Dernièrement, j’ai testé beaucoup de périphériques orientés racing du fabricant Thrustmaster comme par exemple le volant TMX Force Feedback ou encore le pédalier T3PA et aujourd’hui je vous propose mon avis sur le casque Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition.

1. Packaging

Comme a son habitude, Thrustmaster nous propose une fois de plus un package haut de gamme avec un emballage solide aux couleurs du jeu DOOM, un des derniers jeux de Bethesda Softworks.

Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition : un package haut de gamme

Son contenu est assez complet puisqu’il contient :

– le casque Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition et son micro

– le Y Sound Commander

– le Y Power Pack

– un cable USB / Micro USB pour charge le Y Power Pack

– une notice de mise en route rapide

Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition : un package très complet

Le package est assez complet. On appréciera grandement la présence de l’Y Power Pack qui permet au casque d’être alimenté autrement que par la batterie de la manette et donc par conséquent d’augmenter l’autonomie de cette dernière.

 

2. Design

L’ensemble qui compose le casque (le casque, le micro perche, le Y Sound Commander et le Y Power Pack) est aux couleurs du jeu DOOM et je dois dire que c’est assez bien fait ! Le code couleur de l’équipement de l’UAC, et en particulier celui des armures des soldats, est bien composé des tons de marron, noir et rouge (si si, le sang de l’ennemi est de cette couleur) mais également d’une grosse dominante de kaki, absent de ce casque malheureusement.

Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition : un casque aux couleurs de DOOM

Le Y Commander et le Y Power Pack sont justes magnifiques en fonctionnement. Des leds vertes et rouges s’allument lors de l’utilisation pour indiquer le volume sonore et c’est vraiment très réussi sans pour autant être exagéré ou tape à l’oeil.

Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition : des coussinets à mémoire de forme

En revanche, les boutons de commande du Y Commander sont situés sous un plastique souple qui ne rend peut être pas aussi bien qu’un panel de boutons physique. Toutes les commandes sont là, le réglage de la balance voix / jeu, les bass, le 7.1, le micro… tout à portée de main et c’est top !

Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition : l'Y Commander

Les oreilles sont ultra rembourrées avec mousse à mémoire de forme et épousent parfaitement les oreilles procurant une isolation assez remarquable et donnant ainsi au casque un excellent confort à ce niveau là. C’est au niveau du poids que le bas blesse malheureusement car le casque est beaucoup plus lourd qu’un Plantronics RIG Surround par exemple et au bout d’un certain temps d’utilisation on sent clairement qu’il pèse sur la tête !

Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition : des coussinets à mémoire de forme

D’ailleurs en parlant du RIG Surround, je vous avais fait part dans mon test du micro perche très fragile qui m’a valu de faire remplacer ce dernier dans un premier temps puis carrément tout le casque dans un second temps. Et bien Thrustmaster a également opté pour un micro de ce type, connecté au niveau de l’oreille gauche par une prise mini jack. J’espère juste que celui ci sera plus résistant que le micro de son concurrent… Le micro Thrustmaster est articulé, ce qui permet de le positionner de façon optimale devant la bouche et c’est un plus comparé à de nombreux produits de la concurrence.

 

3. Qualité

La qualité du produit en lui même est vraiment très bonne, on sent qu’on a un casque solide entre les mains et qu’on ne risque pas de le casque en le manipulant ce qui est un bon atout pour les bourrins. Le Thrustmaster Y-350X embarque un son 7.1 activable à l’envie et un réglage des basses sur le Y Commander mais qu’en est il du rendu ? Et bien je dois vous avouer que c’est impressionnant. On redécouvre complètement l’ambiance sonore du jeu auquel on est en train jouer dès que l’on active le 7.1. Bien évidemment, le réglage des basses devra être fait en fonction du type de jeu car un FPS n’aura pas les mêmes exigences qu’un jeu d’exploration où l’ambiance sonore est en règle générale beaucoup plus poussée.

J’ai testé le casque sur Hitman, LEGO Star Wars, mais également sur Forza Horizon 2. Le son de chaque jeu, une fois le casque correctement réglé est un régal, on redécouvre vraiment l’ambiance de chacun d’entre eux rien qu’en pressant le bouton 7.1. En revanche, sur un jeu tel que Sniper Elite 3 ou tout autre FPS, on se retrouve vite avec des basses bien trop élevées et il faut alors baisser leur niveau pour obtenir un environnement sonore équilibré mais très plaisant, donnant réellement l’impression d’être au coeur de la bataille.

Le casque est également annoncé pour être compatible PC. C’est vrai, mais uniquement si on le connecte à une manette Xbox One elle même branchée en USB à l’ordinateur car c’est le seul moyen de profiter de la fonctionnalité 7.1, le principal atout de ce casque. On aurait apprécié, en plus de l’Y Commander que l’on branche sur la manette Xbox, un Y Commander permettant au casque d’être connecté directement sur un port USB du PC pour profiter ainsi des mêmes fonctionnalités (son 7.1, basses, etc…).

 

4. Conclusion

Que ce soit par son design, ses fonctionnalités ou par la qualité sonore qu’il propose, le casque Thrustmaster Y-350X 7.1 Powered DOOM Edition est vraiment un très bon produit. Les réglages sont simples, l’isolation excellente et le design ravira les fans du jeu DOOM tout en leur apportant un très bon confort. Petit bémol néanmoins en ce qui concerne son poids qui est très clairement au dessus de la moyenne, mais c’est le prix à payer vu la solidité du casque. Le gros plus : le Y Power Pack qui épargne énormément la batterie de la manette de Xbox One et permet ainsi d’allonger les sessions de jeu entre 2 charges de batterie.

Au niveau tarif, vous pouvez retrouver le Thrustmaster Y-350X sur le shop officiel de la marque à 149€ ou sur Amazon pour un tarif légèrement inférieur, ce qui donne à ce casque un rapport qualité / prix plus que correct.

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Dernier né de Green Lava Studios, je vous propose aujourd’hui mon avis sur Fenix Furia, un jeu en 2D carrément rétro.

1. Synopsis :

Vous incarnez Fenix dont le village a été réduit à néant par une explosion qui n’a laissé que 2 survivants : Fenix et Oktarus qui parvient encore et toujours à vous échapper malgré tous les efforts que vous déployez…

 

2. Furieusement 2D :

Fénix, le personnage que vous incarnez, évolue dans des niveaux en 2D à travers lesquels il poursuit inlassablement Oktarus pour accomplir son désir de vengeance. Notre petit héros va devoir traverser 9 mondes contenant chacun pas moins de 20 niveaux pour un total de 180 ! Chaque fin de chapitre est ponctuée par un boss contre lequel vous devrez vous battre pour espérer passer au monde suivant.

Fenix Furia

Les niveaux sont chronométrés et par conséquent, plus vous irez vite mieux ce sera pour votre score. De plus, dans certains niveaux se trouve un cube rouge qui disparait au bout de quelques secondes. Si vous êtes assez rapide pour vous en emparer, vous serez alors propulsé dans un niveau bonus. Mais ce cube rouge n’est pas le seul élément que vous pouvez récupérer à travers les niveaux car il y a également le cookie ! Chaque niveau du jeu contient donc un cookie plus ou moins facile d’accès et qui, une fois que vous aurez rassemblé les 20 cookies d’un même monde, vous débloquera l’accès à une recette originale de cookie (un concours est d’ailleurs lancé pour la sortie du jeu) !

Fenix Furia : les cookies !!

Récupérer l’intégralité des cookies ne sera hélas pas une partie de plaisir puisque votre parcours sera semé d’embûches… Vide, blobs toxiques, rayons incandescents… tout est fait pour vous compliquer la tâche, transformant ainsi Fenix Furia en un véritable die and retry qui en exaspérera plus d’un ! Et comme pour vous rappeler que vous mourrez un peu trop souvent, un succès existe pour marquer votre 100e décès (un peu de sadisme dans ce monde de brutes…). 

Fenix ne dispose pas de 12 milliards de compétences et n’a donc qu’un saut qu’il peut effectuer à l’infini (et donc traverser un tableau entier sans poser le pied à terre) et un dash qui lui permet de foncer vers la gauche ou la droite, pratique pour défoncer certains obstacles. Les parois enflammées disséminées ici et là permettront d’enflammer Fenix qui pourra alors pulvériser des blocs de glace gênants et ainsi poursuivre son ennemi juré. Et si par hasard vous vous ennuyez, sachez qu’il existe un mode 2 joueurs en écran splitté !

Fenix Furia : un mode multijoueur en écran splitté

Niveau graphismes, on est sur un affichage en 2D qui est très propre. Les décors ont été soignés et on appréciera leur variété mais surtout les couleurs vives qui rendent chaque monde unique.

Fenix Furia : des mondes jolis, mais compliqués

Et la bande son dans tout ça ? C’est de la bonne musique que l’on peut retrouver aujourd’hui dans les jeux des années 80, de quoi se plonger dans cette époque pour les uns ou prendre un bon coup de vieux pour les autres (oui, c’était il y a 30 ans ou presque…) mais cela colle parfaitement à l’esprit du jeu.

 

3. Conclusion :

Disponible sur Playstation 4, Xbox One et Steam (sous le nom Fenix Rage) au tarif conseillé de 14.99€, Fenix Furia devrait vous procurer quelques heures de jeu sympathiques avec quand même de grosses prises de tête pour arriver au bout de certains niveaux. La réalisation du jeu est plutôt réussie avec des décors soignés et une bande son ultra rétro. En revanche, si vous n’êtes pas trop fan des die and retry, vous risquez de vite vous en lasser. 

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Sur le marché du gaming, il y a un accessoire incontournable et indispensable pour le gamer : la manette. Je vais donc vous parler aujourd’hui d’une tendance qui se développe : les manettes custom et plus particulièrement celles de chez Blast Controllers.

 

1. Le concept BlastControllers

BlastControllers est une entreprise française spécialisée dans la réalisation de manettes personnalisées pour consoles de jeu Xbox 360, Xbox One, PS3 et PS4.

Blast Controllers : entreprise française spécialisée dans la réalisation de manettes custom

La personnalisation passe par plusieurs points :

– la coque

– les sticks

– les palettes

– le grip

– les boutons R/L

– votre gamertag

En choisissant judicieusement chacune des options de personnalisation, vous pourrez ainsi vous créer une manette unique qui vous ressemblera, plutôt sympa pour vous la péter devant vos potes qui viennent faire un FIFA à la maison…

Vous avez le choix de fournir une manette originale à BlastControllers pour réduire le coût de la customisation, ou bien si le budget n’est pas un problème, passer directement commande d’une manette chez eux.

 

2. Ma manette custom

Pour ma part, j’ai opté pour une manette au design sobre avec quelques pointes de couleurs. J’ai choisi une coque imitation carbone de couleur. Pour égayer mon pad, j’y ai ajouté des sticks verts rappelant la marque Xbox que j’affectionne tout particulièrement et des boutons LT/RT blancs.

Blast Controllers : une manette custom à base de carbone

Blast Controllers : une manette custom à base de carbone

J’ai également sélectionné des grips e-sport granuleux qui offrent une bonne prise en main et, petit plus, le petit trou situé en haut des grips permet de régler la sensibilité des boutons LT/RT ! Pratique si vous souhaitez que votre manette réagisse au quart de pression mais attention, suivant le jeu il faudra ajuster le réglage.

A l’arrière de la manette, j’ai choisi d’intégrer 2 palettes qui permettent d’accéder à X et B sans bouger le pouce. C’est assez sympa quand on joue à un FPS par exemple car vous pouvez réaliser les actions attribuées à ces boutons sans lever votre pouce du stick pour viser !

Blast Controllers : grips e-sport et palettes de raccourcis

Pour finir, j’ai fais apposer mon pseudo « Exe » sur la partie gauche de la manette et mon logo sur la partie droite.

Blast Controllers : mon pseudo sur la manette

Blast Controllers : mon logo sur la manette

Petit bonus, la manette est arrivée avec une croix directionnelle modifiée ! En effet, plutôt que d’avoir une croix directionnelle « classique », j’ai désormais un disque installé dessus, comme sur la manette Elite, et qui apporte un tout petit peu plus de précision.

 

3. Conclusion

La qualité de la manette custom BlastControllers est vraiment excellente. La finition est soignée et les petites fonctionnalités améliorées sont un gros plus. A l’utilisation c’est très agréable bien que j’aurai préféré un grip qui ne soit pas granuleux mais plutôt caoutchouc, la possibilité de régler la sensibilité des boutons LT/RT permet d’augmenter sa réactivité, parfait pour les FPS. Les palettes sont accessibles assez facilement avec les doigts et le disque apporte un vrai plus par rapport a la traditionnelle croix directionnelle.

Au niveau tarif, il faut savoir que ce genre de personnalisation est tout de même assez onéreuse et réservée aux joueurs exigeants n’ayant pas peur d’investir dans leurs périphériques gaming. Comptez entre 100 et 215 euros tout de même pour vous offrir une manette personnalisée selon votre goût (manette fournie par Blast Controllers) ou entre 40 et 155e si vous fournissez votre manette pour un upgrade.

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On approche d’Halloween et Microsoft a décidé de suivre les événements de saison !

Sur Xbox One ET Xbox 360, les joueurs abonnés au Xbox Live Gold pourront profiter de la première saison du jeu à épisodes de Telltale Games : The Walking Dead !

The Walking Dead

Synopsis :

Premier épisode d’une série de jeux en cinq parties qui se déroule dans le même univers que les séries primées de Robert Kirkman. Plongez-vous dans le rôle de Lee Everett, un criminel reconnu coupable qui reçoit une seconde chance dans un monde dévasté par les morts-vivants. Participez à des événements, rencontrez des gens et visitez des lieux connectés à l’histoire du shérif adjoint Rick Grimes.

Comme dans tous les jeux Telltale Games, les choix et actions que vous effectuerez dans le jeu influencerons la suite de vos aventures. Les 5 épisodes de la première saison de The Walking Dead est gratuite jusqu’au 31 octobre inclus sur Xbox 360 et jusqu’au 15 novembre inclus sur Xbox One !

Et pour ceux qui ne sont pas fans de zombies, Soldats Inconnus, Mémoires de la Grande Guerre est toujours gratuit jusqu’au 31 octobre inclus sur Xbox One :

Soldats Inconnus Mémoires de la Grande Guerre

Synopsis :

Soldats Inconnus – Mémoires de la Grande Guerre raconte l’histoire de plusieurs destins croisés, d’un amour brisé et d’un monde voué au chaos.

Une bonne petite offre pour le mois d’octobre pour tous les possesseurs de Xbox !

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Quelques mois après la sortie du film dans les salles obscures, Warner Bros dégaine le jeu inspiré de la licence, j’ai nommé Mad Max ! J’avais d’ailleurs participé à la soirée de lancement très réussie il y a quelques semaines dont vous pouvez trouver un compte rendu sur le blog.

1 – Présentation

J’arrête tout de suite ceux qui diront « ça ressemble pas du tout au film » car NON, Mad Max le jeu n’est pas tiré du film de Miller mais est bel et bien inspiré de l’univers de Mad Max ! Développer un jeu, c’est long, voir très long (cf. l’attente des fanboys qui font un AVC au moindre « HL3 Confirmed ») et celui ci ne déroge pas à la règle. Le développement ayant commencé bien avant que le film Mad Max : Fury Road ne soit tourné et sorti en salle, Avalanche Studios a dû s’inspirer de l’univers sans pouvoir s’appuyer ni sur l’histoire ni sur l’environnement du film.

Synopsis :

Incarnez Mad Max, guerrier solitaire dans un monde post-apocalyptique sauvage, où les voitures sont la clé de la survie. Dans ce jeu en monde ouvert bourré d’action, vous devrez vous battre pour rester en vie dans les Terres désolées, en affrontant des hordes de dangereux ennemis durant de sanglants combats au sol ou dans un véhicule. Héros malgré lui et doté d’un fort instinct de survie, Max désire plus que tout fuir cette folie et trouver la paix dans les légendaires « Plaines du Silence ».

Maintenant que les bases sont posées, passons au vif du sujet.

2 – Gameplay

Basé sur un monde ouvert, Mad Max prend place dans un environnement post-apocalyptique, caractéristique typique de la franchise où la seule règle qui s’applique est celle du froissage de tôle intégral. Pour survivre, vous devrez donc vous frayer un chemin à coups de pare choc au travers des hordes de Warboys qui errent sur ces terres désolées. 

Mad Max : Quand je dis à coups de pare-choc, c'est pas une image...

On contrôle donc Max en vue à la troisième personne et mis à part l’environnement, on se croirait presque dans un GTA ! Pour nous aider dans notre aventure, nous pourrons compter sur le soutien sans faille de Chumbucket, mécanicien de génie qui va nous aider à construire un bolide digne de ce nom. Au fil de la progression et des objectifs que vous atteindrez, Max montera de niveau et vous gagnerez des points de compétences destinés à améliorer ses capacités. 

Mad Max : Les compétences de Max peuvent être améliorées

Lors de votre exploration du monde et des carnages que vous occasionnerez sur la route, vous pourrez récupérer du métal en plus ou moins grande quantité. Ce métal vous sera utile pour customiser le véhicule ou encore l’équipement de Max.

La plupart des bases ne sont explorables qu’à pied, ce qui nous force à combattre à mains nues les Warboys gardant les trésors enfermés dans leur repaire ! Ces phases de combat sont assez semblables dans leur fonctionnement à celles que l’on peut rencontrer dans les jeux Batman également édités par Warner Bros avec les indications de touches à presser pour esquiver, se débattre ou terrasser les ennemis.

Mad Max : un km à pieds, ça use, ça use...

Les courses poursuites en voitures sont tout bonnement monstrueuses et il faudra souvent mettre son ingéniosité à l’épreuve pour se tirer de confrontation quelque peu musclées. La voiture de Max est équipée d’un arsenal assez conséquent comme un grappin, une lance explosive ou encore des lances flammes latéraux qui peuvent être améliorés par Chum Bucket en dépensant le métal durement gagné.

Mad Max : Pimp My Ride !

Vous l’aurez compris, le jeu est plutôt axé sur du combat en véhicules ou à pieds à mains nues ou avec des armes de corps à corps. Néanmoins, Max dispose également d’un fusil à canon scié dont les munitions sont comptées et qui pourra vous aider à tuer des ennemis à bout portant ou à tirer sur les autres voitures lors des courses poursuites.

3 – Graphismes et effets visuels

Les graphismes du jeu sont très propres et les décors rendent parfaitement l’ambiance post-apocalyptique dans lequel le héros évolue. Les effets de lumières aux différentes heures du jour et de la nuit font varier les teintes du désert et donnent bien souvent de magnifiques panoramas à observer !

En voici d’ailleurs quelques exemples :

 Mad Max : un petit tour en montgolfière pour admirer la vue...

Mad Max : au pied du titan...

Mad Max : des crépuscules à couper le souffle

La tempête de sable (également présente dans le film) est également du plus bel effet et arrive bien souvent sans qu’on s’y attende et sans qu’on ai le temps de se mettre à l’abri !

Mad Max : La tempête de sable, ce fléau.

Mad Max : BOOM HEADSHOT !!!

Graphiquement, Mad Max est donc assez réussi, la direction artistique reste très proche de l’ambiance des films et c’est un excellent point !

4 – Durée de vie et intérêt

Fan de la licence, je prends vraiment beaucoup de plaisir à explorer les terres désolées. L’ambiance est vraiment excellente et les personnages hauts en couleurs.

Au niveau de la durée de vie, c’est très variable puisque qui dit monde ouvert, dit possibilités quasi infinies. Pour ma part, je suis du genre à explorer la moindre parcelle de la carte et à la dépouiller de tous ses objectifs avant de passer à la zone suivant et j’ai déjà une bonne quarantaine d’heures de jeux au compteur avec un jeu terminé à environ 40% !!! Pour ceux qui ne sont pas explorateurs dans l’âme et qui préfèrent se concentrer uniquement sur le fil de l’histoire, le site Internet How Long To Beat annonce une durée de vie minimale de 20h, tout a fait correct donc.

Mad Max : longue est la route du 100% !

Je ne peut que vous recommander ce titre qui par sa qualité et sa durée de vie n’a rien à envier à d’autres grosses productions.

Ce jeu a été testé avec une version fournie par l’éditeur.

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Nous approchons des fêtes de fin d’année, l’occasion pour Microsoft de nous gâter une dernière fois avant de souffler 2014 et d’accueillir 2015. Et pour cette fin d’année, le papa de la Xbox360 et de la XboxOne nous offre un cadeau de saison puisqu’il s’agit du jeu de snowboard SSX !

SSX Gratuit sur le Xbox Live

Synopsis :

Réinvention moderne de l’une des franchises arcade les plus saluées par la critique de tous les temps, SSX d’EA SPORTS™ permettra aux joueurs de découvrir le fun caractéristique de la franchise et sa jouabilité pleine d’adrénaline sur les chaînes de montagnes les plus emblématiques du globe. À l’aide de données topographiques satellites de la NASA, nous avons conçu un monde énorme à explorer pour les joueurs. Grâce à une interface inspirée de Google Earth, ils pourront naviguer sur neuf massifs et régions dotés de multiples pics et largages. SSX défie la réalité à chaque run par sa jouabilité et offre aux joueurs des épreuves Course, Tricks et Survie dans d’immenses environnements ouverts. En outre, le mode Exploration, les Épreuves Monde et RiderNet (le moteur de suggestions de SSX) sont les trois fonctionnalités en ligne principales qui vont révolutionner la compétition sociale entre joueurs, rendant plus marrant et plus simple le fait d’affronter des amis quand on le veut.

Si vous avez envie d’enfiler vos chaussures de snowboard plus tôt que prévu, n’hésitez pas et foncez le télécharger, il sera gratuit jusqu’au 31 décembre (au lieu de 29.99€).

 

Et pour les heureux possesseurs d’une Xbox One ou ceux qui en découvriront une au pied du sapin à Noel, n’oubliez pas de récupérer Worms Battlegrounds !

Worms Battlegrounds

Synopsis :

Worms™ Battlegrounds est le plus gros et le meilleur jeu Worms™ qui soit : plus de vers, des niveaux plus grands, de l’eau dynamique, des armes supplémentaires et toujours plus d’objets pour le personnaliser. Il possède une belle identité visuelle en 3D haute définition (tout en conservant la jouabilité classique en 2D) avec de nouveaux effets de lumière, de nouvelles fonctionnalités pour faciliter l’interaction sociale, des ajouts pour améliorer l’expérience de jeu en solitaire, et tout ce que le fan de Worms peut désirer. Formez votre clan, relevez le défi mondial Rejoignez vos amis et d’autres joueurs de Worms™ Battlegrounds pour monter une équipe redoutable : baptisez votre clan, concevez votre emblème, promouvez vos partenaires au rang d’officier ou de chef. Inscrivez votre clan à la ligue et serrez-vous les coudes pour marquer le classement de votre empreinte. Cela va de soi que tous veulent remplir leur armoire à trophées ! Retrouvez toute la fourberie du jeu en solo le «  »mode scénario » » rajoute de la variété en introduisant des dispositifs basés sur la physique. D’innombrables machines machiavéliques pimentent le jeu, et rendent le solo de Worms™ bien plus divertissant ! Le jeu solo ne consiste pas uniquement à semer la mort et la destruction, il faudra aussi savamment négocier des ponts de singe tremblants et secourir des alliés tombés dans des pièges mortels ! Le joueur passe bien plus de temps à jouer qu’à attendre que l’I.A. se décide. Worms™ Battlegrounds est le jeu Worms™ le plus complet qui existe !

Worms Battlegrounds est disponible jusqu’à fin décembre gratuitement sur le Xbox Live, un joli cadeau de Noel !

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Comme chaque année, Pro Evolution Soccer et FIFA, les 2 franchises ennemies sur le créneau des simulations footballistiques, se livrent à une guerre sans merci. Bien qu’il soit extrêmement rare que je tâte du ballon rond avec la manette, je me suis pour une fois laissé tenter par la franchise de Konami, j’ai nommé : PES2015, édité depuis 1995 par la société Konami.

Alors que certains annoncent déjà le retour du Roi de la simulation, qu’en est il vraiment ? Vous allez découvrir dans les lignes qui vont suivre l’avis d’un quasi néophyte du genre…

Pro Evolution Soccer (PES pour les intimes) est donc un jeu de simulation de football qui était un peu retrait ces dernières années comparé à FIFA, son rival de toujours. Avec cette mouture 2015, Konami entends frapper de plein fouet son concurrent et donc reconquérir le trône. 

 

1 – L’interface :

Grand habitué et fan de Windows 8, j’ai tout de suite fait un rapprochement entre l’interface Metro de Microsoft et celle de PES.

PES2015 : Une interface claire

Des carrés et rectangles de différentes tailles nous permettent tout de suite d’accéder aux principales possibilités de match. Moi qui n’y connais pas grand chose en jeux de foot, je dois dire que j’ai pu rapidement démarrer une Champions League ou un tournoi de Ligue 1 sans avoir à chercher pendant des heures.

Lors du démarrage des matchs, il est possible de customiser absolument tout. Que ce soit le stade, le placement des joueurs sur le terrain, les maillots des deux équipes ou encore la gestion des blessures, chaque match peut être adapté selon notre bon vouloir ce qui est plutôt bien mais pas forcément indispensable (excepté la gestion de blessures).

On retrouvera la plupart des grands championnats nationaux, internationaux et vous pourrez même composer votre équipe de rêve dans le « myClub », un genre de FIFA Ultimate Team à la sauce Konami !

 

2 – Les graphismes :

Si sur le papier les screenshots que j’avais vu passer vendaient du rêve, j’étais quelque peu sur la réserve car bien souvent, un screenshot ne fait pas le jeu. et bien je dois dire que j’ai été relativement bluffé par la qualité de la modélisation des joueurs ! Les visages sont vraiment très bien fait et leur taille est respectée (petite pensée pour Lionel Messi) et j’ai pris pas mal de temps à l’ouverture des matchs pour observer les joueurs tellement le travail a été soigné.

PES2015 : Une modélisation fidèle

Lors des parties, les graphismes sont également très agréables et les stades sont vraiment beaux. Les gradins sont bien remplis et donne de la vie aux tribunes. Petite ombre au tableau selon moi : cette foule justement. Lors des gros plans sur la foule en délire, on peut voir qu’elle n’est pas aussi bien modélisée que le reste du jeu mais bon, on en tiendra pas rigueur à Konami.

PES2015 : Une foule moins soignée que les joueurs

 

3 – La maniabilité :

Comme je l’ai dis au départ, je suis ne suis un féru de football ou même de jeux de football. Tout simplement parce que je suis plutôt mauvais sur ce type de jeu (n’ayons pas peur des mots !). Et bien je dois dire que je me suis pris au jeu et que PES2015 a réussi a me faire passer de longues heures à arpenter le terrain, lancer des bordées d’injures, faire des tacles assassins… J’ai réussi a aller jusqu’en quart de finale de l’UEFA Champions League (vu mon niveau c’est un exploit), et après m’être fait éliminer par le PSG, je me suis vengé avec cette même équipe parisienne en martyrisant les petites équipes françaises à qui j’ai infligé des scores dignes d’un match de tennis (oui bon ok, j’avais réglé la difficulté sur « Novice » et ALORS ?).

 PES2015 : un match de tennis

La première chose qui m’a frappé lors de mes matchs, c’est la gestion de l’endurance des joueurs. Lors des premiers matchs, je dois dire que je faisais peu de passes, mes joueurs courraient énormément et arrivé à la fin de la première mi-temps, l’attaque de mon équipe était déjà cramée… J’ai donc appris a faire des passes ! Idem pour les tacles, il a fallut que j’apprenne à tacler proprement pour ne pas me prendre des coups francs ou des cartons de diverses couleurs toutes les 2 min…

L’arbitre a souvent été ma bête noire et malgré mon niveau misérable en foot, j’ai quand même de sérieux doutes sur son impartialité ! Je me suis également souvent pris à râler sur des passes ratées qui n’auraient pas dû l’être… Il y a donc encore quelques défauts à corriger selon moi !

Malgré tout, j’ai pris énormément de plaisir, et je dois avouer que cela faisait une éternité que cela m’étais arrivé sur une simulation de foot !

 

4 – L’ambiance :

Car un bon match c’est de belles actions et une bonne ambiance, PES2015 nous plonge au coeur du match avec une ambiance de folie dans les tribunes. Le stade est vivant et vibre au rythme des actions. En revanche, j’ai trouvé que les 2 commentateurs deviennent de plus en plus insupportables au fil du temps et balancent souvent des phrases assez hors contexte… Dommage, peut être aurait il fallut varier les commentateurs ou élargir la quantité de phrases à leur disposition, cela aurait évité de voir un défenseur être gratifié d’un « c’est vraiment l’homme du match » ou « son équipe ne joue que pour lui » alors que je viens de faire n’importe quoi avec le ballon… 

En dehors de ce petit désagrément, il suffit de fermer les yeux pour avoir l’impression d’être devant un vrai match à la TV ! Bluffant !

 

5 – Conclusion :

Est ce que je recommande PES2015 ? Bien sûr que oui ! Malgré le fait que je n’apprécie pas plus que ça le sport en lui même et que je ne sois pas des plus habiles sur ce genre de jeu, j’ai passé un excellent moment sur ce jeu qui m’a réconcilié avec le genre. Les graphismes sont travaillés, l’ambiance est au rendez vous dans le stade et en fermant les yeux on s’y croirait presque. Si vous voulez faire plaisir à votre chéri ou votre fils pour les fêtes de fin d’année alors n’hésitez pas et foncez sur PES2015, disponible sur PC, Xbox 36à, Xbox One, PS3 et PS4 !

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Développé par Deck13 Interactive et CI Games et publié par Namco Bandai Games, Lords of the Fallen se veut comme l’enfant illégitime de Dark Souls et de Darksiders 2. Mais qu’en est il réellement ?

Je tiens tout de suite à clarifier un point : je n’ai jamais joué ni à Dark Souls ni à Darksiders et par conséquent, j’apporte un oeil complètement vierge de tout parti pris sur le jeu.

Lords of the Fallen est donc un jeu du genre Action-RPG tourné entièrement vers les consoles Next-Gen puisqu’il n’est sorti que sur Xbox One, PS4 et PC. Selon les développeurs eux même, le jeu se positionne comme un hybride entre Dark Souls (pour sa maniabilité) et Darksiders (pour son univers). 

 

Synopsis :

Dans un monde impitoyable où aucun péché n’est jamais oublié, Harkyn, un criminel reconnu coupable, se voit confier une chance de rédemption. Alors que les dirigeants du monde s’apprêtent à trouver le moyen de bannir tous les maux de la Terre, l’armée d’un ancien dieu déchu de longue date attaque le royaume humain. Libéré de prison, Harkyn et son mentor, Kaslo, partent avec pour mission, arrêter la guerre.

Dans son voyage, Harkyn devra forger des alliances solides et affronter des ennemis encore plus fortes. Il va apprendre le vrai pouvoir des seigneurs Rhogar – commandants de l’armée de Dieu. Il sera même apporter la bataille dans le Rhogar, un voyage au cœur de la dimension démoniaque.

L’ancien dieu arrivera t’il a asservir l’Humanité ? Ou cette dernière sera t’elle en mesure de bannir définitivement ? Les péchés de Harkyn pourront ils être jamais pardonnés ?

 

Le jeu commence donc par la création du personnage que l’on va incarner, cette étape se divise en 2 phases.

La première est la sélection de la classe. Nous avons le choix entre 3 :

– Assaut : plutôt orientée gros bourrin.

– Leurre : un genre d’assassin.

– Réconfort : un moine guerrier.

Cette première étape est importante car elle va conditionner votre style de jeu. Allez vous plutôt foncer dans le tas ? Ou vous la jouer furtif ? Pour ma part, j’ai testé les classes Assaut et Leurre qui sont vraiment très différentes à jouer. Le personnage avec un profil Assaut donne des coups dévastateurs et peut encaisser les attaques alors que le Leurre lui esquive bien mieux et se déplace beaucoup plus rapidement.

La seconde phase est la sélection du type d’équipement où une fois de plus, votre choix devra se faire entre 3 types d’armures :

– Guerrier : un ensemble d’armures lourdes

– Clerc : un ensemble d’armures intermédiaires

– Voleur : un ensemble d’armures légères

Chaque type d’armure possède un poids et une capacité d’encaissement différents. La première caractéristique influera sur votre vitesse de déplacement et d’esquive, tandis que la seconde déterminera la capacité de votre personnage à encaisser les coups. Le choix du type d’armure est important seulement pour le démarrage et la prise en main du jeu. Rapidement, j’ai trouvé un équipement de remplacement pour mon personnage, ajustant ainsi grandement son poids et sa réactivité.

Lords of the Fallen : la feuille de personnage

Au fur et à mesure de son avancée, notre personnage récolte de l’expérience qui viendra alimenter 2 jauges différentes en fonction de nos besoins : une jauge pour les points d’attributs et une jauge pour les points de sorts. La jauge de sorts dépend de la progression de la caractéristique « Foi » de votre personnage, vous contraignant ainsi à augmenter de toute façon cet attribut si vous voulez accéder à de puissants sorts. Jusqu’ici on bien retrouve les codes du jeu Action-RPG à la sauce Dark Souls.

Lords of the Fallen : Les points de compétences

Entrons maintenant dans le vif du sujet avec le jeu, ses graphismes et son gameplay !

Le jeu est linéaire. Certes, vous aurez plusieurs chemins possibles dans chaque niveau traversé mais grosso modo vous serez tout de même bien guidé pour avancer dans l’histoire et ne pas en perdre le fil. Les niveaux sont délimités par des boss à tuer, les Lords, qui seront beaucoup plus puissants que les monstres rencontrés habituellement et j’ai dû m’y reprendre à plusieurs fois pour en arriver à bout.

Pour sauvegarder notre progression, des pierres démoniaques sont disséminées à travers les niveaux. Elles permettent également de transférer l’expérience gagnée depuis le dernier point de sauvegarde. En effet, cette dernière s’accumule dans une jauge qui si l’on meurt formera un nuage à l’endroit de votre mort attendant sagement que l’on vienne la récupérer. Sagement ? Pas tant que ça puisque plus l’on met de temps à venir la récupérer, plus la quantité d’expérience diminuera et disparaîtra même si vous venez à succomber à nouveau en tentant la récupération. A chaque mort, les monstres tués depuis le dernier point de sauvegarde réapparaissent, nous obligeant ainsi à tout pourfendre à nouveau… Parfois un peu pénible lors de passages difficiles.

Certains portails démoniaques ouvrent quant à eux une porte vers une dimension parallèle : le Rhogar. De nombreuses créatures et trésors y sont dissimulés et l’ombre baignent entièrement ces passages, nous obligeant à avancer avec prudence.

Côté graphismes, le jeu se voulait comme un vrai jeu Next-Gen. Les graphismes sont donc plutôt jolis mais rien de bien transcendant non plus. Les effets d’ombres, de lumières et de fumées sont légions et contribuent à installer une atmosphère particulière au jeu.

Lords of the Fallen : Des graphismes next gen ?

 

 Annoncé pour une quinzaine d’heures de jeu, Lords of the Fallen n’aura réussi à me garder que 6 ou 8h, le 3e Lord m’ayant passablement énervé, j’ai laissé tombé après y avoir passé plus d’une heure. La maniabilité y est a mon avis pour beaucoup car a chaque fois, je me fais avoir par mon personnage qui n’esquive pas correctement le coup qu’on lui assène… Peut être qu’un joueur ayant fait ses armes sur Dark Souls s’en sortirait mieux ! Quoi qu’il en soit, je ne garderai malheureusement pas un souvenir impérissable de ce jeu dans lequel j’avais placé quelques espoirs lors du test presse…

Sponsornot : Gratuit

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Tel un calendrier de l’Avent, en ce 1er décembre Microsoft dans le cadre de son programme Xbox Live Games with Gold nous offre 2 jeux.

Le premier est The Raven : Legacy of a master thief sur Xbox 360 !

The Raven : Legacy of a master thief

Synopsis :

Paris, 1960. L’Europe est le terrain de jeu d’un maître du cambriolage, The Raven. Il enchaîne les vols spectaculaires, dont il sort à chaque fois sans une égratignure. Le jeune loup de la police, Nicolas Legrand, crée l’événement lorsqu’il débusque le cambrioleur et le blesse mortellement. Londres, 1964. Un rubis ancien, l’un des légendaires « Yeux du Sphinx », est volé au British Museum. Sur la scène du crime : une plume de corbeau. Quelqu’un chercherait-il à imiter le Raven ? – Legrand reprend du service. Au même instant, à Zurich, un téléphone sonne. L’agent Anton Jakob Zellner lève le nez d’une montagne de dossiers. Il ignore tout de ce que renferme un certain coffre de banque, à quelques centaines de mètre seulement de lui. Alors qu’il tend la main pour saisir le combiné, sa vie prend un virage irrémédiable…

Habituellement proposé en téléchargement au prix de 9.99€, The Raven : Legacy of a master thief Episode 1 est gratuit jusqu’au 15 décembre inclus si vous disposez d’un compte Xbox Live Gold.

 

Le deuxième jeu gratuit n’est autre que l’excellent Worms Battlegrounds !

Worms Battlegrounds

Synopsis :

Worms™ Battlegrounds est le plus gros et le meilleur jeu Worms™ qui soit : plus de vers, des niveaux plus grands, de l’eau dynamique, des armes supplémentaires et toujours plus d’objets pour le personnaliser. Il possède une belle identité visuelle en 3D haute définition (tout en conservant la jouabilité classique en 2D) avec de nouveaux effets de lumière, de nouvelles fonctionnalités pour faciliter l’interaction sociale, des ajouts pour améliorer l’expérience de jeu en solitaire, et tout ce que le fan de Worms peut désirer. Formez votre clan, relevez le défi mondial Rejoignez vos amis et d’autres joueurs de Worms™ Battlegrounds pour monter une équipe redoutable : baptisez votre clan, concevez votre emblème, promouvez vos partenaires au rang d’officier ou de chef. Inscrivez votre clan à la ligue et serrez-vous les coudes pour marquer le classement de votre empreinte. Cela va de soi que tous veulent remplir leur armoire à trophées ! Retrouvez toute la fourberie du jeu en solo le «  »mode scénario » » rajoute de la variété en introduisant des dispositifs basés sur la physique. D’innombrables machines machiavéliques pimentent le jeu, et rendent le solo de Worms™ bien plus divertissant ! Le jeu solo ne consiste pas uniquement à semer la mort et la destruction, il faudra aussi savamment négocier des ponts de singe tremblants et secourir des alliés tombés dans des pièges mortels ! Le joueur passe bien plus de temps à jouer qu’à attendre que l’I.A. se décide. Worms™ Battlegrounds est le jeu Worms™ le plus complet qui existe !

Worms Battlegrounds est a présent gratuit durant tout le mois de décembre donc profitez en pour économiser 24.99€ !

Petit rappel et non de taille : si vous avez un compte Gold mais pas encore de Xbox One, vous pouvez tout de même « acheter » ces jeux gratuits qui seront alors disponibles le jour où vous ferez l’acquisition de la bête !

Sponsornot : Zéro collaboration

En ce week end de Paris Games Week et début de Movember, Microsoft nous mets à disposition dès aujourd’hui 2 jeux gratuitement dans le cadre de son programme Xbox Live Games with Gold, destiné à tous les membres Gold de son réseau.

Du côté de la Xbox 360, c’est Viva Pinata : Trouble In Paradise qui est gratuit du 1er au 15 novembre inclus !

Viva Pinata Trouble In Paradise sur le Xbox Live

Synopsis :

Bienvenue sur l’île de Piñata ! Mauvaise nouvelle : le Professeur Pester a encore fait des siennes… Visite le désert brulant et les plaines glacées du Piñarctique et captures-y de nouvelles espèces de Piñatas. Apprends-leur ensuite des tours, costume-les et envoie-les a des fêtes ! Viens découvrir toutes les nouvelles Piñatas, activités, fonctionnalités et secrets de l’île ! Bientôt, toi non plus tu ne voudras plus repartir !

Plutôt destiné aux joueurs assez jeunes, ce titre est gratuit jusqu’au 15 novembre (habituellement proposé au tarif de 14.99€).

 

Les possesseurs de la Xbox One auront quant à eux la chance de pouvoir télécharger un jeu ID@Xbox : Volgarr the Viking !

Volgarr le Viking sur le Xbox Live

Synopsis :

Vous souvenez-vous quand les jeux étaient difficiles? Retour à l’époque des arcades avec un nouveau jeu d’action. Volgarr le Viking a toutes les fonctionnalités de jeux classiques. Il a des contrôles simples, des défis difficiles, et la conception précise. Il a également magnifiquement dessinée animation de pixels, une bande intense, et beaucoup de sang. Rejoignez Volgarr le Viking dans l’arène.

Habituellement proposé au prix de 9.99€, Volgarr le Viking est gratuit durant tout le mois de novembre !

Sponsornot : Zéro collaboration