Steep a débarqué en même temps que les premières froideurs de l’hiver, un timing presque parfait qui pourrait nous donner envie de sauter dans le premier train pour chausser les skis et manger de la poudreuse. 

1. Le pari glissant d’Ubisoft

Alors que l’entreprise est sous l’épée de Damoclès Bolloré depuis de nombreuses semaines, elle a choisi de prendre un risque non négligeable : celui de développer un jeu de glisse. Pourquoi est ce un pari risqué ? Tout simplement parce que :

– développer un jeu ça coûte cher et si il se plante c’est une catastrophe financière pour Ubisoft et une occasion pour Vivendi de les bouffer tout crus

– le dernier jeu de glisse en date est Stoked en 2009 sur Xbox 360, qu’avant on avait rien de fou et que depuis on a rien eu du tout

– j’ai commencé avec SkiFree sur Windows 3.11

Donc oui, Ubisoft a pris un risque en sortant de ses sentiers battus nommés FarCry / Assassin’s Creed / Anno et qui sont massivement achetés depuis des années par tous les fans. Mais là, on se retrouve un peu comme avec The Division : une nouvelle licence qu’il va falloir développer et surtout qui va devoir convaincre un public qui attend depuis près de 7 ans un nouveau jeu de glisse. Mais chez Ubisoft on aime relever les défis et quitte a prendre des risques autant y aller à fond en confiant le développement à son studio d’Annecy qui n’a jamais encore développé de jeu en solo. C’est également la première fois en 20 ans qu’Ubisoft va concevoir un jeu de A à Z sans faire appel à aucun autre studio ! Grosse prise de risque j’vous disais…

Mais c’est un risque calculé car Ubisoft s’est entouré des meilleurs pour concevoir Steep. Le choix du studio chargé du développement, Ubisoft Annecy, situé au pied des montagnes, on ne pouvait pas faire plus proche de l’élément principal du jeu et il y a fort à parier que les employés d’Annecy connaissent cette montagne qu’ils ont mis 2 ans à modéliser. Le studio s’est également entouré des meilleurs professionnels du secteur : GoPro / RedBull / Salomon / The Northface et compagnie, des marques habituées des sports extrêmes et de la montagne qui ont pu prodiguer leurs précieux conseils aux développeurs et placer leurs produits tout azimuts, notamment une vue GoPro assez réaliste ! Enfin, des sportifs de l’extrême tels que Kevin Rolland, Horacio Llorens, Sammy Luebke, mais également l’équipe de Freestyle française qui a été mise à contribution pour réaliser la Motion Capture qui servira à animer les riders du jeu.

Oui, Ubisoft a pris un risque avec Steep, une nouvelle licence, mais c’est un risque calculé qui a un énorme potentiel. Pari réussi ?

 

2. L’appel des grands espaces

Steep, c’est un jeu de sports extrêmes se déroulant pour le moment dans les Alpes Françaises, Suisses et Italiennes, une vaste zone avec de la poudreuse à profusion pour contenter les riders de tous poils (de yéti). 

Je précise « pour le moment » concernant les Alpes car il se murmure que de nouvelles zones de ride pourraient être ouvertes comme le Japon, la Norvège ou encore l’Alaska par exemple mais on espère tous secrètement pouvoir un jour dévaler les pentes de l’Himalaya… Mais pour le moment, vous devrez vous contenter des Alpes franco-italo-suisse et croyez moi, la superficie à explorer est absolument immense !! Bien entendu, pour pouvoir en découvrir la totalité, il va vous falloir vous approcher à moins de 1000m des drop zones pour pouvoir les débloquer, ainsi que les challenges qui vont avec, à l’aide de vos jumelles et pouvoir vous y faire déposer gracieusement. Pour vous approcher des drop zones, vous aurez pour l’instant le choix entre 5 sports : 

– la marche (oui oui, c’est un sport)

– le ski

– le snowboard

– la wingsuit

– le parapente

J’ai bien dit pour l’instant puisque la luge, le rocket wings, le base jump et le speedgliding sont prévus d’arriver dans de futurs DLCs au même titre que les nouvelles zones géographiques, de quoi étancher notre soif d’adrénaline.

Un didacticiel assez cours nous permet de rapidement prendre en main les 4 sports extrêmes, nous permettant d’appréhender le fonctionnement de chacune d’entre elles à travers divers challenges. Ces challenges sont répartis en fonction des sports mais également des aptitudes que vous pourrez développer en tant que rider en participant a ces divers challenges :

– Freestyler : se développe en réalisant des tricks de fou lorsque vous dévaler les pentes et franchissez des falaises de rochers abruptes

– Pro Rider : suivez la ligne et réalisez une descente parfaite pour développer cet attribut

– Bone Collector : cassez vous la gueule, ça fait mal mais vous vous en remettrez

– Explorateur : baladez vous pour découvrir, un bon bol d’air pur ça fait du bien

– Rider Extrême : prenez tous les risques pour impressionner le public

– Freerider : baladez vous librement et prenez votre pied, sans objectif et avec pour seule pression, celle servi au restaurant d’altitude

Chaque spécialité est divisée en 5 niveaux dont la jauge d’expérience ne cesse d’augmenter à mesure que vous progressez, au début c’est assez rapide de gagner un ou deux niveaux mais cela devient de plus en plus long et demande de plus en plus d’efforts et de précision sur les tricks alors j’espère que votre manette tient la route ! Un niveau général caractérise votre personnage et ce dernier augmente quelle que soit la spécialité dans laquelle vous avez obtenue de l’expérience. Plus vous monter en niveau, plus vous débloquerez de zones réservées aux joueurs les plus expérimentés. Et des objectifs a remplir, il y en a énormément ce qui assure une durée de vie très importante aux complétionneurs les plus assidus.

Chaque fois que vous réussissez un challenge, vous obtenez une récompense qui contient toujours de l’expérience et de l’argent. Seule la médaille d’or débloquera une pièce d’équipement que vous pourrez acheter dans la boutique avec l’argent que vous aurez gagné dans le jeu, vous donnant ainsi l’occasion d’adopter un style unique !

Graphiquement, Steep est vraiment très beau avec ses reflets, ses ombres, le soleil aveuglant et surtout, les conditions de lumière qui changent en fonction de l’heure à laquelle vous ridez dans le jeu qui donneront de magnifiques nuits ou des couchers de soleil flamboyant embrasant les monts enneigés. La bande son est vraiment excellente, avec un léger arrière goût de Tony Hawk pour ceux qui ont connu le premier Pro Skater. Les cinématiques sont un peu en deçà du jeu niveau qualité mais c’est surement un effet voulu.

La maniabilité des différents sport est vraiment bluffante, que ce soit les sports de glisse ou les sports aériens la prise en main est très rapide mais la réalisation des tricks nécessitent un petit temps pour prendre le coup de main. Bien entendu, vous ne pouvez pas mourir mais vous pouvez tomber KO si vous encaissez trop de G lors de vos acrobaties conduisant ainsi à l’échec du challenge en cours. Clairement, Steep exige une manette car je ne vois vraiment pas comment c’est possible de jouer autrement.

 

3. Conclusion

Après de nombreuses années de disette coté sports extrêmes sur consoles, Ubisoft déboule avec une nouvelle licence qui risque de mettre tout le monde d’accord. Steep dispose déjà d’une excellente maniabilité, d’un univers immense avec d’excellents graphismes, 4 sports surboostés à l’adrénaline et beaucoup de contenu additionnel est à venir avec les DLCs et l’ajout de nouvelles zones / challenges / sports. Vous l’aurez compris, pour moi Steep c’est un gros oui, une valeur sûre à mettre au pied du sapin à Noel pour tous ceux qui sont accrocs à l’adrénaline et la poudreuse !

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Après l’immense succès du 7e épisode de la saga au cinéma, une adaptation en jeux vidéo était inévitable et comme j’ai toujours aimé les LEGO et Star Wars, j’ai le plaisir de vous donner aujourd’hui mon avis sur LEGO Star Wars : le Réveil de la Force (oui oui… j’ai pris mon temps pour l’écrire !).

1. Synopsys

Warner revient en force avec un nouvel épisode de LEGO. Cette fois, le jeu vous fait voyager dans l’univers Star Wars, basé sur le dernier film de la saga. Incarnez Rey, Finn, Poe, BB-8, Kylo Ren, Han Solo et d’autres personnages du film ! Revivez les événements du film, toujours racontés avec l’humour propre à l’univers LEGO.

2. La Force est grande dans ce jeu

A l’instar des autres jeux de la collection LEGO, LEGO Star Wars : le Réveil de la Force suit quasiment pas à pas la chronologie du film en incluant ça et là des bribes d’histoire inédites permettant de faire le lien entre les épisodes 6 et 7. Le jeu commence donc avec une cinématique d’introduction résumant de la fin du film Le Retour du Jedi avec la bataille d’Endor et la destruction de l’étoile de la Mort, nous propulsant ainsi en plein milieu de la forêt et des ewoks pour combattre les troupes impériales. Ce prologue permet d’aborder le Réveil de la Force sur des bases solides et sert logiquement de didacticiel à qui n’aurait jamais mis la main sur un autre jeu LEGO. S’enchainent ensuite les scène du film, à la sauce LEGO.

Star Wars : le Réveil de la Force

On retrouvera ainsi les héros du Réveil de la Force comme BB-8, Rey, Kylo Ren ou encore Poe Dameron, mais également ceux de la trilogie originale comme Han Solo, Chewbacca, Amiral Ackbar et j’en passe. Au total, vous aurez la possibilité de débloquer et donc d’incarner plus de 200 personnages à travers les 18 niveaux qui composent le jeu.

Star Wars : le Réveil de la Force - Des personnages en pagaille

Les véhicules emblématiques de la saga sont également de la partie et vous pourrez vous retrouver aux commandes du X-Wing de Poe ou encore du Faucon Millenium pour ne citer qu’eux. La maniabilité des différents vaisseaux nécessite un petit temps d’adaptation les premières fois mais ensuite ça roule tout seul et c’est vraiment très très fun !

Star Wars : le Réveil de la Force - Pilote de vaisseaux

Comme à chaque fois, l’alternance entre les cinématiques et les séquences de gameplay est presque parfaite et permet au joueur de suivre sans problème le déroulé et l’enchainement des événements auxquels il prend part. Cela à 2 gros avantages selon moi :

– Premièrement, cela permet aux joueurs qui n’ont jamais vu un seul Star Wars de suivre la chronologie de l’Histoire et du pourquoi on en est là, sans avoir l’impression d’être parachuté de nul part et de simplement enchainer les résolutions d’énigmes. Ils peuvent alors se plonger a fond dans l’Histoire et cela ne peut que leur donner envie d’aller voir le film ou de se le procurer en DVD.

– Deuxièmement, les fans de la saga ne seront que ravis de pouvoir vivre une Histoire qu’ils auront surement vu au cinéma et / ou en DVD, avec une grosse touche de LEGO en plus.

Les graphismes sont plutôt bons pour un jeu LEGO et les ambiances des différents niveaux sont parfaitement retranscrites avec tous les bruits qui vont avec. Pour finir, l’humour omniprésent donne une toute autre dimension au jeu avec des clins d’oeil ou des gars. Un régal !

 Star Wars : le Réveil de la Force

 

3. Des mécaniques bien rodées

LEGO Star Wars : le Réveil de la Force reprend l’ensemble des caractéristiques des précédents jeux LEGO qui font le succès de cette collection.

Pour avancer dans l’Histoire, vous devrez donc casser des briques, beaucoup de briques, énormément de briques… Pour collecter des pièces qui vous serviront à acheter certains éléments dans la boutique, pour les ré-assembler afin de résoudre des énigmes, pour libérer le passage… Bref, il va vous falloir casser de la brique en masse ! Mais c’est l’essence même des jeux LEGO non ?

Autre point caractéristique, la résolution des énigmes. En effet, pour progresser dans l’aventure vous devrez résoudre des énigmes qui vous permettront d’actionner des mécanismes. Si la plupart d’entre elles sont assez simple à solutionner, il vous faudra parfois faire preuve d’ingéniosité et surtout bien coordonner les différents héros de votre groupe afin qu’ils exécutent les bonnes actions au bon moment, de quoi devoir s’y reprendre à plusieurs fois…

Si vous êtes un fana de la recherche d’objectifs secondaires, les développeurs ont pensé à vous ! A travers les 18 niveaux du jeu, vous pourrez trouver près de 450 briques disséminées ça et là dans les recoins du décors, objets indispensables pour déverrouiller certains succès. Bien évidemment, il est impossible de tous les récupérer en mode Histoire puisque certains demanderont une combinaison précise de héros pour être débloqués.

C’est là que le mode Libre entre en scène. Présent dans tous les autres titres de la collection, ce mode vous permettra de refaire n’importe quel niveau déjà terminé en mode Histoire afin d’essayer de glaner les objets à coté desquels vous seriez passé.

Star Wars : le Réveil de la Force - Les planètes, lieux de nombreuses aventures...

 

4. Conclusion

Avec une durée de vie d’environ 10h pour ceux qui ne perdent pas de temps mais 20 à 15h pour les plus accros à la recherche de tous les trophées / succès (source HowLongToBeat), LEGO Star Wars : le Réveil de la Force est d’une durée de vie plus que correcte. Les graphismes, l’humour et les caractéristiques propres aux jeux de la collection LEGO en font une valeur sûre que vous pouvez acheter les yeux fermés, pour vous ou vos enfants.

Que vous soyez fan ou non de la saga cinématographique, le jeu devrait sans problème vous procurer d’excellentes soirées dans votre canapé !

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J’ai pris le temps pour l’écrire, et je vous explique plus bas pourquoi, mais je vous donne enfin mon avis sur l’un des derniers jeux de Square Enix : Hitman.

1. Synopsis :

 Il existe un monde au-delà du nôtre. Au-delà des nations, de la justice, de l’éthique. Ce monde ne dort jamais. Il se trouve partout. Une fois que vous y entrez, il n’y a pas de retour possible… Bienvenue dans un monde d’assassinats : vous êtes l’agent 47, le tueur à gages ultime.

 

2. Le retour de l’homme au crane rasé :

4 ans se sont écoulés depuis Hitman Absolution, le dernier jeu sorti sur PC et consoles dans lequel nous pouvions incarner l’Agent 47 et aujourd’hui, Square Enix a décidé de ressortir son assassin fétiche du placard pour lui faire reprendre le service le temps de quelques missions.

Hitman : l'Agent 47 est de retour

Le jeu démarre sous forme d’un tutoriel habilement dissimulé sous les traits d’un prologue qui nous permet, au fil de quelques missions d’entrainement, de reprendre en main les différentes actions à notre disposition pour mener à bien le(s) contrat(s) qui nous est (sont) offert(s). La difficulté n’est bien évidemment pas insurmontable lors de ce prologue qui en profite au passage pour poser les circonstances dans lesquelles l’Agent 47 fait son retour. Lors de cette introduction, on comprend rapidement qu’il sera très difficile de s’en sortir par la force brute et que finir une mission en rushant tout le niveau, fusil d’assaut en main, est tout bonnement suicidaire. Non, Hitman n’est pas un shoot’em up, il va falloir faire travailler ses méninges !

Et c’est ce que l’on va devoir faire lors des 3 premières destinations du jeu, à savoir : Paris (France) / Sapienza (Italie) / Marrakesh (Maroc). Chaque épisode du jeu nous donne 2 cibles à éliminer par quelque moyen que ce soit, le but étant de ne pas se faire remarquer et de faire preuve de créativité pour engranger un maximum de points.

a. Paris :

L’action se déroule lors d’une énorme réception mondaine à Paris, organisé pour le lancement d’une marque. Il vous faudra abattre 2 cibles à l’intérieur d’un batiment gardé par des dizaines de gardes armés jusqu’aux dents. Une fois le bonne angle d’infiltration trouvé, entrer dans le batiment est assez facile, mais s’y déplacer sans se faire remarquer est une autre paire de manche…

b. Sapienza :

47 fait un petit crochet touristique par la ville de Sapienza en Italie pour le 2e épisode de ses aventures, un petit village de bord de mer avec ses falaises, ses restaurants typiques où le cuistot est une tête de mule et sa plage pittoresque. Votre mission, et vous l’acceptez, est de tuer Silvio Caruso, un bio-terroriste, sa femme et de détruire le virus mortel que le couple est en train de créer dans sa bat-cave personnelle.

Les opportunités sont nombreuses, les différentes possibilités d’assassinat donne une bonne rejouabilité à cette mission qui se révèle un peu plus facile que la mission de Paris. 

c. Marrakesh :

Dernière destination européenne pour cette première saison, Marrakesh au Maroc n’est pas forcément la ville qui sera la plus simple pour notre Agent. Vous devrez éliminer le banquier privé Claus Strandberg, qui s’est réfugié comme Edward Snowden dans le consulat suédois sous bonne garde, et le général Reza Zaydan qui a investi une école abandonnée avec l’ensemble de ses troupes d’élites et leur arsenal.

Pour ma part, j’ai trouvé cet épisode beaucoup plus dur que les 2 précédents. En cause, la foule de personnes présentent dans le souk dont l’ambiance est par la même occasion assez bien retranscrite. Les gens s’invectivent, nous interpellent, les soldats font leurs rondes et il faut ruser à chaque coin de rue pour obtenir des informations ou de précieux objets qui nous aideront à progresser dans notre mission. Les 2 cibles sont vraiment très bien gardées et j’avoue avoir réussi a les éliminer toutes les deux mais j’ai trébuché sur une équipe de sécurité au grand complet en tentant de rejoindre mon point d’extraction… Oups, tout à refaire !

 

3. Un bon titre mais avec quelques défauts :

Je vais commencer par exposer les bons cotés du jeu.

Les graphismes sont plutôt réussis. Les jeux d’ombres et de lumières permettent de se dissimuler et les décors des différentes villes traversées sont vraiment très bien fait. La quantité de personnages se promenant sur la carte est impressionnant, notamment lors de l’épisode de Marrakesh, et pourtant le jeu ne semble pas en patir.

La planification de chaque mission est top. Vous aurez la possibilité de choisir votre équipement de départ, votre point de départ, un équipement à votre disposition dans une planque de votre choix, etc…

Hitman : la planification des missions

Chaque mission est donc entièrement customisable mais l’accès à ces paramètres de mission se mérite ! Lorsque vous terminez une mission, votre score est calculé d’après toutes les actions et défis réalisés. Ce score alimente une jauge vous permettant de passer des niveaux relatifs à l’épisode (Paris, Sapienza ou Marrakesh) et chacun de ces niveaux débloque une série de paramètres qui peuvent être un point de départ alternatif, une planque d’équipement ou encore un équipement supplémentaire, vous permettant ainsi de recommencer le même épisode mais avec des paramètres différents.

Hitman : tuer moins pour gagner plus

Les défis à réaliser vous aideront notamment à remplir votre jauge de points. Ils sont nombreux, très nombreux et très variés ! Il y a des défis simples, d’autres compliqués, certains sont funs, d’autres demanderont d’effectuer pleins d’actions avant de pouvoir être validés… ces défis sont une vraie mine de rejouabilité pour chacun des 3 épisodes du jeu et ajouteront une durée de vie conséquente à Hitman pour ceux qui souhaiteront tous les accomplir.

Hitman : Les défis, innombrables !

Autre bonne idée, l’apparition régulière pendant une période assez courte de cibles particulières qu’il vous faudra débusquer et assassiner ! La principale difficulté réside dans le fait que ces cibles n’apparaissent que pendant 48h, un créneau très réduit qui vous obligera à vous connecter souvent aux serveurs Hitman pour vérifier la présence ou non de la cible.

Gros parti pris de la part de l’éditeur, Square Enix a en effet décidé de faire une livraison par épisode de son jeu. L’éditeur propose donc d’acquérir le prologue et l’épisode de Paris dans un package de base. Chaque épisode a été livré à intervalle régulier ensuite avec possibilité de les acquérir au coup par coup ou bien en achetant un Season Pass donnant accès à toutes les missions du jeu dès qu’elles sortent. C’est pour cette raison que j’ai pris mon temps pour publier le test du jeu, je ne voulais pas écrire un avis sur le jeu en ayant uniquement terminé une infime partie du jeu…

De nos jours, les Season Pass ont le vent en poupe. Battlefield et son « Premium » permettent ainsi d’avoir accès à toutes les nouvelles maps qui seront développées dans le futur, Ubisoft nous livre également quasiment l’intégralité de ses jeux avec une option « Season Pass » donnant accès à tout le futur contenu des jeux… Bref tous les éditeurs ou presque s’y sont mis et Square Enix a décidé de surfer sur la vague… De mon point de vue, c’est une bonne idée car le joueur peut décider de n’acheter que le prologue pour tester le jeu, et si il lui plait, il fera l’acquisition du Season Pass ou de chaque épisode séparément. Mais c’est également une mauvaise idée car le prologue et la première ne représentent pas un contenu énorme (mais ce package ne coute que 15€) et le joueur pourra être frileux en ce qui concerne l’achat des missions suivantes, pouvant penser a raison que ça n’en vaut pas la peine…

Hitman : Une tarification à la carte

Deuxième point très rébarbatif à mes yeux, les temps de chargement extrêmement longs et associés à de déconnexions fréquentes des serveurs officiels Square Enix. Dis comme ça, cela peut paraître anodin mais quand vous êtes déconnecté en pleine mission, il arrive que cela vous ramène au menu de préparation de la mission… Cela m’a valu quelques ragequit du jeu je dois l’avouer. Les temps de chargements des missions sont infinis, mais une fois une mission chargée, si vous la recommencez (Pause > Redémarrer la mission), le chargement est beaucoup plus rapide, et heureusement…

 

4. Conclusion :

Disponible sur PC, PS4 et Xbox One, Hitman signe le retour en fanfare de l’Agent 47 dans un jeu qui souffre de quelques défauts comme son mode de commercialisation par épisode, ses temps de chargement ou encore les problèmes de connexion aux serveurs. Parallèlement à ça, les graphismes, le gameplay et l’énorme rejouabilité de chaque épisode permettent de gommer légèrement ces défauts qui se font assez vite oublier… Jusqu’à la déconnexion suivante 😉 La tarification n’est pas un problème grave en soit puisqu’il permet aux joueurs d’acheter un solide aperçu du jeu avant de décider si oui ou non il fera l’acquisition du reste.

Bref, si vous voulez retrouver l’esprit des premiers Hitman, vous pouvez foncer !

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J’ai eu l’occasion de tester plusieurs accessoires de l’écosystème racing de Thrustmaster et après avoir passé le volant T150 Ferrari Edition au grill, c’est au tour du volant TMX … de passer à la moulinette.

1. Packaging

A la réception du carton, ma première impression a été de me dire « oh oh… y’a eu une erreur d’expédition » car le carton du T150 et celui du TMX sont exactement de la même taille ! Au niveau de l’emballage, c’est une fois de plus très sérieux, avec un carton de protection épais et un produit solidement calé à l’intérieur, aucun risque que le volant arrive abimé.

Une fois ouvert, le carton d’emballage dévoile le carton du volant TMX, là encore d’une taille identique à celui du T150 mais aux couleurs de la Xbox One, la console de Microsoft.

Thrustmaster TMX Force Feedback : un carton imposant

Pour le contenu, pas de surprise puisque l’on retrouve exactement les mêmes accessoires que pour le T150 à savoir :

– le volant TMX

– la pince de serrage et sa vis

– le pédalier

– une notice succinte

Comme vous pouvez le voir, pour l’instant le TMX s’annonce comme une copie conforme du T150 à la seule différence qu’il est compatible PC et Xbox One.

 

2. Design et conception

Le TMX reprend les mêmes codes que le T150 avec du plastique noir de bonne qualité. On retrouve les 2 palettes métal derrière le volant d’un diamètre de 28cm pour le changement de vitesse.

Thrustmaster TMX Force Feedback : un T150 version Xbox One

Une petite différence au niveau des boutons tout de même, le TMX étant compatible PC et Xbox One, il intègre donc les boutons relatifs à la console à savoir le bouton Home, le bouton Start et les boutons LB / RB / A / B / X / Y.

Thrustmaster TMX Force Feedback : les boutons Xbox

Le volant dispose également de grips en caoutchouc noir, plus sobre que le rouge ou le bleu du T150, afin d’avoir une bonne prise en main lors de la conduite.

Le pédalier est tout en plastique et ne dispose que de 2 pédales, l’une pour accélérer et l’autre pour freiner. Il faudra vous passer de la pédale d’embrayage donc.

Thrustmaster TMX Force Feedback : le pédalier double pédale

Pour plus d’informations techniques, je vous encourage à jeter un oeil sur la page officiel du produit.

 

3. Installation et configuration

Sur PC, une fois les derniers drivers téléchargés et installés, le volant est immédiatement reconnu et permet d’attaquer l’asphalte dans Assetto Corsa ou PCars rapidement moyennant un petit passage par la case réglages. En effet, le volant n’est pas reconnu comme un T150 mais bien comme un volant distinct et donc les paramètres sont à configurer !

 Thrustmaster TMX Force Feedback : la configuration sur DiRT

Sur Xbox One, la mise en route est la simplicité même. On branche, on ajuste la sensibilité et en voiture Simone ! Le récent DiRT (photo ci dessous) dispose de quelques options de réglages assez poussées. En revanche, sur un jeu un peu plus ancien comme Forza Horizon 2 il faudra se passer des réglages, mais cela fonctionne assez bien au volant une fois le temps d’adaptation passé. Gros point noir : le cable USB est bien trop court par rapport à ce que l’on peu attendre d’un volant console. Cela nous oblige à jouer à moins de 2m de la Xbox (donc si on a un grand écran, on a quasiment le nez dessus) ou à ajouter une rallonge USB (ce que j’ai fais et qui fonctionne parfaitement).

 

 

4. Utilisation et sensations

J’ai vite retrouvé les mêmes sensations sur PC qu’avec le volant Thrustmaster T150. La conduite sur circuit est encore une fois un réel plaisir avec ce TMX Force Feedback sans pour autant que l’on soit un pilote chevronné et les sensations sont très rapidement au rendez vous dès les premiers virages. 

L’ensemble des boutons et commandes sont a portée de pouce ce qui permet de garder le volant bien en main lorsque l’on action l’un des boutons, on évitera ainsi les sorties de route malencontreuses !

Thrustmaster TMX Force Feedback : des boutons a portée de doigt

Le pédalier 2 pédales est un poil léger et risque de glisser un peu en fonction du sol sur lequel il est posé. Il est important de noter que le volant Thrustmaster TMX Force Feedback est compatible avec les accessoires de la même marque comme le pédalier Thrustmaster T3PA ou le levier de vitesse Thrustmaster TH8A que j’ai en ma possession et qui améliorent grandement l’expérience de jeu.

Bref, ce volant Thrustmaster TMX Force Feedback confirme la bonne impression que j’ai eu avec le T150 de la même marque mais ayant pu tester le TMX sur console, je vous conseille vivement de trouver un support spécial ou un siège adapté (un siège rSeat par exemple).

 

5. Conclusion

Le volant Thrustmaster TMX Force Feedback s’affiche clairement comme la version Xbox One du T150 en reprenant à peu de choses près son design mais également sa mécanique et son emballage. Les sensations sont très vite au rendez vous pour peu qu’on passe par la case réglages sur PC. Sur Xbox One c’est la simplicité même puisqu’il n’y a presque rien à configurer, tout est déjà prêt ! La conception du volant vous permettra de passer de longues heures à conduire en tout sérénité.

Affiché à un tarif autour de 200€ sur Amazon ou sur le site officiel Thrustmaster, on aurait apprécié un câble un peu plus long.

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Sorti en grandes pompes le 5 avril 2016 en exclusivité sur Windows 10 (Xbox One et PC), Quantum Break est une toute nouvelle franchise développée par Remedy Entertainment, sous la direction du grand Sam Lake (le papa de Max Payne), pour Microsoft Studios. 

Cela faisait longtemps que j’attendais cette sortie, depuis son annonce à l’E3 2013 pour être exact, et je vous avoue que j’ai pris mon temps pour le savourer. La premier vidéo de gameplay m’avait littéralement scotché et je n’avais qu’une crainte, que le jeu ne soit pas à la hauteur.

1. Synopsis :

Vous incarnez Jack Joyce, un trentenaire à la jeunesse un peu tourmentée, qui se rend le 9 octobre 2016 à l’université de Riverport à la demande du milliardaire à la tête de Monarch Solutions et ami de longue date Paul Serene, qui souhaite lui montrer quelque chose d’unique : une machine à remonter le temps. Jack aide Paul à réaliser un essai de voyage temporel mais tout ne se passe pas comme prévu et ils créent sans le vouloir une fracture temporelle qui va empirer inexorablement jusqu’à provoquer un arrêt du temps. Mais Jack se rend rapidement compte que le temps n’est pas la seule chose qui ai été altérée par cette expérience et se découvre des pouvoirs lui permettant de contrôler le temps. Avec l’aide d’alliés insoupçonnés, il va tenter d’échapper à Monarch Solutions et de réparer ce qui a été brisé…

 

2. Scénario et déroulement de l’intrigue :

Le scénario est plutôt bien construit et se révèle plus complexe qu’il n’y parait au premier coup d’oeil au fur et à mesure que l’on avance dans l’histoire. Remedy prend le temps de poser les bases de l’histoire du jeu dès le départ, sans partir sur les chapeaux de roues afin que le joueur appréhende bien les différents liens entre les personnages qui lui sont présentés et les événements en cours ou à venir. Du coup, on se retrouve avec une locomotive à vapeur, longue à la mise en route mais qu’on à du mal à stopper par la suite et ce n’est pas pour me déplaire !

Quantum Break : les échos quantiques

Le jeu est découpé en 5 actes distincts (découpés en plusieurs parties) et à la fin de chacun (5e excepté), vous serez placé dans la peau de Paul Serene et devrez faire un choix qui déterminera la suite des événements.

Quantum Break : les choix de fin d'acte

A chaque fois, vous pourrez entrevoir les grandes lignes de ce que va engendrer votre choix avant de le confirmer. Une fois le choix validé, un épisode de la série Quantum Break est lancé et sert de transition avec l’acte suivant, l’épisode étant un peu différent selon le choix que vous aurez fait précédemment et durant environ 25 minutes. A la fin de l’acte 5, l’épisode de série est remplacé par une longue cinématique. Le casting du jeu (et donc celui de la série) est assez remarquable puisque l’on peut y retrouver entre autres Shawn Ashmore (X-Men), Aiden Gillen (Game of Thrones), Dominic Monaghan (Lost / Le Seigneur des Anneaux), Lance Reddick (John Wick / Lost) et le motion capture permet de donner un rendu criant de réalisme au jeu. Gros coup de coeur pour Courtney Hope qui incarne Beth Wilder et que j’espère nous reverrons prochainement au cinéma.

Quantum Break : un jeu, mais aussi une série

Coté action, les amateurs de Call of Duty et Battlefield devront passer leur chemin. En effet, Quantum Break est un jeu à la troisième personne et les fusillades n’y sont pas primordiales contrairement à la trame narrative. Dans l’ensemble ce n’est pas génant en soi, mais on aurai aimé en avoir un tout petit peu plus histoire de pouvoir s’amuser un peu avec tous les pouvoirs mis à notre disposition.

 

3. Gameplay :

Suite à son exposition aux chronons lors de l’incident avec la machine à remonter le temps, Jack Joyce dispose de pouvoirs exceptionnels lui permettant d’influer sur le cours du temps. Ces aptitudes sont au nombre de 6 :

– la vision temporelle qui permet de déceler les éléments importants du décors ou les ennemis

– l’arrêt temporel permettant de figer le cours du temps sur une zone donnée

– l’esquive temporelle pour se déplacer rapidement à un endroit donné

– l’accélération temporelle qui donne la possibilité d’arrêter le temps et de se déplacer sur une courte période

– le bouclier temporel pour se mettre à l’abris des balles quand tout va mal

– l’explosion temporelle qui créé une déflagration dévastatrice à un endroit donné

Quantum Break : les capacités

Ces 6 pouvoirs, vous aurez le temps de les prendre en main au fil de l’intrigue, Remedy ayant eu l’intelligence d’intégrer le didacticiel de chaque capacité à l’histoire. Chaque pouvoir peut être amélioré grâce à des chronons que vous ramasserez dans le jeu. J’ai vraiment pris mon pied a utiliser ces pouvoirs, à les combiner pour varier les façon de venir à bout des hordes de Monarch Solutions lancées à ma poursuite. Mais les pouvoirs ne servent pas qu’à se battre puisqu’ils permettent également d’avancer dans le jeu en modifiant le cours du temps pour pouvoir franchir certains obstacles.

Pour vous donner une idée de ce qu’il est possible de faire avec les pouvoirs de Jack, voici une petite vidéo :

Ayant le jeu sur Xbox One ET PC, j’ai pu comparer la différence de prise en main entre les deux. La version Xbox One est très bien pensée, la maniabilité est excellente même si parfois un peu imprécise lors de l’utilisation de l’esquive temporelle par exemple. Pour ce qui est de viser, l’aide à la visée sera votre meilleure amie. Coté PC (Clavier / Souris) c’est excellent aussi, peut être un peu moins intuitif pour l’utilisation des pouvoir si vous ne prenez pas le temps de configurer au poil les touches mais pour la visée, la souris est redoutable et permet une meilleure précision qu’avec la manette.

Comme beaucoup d’autres jeux (Assassin’s Creed, FarCry, Rise of the Tomb Raider…), Quantum Break recèle un nombre impressionnant d’éléments à découvrir et on serait en droit de se dire que Remedy n’a pas réussi à contourner l’écueil du « il faut donner au joueur 10000 choses à ramasser pour allonger la durée de vie de notre jeu ». Et bien qu’on se le dise, ce n’est pas le cas. Là où nombre de jeux nous font ramasser des objets sans grand intérêt pour l’histoire en elle même, Quantum Break a donné une réelle utilité a tous les éléments à trouver qui deviennent alors de réelles sources d’informations, certes non capitales pour arriver à la fin du jeu, et donnent au joueur des précisions sur les différents liens qui unissent ou opposent les personnages ou sur le déroulement des événements.

Quantum Break : le suivi des objets à collecter

J’ai pris mon temps pour terminer le jeu, afin de lire presque tous ces petits éléments pour m’imprégner à fond dans l’histoire et je ne regrette pas les 36h passées sur Quantum Break !

 

4. Graphismes :

Globalement, les graphismes sont très beaux. Les jeux de lumières remarquables et la pléthore de détails donnent au jeu une âme qu’on prend du plaisir à regarder, quitte à s’arrêter 2 minutes pour contempler la vue. Lors des répliques temporelles, l’effet de fracture du décors environnant est de prime abord assez déroutant mais on s’y fait rapidement. Les détails sont omniprésents et surtout sont partout, aucune zone ne donnant l’impression d’avoir été fini grossièrement.

Sur Xbox One, les graphismes sont bon et on imagine que l’effet de fracture du décors aide beaucoup la console à tenir les 30 FPS.

Coté PC, Remedy recommande une configuration assez musclée pour une grande majorité de gamer avec :

– Intel i5 (3 GHz)

– NVIDIA GeForce GTX 970 / AMD Radeon R9 390

– 16Go de RAM

On notera qu’il faut impérativement jouer sur un PC équipé de Windows 10 (64 bits) avec DirectX 12 ! Une façon pour Microsoft de faire sauter le pas à un petit peu plus de monde…

De mon coté (i7 5960X / NVIDIA GeForce GTX 980Ti / 32Go de RAM), le jeu tourne en Ultra, c’est fluide quelle que soit la situation et le jeu est magnifique.

Quantum Break : le temps est brisé...

 

5. Les petits plus :

Je vous l’ai dis, j’ai le jeu sur PC et Xbox One et j’ai vraiment apprécié avoir ma sauvegarde synchronisée automatiquement entre les 2 plateformes. Pas besoin de me prendre la tête pour tout recommencer, on reprend exactement là où l’on s’est arrêté sur l’autre support. Plaisant, d’autant plus que les succès sont également en commun !

L’autre petit plus que je tiens à souligner une fois de plus c’est l’intégration d’une mini série entre les actes du jeu. C’est à mon sens un élément qui contribue grandement au succès du jeu et qui permet au joueur d’être un peu plus happé par l’histoire.

Et enfin, une copie numérique de Alan Wake et une copie Windows 10 de Quantum Break sont offertes pour l’achat du jeu en dématérialisé. Si vous optez pour la version physique, il faudra vous passer du code pour la version PC.

 

6. Conclusion :

Est ce que j’ai aimé Quantum Break ? Est ce que j’en veux encore ? Est ce que je reste un peu sur ma faim ? OUI, mille fois OUI ! Clairement, Quantum Break est pour moi le jeu de l’année sur Xbox One et la concurrence aura du mal à me faire changer d’avis. Le scénario, le choix des acteurs, les graphismes sont excellents et méritent qu’on prenne le temps de savourer ce titre exceptionnel qui est une franche réussite de mon point de vue. Sa durée de vie est correct avec une dizaine d’heures en fonçant, un peu plus pour ceux qui chassent tous les succès ou qui prennent leur temps.

Bien sûr, on peut lui reprocher un rythme peut être un peu trop lent au démarrage et je regrette qu’il n’y ai pas un tout petit peu plus de combats, la réalisation / mise en scène / narration prenant une place très importante dans le jeu. Petit point dérangeant : si sur Xbox One il est possible de télécharger toute la série pour ne pas avoir à la streamer (merci de penser aux petites connexions), sur PC cela ne semble pas être possible et les épisodes saccadent un peu par moment (j’ai pourtant la fibre). Dommage.

Qu’importe, Quantum Break vaut le détour et j’espère de tout coeur que Microsoft et Remedy lui donneront une suite aussi grandiose.

 

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J’ai testé il y a quelques temps le levier de vitesse Thrustmaster TH8A et c’est aujourd’hui au pédalier T3PA du même constructeur de passer entre mes mains, ou plutôt sous mes semelles.

1. Packaging

Là encore, le carton est imposant et révèle un produit très bien calé et protégé.

Thrustmaster T3PA : un carton imposant !

L’emballage contient les éléments suivants :

– le pédalier T3PA

– la butée de la pédale de frein

– une clé Allen

– le mode d’emploi

Pas de fioriture mais le principal est là. Voyons maintenant la qualité du produit.

 

2. Design et qualité

Annoncé comme étant composé de métal à 90% (comme le levier de vitesse TH8A), en lisant les petites lignes on s’aperçoit rapidement que ce n’est pas la totalité du pédalier qui est concerné par cette proportion mais uniquement sa structure ! Pas de quoi être déçu car le plastique utilisé pour le bras des pédales et le socle du Thrustmaster T3PA est d’une excellente qualité et ne bougera pas même en cas d’utilisation intensive.

Thrustmaster T3PA : des matériaux haut de gamme !

Contrairement au pédalier du Thrustmaster T150 qui ne comportait que 2 pédales (accélération / freinage), le T3PA dispose de 3 pédales permettant ainsi l’utilisation du levier de vitesse déporté et donc l’embrayage sur les véhicules utilisés. Le plateau de chaque pédale est en métal donnant un look beaucoup moins plastique que le pédalier du T150 et ne s’usera donc pas de si tôt.

Thrustmaster T3PA : le métal est présent !

Vous pouvez démonter chaque plateau de pédale pour modifier leur angle de fixation avec la cale située en dessous pour adapter l’ensemble à votre guise. A noter que vous pouvez également remonter, redescendre ou décaler à gauche ou droite certaines des pédales !

Thrustmaster T3PA : des pédales ajustables

L’ensemble pèse assez lourd, gage d’une bonne stabilité une fois posé par terre et d’une excellente qualité.

 

3. Installation, Configuration et Utilisation

L’installation est ultra simple puisqu’il suffit de déconnecter le pédalier du volant pour connecter le Thrustmaster T3PA sur la prise dédiée. Ensuite, tout fonctionne parfaitement dès lors que la configuration dans les paramètres des jeux utilisés est correcte. Pour information, le pédalier est compatible toute plateforme du moment qu’il est connecté à un volant T-Series (T500 RS / T300 RS / T300 Ferrari GTE / T150 RS / TX Racing Wheel / Ferrari 458 Spider Racing Wheel).

Avoir 3 pédales avec en prime un levier de vitesse déporté permet d’avoir toutes les sensations d’une conduite réaliste, avec l’embrayage et le passage de vitesse comme si vous y étiez. Comme je vous l’indiquais dans le test du levier de vitesse TH8A, j’ai fais quelques tours de pistes sur le Nürburgring avec le combo TH8A et pédalier T3PA. Clairement, en réglant tout en manuel avec une configuration correcte des pédales (embrayage / frein / accélération), c’est un pur plaisir que de dévorer l’asphalte. On ressent de bonnes sensations et c’est comme si on était au volant d’une vraie voiture…

Pour rendre la pédale de frein plus réaliste, Thrustmaster fourni avec son pédalier une butée optionnelle que l’on est libre d’installer ou non.

Thrustmaster T3PA : la butée de pédale de frein !

Pour ma part, je l’ai mise en place et c’est une option vraiment très intéressante car elle donne un rendu beaucoup plus réel lorsque l’on enfonce le pied sur la pédale de frein, cette dernière offrant alors une vraie résistance !

4. Conclusion

Le Thrustmaster T3PA est une vraie réussite ! Le constructeur a su allier intelligemment le plastique et le métal pour créer un périphérique milieu / haut de gamme. J’ai beaucoup aimé le fait qu’on puisse personnaliser la configuration des pédales de frein en jouant sur leur inclinaison et en ayant la possibilité d’y ajouter une butée sur la pédale de frein. 

En jeu, c’est que du bonheur si l’on dispose également du levier de vitesse Thrustmaster TH8A, le T3PA devenant alors quasi indispensable !

Proposé à un tarif de 110€ sur le shop Thrustmaster ou à moins de 100€ sur Amazon, à ce prix là ce serait dommage de se priver des sensations procurées.

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Rico Rodriguez revient dans une toute nouvelle aventure, Just Cause 3 qui va le ramener sur sa terre natale : Medici.

Je l’avais testé à la Paris Games Week 2015 lors de la soirée réservée aux VIP et à la presse et j’avoue avoir été assez emballé par cette petite partie « hands on » d’une dizaine de minutes. Voyons maintenant si le jeu tient les promesses faites lors du salon…

1. Scénario :

Rico a quitté l’Agence et revient sur sa terre natale : l’archipel de Medici afin de mettre un terme à la dictature du général Di Ravello.

Comme vous pouvez le constater, le pitch est assez basique : un méchant, un héros et une armée entre les 2. A peine débarqué sur Medici, on est au coeur de l’action et des explosions et de vieilles connaissances viennent nous prêter main forte. Le but du jeu est simple : suivre les missions données, libérer une à une les différentes provinces de l’archipel pour débloquer de nouvelles missions, défis et réduire l’influence de Di Ravello. Une impression de déjà vu ? C’est normal, tous les Just Cause sont basés sur le même principe et c’est sans grande surprise que ce 3e volet des aventures de Rico Rodriguez s’engouffre dans les traces de ses 2 grands frères.

Just Cause 3 : Cet hélico, tu t'en sers vraiment ?

Je suis un peu déçu qu’il n’y ai pas vraiment d’envie d’innover ou de se renouveler de la part du développeur Square Enix et c’est bien dommage… Envie de passer une soirée pas trop prise de tête ? Le scénario de Just Cause 3 est fait pour toi ! Et cerise sur le gâteau : la quantité d’objectifs secondaires devrait vous tenir en haleine pendant de nombreuses soirées !

2. Gameplay :

Just Cause 3 est une vue à la 3e personne comme ses prédécesseurs et votre personnage évolue au sein d’un open world : l’archipel de Medici. Pour mener à bien votre mission, une foule de gadgets est à votre disposition dès le début du jeu avec au programme :

– un grappin : l’outil multifonction par excellence puisque vous pourrez rivaliser d’ingéniosité lors de son utilisation et faire s’envoler des voitures, des hommes, faire tomber des éléments du décors…

– un parachute

– une wingsuit pour vous prendre pour un oiseau (plutôt type B52 l’oiseau, vu l’arsenal que vous transportez)

– des armes en tout genre

– des véhicules divers et variés tels que le scooter des mers, l’hélicoptère de combat, le vespa ou encore le bus scolaire…

Tout cet arsenal n’est là que pour une seule et unique raison : concurrencer Michael Bay en faisant tout exploser, car niveau explosions, Rico en connait un rayon… Un coup de lance roquette par-ci, un coup de bonbonne de gaz attachée au cul d’un camion lancé à toute allure par-là, une hélicoptère de combat réquisitionné en plein vol achèvera de nous convaincre que Just Cause 3 c’est tout sauf subtil.

Just Cause 3 : BOOOOOM

Les missions ne sont là que pour servir de prétexte à notre soif de destruction et pour nous recadrer lorsque nous nous égarons dans l’open world, vacant de bases militaires en villages en semant le chaos sur notre passage, perdant ainsi complètement la trame narrative du jeu, si tant est que cette dernière soit importante… Des défis sont à débloquer pour customiser les capacités et le matériel de votre héros.  

Qui dit open world dit forcément map gigantesque mais heureusement, en plus de la pléthore de véhicules terrestres, aériens ou maritimes, vous avez également à votre disposition le voyage instantané qui vous permettra de vous « téléporter » à l’endroit de votre choix pour peu que vous l’ayez déjà visité au moins une fois.

3. Graphismes :

Graphiquement, Just Cause 3 n’est clairement pas à la hauteur de ce que l’on est en droit d’attendre de la génération actuelle de consoles. Certes, les paysages sont sympas et il m’est arrivé de m’arrêter pour contempler un panorama, mais dès qu’on recommencer à défourailler dans tous les sens, la qualité graphique a tendance a être beaucoup moins bonne. 

Just Cause 3 : la wingsuit est un réel plaisir !

Le clipping est vraiment trop présent et voir le décor s’afficher au fur et à mesure que l’on avance est assez agaçant. Malgré tout, les temps de chargement infinis sont clairement beaucoup trop longs et il m’est arrivé de changer de jeu car j’en avais marre d’attendre que l’écran de chargement.

Bref, on est loin d’un Rise of the Tomb Raider malheureusement mais encore une fois, c’est la faute à l’open world (mais probablement pas que) !

4. Conclusion :

Certes, Just Cause 3 souffre de beaucoup de défauts qu’on est en droit aujourd’hui de ne plus vouloir voir dans les jeux qui sortent sur XBox One / PS4 / PC. Néanmoins, il reste un excellent défouloir dont les nombreuses scènes d’explosions rappelleront sans problème celles de gros blockbusters qui tachent ! Le grappin combiné avec les éléments du décors environnant vous permettra de mettre votre créativité à l’épreuve pour réaliser des cascades ou des destructions un peu originales. On regrettera toutefois que le jeu perdre énormément de son intérêt au bout de quelques heures de jeu car beaucoup trop répétitif.

Ce test a été réalisé à partir d’une version Xbox One fournie par l’éditeur

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Avec la rétro-compatibilité, Microsoft offre désormais chaque mois 2 jeux sur Xbox 360 et 4 sur Xbox One ! Voici les beaux titres offerts aux abonnés Gold en ce mois de février…

Jusqu’au 15 février inclus :

Téléchargez Zheros, un jeu d’action aventure fraichement débarqué sur le Xbox Live (Xbox One) !

Zheros gratuit sur le Xbox Live

Synopsis :

Lors d’un voyage à travers des galaxies lointaines et inconnues, vous jouez en incarnant les membres de l’escouade ZHEROS : Mike et Capitaine Dorian. Le premier est téméraire, fort, maladroit et simplet ; le second est habile, intelligent et prêt à tout. Ils sont tous deux agents intergalactiques, appelés à défendre l’univers contre le crime. Votre mission : défendre l’univers du maléfique Dr. Vendetta et de son plan tordu visant à asservir tous les êtres vivants.

A télécharger gratuitement jusqu’au 15 février inclus.

 

Vous pourrez également télécharger Sacred Citadel (Xbox 360 et Xbox One) !

Sacred Citadel gratuit sur le Xbox Live

Synopsis :

La terre autrefois paisible d’Ancaria est en grave danger. Le maléfique empire Ashen en a asservi la population et utilise les Grimmocs pour tenter d’annihiler les Seraphims, qui ont juré de la protéger. Afin de vaincre l’empire, vous devrez faire vos preuves en tant que guerrier en chevauchant des montures terrifiantes, en obtenant des compétences incroyables et en pillant des armes puissantes et des trésors précieux. Rejoignez la résistance avec vos amis !

A télécharger gratuitement jusqu’au 15 février inclus.

 

Du 1er au 29 février :

Hand of Fate, un jeu de cartes, sera disponible durant tout le mois de février (Xbox One).

Hand of Fate gratuit sur le Xbox Live

Synopsis :

Au-delà des treize portes au bout du monde se joue le jeu de la vie ou de la mort. Piochez vos cartes, jouez votre main, et découvrez votre destin.

A télécharger gratuitement durant tout le mois de février.

 

A partir du 16 février :

Retrouvez tout d’abord l’assassin le plus vert de tous les temps avec Styx : Master of Shadows (Xbox One) !

Styx : Master of Shadows gratuit sur le Xbox Live

Synopsis :

Au plus profond de l’immense Tour d’Akenash, là où les Humains et les Elfes dissimulent et protègent l’Arbre source de l’Ambre, se trouve la meilleure chance pour Styx d’amasser une vraie fortune et, peut-être, d’en découvrir un peu plus sur ses origines.

A télécharger gratuitement du 16 au 15 mars.

 

Enfin, tailladez du locuste avec Marcus et Dom dans l’excellentissime Gears of Wars 2 (Xbox 360 et Xbox One) !

Gears of war 2 gratuit sur le Xbox Live

Synopsis :

L’hiver approche. La guerre fait rage. Des villes entières sombrent, englouties par une nouvelle menace venue du sous-sol. Bientôt l’humanité n’aura plus rien à défendre. Il ne reste qu’une option : un assaut de la dernière chance sur la horde des locustes.

A télécharger gratuitement du 16 au 29 février.

Sponsornot : Zéro collaboration

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J’ai assisté il y a peu à la présentation du jeu Assetto Corsa dans sa version console et voici mon avis…

Assetto Corsa n’est pas un jeu récent car il est sorti le 19 décembre 2014 sur PC. Développé par Kunos Simulazioni et édité par 505 Games, le jeu bénéficie aujourd’hui d’une adaptation consoles et va donc sortir sur Playstation 4 et Xbox One, l’occasion pour l’éditeur de nous convier à une soirée de présentation.

Toutes les conditions étaient réunies pour nous mettre dans l’ambiance. Le lieu a été judicieusement choisi puisque la soirée s’est déroulé à l’Auto Passion Café qui, comme son nom l’indique, est entièrement décoré dans la plus pure inspiration du racing. Au fond, 7 postes de jeu de rêve étaient installés avec au menu par station :

– un siège baquet haut de gamme RSeat RS1 (ne pas confondre avec PlaySeat… rien a voir niveau qualité et finitions)

– un pack Thrustmaster T300 Ferrari Integral Racing Wheel Alcantara Edition (avec le volant 599XX EVO 30 Wheel en Alcantara véritable)

– une grosse TV 50 pouces en guise de pare brise

Vous l’aurez compris, à peine arrivé, j’avais déjà envie de me poser dans un siège et de faire fondre les pneus…

Assetto Corsa : un setup de rêve

Mais avant de faire vrombir les moteurs, Marco Massarutto, le co-fondateur de Kunos Simulazioni, nous a fait une petite présentation de son bébé dans sa version console. Il nous a expliqué qu’il n’y aurait pas 1000 voitures à conduire (taclant gentiment au passage Playstation et son Gran Turismo) mais que chaque voiture serait réellement unique et extrêmement fidèle à son modèle réel. On a vite compris que le nombre de véhicules disponibles au final dans Assetto Corsa se situerai autour d’une centaine, mais que chaque modèle présent dans le jeu serait au plus proche de la réalité.

Ferrari à l'honneur

Pour les pistes, Marco nous a indiqué là aussi que leur volonté était de proposer une expérience la plus fidèle possible. Pour cela, ils ont utilisé la technique du laser-scan pour capturer les moindres aspérités, bosses, ou défauts du bitume des circuits reproduits dans Assetto Corsa.

Assetto Corsa : Des circuits au plus proche de la réalité

Vous possédez une installation type siège baquet (avec Buttkicker) / volant chez vous ? Vous aurez l’impression d’être sur le circuit nous assène t’il. L’occasion alors pour nous de nous glisser enfin dans l’un des sièges disponibles…

Assetto Corsa : votre humble serviteur en pleine course

Alpha oblige, nous n’avions à disposition que 2 circuits, Spa Francorchamps et Barcelona-Catalunya, et 3 voitures d’exception : la Ferrari FXX K, Audi R8 V10 Plus et McLaren P1, mais c’était déjà bien suffisant pour appréhender la jouabilité d’Assetto Corsa.

Après quelques minutes de prise en main, la conduite est intuitive malgré une boite de vitesse en mode manuelle et c’est très agréable. Il est impératif de bien ralentir avant d’attaquer un virage au risque sinon de se retrouver dans le décors et de perdre un temps précieux. On ressent bien le relief du circuit à travers le retour de force du volant Thrustmaster, tout comme les caprices de direction du bolide que l’on a lancé à pleine vitesse dans la ligne droite : si on lâche le volant, la voiture quitte totalement sa trajectoire.

Assetto Corsa : un setup de rêve pour un bon jeu

Graphiquement c’est plutôt fluide et joli pour une version PS4 mais malheureusement on regrettera l’absence d’un cycle jour/nuit ou des conditions météo défavorables. Rendez vous donc le 22 avril prochain pour le verdict final, date à laquelle le jeu devra tenir toutes ses promesses, même si l’on ne détient pas un package siege/volant comme celui qui nous a été mis à disposition… Car il ne faut pas se mentir, avoir un siège RSeat ultra confortable et un volant Thrustmaster au top du top améliorent significativement l’expérience ressentie.

Crédits photo : Margxt.fr

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Microsoft s’est bien remis des fêtes de fin d’année et nous propose dès le 1er janvier ses jeux gratuits sur le Xbox Live pour ses membres avec le Games With Gold !

 

On attaque avec la Xbox One qui propose toujours jusqu’au 15 janvier inclus le jeu Thief !

Thief sur le Xbox Live Gold

Synopsis :

Garrett, le Maître voleur, émerge des ombres de la Cité, un endroit semé d’embûches, gouverné par un Baron tyrannique et sa violente Vigile. Lorsqu’une révolution sanglante éclate, Garrett, partagé entre la politique et le peuple, ne peut se fier qu’à ses talents de voleur alors qu’il est sur le point de découvrir un secret encore plus sombre qui menace de bouleverser sa vision du monde.

Si vous aimez les jeux d’infiltration, foncez sur voler Thief qui sera gratuit (au lieu de 29.99€) jusqu’au 15 janvier !

 

Durant tout le mois de janvier, vous pourrez également télécharger Killer Instinct Ultra Edition !

Killer Instinct sur le Xbox Live

Synopsis :

L’expérience KI ultime. Comprend Jago, Sabrewulf, Thunder, Glacius, Sadira, Orchid, Spinal et Fulgore, 8 tenues, 16 packs d’accessoires Premium et le jeu KI Classic (PEGI : 18). Combattez !

Commencez l’année en distribuant des bourres pifs et foncez télécharger Killer Instinct qui est gratuit (au lieu de 39.99€) jusqu’au 31 janvier inclus !

 

Sur Xbox 360 et Xbox One, grâce à la rétro-compatibilité, vous pouvez d’ors et déjà télécharger DiRT Showdown !

DiRT Showdown gratuit sur le Xbox Live

Synopsis :

Foncez, défoncez et délirez autour du monde avec le chaos automobile de DiRT Showdown ! Des épreuves hyper énergisées et du jeu social sont associés dans cette folie de pilotage à injection turbo. Utilisez votre boost pour dépasser vos concurrents, disposez de parcs de freestyle pour y réaliser des figures et des cascades et admirez le moteur de dégâts le plus avancé au cours de compétitions de démolition.

Faites voler la poussière et téléchargez DiRT qui sera gratuit (au lieu de 14.99€) jusqu’au 15 janvier inclus !

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