Sorti en grandes pompes le 5 avril 2016 en exclusivité sur Windows 10 (Xbox One et PC), Quantum Break est une toute nouvelle franchise développée par Remedy Entertainment, sous la direction du grand Sam Lake (le papa de Max Payne), pour Microsoft Studios. 

Cela faisait longtemps que j’attendais cette sortie, depuis son annonce à l’E3 2013 pour être exact, et je vous avoue que j’ai pris mon temps pour le savourer. La premier vidéo de gameplay m’avait littéralement scotché et je n’avais qu’une crainte, que le jeu ne soit pas à la hauteur.

1. Synopsis :

Vous incarnez Jack Joyce, un trentenaire à la jeunesse un peu tourmentée, qui se rend le 9 octobre 2016 à l’université de Riverport à la demande du milliardaire à la tête de Monarch Solutions et ami de longue date Paul Serene, qui souhaite lui montrer quelque chose d’unique : une machine à remonter le temps. Jack aide Paul à réaliser un essai de voyage temporel mais tout ne se passe pas comme prévu et ils créent sans le vouloir une fracture temporelle qui va empirer inexorablement jusqu’à provoquer un arrêt du temps. Mais Jack se rend rapidement compte que le temps n’est pas la seule chose qui ai été altérée par cette expérience et se découvre des pouvoirs lui permettant de contrôler le temps. Avec l’aide d’alliés insoupçonnés, il va tenter d’échapper à Monarch Solutions et de réparer ce qui a été brisé…

 

2. Scénario et déroulement de l’intrigue :

Le scénario est plutôt bien construit et se révèle plus complexe qu’il n’y parait au premier coup d’oeil au fur et à mesure que l’on avance dans l’histoire. Remedy prend le temps de poser les bases de l’histoire du jeu dès le départ, sans partir sur les chapeaux de roues afin que le joueur appréhende bien les différents liens entre les personnages qui lui sont présentés et les événements en cours ou à venir. Du coup, on se retrouve avec une locomotive à vapeur, longue à la mise en route mais qu’on à du mal à stopper par la suite et ce n’est pas pour me déplaire !

Quantum Break : les échos quantiques

Le jeu est découpé en 5 actes distincts (découpés en plusieurs parties) et à la fin de chacun (5e excepté), vous serez placé dans la peau de Paul Serene et devrez faire un choix qui déterminera la suite des événements.

Quantum Break : les choix de fin d'acte

A chaque fois, vous pourrez entrevoir les grandes lignes de ce que va engendrer votre choix avant de le confirmer. Une fois le choix validé, un épisode de la série Quantum Break est lancé et sert de transition avec l’acte suivant, l’épisode étant un peu différent selon le choix que vous aurez fait précédemment et durant environ 25 minutes. A la fin de l’acte 5, l’épisode de série est remplacé par une longue cinématique. Le casting du jeu (et donc celui de la série) est assez remarquable puisque l’on peut y retrouver entre autres Shawn Ashmore (X-Men), Aiden Gillen (Game of Thrones), Dominic Monaghan (Lost / Le Seigneur des Anneaux), Lance Reddick (John Wick / Lost) et le motion capture permet de donner un rendu criant de réalisme au jeu. Gros coup de coeur pour Courtney Hope qui incarne Beth Wilder et que j’espère nous reverrons prochainement au cinéma.

Quantum Break : un jeu, mais aussi une série

Coté action, les amateurs de Call of Duty et Battlefield devront passer leur chemin. En effet, Quantum Break est un jeu à la troisième personne et les fusillades n’y sont pas primordiales contrairement à la trame narrative. Dans l’ensemble ce n’est pas génant en soi, mais on aurai aimé en avoir un tout petit peu plus histoire de pouvoir s’amuser un peu avec tous les pouvoirs mis à notre disposition.

 

3. Gameplay :

Suite à son exposition aux chronons lors de l’incident avec la machine à remonter le temps, Jack Joyce dispose de pouvoirs exceptionnels lui permettant d’influer sur le cours du temps. Ces aptitudes sont au nombre de 6 :

– la vision temporelle qui permet de déceler les éléments importants du décors ou les ennemis

– l’arrêt temporel permettant de figer le cours du temps sur une zone donnée

– l’esquive temporelle pour se déplacer rapidement à un endroit donné

– l’accélération temporelle qui donne la possibilité d’arrêter le temps et de se déplacer sur une courte période

– le bouclier temporel pour se mettre à l’abris des balles quand tout va mal

– l’explosion temporelle qui créé une déflagration dévastatrice à un endroit donné

Quantum Break : les capacités

Ces 6 pouvoirs, vous aurez le temps de les prendre en main au fil de l’intrigue, Remedy ayant eu l’intelligence d’intégrer le didacticiel de chaque capacité à l’histoire. Chaque pouvoir peut être amélioré grâce à des chronons que vous ramasserez dans le jeu. J’ai vraiment pris mon pied a utiliser ces pouvoirs, à les combiner pour varier les façon de venir à bout des hordes de Monarch Solutions lancées à ma poursuite. Mais les pouvoirs ne servent pas qu’à se battre puisqu’ils permettent également d’avancer dans le jeu en modifiant le cours du temps pour pouvoir franchir certains obstacles.

Pour vous donner une idée de ce qu’il est possible de faire avec les pouvoirs de Jack, voici une petite vidéo :

Ayant le jeu sur Xbox One ET PC, j’ai pu comparer la différence de prise en main entre les deux. La version Xbox One est très bien pensée, la maniabilité est excellente même si parfois un peu imprécise lors de l’utilisation de l’esquive temporelle par exemple. Pour ce qui est de viser, l’aide à la visée sera votre meilleure amie. Coté PC (Clavier / Souris) c’est excellent aussi, peut être un peu moins intuitif pour l’utilisation des pouvoir si vous ne prenez pas le temps de configurer au poil les touches mais pour la visée, la souris est redoutable et permet une meilleure précision qu’avec la manette.

Comme beaucoup d’autres jeux (Assassin’s Creed, FarCry, Rise of the Tomb Raider…), Quantum Break recèle un nombre impressionnant d’éléments à découvrir et on serait en droit de se dire que Remedy n’a pas réussi à contourner l’écueil du « il faut donner au joueur 10000 choses à ramasser pour allonger la durée de vie de notre jeu ». Et bien qu’on se le dise, ce n’est pas le cas. Là où nombre de jeux nous font ramasser des objets sans grand intérêt pour l’histoire en elle même, Quantum Break a donné une réelle utilité a tous les éléments à trouver qui deviennent alors de réelles sources d’informations, certes non capitales pour arriver à la fin du jeu, et donnent au joueur des précisions sur les différents liens qui unissent ou opposent les personnages ou sur le déroulement des événements.

Quantum Break : le suivi des objets à collecter

J’ai pris mon temps pour terminer le jeu, afin de lire presque tous ces petits éléments pour m’imprégner à fond dans l’histoire et je ne regrette pas les 36h passées sur Quantum Break !

 

4. Graphismes :

Globalement, les graphismes sont très beaux. Les jeux de lumières remarquables et la pléthore de détails donnent au jeu une âme qu’on prend du plaisir à regarder, quitte à s’arrêter 2 minutes pour contempler la vue. Lors des répliques temporelles, l’effet de fracture du décors environnant est de prime abord assez déroutant mais on s’y fait rapidement. Les détails sont omniprésents et surtout sont partout, aucune zone ne donnant l’impression d’avoir été fini grossièrement.

Sur Xbox One, les graphismes sont bon et on imagine que l’effet de fracture du décors aide beaucoup la console à tenir les 30 FPS.

Coté PC, Remedy recommande une configuration assez musclée pour une grande majorité de gamer avec :

– Intel i5 (3 GHz)

– NVIDIA GeForce GTX 970 / AMD Radeon R9 390

– 16Go de RAM

On notera qu’il faut impérativement jouer sur un PC équipé de Windows 10 (64 bits) avec DirectX 12 ! Une façon pour Microsoft de faire sauter le pas à un petit peu plus de monde…

De mon coté (i7 5960X / NVIDIA GeForce GTX 980Ti / 32Go de RAM), le jeu tourne en Ultra, c’est fluide quelle que soit la situation et le jeu est magnifique.

Quantum Break : le temps est brisé...

 

5. Les petits plus :

Je vous l’ai dis, j’ai le jeu sur PC et Xbox One et j’ai vraiment apprécié avoir ma sauvegarde synchronisée automatiquement entre les 2 plateformes. Pas besoin de me prendre la tête pour tout recommencer, on reprend exactement là où l’on s’est arrêté sur l’autre support. Plaisant, d’autant plus que les succès sont également en commun !

L’autre petit plus que je tiens à souligner une fois de plus c’est l’intégration d’une mini série entre les actes du jeu. C’est à mon sens un élément qui contribue grandement au succès du jeu et qui permet au joueur d’être un peu plus happé par l’histoire.

Et enfin, une copie numérique de Alan Wake et une copie Windows 10 de Quantum Break sont offertes pour l’achat du jeu en dématérialisé. Si vous optez pour la version physique, il faudra vous passer du code pour la version PC.

 

6. Conclusion :

Est ce que j’ai aimé Quantum Break ? Est ce que j’en veux encore ? Est ce que je reste un peu sur ma faim ? OUI, mille fois OUI ! Clairement, Quantum Break est pour moi le jeu de l’année sur Xbox One et la concurrence aura du mal à me faire changer d’avis. Le scénario, le choix des acteurs, les graphismes sont excellents et méritent qu’on prenne le temps de savourer ce titre exceptionnel qui est une franche réussite de mon point de vue. Sa durée de vie est correct avec une dizaine d’heures en fonçant, un peu plus pour ceux qui chassent tous les succès ou qui prennent leur temps.

Bien sûr, on peut lui reprocher un rythme peut être un peu trop lent au démarrage et je regrette qu’il n’y ai pas un tout petit peu plus de combats, la réalisation / mise en scène / narration prenant une place très importante dans le jeu. Petit point dérangeant : si sur Xbox One il est possible de télécharger toute la série pour ne pas avoir à la streamer (merci de penser aux petites connexions), sur PC cela ne semble pas être possible et les épisodes saccadent un peu par moment (j’ai pourtant la fibre). Dommage.

Qu’importe, Quantum Break vaut le détour et j’espère de tout coeur que Microsoft et Remedy lui donneront une suite aussi grandiose.

 

Sponsornot : Gratuit

Read More

Microsoft s’est bien remis des fêtes de fin d’année et nous propose dès le 1er janvier ses jeux gratuits sur le Xbox Live pour ses membres avec le Games With Gold !

 

On attaque avec la Xbox One qui propose toujours jusqu’au 15 janvier inclus le jeu Thief !

Thief sur le Xbox Live Gold

Synopsis :

Garrett, le Maître voleur, émerge des ombres de la Cité, un endroit semé d’embûches, gouverné par un Baron tyrannique et sa violente Vigile. Lorsqu’une révolution sanglante éclate, Garrett, partagé entre la politique et le peuple, ne peut se fier qu’à ses talents de voleur alors qu’il est sur le point de découvrir un secret encore plus sombre qui menace de bouleverser sa vision du monde.

Si vous aimez les jeux d’infiltration, foncez sur voler Thief qui sera gratuit (au lieu de 29.99€) jusqu’au 15 janvier !

 

Durant tout le mois de janvier, vous pourrez également télécharger Killer Instinct Ultra Edition !

Killer Instinct sur le Xbox Live

Synopsis :

L’expérience KI ultime. Comprend Jago, Sabrewulf, Thunder, Glacius, Sadira, Orchid, Spinal et Fulgore, 8 tenues, 16 packs d’accessoires Premium et le jeu KI Classic (PEGI : 18). Combattez !

Commencez l’année en distribuant des bourres pifs et foncez télécharger Killer Instinct qui est gratuit (au lieu de 39.99€) jusqu’au 31 janvier inclus !

 

Sur Xbox 360 et Xbox One, grâce à la rétro-compatibilité, vous pouvez d’ors et déjà télécharger DiRT Showdown !

DiRT Showdown gratuit sur le Xbox Live

Synopsis :

Foncez, défoncez et délirez autour du monde avec le chaos automobile de DiRT Showdown ! Des épreuves hyper énergisées et du jeu social sont associés dans cette folie de pilotage à injection turbo. Utilisez votre boost pour dépasser vos concurrents, disposez de parcs de freestyle pour y réaliser des figures et des cascades et admirez le moteur de dégâts le plus avancé au cours de compétitions de démolition.

Faites voler la poussière et téléchargez DiRT qui sera gratuit (au lieu de 14.99€) jusqu’au 15 janvier inclus !

Sponsornot : Zéro collaboration

Read More

Je vous en avais parlé lors de mon passage à la Paris Games Week 2014 et je l’annonçais déjà comme l’un de mes gros coups de coeur, je vous parle bien évidemment de Ori And The Blind Forest. Le jeu a été développé par le studio indépendant Moon pour le compte de Microsoft. A ce titre, le jeu n’est donc disponible que sur PC, Xbox One et arrivera un peu plus tard dans l’année sur Xbox 360.

A l’E3 2014, il a raflé un nombre impressionnant de récompenses :

Ori And The Blind Forest : un jeu aux multiples récompenses

Mais au final tient il ses promesses ?

Ori And The Blind Forest

Un histoire prenante et pleine d’émotions

Ori And The Blind Forest démarre avec l’arrivée d’Ori, une créature ressemblant à un lapin croisé avec un elfe que l’on suppose d’origine sylvestre puisque qu’il touche l’herbe du plancher des vaches sous la forme d’une feuille. Il est tout de suite recueilli par une créature ressemblant étrangement à Totoro de l’univers d’Hayao Miyazaki. Cette créature va s’occuper de Ori comme si ce dernier était son enfant jusqu’à ce qu’un jour l’Arbre des Esprits, une sorte de divinité que l’on pourrait assimiler à Yggdrasil dans la mythologie nordique, perde sa lumière, volée par Kuro un rapace redoutable. La forêt commence alors à dépérir et la créature qui s’était si bien occupée d’Ori s’éteint, laissant ce dernier orphelin.

Ori And The Blind Forest : une histoire riche en émotions

Ori va alors errer jusqu’à rencontrer Seyn, une lueur qui va le guider dans une quête destinée à raviver les 3 éléments, l’eau, l’air et le feu, afin de rendre à l’Arbre des Esprits et à la forêt leur éclat d’antan…

Dès le début du jeu, on est happé par cette relation père-fils entre Ori et son bienfaiteur mais rapidement, on ressent une immense tristesse lorsque celui-ci s’éteint. Les moments d’émotions sont nombreux au fur et à mesure qu’Ori grandit et avance dans sa quête de la lumière de l’Arbre des Esprits. On s’attachera immédiatement à au héros et rapidement aux différents personnages rencontrés si bien qu’une fois l’Histoire du jeu achevée on ne peut s’empêcher de regarder le générique défiler avec un petit serrement à la gorge. Que du bonheur !

Le trailer du jeu :

Une direction artistique magnifique

Dès les premières secondes du jeu, on s’aperçoit tout de suite que la direction artistique a été très réfléchi et pensée. Les décors, variés mais toujours très travaillés et soignés, m’ont fait penser aux films d’Hayao Miyazaki et contribuent énormément à l’atmosphère enchanteur du jeu. J’aime énormément ce style graphique, par conséquent je ne pouvais qu’être conquis par les graphismes.

Ori And The Blind Forest : une direction artistique magnifique

Que ce soit le décors avec lequel on interagit, les paysages de fond, les différentes zones du jeu ou encore les protagonistes, amis ou ennemis, tout sans exception a été travaillé, soigné, et contribue largement à l’immersion totale du joueur dans Ori And The Blind Forest.

La bande sonore est également une part important dans le succès d’un jeu et là encore, c’est un sans faute. Les musiques sont entêtantes et vous resteront en tête pendant un petit moment, en voici d’ailleurs un petit extrait :

Bref, sur le plan de la réalisation, graphique et sonore, c’est de mon point de vue un sans faute.

Un gameplay classique

Le jeu démarre de façon assez particulière. Pour planter le décors, Moon Studios a décidé de passer par une cinématique interactive et d’intercaler cinématiques et contrôle par le joueur sans aucun chargement ni aucune transition explicite. L’immersion est totale car il n’y a aucun temps mort, juste du jeu.

Une fois cette introduction terminée et la quête d’Ori pour sauver l’Arbre des Esprits lancée, on se retrouve face à un jeu de plateforme assez classique. Les différentes capacités du héros se débloqueront au fur et à mesure de son avancée dans l’aventure :

Ori And The Blind Forest : les compétences et statistiques

Pour débloquer ces différentes capacités comme le double saut ou l’explosion d’énergie, il vous faudra entrer en communion avec des arbres disséminés dans les différents niveaux. Vous pourrez également débloquer diverses améliorations de votre personnage, vous devrez accumuler de l’expérience que vous récolterez soit en tuant vos ennemis, soit en ramassant des globes de lumière afin d’acquérir des points de compétence. Pour pourrez augmenter votre jauge de vie et celle d’énergie en récoltant les globes correspondant, les 12 globes de vie et 15 globes d’énergie étant dissimulés dans les divers niveaux du jeu.

Bien que j’ai annoncé que l’on retrouvait un gameplay classique, je dois tout de suite vous avertir : classique ne rime pas avec facile ! En effet, si avec un jeu comme Rayman le contrôle du personnage et ses mouvements sont accessibles même à des joueurs de type casual, avec Ori And The Blind Forest, il en est tout autrement. Au départ, vous pourrez vous permettre d’avoir un temps de réaction assez long ou des mouvements approximatifs pour évoluer dans les niveaux. En revanche, plus vous avancerez dans l’histoire et plus il faudra que vous ayez le bon timing. Sauter au bon moment, enchainer les capacités dans un certain ordre… Si vous voulez survivre, vous devrez être précis car en cas d’erreur, le jeu se révèle assez punitif. Sur ce point d’ailleurs, il m’est arrivé d’être assez irrité de devoir recommencer un bon nombre de fois (parfois jusqu’à une vingtaine ^^’) certain passage, faisant ainsi grimper mon compteur de mort à plus de 350 a la fin de ma partie (dire qu’un des succès demande de terminer le jeu avec… 0 morts !).

Ori And The Blind Forest

Un rapport qualité prix imbattable

Alors que le mois dernier The Order 1886 faisait parler de lui quant à la durée de vie et surtout le temps de jeu réel comparé au prix de vente, Ori And The Blind Forest en est un peu l’exact contraire. Bien qu’un succès est octroyé à ceux qui finissent le jeu en moins de 3h, il faut savoir que si vous lisez tous les dialogues, explorez toute la maps, récoltez la totalité des globes de vie, d’énergie ou d’expérience, le jeu a une durée de vie plutôt conséquente. Pour ma part, le jeu m’aura tenu plus de 11h en haleine ce qui de nos jours est plutôt pas mal du tout !

Et le prix me direz vous ? 19.99€ et c’est là l’un des points forts du jeu ! Avec une telle direction artistique, un scénario bien ficelé et un gameplay classique mais demandant une certaine habileté, The Ori And The Blind Forest mérite largement l’accueil qui lui a été fait et je ne peux que vous recommander de vous ruer sur ce titre qui vous fera vivre une expérience riche en émotions !

Ce test a été réalisé à partir d’une version commerciale du jeu.

Sponsornot : Zéro collaboration

Read More

Ayant reçu il y a quelques mois une tablette Microsoft Surface Pro 3, je me devais d’acheter une sacoche de protection afin d’éviter de l’abîmer lors de son transport.

J’ai donc reçu il y a quelques semaines une sacoche de protection en simili cuir de la marque Snugg. L’épaisseur du simili est assez épais ce qui rend la pochette assez rigide. Cela permet également de fournir une protection convenable à la tablette en cas de choc et donne à la pochette un aspect de qualité

Pochette de protection Microsoft Surface Pro 3

La sacoche dispose d’un compartiment principal fermé par un rabat, d’une pochette extérieure et d’un emplacement dédié au rangement de cartes de visite situé sous le rabat. Ce dernier est équipé d’une fermeture magnétique qui le maintien en position fermée quoi qu’il arrive.

Le compartiment de rangement principal permet de ranger sans aucun problème la Surface Pro 3 avec le cover pad et son stylet. Une fois logée dans la pochette, la tablette ne bouge pas d’un pouce et vous devrez tirer dessus pour la faire sortir, elle ne pourra donc pas glisse toute seule hors de sa protection, évitant ainsi tout risque de chute malencontreuse.

 Pochette de protection Microsoft Surface Pro 3

La pochette externe quant à elle permet à peine d’embarquer un magazine. Ne comptez donc pas transporter votre tablette et tous vos documents de travail sur papier avec cette sacoche, dans le meilleur des cas, vous pourrez tout juste y glisser une brochure de quelques pages.

Pochette de protection Microsoft Surface Pro 3

Le compartiment de rangement des cartes de visite est également très petit, il est en effet à peine possible d’y ranger 5 ou 6 cartes de visite… Mais cela permet aussi de ne pas ajouter une épaisseur trop importante entre la pochette et le rabat une fois ce dernier fermé et faire ainsi en sorte que la fermeture magnétique soit toujours aussi efficace.

Pochette Microsoft Surface Pro 3

Vendu autour d’une quarantaine d’euros, cette pochette vous permettra sans problème de mettre votre tablette d’une taille inférieure ou égale à 12 pouces à l’abris !

Sponsornot : Gratuit

Read More

Tel un calendrier de l’Avent, en ce 1er décembre Microsoft dans le cadre de son programme Xbox Live Games with Gold nous offre 2 jeux.

Le premier est The Raven : Legacy of a master thief sur Xbox 360 !

The Raven : Legacy of a master thief

Synopsis :

Paris, 1960. L’Europe est le terrain de jeu d’un maître du cambriolage, The Raven. Il enchaîne les vols spectaculaires, dont il sort à chaque fois sans une égratignure. Le jeune loup de la police, Nicolas Legrand, crée l’événement lorsqu’il débusque le cambrioleur et le blesse mortellement. Londres, 1964. Un rubis ancien, l’un des légendaires « Yeux du Sphinx », est volé au British Museum. Sur la scène du crime : une plume de corbeau. Quelqu’un chercherait-il à imiter le Raven ? – Legrand reprend du service. Au même instant, à Zurich, un téléphone sonne. L’agent Anton Jakob Zellner lève le nez d’une montagne de dossiers. Il ignore tout de ce que renferme un certain coffre de banque, à quelques centaines de mètre seulement de lui. Alors qu’il tend la main pour saisir le combiné, sa vie prend un virage irrémédiable…

Habituellement proposé en téléchargement au prix de 9.99€, The Raven : Legacy of a master thief Episode 1 est gratuit jusqu’au 15 décembre inclus si vous disposez d’un compte Xbox Live Gold.

 

Le deuxième jeu gratuit n’est autre que l’excellent Worms Battlegrounds !

Worms Battlegrounds

Synopsis :

Worms™ Battlegrounds est le plus gros et le meilleur jeu Worms™ qui soit : plus de vers, des niveaux plus grands, de l’eau dynamique, des armes supplémentaires et toujours plus d’objets pour le personnaliser. Il possède une belle identité visuelle en 3D haute définition (tout en conservant la jouabilité classique en 2D) avec de nouveaux effets de lumière, de nouvelles fonctionnalités pour faciliter l’interaction sociale, des ajouts pour améliorer l’expérience de jeu en solitaire, et tout ce que le fan de Worms peut désirer. Formez votre clan, relevez le défi mondial Rejoignez vos amis et d’autres joueurs de Worms™ Battlegrounds pour monter une équipe redoutable : baptisez votre clan, concevez votre emblème, promouvez vos partenaires au rang d’officier ou de chef. Inscrivez votre clan à la ligue et serrez-vous les coudes pour marquer le classement de votre empreinte. Cela va de soi que tous veulent remplir leur armoire à trophées ! Retrouvez toute la fourberie du jeu en solo le «  »mode scénario » » rajoute de la variété en introduisant des dispositifs basés sur la physique. D’innombrables machines machiavéliques pimentent le jeu, et rendent le solo de Worms™ bien plus divertissant ! Le jeu solo ne consiste pas uniquement à semer la mort et la destruction, il faudra aussi savamment négocier des ponts de singe tremblants et secourir des alliés tombés dans des pièges mortels ! Le joueur passe bien plus de temps à jouer qu’à attendre que l’I.A. se décide. Worms™ Battlegrounds est le jeu Worms™ le plus complet qui existe !

Worms Battlegrounds est a présent gratuit durant tout le mois de décembre donc profitez en pour économiser 24.99€ !

Petit rappel et non de taille : si vous avez un compte Gold mais pas encore de Xbox One, vous pouvez tout de même « acheter » ces jeux gratuits qui seront alors disponibles le jour où vous ferez l’acquisition de la bête !

Sponsornot : Zéro collaboration

Commandée lors de la Paris Games Week 2013, j’ai reçu mon pack Xbox One + Call of Duty Ghosts le jour de sa sortie mondiale et n’aimant tester ce genre de produit à la va vite après 1h d’utilisation où l’on n’a pas le temps de tester les choses en profondeur, j’ai préféré prendre mon temps afin d’avoir un peu de recul.

Déballage

Le package contient les éléments suivants :

– La console Xbox One

– Le capteur Kinect 2.0

– Une manette

– Un micro casque filaire

– Un câble HDMI

– Un câble d’alimentation

– Un bloc d’alimentation

– Le code de téléchargement du jeu Call of Duty Ghosts

– Un code pour un abonnement de 14 jours au Xbox Live

Premier constat : les dimensions imposantes. Que ce soit la Xbox en elle-même, le capteur Kinect ou le bloc d’alimentation, on est bien loin de la taille du modèle d’avant, la Xbox 360 Slim. J’ai même bien cru à un instant qu’elle ne rentrerait pas dans mon étagère !

Xbox One : un design carré et massif

Son design est plutôt massif, carré et entièrement noir, alternant brillance et mât. Exit le tiroir du lecteur dvd, on alimentera maintenant le lecteur Blu-ray de la console par une fente située en façade.  Les grilles d’aérations sont situées sur la moitié du dessus et sur les côtés pour assurer une ventilation optimale.

La manette a quelque peu évoluée. Design et matériaux retravaillés, la manette s’adapte parfaitement à ma main et est très agréable au toucher. J’avais déjà eu l’occasion de l’avoir en main et de la tester lors de l’événement Area One à Paris et je retrouve exactement le même plaisir. Elle est un cran au-dessus de la manette 360.

Concernant la connectique, on retrouvera sensiblement la même que sur la Xbox 360 à quelques ajouts prêts :

– Port d’alimentation

– Port HDMI Out

– Port S/PDIF

– 2 ports USB à l’arrière et un sur le coté

– Port pour le capteur Kinect

– Port pour un capteur infrarouge déporté

– Port RJ45

– Port HDMI IN

Xbox One : une connectique complète

Ce dernier port est la grande nouveauté, il permet de brancher un décodeur TV pour l’afficher et le piloter directement depuis la console. C’est pratique lorsque l’on veut tout au même endroit mais l’inconvénient c’est que pour regarder la TV, il faut impérativement allumer la console.

Pour 530€, on notera que le package est tout à fait correct et on est en présence d’un produit d’une grande qualité. J’aurais néanmoins beaucoup apprécié qu’il contienne les éléments suivant à la vue de son prix tout de même élevé :

– Un abonnement de 6 mois ou un an au Xbox Live en lieu et place de la période d’essai de 14 jours… C’est du contenu numérique et ça ne coûte rien en termes de production.

– Une manette avec une batterie rechargeable d’origine. Cela aurait permis d’entrée de jeu de s’affranchir des piles et d’éviter d’avoir à acheter un kit play and charge à 20€…

Le branchement des divers éléments est aisé et en 10 minutes, la console est prête à être mise sous tension.

 

Déballage

Microsoft a conservé le petit son de mise sous tension, la console démarre et elle commence par télécharger et installer la mise à jour promise par Microsoft. Avec la fibre, il faut environ un petit quart d’heure pour télécharger et installer le patch mais de nombreuses personnes disposant d’un accès ADSL à faible débit se sont plaintes de la durée de mise à jour…

Place à la configuration initiale avec les options habituelles et quelques innovations concernant le mode de fonctionnement de la Xbox One. En effet, afin de rendre les mises à jour du système transparentes et nous éviter un temps d’attente avant utilisation, Microsoft a eu la bonne idée de nous proposer de choisir le mode de fonctionnent de notre console en nous proposant 2 choix :

– Mode éco : démarrage plus lent avec interruption pour appliquer les mises à jour

– Mode instantané : Démarrage plus rapide, téléchargement et installation des mises à jour automatique

Le choix du deuxième mode est parfait pour ceux qui ne souhaitent jamais attendre mais risque d’alourdir (légèrement) la facture électrique, obligeant la console à rester sous tension en permanence.

Après quelques minutes passées à régler les options de la console, me voici enfin sur l’interface de démarrage… Au final, il m’aura fallu environ 45min du déballage à l’arrive sur le dashboard ce que je trouve plutôt rapide pour une mise en route initiale (merci la fibre…).

 

Prise en main

Lorsque l’on est habitué à l’interface de la 360, cette nouvelle interface basée sur celle de Windows 8 fraichement sorti est un peu déroutante.

Pour l’interface à proprement parler, je ne me fais pas trop de soucis. Je dirais qu’elle est encore en phase de développement, peu d’options pour la personnaliser à notre guise et certaines fonctionnalités sont encore manquantes. Mais il s’agit d’une partie entièrement logicielle qu’il est facile de faire évoluer lors de mises à jours futures, ce qu’a déjà commencé à faire Microsoft lors de son dernier patch.

A l’heure actuelle, il n’est pas possible de paramétrer dans les moindres détails les tuiles que l’on souhaite afficher ni d’affecter un code couleur personnel ou encore un fond d’écran. J’espère que ces possibilités de customisation nous seront offertes dans le futur afin que chacun puisse adapter SON profil à SA personnalité.

Je configure ensuite rapidement mon compte Xbox Live et on me propose de paramétrer Kinect.

 

Kinect, ce big brother

Le fameux Kinect, celui qui a fait couler tant d’encre et levé tant de boucliers… Big Brother is watching me ! (au même titre que Facebook, Google et cie…)

Xbox One : Kinect is watching you !

Trêve de plaisanterie, la caméra s’allume et me demande de me placer devant elle afin qu’elle puisse me reconnaitre. J’ai également droit à un petit cours accéléré concernant les différentes vocales permettant d’effectuer les tâches courantes telles qu’allumer ou éteindre la console, lancer une application, se rendre dans le magasin Xbox…

Parlons-en justement de cette reconnaissance vocale. Je vois beaucoup de tests « minute » (ceux publié 2h après le déballage de la console) qui vantent les méritent de Kinect et sa reconnaissance vocale.

Je ne suis pas de cet avis malheureusement. Trop souvent, j’ai dû m’y reprendre à plusieurs fois avant que ma console ne daigne démarrer grâce à la commande qui lui est associée. En revanche, pour naviguer dans le dashboard, lancer un jeu ou même dans certains jeux, je dirais que cela fonctionne plutôt bien… Lorsqu’on prend la peine le bien prononcer chaque commande avec une voix calme et posée.

En revanche, dans les jeux, l’interaction vocale via Kinect est assez bluffant ! On peut invectiver les boss, attirer l’attention des ennemis, etc… Au début, je n’ai pas vraiment utilisé cette fonctionnalité car j’avais peur d’être ridicule à parler à ma TV, et puis je me suis pris au jeu. L’inconvénient de cette fonctionnalité se rencontre en revanche le soir, lorsque la maison dort, il est alors difficile de parler à voix haute…

Et pour mémoire : il n’est plus nécessaire d’avoir Kinect connecté à la console pour que celle ci fonctionne (cela fait partie des nombreux revirements parmi les décisions de Microsoft).

 

Mais Kinect ce n’est pas que cela.

Le capteur est également capable de reconnaitre les QRCode. Inutile me direz-vous ? Pas tant que ça… En effet, les cartes d’abonnements, les jeux ou contenus à télécharger vendus sur de petites cartes en cartons, disposent non seulement d’un code à 25 caractères que l’on peut entrer caractère par caractère sur le site ou le dashboard, mais également d’un QRCode. Ce code, une fois placé devant l’œil de la caméra, est lu, analysé et permet de lancer le téléchargement du contenu qui lui est associé. Simple, rapide, efficace !

Comme je le disais plus haut, le capteur est également capable de nous reconnaitre (aller arrêtez de flipper un peu… vous traversez la route tous les jours !) et dans ce domaine, je dois avouer qu’il est vraiment redoutable.

Reconnaissance initiale : en tee shirt sans lunette, sans barbe.

Première tentative : en sweat, sans lunette, sans barbe. Succès !

Deuxième tentative : en sweat, avec lunette, sans barbe. La console m’a demandé de confirmé que c’était bien moi. Elle m’a reconnu, mais a préféré me demander la confirmation. Pas mal !

Troisième tentative : en sweat, sans lunette, avec barbe. La console ne m’a pas reconnu et j’ai été obligé de lui indiquer que c’était moi.

Depuis, elle me reconnait sans problème, quelle que soit ma tenue, mon port de lunette ou la taille de ma barbe. On sent que la caméra Kinect 2.0 a un très gros potentiel, espérons juste que les développeurs en tirent parti dans leurs prochains titres.

 

Silence !

Alors que j’étais habitué à une 360 ayant tendance à souffler fort pour expulser l’air chaud (très chaud ?) et à faire vrombir régulièrement le lecteur de DVD pour ses accès en lecture lorsque l’on n’installe pas les jeux sur le disque dur, j’ai été plus que surpris d’être obligé de tendre l’oreille tout prêt de la console pour l’entendre ronronner.

Je me suis tout d’abord dis qu’étant sur le dashboard, il était normal qu’elle ne peine pas trop. Je passe donc mon QRCode Call of Duty Ghosts, patiente pendant le téléchargement et l’installation du jeu et c’est parti pour une petite tuerie !

A ma grande surprise, la console reste silencieuse. Même après quelques heures, elle ne bronche pas. Vraiment plaisant !

Niveau température, elle ne chauffe pas outre mesure. Le flux d’air doit être assez bien optimisé et l’air chaud est expulsé par la grille supérieur, celui-ci allant toujours vers le haut, l’emplacement de la grille et l’orientation du flux d’air est donc plutôt bien pensé (nombre de boitiers PC ne proposent toujours pas de grille en haut de leurs boitiers…).

Et le lecteur Blu-ray dans tout ça ? Lui aussi, il se révèle plutôt silencieux que ce soit lors de l’installation initiale d’un jeu ou lors d’une partie. N’ayant pas de disque Blu-ray à disposition, je n’ai malheureusement pas pu tester la lecture d’un film.

 

Une console multimédia

La possibilité de connecter le décodeur TV sur la console permet d’avoir la TV sur la console de jeu, concentrant tout sur un seul et même périphérique. L’ancrage TV ravira ceux qui veulent garder un œil sur la TV tout en jouant mais ne sera pas ou peu utilisé par les gros gamers qui au fond s’en fichent de la TV…

L’ancrage ne se limite pas qu’à la TV car il est également possible d’ancrer Skype et de poursuivre sa partie tout en tchatant vocalement avec un ami ou sa famille.

Skype est une composante importante dans le système de Microsoft. Racheté par la firme de Redmond, le logiciel de visioconférence tire parti de Kinect pour la partie audio et vidéo. Lors de discussions vidéo, le capteur de la caméra va suivre l’interlocuteur pour qu’il soit en permanence au centre de l’image. Si c’est un groupe de personnes qui est face à l’écran, Kinect est non seulement capable de s’adapter pour afficher l’ensemble du groupe, mais il fera également parfois le focus sur la personne ayant pris la parole.

La possibilité de connecter un décodeur TV et la présence de Skype par défaut sur la Xbox One lui confère déjà une bonne dimension multimédia mais Microsoft ne doit pas en rester là pour continuer de conquérir les foyers. Pour ma part, je n’utilise encore que très peu les fonctionnalités multimédia qui se résument à une session Skype de temps à autre.

 

Verdict

La Xbox One est un peu massive, au design réussi avec des accessoires ayant une finition excellente. Niveau performance, on sent qu’elle en a sous le capot mais que ce potentiel ne sera pas exploité pleinement dans l’immédiat. Kinect est assez précis, aussi bien pour la reconnaissance vocale que vidéo et dispose d’un potentiel que les développeurs devront plus exploiter dans le futur.

La dimension multimédia, déjà présente avec l’ancrage de la TV lors d’une partie est un plus qui devrait séduire les foyers qui ne cherchent pas qu’une console de jeu et sera d’autant plus renforcé à la fin de l’année lors de l’arrivée de Netflix en France.

Pour son prix, on aurait aimé avoir une manette incluant par défaut une batterie rechargeable, cela aurait évité des frais supplémentaires (environ 20€) pour un kit play & charge. Mais forcément, cela aurait fait moins de ventes d’accessoires pour Microsoft.

Tout ce qu’on attend maintenant, ce sont des jeux qui exploitent beaucoup plus les possibilités de la Xbox One et qui dévoileront pleinement son potentiel.

Si vous ne vous êtes encore décidé ni pour la Xbox One ni pour la PS4, patientez encore un peu, presque tous les jeux sortant sur la next gen sortent aussi sur l’ancienne génération, Xbox 360/PS3. Pour ma part, je suis satisfait de mon achat mais j’attends tout de même de vrais jeux next gen.

Sponsornot : Zéro collaboration

Read More

Vous avez un PC sous Windows 8 avec une clé de licence officielle et vous souhaitez éviter de télécharger la version 8.1 à chaque réinstallation du système ? Alors suivez le guide !

Pré-requis : 

Une clé Windows 8 (version Core, Professional, Enterprise)

Un DVD ou une clé USB d’installation de Windows 8.1 dont la version (Core, Professional ou Enterprise) correspond à celle de votre clé.

 

AVERTISSEMENT : CE TUTORIEL PERMET UNIQUEMENT D’INSTALLER WINDOWS 8.1 AVEC UNE CLE WINDOWS 8 ET IL N’EXPLIQUE EN AUCUN CAS COMMENT PIRATER LE LOGICIEL.

 

Etape 1 : 

Insérez le périphérique d’installation de votre Windows et bootez dessus

 

Etape 2 :

Au démarrage de l’installation, Windows va vous demander d’insérer votre clé.

Il faut savoir que si vous insérez votre clé Windows 8, Windows 8.1 ne reconnaitra pas cette clé et refusera tout simplement de s’installer. Par conséquent, entrez l’une des clés suivantes correspondant à votre version :

Core : 334NH-RXG76-64THK-C7CKG-D3VPT
Professional : XHQ8N-C3MCJ-RQXB6-WCHYG-C9WKB
Enterprise : MNDGV-M6PKV-DV4DR-CYY8X-2YRXH

Ces clés sont des clés MAK (Multiple Activation Key) qui s’activent grâce à des serveurs KMS (Key Management Service). Elles permettent de lancer l’installation et chercheront à s’activer régulièrement sur un serveur KMS (que nous n’avons pas bien entendu).

 

Etape 3 :

Laissez l’installation se dérouler jusqu’à la fin, cela peut être plus ou moins long si vous avez un HDD ou bien un SSD.

 

Etape 4 :

Une fois l’installation terminée et que vous êtes sur l’interface de Windows, accédez à « Modifier les paramètres du PC » :

Windows 8 : Modification des paramètres du PC

Et allez ensuite dans « PC et Périphériques » > « Informations sur le PC » > « Modifier la clé de produit » :

Windows 8 : Modifier la clé de produit

Il ne vous reste plus qu’à entrer votre clé Windows 8 dans le champ prévu à cet effet et le tour est joué !

Windows 8 : Clé de produit

J’espère que ce tutoriel vous a plu et qu’il vous évitera de télécharger la mise à jour vers 8.1 à chaque réinstallation.

Sponsornot : Zéro collaboration

Read More

La Gamescom est lancée et la première conférence a eu lieu ce matin. Une fois de plus, c’est encore Microsoft qui ouvre le bal…

Avantage ou inconvénient d’ouvrir d’être le premier à présenter son produit ? Si on se base sur les événements de l’E3, je dirais que c’est un désavantage, l’adversaire ayant quasiment une dizaine d’heure pour s’adapter… Ayant subi un sérieux coup de massue au premier round, Microsoft semble avoir tiré enseignement de ses erreurs passées et ne s’est pas fendu d’annonces chocs.

Le géant de Redmond temporiserait pour ne pas donner d’angle d’attaque à Sony pour sa conférence en préparant tranquillement une riposte agressive ? Possible.

Quoi qu’il en soit, quelques informations intéressantes sont ressorties de cette première conférence, en voici un rapide résumé.

Tout d’abord, les développeurs de jeux indépendants auront accès à Kinect, Smartglass, au Xbox Live et au Cloud et pourront donc les inclure dans leurs titres. Connaissant l’imagination de certains studios indépendants, on ne peut que se réjouir de cette nouvelle.  De plus, il n’y aura aucun frais, ni certification, ni activation pour la publication de jeux indépendants. Microsoft semble donc vouloir rassurer les développeurs après avoir été assez vague à l’E3 concernant le développement indépendant sur sa Xbox One.

Nous avons ensuite eu doit à quelques annonces concernant les futures exclusivités de la Xbox One. Fable Legends nous a donc été présenté avec un mode online dans lequel il sera possible d’incarner un gentil ou un méchant au choix. La rumeur d’un nouveau titre pour la franchise Fable courrait déjà depuis quelques temps, c’est donc plus une confirmation qu’une réelle annonce.

Deuxième titre en exclusivité : Fighter Within un jeu de baston développé par Ubisoft et exploitant l’ensemble des avantages de la prochaine génération de Kinect.

The Division, un des prochains titres d’Ubisoft, proposera également du contenu exclusif pour la Xbox One. Vu la présentation alléchante faite à l’E3 pour ce nouveau jeu, cette nouvelle est intéressante si ce contenu est d’un réel intérêt (et pas un énième pack avec des skins pour nos armes ou nos fringues…).

Peggle 2 et Plants versus Zombies : Garden Warfare seront disponibles en exclusivité temporaire sur la console de Microsoft et devrait débarquer quelques semaines ou mois plus tard sur les autres supports.

La Xbox One sera vendue en pack avec Call of Duty : Ghosts au prix de 500€. Pour l’instant c’est le seul vrai package annoncé, donc pour la plétore de personnes n’aimant pas la franchise, il faudra se montrer patient malheureusement. La Gamescom démarrant tout juste et la sortie de la console étant dans pour l’instant prévue pour le mois de Novembre, il y a fort à parier que de nouveaux packs devraient voir le jour d’ici là.

De plus, pour toute pré commande de la console et dans la limite des stocks disponibles, la console sera livrée avec FIFA2014 en version dématérialisée et ce sans surcoût ! Pas encore d’information affirmant que cette offre sera valable sur une console en pack (Xbox One + jeu) et offre inutile pour ceux qui n’aiment pas le foot…

FIFA14

Puisqu’on parle de FIFA 14, le mode Ultimate Team Legends sera disponible en exclusivité sur Xbox One et vous permettra de sélectionner des joueurs tels que Ruud Gullit, Dennis Bergkamp, Pelé, Patrick Vieira, Gary Lineker ou encore Freddie Ljungberg.

Pour finir, voici les jeux qui seront disponible sur la Xbox One le jour de sa sortie :

Multi plateforme

Assassin’s creed black flag

Battlefield 4

COD : Ghosts

FIFA 14

LEGO Marvel Super Heroes

Madden NFL25

NBA 2K14

NBA LIVE 14

Need for Speed Rivals

Peggle 2

Skylanders : Swap Force

Watch Dogs

Zumba Fitness : World Party

Exclusivités Xbox One

Crimson Dragon

Dead Rising 3

Forza Motorsport 5

Fighter Within

Just Dance 2014

Killer Instinct

Kinect Sports Rivals

LocoCycle

Powerstar Golf

Ryse : Son of Rome

Zoo Tycoon

Le line-up est plus ou moins conforme à celui qui avait déjà été annoncé. Pour ma part, quelques gros titres multi-plateforme m’intéressent énormément comme Assassin’s Creed Black Flag, Battlefield 4 ou encore Watch Dogs et quelques autres. Coté exclusivités, seuls Dead Rising 3, Forza Motorsport 5 et éventuellement Kinect Rivals m’emballent réellement mais les titres proposés dans cette liste sont uniquement ceux qui seront disponibles le jour de la sortie, toujours pas de nouvelles du Projet Spark malheureusement (la béta PC démarre en octobre sur Windows 8 et peut être en janvier sur Xbox One).

En conclusion, Microsoft n’a pas vraiment surpris avec ces annonces toutes plus ou moins attendues grâce aux diverses rumeurs qui circulaient ces derniers temps, mais la Gamescom 2013 démarre tout juste et la guerre des consoles next-gen est loin d’être terminée…

Sponsornot : Zéro collaboration

Read More

Voilà un petit moment que la grand messe du jeu vidéo, j’ai nommé l’E3, est terminée. C’est pour moi le moment de vous présenter les quelques jeux que j’attends avec impatience !

1 – Watch Dog :

Une grosse claque ! Incarner un hacker dans un GTA-Like solo/multijoueur où il sera possible de pirater tout est n’importe quoi dans un Los Angeles plus vrai que nature me mets déjà l’eau à la bouche ! J’ai vraiment été scotché par les possibilités et les graphismes et l’interaction avec smartphones et tablettes ! C’est ma plus grosse attente sur next gen !

 

2 – Battlefield 4 :

Mode solo

Mode multi

Afficionados du volume 3, les graphismes du mode solo et du mode multijoueur sont un cran au dessus de son petit frère. EA a poussé loin l’interaction avec l’environnement afin que le joueur puisse tirer parti du monde qui l’entoure pour vaincre ses ennemis. Les maps multijoueurs ont l’air immenses, j’ai hâte d’en fouler les moindres recoins, d’autant qu’ils visent des parties jusqu’à 64 joueurs en ligne ! L’interaction avec Smartglass et le « Commander » m’ont scotché à mon siège…

 

3 – Quantum Break :

La petite surprise des différentes conférences. Ce titre a capté mon attention par son originalité et sa réalisation (le bateau qui entre en collision avec le pont… magnifique !) et j’espère que l’ensemble sera à la hauteur de mes espérances !

 

4 – Dead Rising 3 :

Cela fait déjà longtemps que je mange du zombie régulièrement (World War Z le livre, bientôt le film, Walking Dead la série, le jeu et bientôt la BD, DeadRising 1 et 2, etc…) et j’adore ça ! La démo ingame m’a mis en appétit, j’ai hâte de pouvoir rouler sur ces hordes de mort-vivants assoiffés de sang et des les pourfendre avec l’aide de Smartglass…

 

5 – Assassin’s Creed 4 : Black Flag :

Fan des Assassin’s Creed depuis le premier et fervent admirateur de Jack Sparrow, le nouveau titre d’Ubisoft est bien parti pour me ravir. Les graphismes sont magnifiques, les décors bien immersifs et les batailles navales ont l’air dignes des combats de Barbe Noire…

 

6 – The Division :

Un MMO post-apocalyptique, depuis le temps que j’en rêvais ! Certes, vous allez me dire qu’il existe Infestation : Survivor Stories mais honnêtement, je vois pas en quoi il est massive multiplayer ! Bref, ce nouveau titre a l’air de déménager !

 

7 – Halo :

Une clameur de folie dans la salle quand la capuche a dévoilé le casque de Masterchief… Et moi qui bavait devant mon écran… ^^

 

8 – Titanfall :

http://www.youtube.com/watch?v=KnOxE4i1-XA

Alors que Pacific Rim débarque prochainement sur nos écrans, Titanfall explore une nouvelle voie chez les FPS. Un titre prometteur, j’espère néanmoins qu’il sera à la hauteur.

 

9 – Metal Gear Solid 5 :

La franchise débarque enfin sur Xbox !

 

10 – Splinter Cell Blacklist :

L’un des agents secrets les plus célèbres du monde du jeu vidéo revient et ça envoie ! 

 

11 – Ryse, Son of Rome :

Un titre à la sauce 300 / Spartacus, je crains un peu les nombreuses phases de QTE mais le jeu a vraiment l’air très sympa !

 

12 – The Elder Scrolls Online :

http://www.youtube.com/watch?v=VHj5VvFWbtE

Après avoir fait Morrowind, Oblivion et Skyrim, j’espère qu’ESO m’apportera autant de plaisir que ses 3 frangins avec un monde gigantesque, des créatures à ne plus savoir qu’en faire et surtout l’aspect multijoueur qui faisait jusque alors défaut…

 

13 – Kinect Sports Rivals :

http://www.youtube.com/watch?v=7WDX1Jqnfww

J’aime le sport donc je suis assez curieux de voir à quoi va ressembler ce titre qui, si il est amusant et intéressant, fera probablement partie de ma ludothèque.

 

14 – Forza 5 :

http://www.youtube.com/watch?v=iYTx9DFWMSI

Forza 3 a été mon tout premier jeu sur Xbox 360, par conséquent, il est probable que j’essaie son grand frère malgré le peu d’attirance que j’ai pour les jeux de voiture… (excepté ceux où le but est de les casser !)

 

15 – COD : Ghost : 

Je sais que je vais me faire cracher dessus, mais j’assume. Si les retours des joueurs sont corrects (je m’attends pas à ce qu’ils soient bons, bandes de vilains trolls !), il est probable que je le tâterais vite fais !

 

16 – Dying Light : 

Vous reprendrez bien un peu de zombies ^^ ?

 

17 – Project Spark :

Le concept m’a plut, j’attends d’en savoir un peu plus sur les possibilités du titre mais il est probable que je l’essai pour voir ce qu’il donne !

 

18 – Plants vs Zombies : Garden Warfare :

Le premier volet m’a occupé des heures entières sur Smartphone / Tablette / Xbox 360 et PC, pas de prise de tête, un jeu assez fun, il y a donc toutes les raisons pour que je passe quelques heures sur ce nouvel opus !

 

19 – Sunset Overdrive :

Déjanté, rapide, fun… De quoi passer de bons moments à tabasser du mutant ! 

 

 

Et voila, le tour des jeux next gen que j’attends avec impatience est terminé et on arrive quasiment à une vingtaine ! Ce nombre est dépassé je vous rassure, car je n’ai pas tout listé dans mon article, je pense notamment à Fifa, Destiny, D4, ou encore Mad Max, qui ne feront peut être pas parti de ma ludothèque dès leur sortie mais qui arriveront probablement un jour sur mes étagères. Vous l’aurez sûrement compris, malgré tout ce que l’univers connu ou inconnu reproche à Microsoft, je resterais sûrement fidèle au géant de Redmond.

Il y aura d’ailleurs peut être un article expliquant pourquoi… ou pas !

Sponsornot : Zéro collaboration

Read More

Tous les mois, on dirait qu’un service de Cloud nait… Entre Google, Microsoft, Mega, Box, Dropbox et bien d’autres, difficile de s’y retrouver ! Je vous propose donc un petit comparatif des différents prestataires de Cloud…

1 – Mega :

Mega

Petit dernier arrivé sur le marché sur Cloud, le successeur de MegaUpload a été lancé en grandes pompes par son créateur : KimDotCom. Après maintenant bientôt 2 mois d’existences, des millions de jeux de mots (MegaFail, MegaLent, MegaNul…) et quelques déboires à son lancement, qu’est ce que nous propose réellement Mega ?

Espace de stockage fourni gratuitement à la création d’un compte : 50Go

Applications mobiles : En cours de développement

Application desktop : En cours de développement

L’interface est sobre, épurée, on sait tout de suite s’orienter vers les différentes fonctionnalités. La gestion des fichiers est aisée grâce à la création de dossiers et sous-dossiers, la possibilité de glisser-déposer directement dans le navigateur, etc. Pour ceux qui en voudraient encore plus, il est possible de souscrire à des abonnements pour obtenir plus d’espace de stockage et de bande passante (prix d’appel : 9.99€ / mois pour 500Go et 1To de bande passante).

Le service est actuellement toujours en version Beta mais connait régulièrement de nouvelles modifications. Coté vitesse de transfert, malgré des déconvenues les jours ayant succédés au lancement, il semble que DotCom ai rectifié le tir puisque j’ai pu atteindre une vitesse en upload plafonnant à 1Mb/s.

Pour plus d’informations : https://mega.co.nz/

 

2 – Google Drive :

GoogleDrive

Après un moteur de recherche (Google), un service de webmail (Gmail), un réseau social [sarcasme] (Google+) et j’en passe, le géant américain a également lancé son propre service de Cloud bien évidemment interconnecté avec tous les autres services précédemment cités.

Espace de stockage fourni gratuitement à la création d’un compte : 5Go

Applications mobiles : Android / iOS

Application desktop : Disponible

Google Drive dispose lui aussi d’une interface assez épurée. On s’y repère facilement et l’application desktop est un réel plus pour l’utilisation. Les applications mobiles quand à elles permettent de traîner les données déposées sur le Cloud partout avec soi ce qui est plutôt agréable. Pour ceux qui n’en auraient pas assez, Google propose lui aussi un système d’abonnement pour augmenter votre espace de stockage (comptez minimum 2.50$ / mois pour 25Go supplémentaires).

Pour plus d’informations : https://drive.google.com

 

3 – SkyDrive :

SkyDrive

Microsoft pour ne pas être en reste avec ses petits camarades propose lui aussi son service de Cloud SkyDrive fonctionnant de concert avec son service de webmail : Outlook.com. 

Espace de stockage fourni gratuitement à la création d’un compte : 7Go

Applications mobiles : Android / iOS

Application desktop : Disponible

SkyDrive reprend la nouvelle charte graphique de Microsoft avec un look très « responsive ». Coté fonctionnalités, il ne propose rien de plus par rapport à la concurrence si ce n’est une interconnexion très poussée avec le nouveau système d’exploitation du géant de Redmond : Windows 8. En effet, la dernière mouture du célèbre OS propose à l’utilisateur, plutôt que de créer un compte, de s’authentifier directement avec son compte Microsoft ! L’intérêt est alors de pouvoir accéder à son interface sur n’importe quel ordinateur équipé de Windows 8 et donc par conséquent, à ses fichiers SkyDrive de la manière la plus simple qui soit ! Pour ceux qui n »en auraient pas assez, Microsoft propose également un système d’abonnement pour augmenter votre espace de stockage (comptez minimum ici 8€ /an pour 20Go supplémentaires).

Pour plus d’informations : https://skydrive.live.com/

 

4 – Box :

Box

Nom très court mais qui n’a rien à envier aux grands, Box est un service de Cloud sympathique pour particuliers mais qui est également orienté entreprises (150000 entreprises utiliseraient ce service) avec des fonctionnalités sécurisées (partage sécurisé, cryptage SSL…).

Espace de stockage fourni gratuitement à la création d’un compte : 5Go

Applications mobiles : Android / iOS / WindowsPhone

Application desktop : Disponible

Box permet d’autoriser des emails à se connecter à notre compte Cloud pour y déposer / récupérer des fichiers afin d’effectuer un travail en équipe. Ce fonctionnalité est intéressante dans le cadre de la conduite d’un projet, elle permet à toute l’équipe de travailler sur les mêmes fichiers partagés et d’être avertis lors des modifications. D’autre part, une application mobile est disponible sur tous les types d’OS mobiles (Android, iOS, WPhone et même Blackberry !) afin que tous le monde puisse en profiter. Ceux qui voudraient plus d’espace peuvent également passer à la caisse (compter 13€ / mois / utilisateur pour 1To de stockage, un autre type d’abonnement existe également pour les entreprises).

Pour plus d’informations : https://www.box.com/

 

5 – Dropbox :

DropBox

Un des plus connus car surement l’un des premiers à s’être démocratisé auprès du grand public.

Espace de stockage fourni gratuitement à la création d’un compte : 2Go

Applications mobiles : Android / iOS

Application desktop : Disponible

Pas de fonctionnalités extravagantes, les standards habituels. Petit plus tout de même : parrainer un ami vous rapporte 250Mo d’espace de stockage supplémentaire (dans la limite de 16Go maximum soit 64 amis parrainés). Les heureux propriétaires d’un périphérique de marque Samsung pourront bénéficier de 50Go d’espace pour une durée de 3 ans. Ceux qui en veulent plus pourront débourser si ils le souhaitent 99€ /an minimum pour un ajout de 100Go.

Pour plus d’informations : https://www.dropbox.com/home

 

6 – Tableau comparatif :

 

Mega 50Go 99€/an – 500Go 
GoogleDrive 5Go 30$/an – 25Go 
SkyDrive 7Go 8€/an – 20Go
Box 5Go 156€/an – 1To 
DropBox 2Go 99€/an – 100Go 

 

7 – OwnCloud :

OwnCloud

Sachez que si vous n’êtes pas fan d’héberger vos données sur des serveurs qui pourraient être à tout moment saisis par le FBI, il existe une solution alternative ! En effet, OwnCloud est un Cloud Php que l’on peut installer, configurer et surtout héberger soit même. L’intérêt c’est que nous avons la main sur toutes les données ! L’inconvénient majeur : il va falloir se taper l’installation complète soit même et surtout payer un serveur dédié (prix d’entrée 9.99€/mois pour un dédié sous linux avec 160Go d’espace disque). J’ai un peu testé cette solution qui est assez complète (gestion de partage, streaming musical, calendrier, etc…) et qu’il est possible de coupler à LDAP (donc possibilité d’intégration en milieu professionnel) et je trouve que c’est une bonne alternative pour ceux qui souhaiteraient avoir un Cloud pour leur entourage tout en ayant la main sur le serveur qui héberge les données. Des applications pour Android et iOS et leurs terminaux respectifs sont également disponibles !

Applications mobiles : Android / iOS

Pour plus d’informations : http://owncloud.org/

 

Pour ma part, le choix est vite fait. Ayant pu profiter d’une offre promotionnel chez Box, j’ai actuellement un espace de 50Go disponible chez eux et j’utilise également Mega avec ses 50Go, les autres ne me sont que d’une utilité très occasionnelle…

Sponsornot : Zéro collaboration

Read More