Il y a quelques semaines, j’ai reçu un colis en provenance de l’Asie avec dedans un boitier NAS de chez Thecus : le N2310, un NAS 2 baies dont l’emballage vante la facilité et la rapidité de mise en oeuvre… C’est ce que nous allons voir !

1 – PACKAGING :

Le package du Thecus N2310 est basique et fourni tout ce qui est nécessaire à sa mise en route :

– Boitier NAS Thecus N2310

– Alimentation

– Cable RJ45

– Visserie

– CD d’installation

Rien de superflu donc mais tout est déjà là. Le boitier en lui même est plutôt classe, alliant le plastique noir mât et brillant pour lui donner un aspect sobre. Si le boîtier en lui même est joli, le plastique noir, et notamment le brillant a une fâcheuse tendance à attirer la poussière (comme tous les plastiques) mais sur le noir ça saute tout de suite aux yeux !

Thecus N2310 : les accessoires

Du côté des témoins lumineux, chaque élément vital est monitoré : la mise sous tension, les disques, le réseau et même le port USB3. Un bouton USB Copy est disponible pour effectuer une copie à la volée des données d’un périphérique branché en USB, pratique si l’on est pressé et qu’on ne souhaite pas forcément allumer le PC pour procéder à une sauvegarde. Voyons maintenant ce qu’il a dans le ventre…

 

2 – SPECIFICATIONS TECHNIQUES :

Processeur AMCC APM 86491 800Mhz
Mémoire vive 512Mo DDR3
Interface LAN (PCI-e) RJ-45×1: 10/100/1000 BASE-TX Auto MDI/MDI-X
Interface USB Ports USB 2.0 hôtes x1 (arrière x1)
Ports USB 3.0 hôtes x1(arrière x1)
Interface disque 2 x SATA en interne
Alimentation électrique 40W Adaptateur d’alimentation externe
Boutons Alimentation 
Bouton copie USB 
Redémarrage
Environnement de fonctionnement Température: 5 à 40 degrés Celsius
Humidité: 5% jusqu’à 80 %RH
Châssis Tour 2 baies
Taille (HxWxD) 135 x 97 x 207 (mm)/5.33 x 3.83 x 8.14 (in)
Poids 0.8(Kgs) / 1.8(lb)(NAS only)

Le Thecus N2310 est basé sur un processeur PPC soutenu par 512Mo de RAM. Le port RJ45 encaisse le Gigabit ce qui permet de s’affranchir d’éventuels problèmes de débits réseaux, la vitesse de transfert étant alors uniquement conditionnée par la vitesse de la source et la vitesse d’écriture des disques installés dans le NAS. Vous constaterez également que le boitier ne pèse que 800g à vide, ce qui en fait un appareil extrêmement léger !

Les spécifications logicielles sont impressionnantes :

RAID
Modes RAID RAID 0, 1 et JBOD
Reconstruction automatique Gérée
Échange à chaud (Hot-swap) Géré
Disque
Recherche mauvais blocs Gérée
Informations SMART Gérées
Test SMART Géré
Disques en itinérance Gestion de l’itinérance vers N2310
Réseau
Configuration IP statique, IP dynamique
Protocoles de transport TCP/IP, AppleTalk
Protocoles de fichiers SMB/CIFS, HTTP/HTTPS, FTP, AFP, NFS
TCP/IP IPV6 & IPV4
État du système
Gestion du Syslog Envoie le syslog à l’emplacement attribué
Agis comme un serveur syslog pour recevoir les informations de journal des autres systèmes.
Accès aux données
Systèmes d’exploitation clients gérés Windows XP et plus récent
Windows Server 2003 et plus récent
Mac OS X
Linux
FTP Serveur FTP intégré avec contrôle de la bande passante 
FTP sécurisé Serveur FTP sécurisé intégré avec contrôle de la bande passante 
Gestionnaire de téléchargement BT Transmission
Serveur d’impression (IPP) Gestion des imprimantes USB
Gestion d’imprimantes IPP variées
Les clients peuvent gérer les tâches d’impression (lister/supprimer) via l’interface utilisateur web
Sauvegarde des données
Client de sauvegarde incrémentielle des données Thecus Backup Utility
Data Burn Transforme les fichiers en image ISO et les graves sur disques optiques.
Transforme les fichiers en image ISO
Lecture depuis disque optique au NAS
Mac OS X Time Machine Compatible
Data Guard Sauvegarde à hors site/Sauvegarde locales 
Gestion de l’alimentation
Planification marche/arrêt Gérée
Gestion des volumes
Systèmes de fichiers EXT4
Support multimédia
Serveur iTunes Types de fichiers gérés: AAC, MP3 w/ID3 tag et WAV
Serveur Web Piczza!™ (via module) Types de fichiers gérés: GIF, JPG (JPEG), BMP, PNG 
Gestion de l’affichage des données Exif 
Gestion des diaporamas 
Serveur Media Prise en charge du protocole de streaming AV uPnP
Identification des utilisateurs
Utilisateurs locaux Gestion intégrée des comptes utilisateurs
Groupes locaux Gestion intégrée des groupes locaux
Système de fichiers
Type Journal (système de fichiers)
Langage Gestion Unicode
Autorisations (ACL) Lecture, écriture, permission d’accès pour utilisateurs individuels ou groupes pour le partage (sous répertoires et fichiers).
Quota utilisateurs Géré
Administration
Gestion multilingue basée sur une interface web Langages gérés: anglais, mandarin traditionnel, mandarin simplifié, japonais, coréen, français, allemand, italien, espagnol, polonais et portugais.  
Utilitaires (Intelligent NAS) Assistant Windows (Setup Wizard)
Systèmes compatibles: Windows XP et plus récent
Windows Server 2003 et plus récent
Assistant Mac OS X (Setup Wizard)
Notifications par e-mail Messages systèmes envoyés via e-mail à l’administrateur système
DDNS** Un enregistrement DDNS gratuit est pris en charge (ex. xxx.thecuslink.com) (How-to)
UPnP et Réacheminement de port Supporte le réglage automatique dans un environnement Intranet
Intelligent NAS Passez par l’URL définie pour l’installation automatique (install.thecus.com)
Applications mobiles (iOS/Android)
T-Dashboard™ Surveillance et administration en ligne
T-OnTheGo™ Envoi et réception de fichiers multimédias
Autres
Corbeille Géré
Disque Web Géré

Comme vous pouvez le voir, le N2310 dispose de toutes les fonctionnalités que l’on attend d’un NAS aujourd’hui et est compatible avec tous les systèmes existants que ce soit chez Apple, Linux ou Microsoft. Encore un excellent point. Passons maintenant à la mise en route et vérifions que le délai de 5min annoncé soit correct…

 

3 – MISE EN ROUTE :

Pour la mise en route c’est très simple. Il faut commencer par retirer les 2 tiroirs qui accueilleront les disques durs. Le tournevis est inutile pour cette étape, il est inutile d’ouvrir complètement le boitier pour accéder au disque (comme c’est le cas sur certains Synology par exemple) puisque les tiroirs sont accessibles en façade. Pour l’occasion, j’ai utilisé 2 disques Western Digital RED de 2To chacun que j’ai vissé dans les tiroirs avant de les remettre en place et de brancher le NAS. Comme indiqué sur le carton, cette étape ne m’a pris que 5 min (et encore j’ai pris mon temps).

Thecus N2310 : les tiroirs des disques durs

Pour procéder à l’initialisation du boitier, il suffit d’insérer le CD dans le lecteur et d’utiliser le logiciel fourni. Ce dernier va détecter automatiquement le NAS sur le réseau, procéder à la création du RAID et après avoir répondu à quelques questions, il lancera l’initialisation du système. Cette étape en revanche est beaucoup plus longue et dépendra de la capacité insérée dans le boitier. Par conséquent, armez vous de patience et allez vous faire un café !

Thecus N2310 : L'interface d'initialisation

Une fois l’initialisation du système terminée, le NAS est opérationnel et nous propose de nous connecter à l’administration.

 

4 – L’INTERFACE ET LE SYSTEME :

Pour ceux qui connaissent l’interface des Synology, sachez que l’interface Thecus en est encore assez loin malheureusement. Le design n’est pas aussi léché et l’interface ne supporte malheureusement pas l’ouverture de fenêtres multiples pour afficher divers points de configuration. Dommage, c’est assez pénible de devoir rouvrir les différentes fenêtres entre lesquelles on navigue. 

Thecus N2310 : L'interface d'administration

Le N2310 dispose d’un catalogue d’applications à installer officiel et les essentiels s’y trouvent :

– MySQL + PhpMyAdmin

– Plex (media server)

– Transmission (un client bitTorrent)

J’ai testé Plex chez mes parents et malheureusement, impossible de l’utiliser avec leur TV Samsung achetée il y a 2 ans… En effet, pour pouvoir utiliser Plex directement sur une TV, il faut impérativement que cette dernière soit « Smart » et que par conséquent, on puisse installer l’application Plex dessus. Dommage car le DNLA ne fonctionne pas de base.

C’est une bonne transition pour vous parler d’une fonctionnalité excellente qui devrait être beaucoup plus répandue chez la concurrence : la possibilité d’installer des packages non-officiels. En me promenant sur les forums de Thecus, j’ai pu trouver des dizaines de packages développés par la communauté et qui permettent d’ajouter de nombreuses nouvelles fonctionnalités, notamment la prise en charge du DLNA. Sachez que je ne détaillerais pas cette procédure car étant un peu pressé par le temps lors de l’installation, je n’ai malheureusement pas pris le temps de la noter.

Cette possibilité ouvre donc des champs quasi infinis au niveau des applications pour peu que l’on mette un peu les mains dans le cambouis !

Thecus N2310 : Catalogue d'applications

Bien que l’interface ne soit pas au niveau de certains concurrents directs, il faut reconnaître que le Thecus N2310 dispose de toutes les fonctionnalités indispensables ou presque et même de certains atouts qui lui sont propres.

 

5 – PERFORMANCES ET SAUVEGARDES :

Au niveau performances, le NAS s’en sort très bien et permet de transférer rapidement tous types de fichiers et de toutes les tailles comme le montre cette image (source : http://www.cowcotland.com/

Thecus N2310 : De bonnes performances

Son utilitaire, Thecus Backup Utility, permet de créer des tâches de sauvegardes planifiées ou non avec divers paramètres. Assez facile à paramétrer, l’outil permet notamment de sélectionner la périodicité (chaque jour, semaine ou mois), le type de sauvegarde (complète ou incrémentielle) et surtout d’exclure certains types de fichiers (par exemple les .tmp ou .bak). Une fois la tâche créée, le NAS effectuera une sauvegarde telle que planifiée et mettra vos données à l’abris automatiquement. Pratique si vous ne pensez jamais à faire vos sauvegardes !

Thecus N2310 : Thecus Backup Utility

 

6 – CONCLUSION :

Malgré un OS perfectible au niveau des fonctionnalités et de l’ergonomie, le Thecus N2310 est un NAS qui a tout d’un grand. Polyvalente, de conception soignée et proposant bon nombre d’applications officielles ou tierces, il vous permettra de mettre vos données à l’abris en quelques minutes et de manière totalement automatisée. Vous l’aurez compris, la seule grosse ombre au tableau de mon point de vue est actuellement l’OS, mais ce point peut être corrigé par simple mise à jour si l’éditeur en décide ainsi.

Son prix, d’ordinaire situé autour de 130€ (disques non compris), en font un boitier NAS d’un excellent rapport qualité prix. Le produit reçu a pour ma part trouvé sa place chez mes parents, preuve que j’ai une confiance totale en ce boitier. Si vous cherchez un NAS abordable, fiable et performant, je ne peux que vous conseiller ce modèle, a moins bien sûr que vous ne cherchiez une interface parfaite.

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Comme je possède une Xbox One depuis maintenant quelques mois et que je suis un adepte des sessions de jeux tardives, l’achat d’un casque était donc obligatoire. Après quelques recherches sur le net, je me suis dirigé vers un casque Turtle Beach XO Seven, spécialement conçu pour la Xbox One et les périphériques mobiles tels que smartphones ou tablettes. Voici mon test du matériel.

1 – Un package au top :

Dès l’ouverture du colis, j’ai entre les mains une boite d’emballage d’excellente qualité et à l’intérieur tout est bien calé pour éviter toute dégradation pendant le transport, le colis venant des Etats Unis, c’est un point important selon moi…

Le coffret contient les éléments suivants :

– le casque Turtle Beach XO Seven

– le câble du casque

– le câble spécial mobile avec micro intégré

– le micro

– l’adaptateur pour la manette

– la notice d’utilisation

N’ayant jamais eu de casque Turtle Beach auparavant, je ne peux donc comparer avec un autre produit de la marque. En tout état de cause, je suis agréablement surpris par la qualité du package. Passons maintenant en revue la qualité du matériel en lui même.

 

Turtle Beach XO Seven : Package

 

2 – Un matériel haut de gamme  :

Depuis sa réception il y a presque 3 mois, le casque a été utilisé de manière intensive, tous les jours. En effet, chaque jour il m’a accompagné sur le chemin du travail afin que je test sa qualité sonore mais également la qualité du mode kit main libre car oui, il peut servir à recevoir des appels grâce au câble dédié ! 

Le plastique qui compose sa structure est de très bonne qualité puisqu’il n’a pas pris une rayure depuis que je l’ai. L’arceau et les écouteurs sont correctement fixés les uns à aux autres ce qui n’est pas toujours le cas sur les différents casques que j’ai pu tester par le passé où bien souvent j’avais l’impression que j’allais décrocher une oreillette rien qu’en le manipulant.  En revanche, ce que gagne le casque en robustesse, il le perd malheureusement un petit peu en légèreté mais on ne peut pas tout avoir. L’arceau de tête et les écouteurs sont rembourrés avec de la mousse recouverte de cuir. Au niveau des oreillettes, cela permet d’être bien isolé du bruit ambiant, un excellent point lorsque l’on voyage en transport en commun. Le cuir de l’arceau est estampillé du nom de la marque « Turtle Beach » et quelques touches de vert « Xbox » rappellent que le casque est dédié à la nouvelle console de Microsoft.

Le micro est amovible. Cela permet de l’enlever lorsque vous souhaitez vous servir du casque sur votre smartphone. Il faudra alors connecter le bon câble ayant le micro intégré afin de pouvoir répondre aux éventuels appels reçus. Le micro est entièrement articulable afin de pouvoir l’orienter comme bon nous semble et surtout l’avoir tout près de la bouche. Les câbles fournis avec le casque sont tous les deux tressés pour éviter qu’ils ne s’emmêlent, aujourd’hui c’est pratiquement devenu quelque chose de standard que l’on retrouve également sur les souris orientées gaming ou certains claviers.

Turtle Beach XO Seven : Plaques amovibles

Le petit plus : la possibilité de retirer les coques des écouteurs pour pouvoir les remplacer par d’autres, aux couleurs ou motifs proposés sur le site internet de Turtle Beach (mais qu’on ne trouve malheureusement nul par ailleurs) ! Un petit détail qui ravira les geeks et fera peut être apparaître des versions personnalisées par les joueurs eux même pour peu qu’ils aient une petite fibre artistique.

 

3 – Une qualité audio excellente mais… :

J’ai utilisé le casque à 80% du temps pour écouter de la musique ou passer des appels, les 20% restant ayant été dédiés au jeu sur Xbox One. La qualité en écoute est excellente. Les graves et les aigus sont bons et même à forte puissance la qualité ne se dégrade pas outre mesure. Lors des appels téléphoniques, mon interlocuteur m’entendait parfaitement clair et de mon côté, les coussinets à isolation phonique m’ont permis de suivre des conversations même en milieu bruyant sans avoir à faire répéter la personne à l’autre bout du fil. L’isolation phonique des coussinets promise par le constructeur est au rendez vous, une fois sur la tête on n’entends (presque) plus l’environnement qui nous entoure ce qui est vraiment génial quand vous fréquentez les transports en commun au quotidien.

En jeu, même constat (le contraire aurait été étonnant). Le son est impeccable et le module qui permet de brancher le casque sur la manette de la Xbox One met à disposition les boutons de contrôle du volume, de coupe micro et les boutons pour amplifier le son du jeu ou celui du chat en fonction des situations. 

Turtle Beach XO Seven : Micro

Néanmoins, bien que je fasse l’éloge de sa qualité sonore, ce casque présente un défaut assez désagréable si on ne prends pas le temps de le résoudre. Lorsque l’on marche dans la rue, les articulations des oreillettes ont tendance à grincer ce qui est totalement insupportable même avec la musique en cours de lecture. Pour palier au problème, j’ai juste pris le temps de trouver la position sur ma tête qui fait que le casque ne grince presque plus du tout. Défaut de conception ou défaut non découvert lors des tests pré-commercialisation, je ne sais pas en revanche si je suis le seul à avoir rencontré ce problème.

 

4 – Conclusion :

Face à une qualité de fabrication très haut de gamme et une qualité audio remarquable en jeu, en conversation téléphonie ou bien en lecture de fichier multimédia, le seul petit défaut que j’ai pu soulever et je ne peux que recommander ce casque Turtle Beach XO Seven qui ravira les gamers aussi exigeants que moi. Mais qu’en est il du prix ? Suivant les magasins, vous pourrez trouver ce casque à un prix compris entre 150 et 200€. L’ayant payé 155€ frais de port compris (il venait des USA n’oubliez pas…) je trouve que c’est un prix justifié à la vue de la qualité proposée par le constructeur. Si vous ne trouvez pas un prix qui vous satisfasse en France, n’hésitez pas à vous tourner vers la plateforme US d’Amazon car même avec les frais de port et les taxes, il y a de fortes chances pour que le prix soit plus attractif.

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J’ai testé pour vous un dock pour tablettes et smartphones qui m’a été proposé par la boutique en ligne mobile fun (toutes les photos sont en bas de l’article).

C’est la marque Gumbite qui propose un dock « Docki » accompagné de son stylet « Styli ». Le dock est livré en kit et ne demande que quelques minutes à monter ce qui est un excellent point. Une fois monté, le dock ne présente pas de jeu dans sa structure et supporte sans problème une tablette 10.1 pouces comme ma Galaxy Note 10.1 par exemple.

L’encombrement sur le bureau n’est pas trop handicapant, voici ses dimensions exactes :

Largeur : 22.5 cm

Profondeur : 11 cm

Hauteur : 6 cm

Le docki permet d’accueillir une tablette 10.1 pouces à l’horizontale ou bien à la verticale avec un smartphone ou encore 2 smartphones côte à côte. L’espace à l’arrière du dock permet de ranger quelques accessoires de petite taille (câbles enroulés, chargeur…) ou bien de la monnaie, des clés, des tickets de métro…

 

La rainure permet de passer les câbles pour mettre les périphériques en charge lorsqu’on les pose sur le dock pour les mettre en charge ou les connecter à l’ordinateur. C’est ce qui fait la différence entre un support et un dock et c’est un bon point. Hélas, cet avantage est aussi un inconvénient… En effet, la prise du câble une fois connectée à notre périphérique ne permet pas à celui-ci de reposer sur le dock et il reste donc en équilibre appuyé sur le câble de charge :

Dock smartphone et tablette : problème de cable

Et le stylet dans tout ça ? Le Styli est agréable avec une bonne tenue en main. D’un diamètre plus important que celui du stylet livré avec ma Galaxy Note, je le préfère à ce dernier pour son confort d’utilisation.

La pointe n’est pas faite d’un plastique dur comme celui d’origine. Elle est constituée d’un caoutchouc très souple et est également beaucoup plus épaisse. Cette matière est assez déroutante lors de l’utilisation car on est bien loin du touché d’un stylet classique ou bien d’un stylo et on se rapproche de celui d’un pinceau assez raide.

Pour l’écriture comme la prise de note, il n’est pas aussi précis qu’un stylet à pointe raide et pose quelques problèmes d’adaptation à la sensation lors de l’écriture. En revanche, et bien que je ne sois pas un excellent dessinateur loin de là, je trouve qu’il est beaucoup plus pratique pour dessiner, colorier ou encore esquisser, et permet notamment plus de nuances de teintes et de densités sans avoir à les modifier dans le logiciel.

Bien que ce dock présente quelques points négatifs, je pense qu’il vaut son prix d’environ 20€ et rempli parfaitement son rôle, bien qu’aujourd’hui il me serve plus de support que de dock à proprement parler.

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Aujourd’hui, j’ai testé pour vous le répéteur Wifi NetGear WN3000RP…

Qu’est-ce qu’un répéteur wifi ?

C’est un équipement, qui une fois branché et connecté à votre réseau local, vous permet d’étendre la couverture sans fil de votre routeur wifi. Cela permet d’avoir une meilleure qualité du réseau wifi au sein d’un appartement ou d’une maison et de fournir dans des zones de l’habitation qui ne serait pas couvertes par votre box Internet. Ce type d’équipement est universel et fonctionne avec quasiment tous les routeurs wifi disponibles sur le marché.

Répéteur Wifi NetGear WN3000RP étend le réseau

 

Son design est sobre, tout blanc avec ses deux antennes wifi. On aurai pu peut être espérer un équipement un peu plus compact mais c’est de l’ordre du détail. Il est muni de 4 voyants (statut de la connexion avec la box, mise en tension on/off, statut de la connexion avec le PC et le voyant d’état du WPS), de 3 boutons (on/off, connexion WPS et Reset) et d’un port Ethernet.

Les LEDs permettent d’avoir une indication sur la puissance du signal wifi source, changeant de couleur en fonction de l’éloignement de la box internet. Plus vous serez loin ou vous capterez mal le signal, plus le voyant deviendra orange.

Mise en place

La mise en place est très simple ! A quelques détails prêts… Pour que le répéteur wifi fonctionne, il suffit de le brancher à une prise électrique dans une zone couverte par le wifi de votre box internet. Pas besoin de câble réseau supplémentaire, le répéteur wifi se connecte et se synchronise automatiquement au wifi de votre box internet. Une fois la synchronisation effectuée, vous pouvez constater que le signal wifi disponible est plus fort qu’auparavant et que vous captez maintenant le signal dans des zones plus éloignées de votre box internet.

Le répéteur wifi NetGear WN3000RP à l'oeuvre

 

Le boitier NetGear WN3000RP dispose également d’une prise réseau permettant de connecter un équipement directement sur le répéteur wifi, le faisant ainsi fonctionner en mode bridge. Vous aurez dans ce cas précis un débit identique à celui du wifi.

Répéteur wifi NetGear WN3000RP

 

Au niveau du débit, c’est tout a fait correct et cela permet d’approcher la vitesse maximale proposée par le module wifi de la box internet donc très peu de perte sur le signal original. Sur le screenshot qui suit, on peut clairement voir que l’extension de réseau a un signal plus fort que celui de la box internet :

Le répéteur NetGear WN3000PR en action

 

L’inconvénient de cet adaptateur, c’est l’obligation d’utiliser le mode WPS de votre box. Pas bien gênant pour la plupart des utilisateurs me direz-vous, mais pour ceux qui veulent garder le contrôle des équipements qui se connectent à leur réseau, ils devront réaliser une réservation par adresse MAC au niveau de leur box internet !

Parlons maintenant du prix de l’équipement : une trentaine d’euros ce qui est dans la moyenne de prix de ce type d’équipement ou même dans la moyenne de prix des équipements réseaux grand public (switch, plug CPL…) ce qui est tout à fait raisonnable !

Si vous cherchez à couvrir une partie hors limite de box de votre domicile, je ne peux que vous conseiller ce petit boitier.

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J’ai eu l’occasion de tester une enceinte Bluetooth Veho 360° M4, un des rares accessoires dont je ne disposais pas encore pour agrémenter mon smartphone ou bien ma tablette.

 

Le packaging est plutôt compact mais l’essentiel y est. Voici le contenu de la boite :

–          Une enceinte VEHO

–          Un câble USB/Mini USB

–          Un câble jack

–          Une housse de transport

–          Le manuel d’utilisation

 

Enceinte Bluetooth Veho 360° M4

 

L’enceinte prend la forme d’un cylindre de 6 cm de hauteur et de diamètre identique. Les 2 hauts parleurs sont situés dos à dos et sont protégés par une grille en métal peinte en noir encadrée en bas par une base en aluminium brossé et en haut par un cerclage de plastique noir.

Les commandes sont situées sur le dessus et permettent d’allumer/éteindre l’enceinte, de passer à la piste suivante/précédente et de monter/baisser le son. Lorsque l’enceinte est en fonction, le panneau de commande s’allume en bleu, plutôt esthétique dans la pénombre ou l’obscurité.

Outre la possibilité de connecter son enceinte à un autre matériel via le Bluetooth, elle dispose également d’un port MicroSD pouvant accueillir une carte mémoire remplie de notre musique préférée. Cela permet alors d’utiliser l’enceinte en stand alone, posée sur le bureau sans pour autant être obligé de laisser le Bluetooth activé en permanence sur son smartphone nous permettant au passage d’économiser la batterie de ce dernier. La batterie de l’enceinte est alors également préservée puisque le bluetooth est désactivable grâce à un bouton permettant de basculer entre les modes Bluetooth et MicroSD.

Enceinte Bluetooth Veho 360° M4

La connexion avec le smartphone est un jeu d’enfant et ne prend que quelques secondes. Ensuite, tout est très simple, le changement de piste et de volume s’effectue directement sur l’enceinte ou bien sur le smartphone et cela fonctionne à merveille. 

L’autonomie est correcte mais le temps de charge est un peu petit peu long. Il faut compter presque une heure et demi pour une charge complète via USB. Et quid de la qualité me direz vous ?

La qualité est plutôt bonne pour un appareil de cette taille. Bien sûr, lorsque l’on pousse l’ensemble des volumes à fond, on sature mais si vous cherchez un son de discothèque, vous vous êtes trompé de produit ! L’écoute à volume raisonnable reste très agréable et je me suis surpris a la laisser tourner en fond sonore, délaissant pour l’occasion mon casque (ce qui est extrêmement rare, je ne le quitte même pas quand je n’écoute rien !).

Enceinte Bluetooth Veho 360° M4

J’ai failli oublier de vous parler de son prix, autour de 35€. Le reste des photos est en bas de cet article.

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Il y a une semaine, je postais le test d’un kit de 2 NetSocket500 Mini. Je vous propose aujourd’hui le test d’un bloc parafoudre 5 prises avec module CPL 200 Mbit/s intégré

Mon partenaire Lea Store m’a gentiment envoyé ce bloc multiprise parafoudre en même temps que le kit d’adaptateurs NetSocket500.

Bloc multiprise parafoudre avec CPL 200Mbit/s intégré

Je ne vais pas m’étendre sur la réception du colis car je l’ai déjà fait dans l’article précédent, en résumé, beaucoup de sites de vente en ligne devraient prendre exemple sur eux… Comme vous pouvez le constater sur la photo, le bloc se compose de 5 prises électriques protégées et d’un port RJ45 pour connecter un équipement et est livré avec un câble réseau d’1m80. En terme de dimensionnement, 5 prises est un nombre correct. Cela permet de brancher une tour, deux écrans, une imprimante et un système d’enceintes par exemple. Si vous êtes comme moi et que vous avez beaucoup plus de matériel sur votre bureau, cette multiprise se révélera en revanche un peu limitée. On y retrouve une fois de plus les 3 voyants témoins :

– Le voyant de mise sous tension

– Le voyant de qualité du réseau qui s’allumera de différentes couleurs (vert, orange ou rouge) en fonction de l’indice de qualité

– Le voyant témoin indiquant que le réseau Ethernet est actif

 

Voyants témoins bloc multiprise parafoudre

 

La mise en oeuvre est très simple, j’ai tout simplement ajouté la multiprise sur une prise électrique et le CPL a fait le reste. Il s’est automatique connecté avec le kit de 2 NetSocket500 Mini et m’a permit en 2 minutes d’être raccordé à mon réseau local et à internet. Jusque là c’est un sans faute ! Si vous décidez par exemple de le brancher derrière votre meuble TV, vous pourrez y brancher la TV, la box internet, la console de jeu, un home cinema et un autre appareil avec la possibilité de tout couper électriquement grâce au bouton marche/arrêt :

Bouton On/Off

Au niveau des débits, j’ai effectué les tests sur le même réseau électrique que celui utilisé pour les NetSocket500 donc rien de flamboyant mais un débit équivalent à celui obtenu dans mon précédent test, soit entre 7 et 9 Mo/s (pour mémoire, la vitesse maximale du port RJ45 intégré est de 100MBits/s). Petit rappel de ce qui fait fluctuer le débit d’un réseau CPL : 

– la qualité du réseau électrique (mon immeuble a plus de 70 ans et l’installation électrique n’est plus tout jeune et je n’ai pas eu mieux qu’un voyant orange voir rouge…)

– les interférences occasionnées par d’autres appareils

– la vitesse de votre réseau local

En conclusion, je dirais que pour son prix, ce bloc multiprise est une affaire ! En effet, cet article est actuellement en destockage sur leur site et est proposé au prix attractif de 14,90€. Vous pourrez retrouver ce bloc parafoudre 5 prises avec module CPL 200 Mbit/s intégré sur le site de Lea Store.

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J’ai été contacté il y a environ un mois par la société Lea Store afin de tester un de leur produit : le kit de 2 adaptateurs CPL 500Mbits. Voici mon verdict…

Une fois les modalités du partenariat convenues, la société Lea Store m’a expédié un kit de 2 adaptateurs NetSocket500 Mini estampillés « Lea » par transporteur. Sur le coup, j’ai été un peu surpris de voir un transporteur de chez UPS sonner à ma porte car je m’attendais à recevoir le colis comme d’habitude par voie postale. La surprise passée, je vérifie rapidement l’état du carton qui ne présente aucune trace de coup et m’empresse de l’ouvrir. Gros point positif à l’emballage, les objets à l’intérieur du colis sont très bien calés, ne se balade donc pas dans tous les sens assurant ainsi de réceptionner un produit en parfait état de fonctionnement. J’ai poussé le vice jusqu’à les contacter pour m’assurer que ce type d’envoi n’était pas une faveur qui m’était faite et on m’a bien confirmé qu’un soin particulier est apporté à chaque commande. Chose rare aujourd’hui à la vue de l’état des dernières commandes que j’ai pu recevoir de diverses boutiques d’e-commerce…


Passons au test a proprement parler !

J’ouvre la petite boite contenant le matériel suivant : 

– 2 adaptateurs NetSocket500 Mini

– 2 cables Ethernet

– 1 mode d’emploi simplifié

 

Les adaptateurs sont de petite taille, environ deux fois moins gros que des adaptateurs achetés il y a seulement 2 à 3 ans. Cela leur permet donc de rester discret une fois branchés dans les prises de courant.

   

 

Voyons maintenant la mise en place. L’emballage promet du matériel Plug and Play compatible avec n’importe quel autre matériel estampillé « HomePlug ». Je les branche donc tous les deux, chacun à un bout de l’appartement. J’en connecte un à ma box Internet et branche mon PC Portable sur le deuxième, en prenant soin de couper la carte wifi au préalable. Les 2 adaptateurs se reconnaissent en un instant, je n’ai même pas eu à presser le bouton pour effectuer la connexion ! Je gardais un mauvais souvenir de mes vieux adaptateurs CPL où réussir à les interconnecter était parfois un vrai parcours du combattant et bien c’est terminé !

Une fois branché, les boitiers affichent 3 voyants :

– Le voyant de mise sous tension

– Le voyant de qualité du réseau qui s’allumera de différentes couleurs (vert, orange ou rouge) en fonction de l’indice de qualité

– Le voyant témoin indiquant que le réseau Ethernet est actif


J’ai immédiatement testé la vitesse du réseau avec un bon vieux transfert FTP volumineux afin que le débit ai le temps de se stabiliser et voici le résultat :

Débit CPL Lea 

9,2 Mio/s ce qui nous donne une vitesse approximative d’environ 77 Mbit/s. Gros écart par rapport aux 500 annoncés sur l’emballage me direz vous. Effectivement, mais la valeur 500 est de toute façon un débit théorique maximum qui sera impacté par :

– la qualité du réseau électrique (mon immeuble a plus de 70 ans et l’installation électrique n’est plus tout jeune et je n’ai pas eu mieux qu’un voyant orange voir rouge…)

– les interférences occasionnées par d’autres appareils

– la vitesse d’écriture de votre disque dur

– la vitesse de votre réseau local

 Par conséquent, ma mesure n’est que peu significative à mon avis…

Quoi qu’il en soit, j’ai mis le temps du transfert à profit pour tester un peu la navigation sur Internet en simultané, le jeu sur Internet, une vidéo YouTube HD, une vidéo HD en local… et rien à dire. Le transfert continuant en arrière plan, aucune application testée n’a souffert d’un soucis de bande passante ce qui est un bon point (si lorsque l’on effectue un transfert on ne peut pas faire autre chose, c’est dommage…). Je vous parlais de la légère vétusté de mon réseau électrique. Je pense qu’il est bon que je précise que j’ai pu avoir la surprise de voir apparaître un équipement « Freebox HD » dans mon Voisinage Réseau. Quoi de plus normal que de voir sa box me direz vous. Sauf que je suis chez Numéricable ! Donc le CPL a réussi a attraper le réseau d’un de mes voisins, preuve soit de la puissance du matériel, soit d’une qualité de réseau électrique plutôt médiocre (ou un peu des deux !)…

   

J’ai également fait un saut chez mes parents pour passer quelques jours de congé et j’en ai profité pour embarquer le kit. J’ai pu constater des débits bien supérieurs (que j’ai complètement oublié de screener…) du fait probablement d’un réseau électrique beaucoup plus récent (un peu moins de 30 ans). A titre d’information car je n’ai pas pris un chronomètre à la secondre prêt, il m’a fallu environ 4 à 5 min pour transférer 600 photos pour une taille totale de 2Go.

En résumé, la simplicité de mise en oeuvre, la taille du produit, la qualité du réseau fourni sont autant d’atouts possédés par ce kit de 2 adaptateurs NetSocket500 Mini avec en bonus, une livraison de colis extrêmement soignée.

Le kit est vendu aux alentours de 80€ sur le site Internet Lea Store ce qui reste dans les prix pratiqués par la concurrence. Je recommande vivement ce matériel !

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J’ai déjà le Logitech G35 qui est une tuerie et les claviers Logitech série G sont juste increvables… Alors ? Vous commandez quoi ?

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Tout est dans le titre ! A mesure que j’avançais dans la définition de mon cahier des charges, je me suis rendu compte que ce que je cherchais était en fait un hybride entre un NAS et un HTPC. Voyons maintenant ce qu’il est possible de faire au niveau matériel…

Résumé de mes articles sur le sujet :

1. A la recherche de mon futur NAS

2. Mon NAS : Cahier des charges

3. Mon NAS/HTPC : Choix matériels

4. Mon NAS/HTPC : Montage et premiers tests

5. Mon NAS/HTPC : Configuration du système

Bonus : Choisir son serveur NAS

 

Introduction :

Petit rappel du cahier des charges : 

– Dimensions max : 50x20x40

– Nombre de slots minimum : 4

– Support du RAID5

– Connectivité : RJ45 / HDMI / USB2-3

– Silencieux

– Lecteur Blu-Ray (facultatif)

– Wifi (facultatif)

– Système stable

– Peu gourmand en ressources

– Gestion du RAID5

– Possibilité d’installer des applications de mon choix

– Budget max (hors disques de stockage) : 450€ +/- 10%

 

Si je reprends cette liste en séparant d’une part les aspects plutôt NAS et d’autre part les aspects plutôt HTPC, j’obtiens le tableau suivant : 

NAS HTPC

Nombre de slots minimum : 4

Support du RAID5

Dimensions max : 50x20x40

Connectivité : HDMI

Lecteur Blu-Ray (facultatif)

Avec des points communs :

Possibilité d’installer des applications de mon choix (ou presque)

Silencieux

Wifi (facultatif)

Connectivité : RJ45 / USB2-3

Système stable

Peu gourmand en ressources

Budget max (hors disques de stockage) : 450€ +/- 10%

 

Si on fait abstraction d’un lecteur Blu-Ray optionnel, je cherchais à la fois des caractéristiques présentent chez un NAS et chez un HTPC, et d’autres l’étant soit chez l’un, soit chez l’autre. Soyons honnêtes, impossible ou presque de trouver quelque chose de tout prêt qui remplisse complètement mon cahier des charges… Je me suis donc penché vers des solutions « personnalisées » afin de choisir la solution qui hébergera mon système.

 

I) Exploration des différentes possibilités :

 

1ère piste explorée : les « assembleurs » :

Sur ce site par exemple : http://www.pcspecialist.co.uk/desktop-pcs/home-servers/ il est possible de partir d’une base et de la configurer de A à Z. Jusque là tout va bien, j’arrive même à remplir le cahier des charges ou presque : niveau tarif ça coince, j’arrive à 490€ pour un 4 slots peu évolutif, pas terrible. Qu’à cela ne tienne, j’ai plus d’un favoris dans mon navigateur !

Sur ce second site : http://www.homemedia.fr/configurations-pc-media-center/, on nous propose des configurations en kit avec un listing précis de toutes les pièces nécessaires à l’assemblage. Je prends donc le prix le plus élevé, en rapport avec ma contrainte de budget (le Nettop Home Cinema Premier Prix). Pour 400€ (pile dans le budget que je me suis fixé), le cahier des charges matérielles n’est malheureusement pas respecté…

Sur maison du numérique, j’ai trouvé une configuration qui correspond totalement au cahier des charges au niveau matériel : http://www.maisondunumerique.com/hfx-cinema-x5-serveur-audio-video.html. Hélàs, ici encore c’est le tarif qui fait tâche : 2995€

Coté système d’exploitation, la plupart du temps c’est Windows Home Serveur 2011 qui est proposé avec éventuellement la possibilité de le supprimer du panier pour avoir le choix de l’OS.

Conclusion : les assembleurs c’est bien, mais c’est trop cher.

 

2ème piste explorée : le HP Proliant N40L :

Solution découverte sur plusieurs blog mais en particulier ces deux là : Maison et Domotique et Wiki HP Proliant N40L.

Il s’agit d’un mini-serveur HP vendu aux environs de 200€ sur Amazon.com (tout dépend des périodes, le prix variant en règle générale entre 190 et 220€), disposant de 4 slots 3.5 (6 avec bidouille maison) de 2Go de RAM, d’un processeur AMD Turion et d’un disque de 250Go pour l’OS. A ce prix là, sans système d’exploitation, c’est une alternative sérieuse à un NAS Grand Public qui serait vendu au moins le double pour le même nombre de slots, et à un HTPC clé en main qui offrirait bien moins de possibilités.

Mais tout n’est pas rose avec cette petite trouvaille. En effet, il pêche un peu notament par l’absence de port HDMI. D’autre part, pour passer de 4 à 6 slots 3.5 pouces, il faut impérativement sacrifier le slot 5.25 qui aurait pû être utilisé pour intégrer un lecteur Blu-Ray éventuellement.

D’après les retours de nombreux utilisateurs, cette configuration semble très bien supporter la plupart des OS présents sur le marché comme par exemple Windows Serveur 2008R2/2012, Windows 7/8, Ubuntu, FreeNAS… Cerise sur le gâteau, il ne consomme que très peu d’électricité !

Conclusion : ce boitier possède de grosses qualités (nombre de slots, prix, support de l’OS…) mais souffre également d’un léger manque d’évolutivité.

 

3ème piste explorée : le serveur fait maison :

Après avoir exploré 2 pistes avec des produits clés en main, passons maintenant à une solution montée de toute pièce par nos soins et comparons les résultats. En parcourant rapidement les sites de matos informatique, je me suis vite rendu compte que le plus dur serait de trouver un boitier type HTPC répondant à mes attentes, les autres composants seront beaucoup plus simples à trouver car bien plus nombreux. Je vais donc commencer par là… Et pour ceux qui souhaiteraient suivrent mes traces mais avec un budget moins conséquent, je vous recommande d’aller visiter le site d’Hotfirenet qui livre une démarche similaire (il monte un vrai HTPC sans la partie NAS donc on peut retirer toute la partie stockage) pour un coût inférieur.

Le boitier :

D’après le cahier des charges, le boitier doit avoir des dimensions maximales de 50x20x40, des ports USB (USB3 serait un plus), un slot 5.25 pouces en façade pour ajouter un lecteur Blu-Ray et un physique avantageux (faut pas qu’il fasse tâche dans mon salon !). Sous le capot, il faudrait au minimum 5 slots pour disques durs (1 Système + 4 Stockage) c’est la seule vraie condition requise. Le format de carte mère ou d’alimentation importe peu, il sera facile de trouver des composants dans un format compatible. Voyons ce que nous pouvons trouver…

Fractal Design Node 304 : Design alu brossé de couleur noire, 6 emplacements internes pour des disques de 3.5 pouces, carte mère au format Mini-ITX, pas de port en façade ni d’emplacement pour un éventuel lecteur 5.25 pouces, vendu sans alimentation. Pas un vrai format HTPC. Tarif : 95€ environ.

Silverstone Grandia GD08 : Design alu brossé noir, 2 baies 5.25 pouces, 8 baies 3.5 pouces, 2 ports USB3 en façade, format de carte mère accepté jusqu’à E-ATX, format HTPC, vendu sans alimentation. Refroidissement latéral (2 ventilateurs fournis). A l’arrière, possibilité d’ajouter jusqu’à 7 cartes d’extensions. Tarif : 160€ environ.

Lian-Li PC-C60 : Mon coup de coeur, le design disponible en alu brossé gris ou noir. Sous le capot, 2 emplacements 5.25 pouces, 6 emplacements 3.5 pouces et 3 emplacements 2.5 pouces. Livré sans alimentation, le boitier supporte les cartes mères au format ATX et les alimentations de taille standard donc aucun soucis pour trouver les composants dont nous allons avoir besoin. Coté refroidissement, on peut compter sur 2 ventilateurs latéraux gauche (inclus) avec 1 emplacement supplémentaire sur le dessus du boitier et 1 sur le coté droit pour des ventilateurs optionnels, sans compter celui pour l’alimentation. En façade, on peut compter sur 2 ports USB3 + 1 port e-SATA et a l’arrière, il y a suffisament d’emplacement pour ajouter jusqu’à 7 cartes d’extensions en PCI ou PCI-E ! Seul « petit » point noir : son tarif qui tourne autour des 220€…

 

Le couple carte mère / processeur :

Pour la carte mère, il faut se baser sur le format du boitier en sachant qu’en général, les marques déclinent leurs cartes mères en plusieurs formats à peu de choses prêt. Celui que j’ai retenu accepte les cartes mères au format ATX ce qui est un énorme avantage puisque la plupart des cartes du marché seront alors compatibles. Au niveau caractéristiques techniques, la CM doit avoir au minimum 5 ports SATA, un port RJ45, de l’USB (USB3 en bonus) et un refroidissement passif des chipsets pour réduire les nuisances sonores. Je vais placer la barre un peu plus haut en cherchant une CM avec au moins 6 ports SATA. Afin d’éviter d’avoir à racheter une carte vidéo séparée, occasionnant un surcoût, une surconsommation et une augmentation potentielle de la nuisance sonore (si on choisit un refroidissement actif), j’ai décidé d’inclure également un chipset vidéo intégré (avec port HDMI) capable, avec le processeur qui va bien, de traiter à lui seul le décodage vidéo. Voici mes trouvailles :

ASRock FM2A85X Extreme 4 (ATX / MicroATX / MiniITX) : Déclinée en 3 formats, Socket FM2, 7 ports SATA III, controleur vidéo intégré (ports HDMI / DVI / VGA), 2 à 4 ports mémoire (jusqu’à 32 ou 64Go), USB3… Tarif : entre 85 et 100€

Asus P8H77 (ATX / MicroATX) : Déclinée en 2 formats, Socket 1155, 6 ports SATA III, controleur vidéo intégré (ports HDMI / DVI / VGA), 4 ports mémoire (jusqu’à 32Go), USB3… Tarif : entre 85 et 100€

 

Pour le processeur, afin de faire des économies à divers niveaux, j’ai décidé d’opter pour un processeur intégrant un processeur vidéo ! En effet, pour un modèle identique de processeur, la version avec processeur vidéo intégré est à peine plus chère qu’un processeur sans donc pourquoi s’en priver ?

Pour AMD : AMD – A6 – 5400K Black Edition (3.6GHz) : Socket FM2 / Dual Core débridé / Processeur graphique AMD Radeon HD 7540D intégré / Tarif : environ 65€ 

Pour Intel : Intel Pentium G860 (3.0 GHz) : Socket Intel 1155 / Dual Core / Processeur graphique Intel HD Graphic intégré / Tarif : environ 60€

Attention à bien sélectionner un processeur dont le socket est compatible avec la carte mère choisie précédemment.

 

La mémoire vive :

Nul besoin de performances de choc (c’est un serveur pas une GameStation) donc du moment que la fréquence que vous choisissez est supportée par la carte mère que vous avez choisi, vous pouvez prendre celle qui vous plait le plus.

 

Disque dur :

Pour le disque système, vous avez le choix. Soit vous prenez un disque 3.5 pouces, ou un 2.5 pouces ou un SSD, à ma guise comme dirait l’autre. Le SSD fait sûrement un peu riche pour une configuration type HTPC/NAS mais si vous avez le budget… Faites vous plaisir !

Pour le stockage, je dirais que là encore c’est une question de goût mais vu que l’optique est un HTPC/NAS, je pense qu’il est judicieux de prendre en considération les disques Western Digital RED destinés à cet usage. Disponibles en 1, 2 ou 3To, les retours d’utilisateurs sont très positifs sur ces produits et pour en utiliser 2 depuis la sortie en magasin, je n’ai aucun reproche à leur faire. Coté performances, ils encaissent très bien la lecture de films HD, ils sont donc tout indiqués pour l’usage que l’on souhaite en faire. Au niveau tarifs, ils se situent entre des disques 5400trs/min et 7200trs/min.

 

Alimentation :

Idem, au choix du client. N’importe quelle alimentation avec une puissance d’au moins 400w sera largement suffisante, donc si vous avez une marque fétiche, foncez mais n’oubliez pas de prendre quelque chose de silencieux.

 

Cartes d’extensions diverses :

Je ne vais pas m’étendre ici sur les différentes possibilités d’extensions, en fonction de nos choix de carte mère, il sera possible d’ajouter une carte Tuner TNT, une carte d’aquisition, un lecteur Blu-Ray ou encore un lecteur de cartes mémoires…

 

II) La décision finale :

Après une longue réfléxion et la réception d’une pluie de coupons de réductions de chez @LDLC, voici la configuration qui a été retenue par le jury :

– Boitier : Lian-Li PC-C60 Gris

– Processeur : AMD – A6 – 5400K Black Edition (3.6GHz)

– Carte mère : ASRock FM2A85X Extreme 4 (ATX)

– Mémoire vive : G.Skill NS Series 4Go DDR3 PC3-12800

– Disque dur : Seagate Momentus 5400.6 500Go

– Alimentation : Corsair CX430M 80PLUS

Vous pouvez constater que les disques de stockage n’y sont pas. C’est normal, je vais d’abord tester avec un disque de récupération afin de bien choisir l’OS et d’éprouver la stabilité du système. Avec un peu de chance, d’ici là les prix des disques dur auront un peu diminués.

Au niveau du tarif, toutes réductions déduites, avec Pack LDLC Confort et sans les FDP, nous arrivons à un total de : 495€ soit pile le budget qui était fixé au départ !

Dans le prochain article (qui je le promet sera plus court… ou pas), je vous présenterais la machine assemblée et les premiers tests d’OS.

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Etant un Geek invétéré, je n’ai pu résister à l’appel de la machine à soda : Sodastream. Voici mon test de cette machine à bulles…

Un peu sceptique quant à la mise en oeuvre et au fonctionnement de l’appareil, je me suis finalement laissé tenté par le modèle Jet (modèle de base sans électronique) en passant dans les rayons d’un magasin…

Sodastream Sirops 

1) Mise en oeuvre :

A peine rentré, je procède au déballage de la bête. La boite contient donc l’appareil, une bouteille vide et son bouchon, une cartouche de CO² et la notice.

La notice est plutôt succincte (surtout si l’on considère qu’elle est déclinée en toute les langues…) mais donne les informations nécessaire à une mise en route rapide. J’ouvre donc le capot arrière, je visse la cartouche de CO² dans son compartiment puis je remets le tout en place. En moins de 5min et avec une grande facilité, la machine Sodastream est prête à faire feu ce qui est un excellent point.

Je rempli la bouteille jusqu’au trait (après l’avoir bien rincée évidemment) et la visse délicatement dans son compartiment à l’avant de la machine. Cette opération demande un peu plus d’entrainement mais lorsqu’on a compris comment faire, c’est un jeu d’enfant. Pour gazéifier la bouteille, il suffit ensuite de presser 2 fois (d’après la notice) le bouton supérieur. Au départ, impossible de doser correctement l’envoi de gaz. J’ai du m’y reprendre à plusieurs fois pour réussir à avoir une eau bien pétillante, mais au final le résultat est concluant, l’eau de ma bouteille est bien gazeuse.

Petits conseils pour ceux qui serait tentés par cet appareil : Pour bien gazéifier votre bouteille, mieux vaut qu’elle soit fraîche avant d’être gazéifiée. Ensuite, 2 pressions suffisent pour avoir quelque chose de bien pétillant. N’hésitez pas à presser fermement le bouton, quand vous sentez que le gaz est moins sous pression, relâchez puis appuyez une seconde fois jusqu’à entendre « le bruit » (impossible à décrire) qui indique que l’opération est terminée.

Dernière étape : verser le sirop Sodastream dans la bouteille d’eau gazeuse, fermer puis renverser délicatement la bouteille 1 ou 2 fois pour bien mélanger et le tour est joué !

 

2) Dégustation :

Avec une quarantaine de parfums différents, la machine à boissons gazeuses Sodastream permet une diversité de goûts exceptionnelle mais qu’en est il de la qualité gustative de ces sirops ? Et bien au moment où j’écris ces lignes, je n’ai testé que 6 sirops différents sur la quarantaine disponible et voici ce que j’en pense :

Sodastream : Cola Cola

Correctement dosé, le sirop Cola est pour moi à mi chemin entre un Coca MacDo et le vrai Coca. Plus de goût que le Coca MacDo mais beaucoup moins sucré que le vrai, j’ai remplacé sans problème la bouteille à l’étiquette rouge.

Sodastream : Cola Vanille Cola Vanille

Même constat que pour le Cola simple, le Cola Vanille n’a pas tout le goût du vrai Coca Vanille mais s’en rapproche énormément, une fois encore avec beaucoup moins de sucre.

Sodastream : Thé Pêche Thé pêche

Le thé pêche est assez sympa, il ne ressemble pas (dans la version pétillante) à une boisson existante mais avec de l’eau plate, c’est pratiquement une copie conforme d’un Ice Tea. J’ai vraiment adoré ce parfum.

Sodastream : Pomme Pomme

Mélangé à une eau pétillante et bien fraîche, cet arôme est très proche d’un Canada Dry. Plutôt réussi !

Sodastream : Cassis Cassis

Il ne ressemble à aucune boisson existante. Le goût de Cassis est bien présent, mais c’est un de ceux que je préfère le moins.

Sodastream : Orange Orange

Le sirop à l’arôme Orange est un des plus bluffant. En effet, mélangé à de l’eau pétillante bien fraîche, il ressemble comme deux gouttes d’eau à du Fanta ! J’ai vraiment été impressionné, même si je ne suis pas un grand fan de Fanta.

 

Sachez qu’il existe plein d’autres goûts différents. 

Conseils de préparation :

Si vous voulez cette machine uniquement pour de l’eau gazeuse « nature », le mieux est alors d’utiliser de l’eau minérale en bouteille afin d’éviter le goût de chlore présent dans l’eau du robinet (pas de problème si vous avez un puits !).

D’autre part, ma cousine a fait des expériences avec sa machine (oui oui on peut jouer un peu avec quand même). Elle a testé de mettre du vin rosé dans la bouteille et le résultat est plutôt pas mal ! La machine permet également de re-gazéifier le champagne dans le cas où celui-ci aurait perdu toutes ses bulles.

Enfin, je vous conseille d’acheter un pack de 3 bouteilles supplémentaires afin de pouvoir faire « une réserve ». Cela vous permettra de remplir une ou deux bouteilles d’avance afin de les mettre au frigo pour qu’elles soient bien fraîches au moment de la gazéification et du mélange de sirop !

 

3) Tarifs :

Voilà la partie qui fâche : le prix.

Suivant le modèle, il vous faudra débourser entre 75 et 180€ en fonction du modèle que vous choisirez. Les machines les plus onéreuses s’occupent de faire le mélange gazeux elles même avec le dosage que vous lui aurez indiqué. 100€ d’écart donc pour quelque chose que vous pouvez faire vous même… A vous de choisir ! Quoi qu’il en soit, chaque appareil est livré (hors offres promotionnelles) avec une cartouche de CO² et une bouteille vide.

Du coté des sirop, il faut compter entre 5 et 6€ par bouteille de sirop. Chaque bouteille permet de réaliser 12L de boisson si l’on respecte la dose prescrite dans la notice, ce qui nous fait un prix de revient (hors coût initial de la machine) de 0,5€ / L soit environ un euro de moins qu’une bouteille toute prête achetée en grande surface.

Pour la cartouche de CO² (car non, elle n’est malheureusement pas éternelle), le fabricant indique qu’elle permettra de gazéifier environ 60L de boisson et qu’elle est consignée. Le fait qu’elle soit consignée est un atout non négligeable au niveau du tarif de remplacement. Une cartouche de CO² coûte environ 30€ en stand-alone suivant les magasins, alors que si l’on ramène la cartouche vide pour un échange (par exemple chez Darty), la facture ne sera plus que de 12€ !

 

4) Conclusions :

Je ne regrette absolument pas mon achat et je le recommande à ceux qui hésiteraient à sauter le pas. Malgré un certains temps d’adaptation pour gérer le dosage du gaz, la mise en oeuvre est vraiment rapide et préparer un litre de boisson gazeuse, aromatisée ou non, ne prendre que quelques minutes, fini donc la pénurie de soda un dimanche quand tout est fermé ! Pour les consommateurs réguliers de soda, sur le long terme cela permet également de réaliser quelques économies pour peu que l’on prenne le temps de s’habituer à la légère différence de goût, certains arômes étant bien plus réussi que d’autres.

Pour ma part, je pense essayer encore plusieurs sirop histoire de varier les plaisir car parmi les 40 disponibles sur le site Sodastream, il y a moyen de se faire plaisir !

 

S’en procurer une sur Amazon : Sélection de machines Sodastream

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