cela nous oblige à jouer à moins de 2m de la Xbox (donc si on a un grand écran, on a quasiment le nez dessus) ou à ajouter une rallonge USB (ce que j’ai fais et qui fonctionne parfaitement).

 

 

4. Utilisation et sensations

J’ai vite retrouvé les mêmes sensations sur PC qu’avec le volant Thrustmaster T150. La conduite sur circuit est encore une fois un réel plaisir avec ce TMX Force Feedback sans pour autant que l’on soit un pilote chevronné et les sensations sont très rapidement au rendez vous dès les premiers virages. 

L’ensemble des boutons et commandes sont a portée de pouce ce qui permet de garder le volant bien en main lorsque l’on action l’un des boutons, on évitera ainsi les sorties de route malencontreuses !

Thrustmaster TMX Force Feedback : des boutons a portée de doigt

Le pédalier 2 pédales est un poil léger et risque de glisser un peu en fonction du sol sur lequel il est posé. Il est important de noter que le volant Thrustmaster TMX Force Feedback est compatible avec les accessoires de la même marque comme le pédalier Thrustmaster T3PA ou le levier de vitesse Thrustmaster TH8A que j’ai en ma possession et qui améliorent grandement l’expérience de jeu.

Bref, ce volant Thrustmaster TMX Force Feedback confirme la bonne impression que j’ai eu avec le T150 de la même marque mais ayant pu tester le TMX sur console, je vous conseille vivement de trouver un support spécial ou un siège adapté (un siège rSeat par exemple).

 

5. Conclusion

Le volant Thrustmaster TMX Force Feedback s’affiche clairement comme la version Xbox One du T150 en reprenant à peu de choses près son design mais également sa mécanique et son emballage. Les sensations sont très vite au rendez vous pour peu qu’on passe par la case réglages sur PC. Sur Xbox One c’est la simplicité même puisqu’il n’y a presque rien à configurer, tout est déjà prêt ! La conception du volant vous permettra de passer de longues heures à conduire en tout sérénité.

Affiché à un tarif autour de 200€ sur Amazon ou sur le site officiel Thrustmaster, on aurait apprécié un câble un peu plus long.

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Début mars, je vous avais parlé de mon SSD Samsung au format M.2 : le 950 Pro. Aujourd’hui, je vais vous présenter un autre SSD de la même marque, beaucoup plus abordable au niveau tarif : le 850 Pro en version 512Go !

1. Packaging

Comme la plupart des SSD Samsung, le 850 Pro ne déroge pas à la règle et est livré dans un emballage à peine plus gros que lui :

SSD Samsung 850 Pro : un package réduit

Qu’importe l’emballage du moment que le contenu est au niveau me direz vous, et je dis oui ! Parce qu’il faut savoir que pour faire jouer une garantie, l’emballage d’origine est bien souvent obligatoire lors du renvoi et qu’à force, ça prend une place monstre ! Le SSD est livré avec un guide de démarrage rapide que je n’ai même pas ouvert, à force on fini par savoir comment cela fonctionne.

SSD Samsung 850 Pro : un SSD petit mais costaud

SSD Samsung 850 Pro : un SSD petit mais costaud

 

2. Caractéristiques

Capacity* 128 GB, 256 GB, 512 GB, 1 TB (1,024 GB), 2 TB(2,048 GB)
Dimensions (W x H x D) 100 x 69.85 x 6.8 (mm)
Interface SATA 6 Gb/s (compatible with SATA 3 Gb/s and SATA 1.5 Gb/s)
Form factor 2.5 inch
NAND flash memory Samsung 3-core MEX controller
DRAM cache memory 256 MB (128 GB) or 512 MB (256 GB & 512 GB) or 1 GB (1 TB) LPDDR2 or 2 GB LPDDR3
Performance** Sequential Read Max. 550 MB/s
Sequential Write** Max. 520 MB/s (256 GB/512 GB/1 TB/2 TB)
Max. 470 MB/s (128 GB)
4KB Random Read (QD1) Max. 10,000 IOPS
4KB Random Write (QD1) Max. 36,000 IOPS
4KB Random Read (QD32) Max. 100,000 IOPS
4KB Random Write (QD32) Max. 90,000 IOPS
Weight Max. 66g (1 TB/2 TB)
Reliability MTBF : 2 million hours(125GB/256 GB/512 GB/1 TB), 1.5 Million Hours Reliability (2 GB)
TBW 128 / 256 GB : 150 TBW (Terabytes Written), 512 GB / 1 TB : 300 TBW (Terabytes Written)
Warranty 128GB/256GB : 10 Years or 150 TBW, 512GB/1TB/2TB : 10 Years or 300 TBW (Whichever comes first)

Retrouvez les caractéristiques complètes des 850 Pro sur le site officiel Samsung.

 

3. Installation

Pour mettre en place le Samsung 850 Pro dans votre boitier, vous aurez besoin d’un emplacement 2.5 pouces et d’un port SATA libres. Pour ma part, dans mon boitier In Win 909 les emplacements pour les disques au format 2.5 se situent au fond du boitier :

 SSD Samsung 850 Pro : mise en place dans le In Win 909

La mise en place du disque ne m’a pris que quelques minutes et je me suis un peu plus attardé sur le câblage, cable management oblige il fallait que cela soit propre !

SSD Samsung 850 Pro : mise en place dans le In Win 909

Le SSD a été immédiatement reconnu par Windows 10, rien à toucher dans le BIOS pour qu’il soit reconnu, vraiment très simple pour une mise en route et sans aucun accroc.

 

4. Environnement de test

Le test de ce SSD a été réalisé sur la configuration suivante :

– Processeur : Intel i7 5960x @ 3.0 GHz

– Carte mère : MSI X99A Godlike Gaming

– Mémoire vive : 4 x 8Go G.Skill Ripjaws 4 DDR4 3000MHz CL15

– OS : Microsoft Windows 10 64bits Professionnal Edition

Toutes les mesures de vitesses ont été réalisées à l’aide du logiciel Crystal Disk Mark. Comme vous pouvez le constater, la configuration de test n’a pas du tout changée depuis le test du 950 Pro ce qui va nous permettre d’avoir une vraie comparaison au niveau des performances.

 

5. Performances

Les performances annoncées par Samsung sont plutôt situées dans le haut du panier par rapport à ce qui se fait aujourd’hui parmi les SSD de ce format, performances confirmées lors de mes tests sous Crystal Disk Mark :

SSD Samsung 850 Pro : de très bonnes performances !

 Comparé à la gamme EVO du même constructeur, les débits sont légèrement supérieurs mais rien de fou :

SSD Samsung 850 Pro : comparaison entre gamme Pro et EVO !

SSD Samsung 850 Pro : comparaison entre gamme Pro et EVO !

6. Conclusion

Le SSD Samsung 850 Pro dans sa version 512Go est vraiment très véloce pour ce qui est de lancer des applications ou des jeux. Pour ma part, il accueille mon dossier Steam et je dois dire que ce soit pour le téléchargement des jeux, leur démarrage ou le temps de chargement en cours de jeu, c’est le jour et la nuit par rapport à un disque dur classique. Sa grosse capacité permet d’accueillir une quantité convenable de données et devrait vous mettre à l’abri du manque de place pendant quelques temps. Décliné en 128Go / 256Go / 512Go / 1To ou même 2To, il y en a pour toutes les bourses et tous les besoin avec un tarif qui s’échelonne de 85€ à un peu plus de 900€ sur Amazon.

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J’ai testé il y a quelques temps le levier de vitesse Thrustmaster TH8A et c’est aujourd’hui au pédalier T3PA du même constructeur de passer entre mes mains, ou plutôt sous mes semelles.

1. Packaging

Là encore, le carton est imposant et révèle un produit très bien calé et protégé.

Thrustmaster T3PA : un carton imposant !

L’emballage contient les éléments suivants :

– le pédalier T3PA

– la butée de la pédale de frein

– une clé Allen

– le mode d’emploi

Pas de fioriture mais le principal est là. Voyons maintenant la qualité du produit.

 

2. Design et qualité

Annoncé comme étant composé de métal à 90% (comme le levier de vitesse TH8A), en lisant les petites lignes on s’aperçoit rapidement que ce n’est pas la totalité du pédalier qui est concerné par cette proportion mais uniquement sa structure ! Pas de quoi être déçu car le plastique utilisé pour le bras des pédales et le socle du Thrustmaster T3PA est d’une excellente qualité et ne bougera pas même en cas d’utilisation intensive.

Thrustmaster T3PA : des matériaux haut de gamme !

Contrairement au pédalier du Thrustmaster T150 qui ne comportait que 2 pédales (accélération / freinage), le T3PA dispose de 3 pédales permettant ainsi l’utilisation du levier de vitesse déporté et donc l’embrayage sur les véhicules utilisés. Le plateau de chaque pédale est en métal donnant un look beaucoup moins plastique que le pédalier du T150 et ne s’usera donc pas de si tôt.

Thrustmaster T3PA : le métal est présent !

Vous pouvez démonter chaque plateau de pédale pour modifier leur angle de fixation avec la cale située en dessous pour adapter l’ensemble à votre guise. A noter que vous pouvez également remonter, redescendre ou décaler à gauche ou droite certaines des pédales !

Thrustmaster T3PA : des pédales ajustables

L’ensemble pèse assez lourd, gage d’une bonne stabilité une fois posé par terre et d’une excellente qualité.

 

3. Installation, Configuration et Utilisation

L’installation est ultra simple puisqu’il suffit de déconnecter le pédalier du volant pour connecter le Thrustmaster T3PA sur la prise dédiée. Ensuite, tout fonctionne parfaitement dès lors que la configuration dans les paramètres des jeux utilisés est correcte. Pour information, le pédalier est compatible toute plateforme du moment qu’il est connecté à un volant T-Series (T500 RS / T300 RS / T300 Ferrari GTE / T150 RS / TX Racing Wheel / Ferrari 458 Spider Racing Wheel).

Avoir 3 pédales avec en prime un levier de vitesse déporté permet d’avoir toutes les sensations d’une conduite réaliste, avec l’embrayage et le passage de vitesse comme si vous y étiez. Comme je vous l’indiquais dans le test du levier de vitesse TH8A, j’ai fais quelques tours de pistes sur le Nürburgring avec le combo TH8A et pédalier T3PA. Clairement, en réglant tout en manuel avec une configuration correcte des pédales (embrayage / frein / accélération), c’est un pur plaisir que de dévorer l’asphalte. On ressent de bonnes sensations et c’est comme si on était au volant d’une vraie voiture…

Pour rendre la pédale de frein plus réaliste, Thrustmaster fourni avec son pédalier une butée optionnelle que l’on est libre d’installer ou non.

Thrustmaster T3PA : la butée de pédale de frein !

Pour ma part, je l’ai mise en place et c’est une option vraiment très intéressante car elle donne un rendu beaucoup plus réel lorsque l’on enfonce le pied sur la pédale de frein, cette dernière offrant alors une vraie résistance !

4. Conclusion

Le Thrustmaster T3PA est une vraie réussite ! Le constructeur a su allier intelligemment le plastique et le métal pour créer un périphérique milieu / haut de gamme. J’ai beaucoup aimé le fait qu’on puisse personnaliser la configuration des pédales de frein en jouant sur leur inclinaison et en ayant la possibilité d’y ajouter une butée sur la pédale de frein. 

En jeu, c’est que du bonheur si l’on dispose également du levier de vitesse Thrustmaster TH8A, le T3PA devenant alors quasi indispensable !

Proposé à un tarif de 110€ sur le shop Thrustmaster ou à moins de 100€ sur Amazon, à ce prix là ce serait dommage de se priver des sensations procurées.

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Mon vieux Logitech G35 ayant fait son temps, je l’ai remplacé il y a quelques mois par un micro-casque d’une autre marque : un Plantronics RIG Surround 7.1. Après l’avoir éprouvé dans toutes les situations, voici mon avis, assez mitigé…

1. Packaging

Le packaging est à la hauteur de ce que l’on attend aujourd’hui d’un produit orienté gaming. Il est haut de gamme, tape à l’oeil et protège très bien le produit.

Plantronics RIG Surround : un emballage plein de promesses

A l’intérieur on découvre :

– le casque Plantronics RIG Surround

– un micro perche

– le mixer USB

Plantronics RIG Surround : Le casque solidement calé

Le contenu m’a quelque peu étonné car je ne m’attendais pas à avoir un micro indépendant du casque. De plus, le boitier de commande a tout de suite attiré mon attention par les diverses options qu’il propose et par le fait que ce soit une option qui n’est pas systématiquement livrée avec les micro-casques gaming, même parmi les plus haut de gamme.

 

2. Design et Qualité

Le Plantronics RIG Surround est constitué entièrement de plastique pour sa structure, noir et de très bonne qualité en apparence. L’arceau de tête est recouvert d’une protection en tissu, de type velours pour la partie en contact avec les cheveux, la partie supérieure de la protection étant un tissu en mailles polyester noir brillant plutôt classe que l’on retrouve également sur l’extérieur des oreillettes.

Plantronics RIG Surround : un casque design, confortable et de bonne qualité

Le coussin des oreillettes est recouvert de velours noir tandis que celui de l’oreillette en elle même est de couleur orange, tranchant avec le noir du reste du casque et lui donnant ainsi la touche de couleur chère aux périphériques gaming en général.

A l’arrière de l’oreillette gauche, on retrouve une prise jack dans laquelle vient s’insérer le micro perche. Pour ma part, je trouve ce choix de la part du constructeur assez discutable. En effet, je ne vois pas quelle est la plus-value de ce système sachant qu’aucun autre câble n’est livré en standard pour remplacer ce micro perche. On aurait pu imaginer avoir un câble pour l’utilisation sur PC (micro perche inclus) et un câble pour une utilisation dans la rue (avec un genre de kit piéton). Malheureusement, ce dernier n’est pas inclus de base et doit être acquis séparément… Si tant est qu’il existe. Dommage.

Plantronics RIG Surround : la connexion du micro perche

Le mixer USB est également tout en plastique noir. Il dispose d’une prise jack femelle pour connecter le casque, d’un câble avec prise jack (en rouge) pour connecter un smartphone et d’un câble USB pour le raccordement à l’ordinateur. On retrouve également tous les boutons nécessaires au contrôle des différents réglages dont je parlerais plus en détail un peu plus bas dans cet article.

Dans l’ensemble, la Plantronics RIG Surround semble de très bonne qualité et possède un design clairement orienté gaming. Cette bonne première impression va-t-elle se confirmer ?

 

3. Installation, configuration et utilisation

Le mixer dispose de tout un panel de commandes. Un interrupteur permet de basculer entre le mode PC et le mode téléphone, l’anneau cranté permet d’allumer, d’éteindre et de régler le volume du casque, 2 boutons permettent de gérer l’égaliseur et le Dolby et 2 potentiomètres sont dédiés au réglage du volume voix / global.

Plantronics RIG Surround : Le mixer audio !

L’installation n’est pas vraiment compliquée puisqu’il suffit de connecter le micro perche sur le mixer d’un coté et sur le casque de l’autre, puis de connecter le mixer au PC sur un port USB libre. Sous Windows 8 / 8.1 / 10, le Plantronics RIG Surround est détecté et installé automatiquement sans aucune action à faire de la part de l’utilisateur.

Le système n’installe non pas un périphérique audio mais bien 2 périphériques différents : le RIG Audio Chat et le RIG …. Cela permet d’avoir une gestion séparée de la partie audio générale (jeux, vidéos, musiques, etc…) et de la partie voix (Teamspeak, Skype, Mumble…) et c’est là que le mixer dévoile tout son intérêt. Ce dernier se révèle vraiment très pratique et permet d’avoir toutes les commandes du casque à portée de main. Les potentiomètres, un pour la partie PC et l’autre pour la partie appel, permettent de régler la part des 2 sources audio (générale et voix) et donc d’augmenter le volume du jeu par rapport à celui de la voix ou inversement, à la volée directement en utilisant le mixer.

Plantronics RIG Surround : le mixer audio, cette killer feature

Pas besoin donc de s’embêter à naviguer dans les menus pour effectuer ces réglages qui peuvent différer en fonction des jeux ou applications utilisées, à condition bien sûr que vous ayez pris le temps de bien régler les différentes cartes audio dans vos logiciels / jeux.

L’interrupteur de bascule entre le mode PC et le mode téléphone est vraiment top car il donne la possibilité de prendre un appel sans avoir rien à faire que basculer l’interrupteur et décrocher l’appel sur le téléphone. Si vous étiez déjà sur Skype ou Teamspeak, vos interlocuteurs ne vous entendront plus, et vous ne les entendrez plus non plus ! En revanche, vous continuerez à entendre la partie audio générale du PC que vous pourrez régler grâce au potentiomètre dédié.

Plantronics RIG Surround : la connexion de ce micro perche n'est pas la meilleure idée des concepteurs

J’ai eu un petit soucis avec une application tierce (Movescount de Suunto) qui coupait le son pendant 1 à 3s toutes les quelques dizaines de secondes… Assez pénible lorsque l’on regarde un film, que l’on joue ou que l’on écoute de la musique. Une fois le lancement au démarrage de l’ordinateur désactivé et le logiciel quitté, le casque s’est remis a fonctionner parfaitement !

Un gros point négatif en revanche, c’est la solidité de la connexion du micro perche. Après quelques mois d’utilisation, il m’arrive souvent d’avoir des coupures sons si je touche légèrement le micro et que cela le fait bouger dans la prise. Et bien que je dois souligner la compétence du SAV Plantronics qui m’en a renvoyé un en remplacement, le problème revient systématiquement. Cela est dû au type de connexion du micro perche sur le casque et c’est vraiment un gros défaut de conception. Un câble fixe n’aurait probablement pas occasionné ce type de problème.

Plantronics RIG Surround : la connexion de ce micro perche n'est pas la meilleure idée des concepteurs

Coté son, la qualité est au rendez vous avec un son propre et net même lorsque l’on pousse un peu le volume. Le bouton Dolby permet de monter encore d’un cran dans la qualité sonore particulièrement lorsque l’on regarde un film ou que l’on joue à un jeu qui est compatible. Le rendu est alors vraiment au top et c’est un réel plaisir d’avoir ce casque sur les oreilles. Le micro est lui aussi d’une bonne qualité, les interlocuteurs sur Teamspeak, Skype ou même téléphone m’ayant fait un bon retour de la qualité de ma voix lors de l’utilisation du Plantronics RIG Surround.

4. Conclusion

Avec un package d’excellente qualité, un produit design, bien fini, aux fonctionnalités nombreuses et très bien pensées, et avec une très bonne qualité sonore, ce Plantronics RIG Surround a tout pour être un excellent produit et être incontournable. Le mixer USB est pour moi la meilleure idée que Plantronics ai eu avec ce casque, permettant aux joueurs d’avoir tous les réglages à portée de la main et justifiant presque à lui seul l’achat du casque. Malheureusement, le micro perche et sa connexion beaucoup trop fragile pour ce type de périphérique vient entacher un si beau tableau et c’est vraiment dommage. 

Vous pouvez retrouver le Plantronics RIG Surround sur Amazon aux alentours de 80e.

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Nombreux sont ceux qui préfèrent jouer a des jeux de simulation automobile avec un volant plutôt qu’avec une manette par soucis de confort et de réalisme. Malheureusement, ce type d’accessoires se révèle en général assez onéreux compte tenu des technologies qu’ils embarquent. Mais comme il existe toujours une exception, je vais vous présenter un volant de chez Thrustmaster : le T150.

1. Packaging

Le carton du Thrustmaster T150 est plutôt imposant. A l’intérieur, on découvre les éléments suivants :

– le volant Thrustmaster T150

– le mécanisme de fixation du volant

– le pédalier

– les câbles de connexion

– une notice

Thrustmaster T150 : un gros carton pour protéger le volant

Tout est très bien emballé et donc protégé des chocs éventuels dus au transport ce qui donne un bon point au fabricant. Tout les accessoires sont donc là pour profiter au mieux de son périphérique.

 

2. Design et qualité 

L’ensemble du volant, palettes de changement de vitesse exceptés, est en plastique d’excellente facture bien loin des plastiques chinois ou des accessoires gaming bas de gamme. Au premier coup d’oeil, on peut tout de suite constater que les finitions du Thrustmaster T150 sont excellentes et qu’il dégage une impression de robustesse.

Thrustmaster T150 : un volant aux finitions excellentes

Dans sa livrée Ferrari, le Thrustmaster T150 se présente tout en noir, le grip du volant apportant la touche de rouge rappelant la célèbre écurie Italienne. Le logo chevalin est situé au centre du volant où l’on retrouve les différents boutons.

Thrustmaster T150 : la licence Ferrari à l'honneur

Le pédalier est également constitué du même plastique que le volant sans aucune partie métallique. Certains se poseront surement la question de la solidité si on appui dessus comme un sauvage pied au plancher mais qu’ils se rassurent, les pédales sont très solides ! Les talons reposent sur la plaque de maintient au sol imitant un antidérapant.

Thrustmaster T150 : le pédalier

Pour se fixer sur un support, le volant Thrustmaster est équipé d’une partie en plastique qui vient serrer la partie inférieure du support à l’aide d’une visse. J’ai trouvé pour ma part que ce système de fixation peut se révéler un peu light si on tire un peu sur le volant même involontairement mais dans l’ensemble le volant est plutôt bien maintenu.

Thrustmaster T150 : un système de fixation efficace

Dans son ensemble, je dirais donc que le Thrustmaster T150 Ferrari Edition est d’assez bonne qualité malgré une conception tout en plastique et qu’il retranscrit très bien l’identité de la marque sous laquelle il est licencié.

 

3. Caractéristiques

Bien évidemment, le T150 embarque un système de retour de force permettant de retranscrire assez fidèlement les détails de la course comme le relief, le freinage, les chocs ou bandes d’arrêt, la perte d’adhérence… Pour ceux qui trouveraient que le retour de force est un peu fort dans sa version standard, il est possible de le régler pour l’ajuster à votre envie.

Le volant fait 28cm de diamètre et dispose d’un ange de rotation là encore paramétrable pouvant couvrir de 270° à 1080°. Il doit sa précision à une lecture optique de 12 bits de résolution et est actionné par un mécanisme mixte à base de courroie et d’engrenages.

Egalement compatible PS3/PS4, le volant T150 dispose de tous les boutons que l’on peut retrouver d’ordinaire sur une manette (PS / Share / Options / Croix / Carré / Triangle / Rond / L1/L2 / R1/R2) avec en supplément 2 palettes séquentielles de grandes tailles et les 2 pédales.

Le firmware peut être mis à jour assez simplement grâce à l’utilitaire Thrustmaster qui sert également à modifier certains paramètres, la plupart des configurations étant à faire dans chaque jeu. Le volant se connecte en USB sur une console PS3 / PS4 ou un PC.

 

4. Utilisation et sensations

Je ne vais pas vous le cacher, au départ j’ai un peu galéré avec les configurations. D’une part, le logiciel n’a pas reconnu tout de suite le modèle du volant à cause d’un problème lors de l’installation des drivers. j’ai donc dû désinstaller complètement les drivers, redémarrer l’ordinateur, rebrancher le volant et patienter pendant l’installation jusqu’à ce qu’il reconnaisse enfin le T150. je n’incriminerais pas Thrustmaster, je pense simplement que je n’ai pas eu de bol. L’autre partie qui m’a posé problème c’est en jeu lors de la configuration du volant car je ne suis pas du tout familier de ce genre de périphérique. Le temps de trouver mes marques et je lançais la première partie sur Project Cars. (NDLR : depuis que j’ai testé le jeu pour la première fois, un profil dédié au T150 a été intégré à Project Cars).

Thrustmaster T150 : setup prêt à rouler !

Les sensations sont plutôt bien retranscrites. Une perte d’adhérence et le retour de force devient quasi inexistant, un petit tour dans l’herbe et le volant se met à frémir, une bosse ou un chaos dans la route et on ressent tout de suite un à-coup. C’est assez déroutant comme sensations au départ car lorsque l’on est habitué aux sensations procurées par une manette de console, ça change du tout au tout !

Conduire sur une route virtuelle avec le Thrustmaster T150 est vraiment une excellente expérience après seulement quelques heures de jeu et les sensations sont plutôt réalistes (bien que variant en fonction du jeu sur lequel vous êtes). Bien évidemment, les sensations ressenties ne sont pas à la hauteur de celles fournies par un T300 ou un TX Wheel mais compte tenu du tarif, c’est tout a fait normal et le T150 est vraiment d’un excellent rapport qualité prix.

Proposé à un tarif maximum de 200e, vous pouvez le trouver sur le site officiel de Thrustmaster (200e), sur Amazon (179e) ou encore LDLC (150e) et vous équiper sans vous ruiner pour prendre beaucoup plus de plaisir qu’avec une simple manette.

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Comme je possède une Xbox One depuis maintenant quelques mois et que je suis un adepte des sessions de jeux tardives, l’achat d’un casque était donc obligatoire. Après quelques recherches sur le net, je me suis dirigé vers un casque Turtle Beach XO Seven, spécialement conçu pour la Xbox One et les périphériques mobiles tels que smartphones ou tablettes. Voici mon test du matériel.

1 – Un package au top :

Dès l’ouverture du colis, j’ai entre les mains une boite d’emballage d’excellente qualité et à l’intérieur tout est bien calé pour éviter toute dégradation pendant le transport, le colis venant des Etats Unis, c’est un point important selon moi…

Le coffret contient les éléments suivants :

– le casque Turtle Beach XO Seven

– le câble du casque

– le câble spécial mobile avec micro intégré

– le micro

– l’adaptateur pour la manette

– la notice d’utilisation

N’ayant jamais eu de casque Turtle Beach auparavant, je ne peux donc comparer avec un autre produit de la marque. En tout état de cause, je suis agréablement surpris par la qualité du package. Passons maintenant en revue la qualité du matériel en lui même.

 

Turtle Beach XO Seven : Package

 

2 – Un matériel haut de gamme  :

Depuis sa réception il y a presque 3 mois, le casque a été utilisé de manière intensive, tous les jours. En effet, chaque jour il m’a accompagné sur le chemin du travail afin que je test sa qualité sonore mais également la qualité du mode kit main libre car oui, il peut servir à recevoir des appels grâce au câble dédié ! 

Le plastique qui compose sa structure est de très bonne qualité puisqu’il n’a pas pris une rayure depuis que je l’ai. L’arceau et les écouteurs sont correctement fixés les uns à aux autres ce qui n’est pas toujours le cas sur les différents casques que j’ai pu tester par le passé où bien souvent j’avais l’impression que j’allais décrocher une oreillette rien qu’en le manipulant.  En revanche, ce que gagne le casque en robustesse, il le perd malheureusement un petit peu en légèreté mais on ne peut pas tout avoir. L’arceau de tête et les écouteurs sont rembourrés avec de la mousse recouverte de cuir. Au niveau des oreillettes, cela permet d’être bien isolé du bruit ambiant, un excellent point lorsque l’on voyage en transport en commun. Le cuir de l’arceau est estampillé du nom de la marque « Turtle Beach » et quelques touches de vert « Xbox » rappellent que le casque est dédié à la nouvelle console de Microsoft.

Le micro est amovible. Cela permet de l’enlever lorsque vous souhaitez vous servir du casque sur votre smartphone. Il faudra alors connecter le bon câble ayant le micro intégré afin de pouvoir répondre aux éventuels appels reçus. Le micro est entièrement articulable afin de pouvoir l’orienter comme bon nous semble et surtout l’avoir tout près de la bouche. Les câbles fournis avec le casque sont tous les deux tressés pour éviter qu’ils ne s’emmêlent, aujourd’hui c’est pratiquement devenu quelque chose de standard que l’on retrouve également sur les souris orientées gaming ou certains claviers.

Turtle Beach XO Seven : Plaques amovibles

Le petit plus : la possibilité de retirer les coques des écouteurs pour pouvoir les remplacer par d’autres, aux couleurs ou motifs proposés sur le site internet de Turtle Beach (mais qu’on ne trouve malheureusement nul par ailleurs) ! Un petit détail qui ravira les geeks et fera peut être apparaître des versions personnalisées par les joueurs eux même pour peu qu’ils aient une petite fibre artistique.

 

3 – Une qualité audio excellente mais… :

J’ai utilisé le casque à 80% du temps pour écouter de la musique ou passer des appels, les 20% restant ayant été dédiés au jeu sur Xbox One. La qualité en écoute est excellente. Les graves et les aigus sont bons et même à forte puissance la qualité ne se dégrade pas outre mesure. Lors des appels téléphoniques, mon interlocuteur m’entendait parfaitement clair et de mon côté, les coussinets à isolation phonique m’ont permis de suivre des conversations même en milieu bruyant sans avoir à faire répéter la personne à l’autre bout du fil. L’isolation phonique des coussinets promise par le constructeur est au rendez vous, une fois sur la tête on n’entends (presque) plus l’environnement qui nous entoure ce qui est vraiment génial quand vous fréquentez les transports en commun au quotidien.

En jeu, même constat (le contraire aurait été étonnant). Le son est impeccable et le module qui permet de brancher le casque sur la manette de la Xbox One met à disposition les boutons de contrôle du volume, de coupe micro et les boutons pour amplifier le son du jeu ou celui du chat en fonction des situations. 

Turtle Beach XO Seven : Micro

Néanmoins, bien que je fasse l’éloge de sa qualité sonore, ce casque présente un défaut assez désagréable si on ne prends pas le temps de le résoudre. Lorsque l’on marche dans la rue, les articulations des oreillettes ont tendance à grincer ce qui est totalement insupportable même avec la musique en cours de lecture. Pour palier au problème, j’ai juste pris le temps de trouver la position sur ma tête qui fait que le casque ne grince presque plus du tout. Défaut de conception ou défaut non découvert lors des tests pré-commercialisation, je ne sais pas en revanche si je suis le seul à avoir rencontré ce problème.

 

4 – Conclusion :

Face à une qualité de fabrication très haut de gamme et une qualité audio remarquable en jeu, en conversation téléphonie ou bien en lecture de fichier multimédia, le seul petit défaut que j’ai pu soulever et je ne peux que recommander ce casque Turtle Beach XO Seven qui ravira les gamers aussi exigeants que moi. Mais qu’en est il du prix ? Suivant les magasins, vous pourrez trouver ce casque à un prix compris entre 150 et 200€. L’ayant payé 155€ frais de port compris (il venait des USA n’oubliez pas…) je trouve que c’est un prix justifié à la vue de la qualité proposée par le constructeur. Si vous ne trouvez pas un prix qui vous satisfasse en France, n’hésitez pas à vous tourner vers la plateforme US d’Amazon car même avec les frais de port et les taxes, il y a de fortes chances pour que le prix soit plus attractif.

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