Article et photos par @Deloriand !

La Paris Games Week c’est un peu le rendez-vous vidéoludique de fin d’année. Celle-ci c’est déroulée du 1er au 5 novembre au Parc des expositions à la Porte de Versailles. J’ai pu m’y rendre et ainsi me tenir à jour sur les sorties à venir et les différentes annonces. Il serait bien compliqué de tout énumérer ici, alors voici un petit résumé de l’événement avec mes différents coups de cœurs et mes déceptions.

Commençons par les déceptions avec encore une fois le stand Playstation privatisé (même durant la soirée presse) ce qui, je vous l’avoue, n’aide pas vraiment pour découvrir leur titres à venir. Pourtant le stand et sa mise en scène était assez réussi avec une vitrine à l’honneur de Detroit – Become Human ou encore cet immense X-Wing de Battlefront 2 qui trônait au dessus de nos têtes. Mais avec plusieurs heures d’attentes, je me suis plutôt dirigé vers d’autres horizons.

PlayerUnknown’s Battlegrounds était également jouable sur le stand Xbox. J’ai pu assister à quelques parties mais connaissant déjà le jeu sur PC, je ne voyais pas l’intérêt de faire une heure de queue pour tester un titre que je connaissais déjà. C’est néanmoins un coup assez intéressant de la part de Microsoft qui surfe sur le succès colossal de ce titre. On lui souhaite un tout aussi grand succès sur la Xbox One X qui devient, a mon plus grand plaisir, la console la plus puissante à ce jour sur le marché. Sacré bestiole !

Coté coup de cœur j’ai pu tester mes deux chouchou du moment ! J’avais pour objectif de mettre les mains sur deux jeux ! Le tout nouveau Monster Hunter World et Sea of Thieves. Mission réussi des la première journée !

Monster Hunter World de Capcom (jeu testé sur PS4) : Le jeu est magnifique graphiquement ! Il faut dire que l’on enchaine des titres 3DS depuis quelques temps maintenant et qu’une nouvelle bouchée d’air frais était nécessaire. Et c’est chose faite avec ce nouveau titre. Bien sur, comme tout MH qui se respecte, j’étais pommé avec les contrôles au début. Entre les changements apportés, les nouveaux mouvements, les nouveaux monstres, etc., les premières minutes manette en main étaient hésitantes. Mais la chasse c’est comme le vélo, ça ne s’oubli pas. Une dizaine de minutes plus tard, j’étais déjà sur le dos d’un monstre pendant que mes trois acolytes lui fracassaient les pates avec les différentes armes à disposition. C’était fun, c’était bourrin et c’était compliqué ! Que de belles promesses qui devraient arriver très bientôt !

Sea of Thieves de Rare (testé sur Xbox One X) : Je suis un grand fan des jeux aux graphismes un peu cartoon. Sea of Thieves fait ici le pari d’allier des designs très simples (j’ai dit simples, pas moches) avec d’autres éléments visuellement impressionnants. La mer à elle seule m’a bluffé ! Accompagné de trois autres compagnons d’armes, nous voila en quête d’un trésor. Une fois le trésor trouvé et ramené sur le bateau nous remarquons que ce dernier est maudit et nous fait…couler ! La coopération est alors notre unique espoir de survie tandis que nous essayons de rejoindre la terre ferme. Je me charge des voiles, un autres de la carte, encore un autre du gouvernail et le dernier répare la cale et bouche les trous dans la coque. La tempête se lève et les vagues montent et c’est la que le jeu à l’aspect amical prend toute sa grandeur ! Une claque visuelle et une expérience coop excellente !

Niveau jeu de combat, Dragon Ball Fighter Z était bien présent sur le salon et semblait mettre tout le monde d’accord sur un fait, ça à l’air très bon ! Avec sa date de sortie prévu pour le 26 Janvier 2018, et les récents épisodes de Dragon Ball Super qui augmente la hype des fan de Goku, le jeu semble être en bonne voie pour se faire une belle place sur nos consoles. Ubisoft était également de la partie avec la présentation de ses plus gros titres comme toujours. Assassin’s Creed Origins, Far Cry 5, Just Dance 2018 et j’en passe. Activision a comme a son habitude présenté son annuel Call of Duty WW2 ainsi que Destiny 2. Deux jeux qui sont soit déjà sortis, soit sur le point de l’être. Rien de bien croustillant à se mettre sous la dent.

Alors cette PGW c’était comment ? Ben c’était pas mal, mais sans plus. J’ai vraiment apprécié les quelques exclusivités comme Monster Hunter World, Sea of Thieves sur lesquelles j’ai pu mettre les mains mais aussi celle qui me sont passées entre les doigts comme Detroit – Become Human. On notera également le petit bonus de pré-PGW avec l’annonce de the Last of Us 2 et son nouveau teaser.

Cette année le salon était vraiment consacré aux jeux à venir très prochainement. Si vous avez raté cet événement, vous ne devriez pas attendre bien longtemps avant de pouvoir, vous aussi, mettre la main sur ces titres. Néanmoins cela reste un très bon salon comme à son habitude, avec une organisation plus soignée d’année en année. En bref, vivement l’année prochaine avec peut être, un peu plus d’exclusivités !

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Dans le précédent article, je vous parlais des constructeurs présents à la Paris Games Week 2016, il est temps maintenant de vous parler des jeux, car oui, il y en avait des jeux, beaucoup de jeux !

1. Sniper Elite 4 

Je suis passé sur le stand de l’éditeur Rebellion pour tâter un peu de Sniper Elite 4 pendant 15min. Les codes du 3e opus ont été conservés, on retrouve donc les mêmes mécanismes (détection des ennemis à la jumelle, gestion des battements du coeur, killcam parfois très sales…) qui sont la marque de fabrique de cette franchise. Bien qu’encore en cours de développement, le jeu est vraiment très beau, fluide et avec une bonne maniabilité. L’action ne se passe plus en Afrique mais en Italie en 1943, un changement radical de décors qui nous oblige à composer avec la végétation et les habitations.

Sniper Elite 4 à la PGW 2016

A l’issue de la démo, j’ai pu m’entretenir avec Rossie Couke, Marketing & PR Manager chez Rebellion et je lui ai posé quelques questions :

Sniper Elite 3 et 4 se déroulent tous deux pendant la Seconde Guerre Mondiale, avez vous envisagé de changer de période pour un prochain opus et de traiter une guerre plus récente (Guerre du Golfe, Guerre du Vietnam…) ?

Rossie Couke : Actuellement, nous nous concentrons à 100% sur le développement de Sniper Elite 4. Il y a énormément de travail et nous voulons que le jeu soit aussi réussi que possible. Mais nous discutons régulièrement du changement de période pour un prochain opus et cela fait l’objet de gros débats en interne. Nous serons également à l’écoute des joueurs et leur avis pèsera dans la balance lors d’un choix futur.

La démo de Sniper Elite 4 se déroule en Italie. D’autres pays seront ils à l’honneur dans le jeu ?

Rossie Couke : Non, nous avons décidé de nous focaliser sur l’Italie car c’est un pays où il s’est passé énormément de choses pendant la Seconde Guerre Mondiale, notamment en 1943 la période où se déroule l’action du jeu. Il y avait beaucoup de protagonistes comme les Alliés, les fascistes de Mussolini, les partisans, la mafia et cela nous permettait d’explorer beaucoup de pistes pour monter le scénario du jeu et le rendre vraiment intéressant. De plus, c’est un pays aux paysages variés. On y trouve de la forêt, de la montage, des grandes villes, des petits villages de pêcheurs, c’est très varié et l’Italie disposait encore de nombreux villages intacts en 1943, nous donnant ainsi une plus grande marge de manoeuvre pour le level design.

Quand avez vous débuté le développement de Sniper Elite 4 ?

Rossie Couke : Très peu de temps après la sortie de Sniper Elite 3 (NDLR : juillet 2014) car nous voulions prendre notre temps pour développer la suite et sortir un jeu le plus aboutit possible.

Rebellion est le studio qui est à l’origine du jeu Alien versus Predator sorti en 1991. J’ai d’excellent souvenirs sur ce jeu, notamment en LAN et j’aurai aimé savoir si un nouvel opus pourrait être développé par Rebellion ?

Rossie Couke : Nos studios sont encore décorés avec pleins de facehuggers, dernières traces de cette époque car la totalité de l’équipe de développeurs de ces années est partie vers d’autres horizons. Cela reste un excellent souvenir pour l’entreprise qui conserve de bonnes relations avec la Fox qui détient les droits d’exploitation de la licence. Aujourd’hui, un nouveau jeu Alien versus Predator n’est pas à l’ordre du jour pour Rebellion, mais dans le futur tout est possible.

Rossie a été très sympa, disponible et je remercie VPCom pour m’avoir permis de le rencontrer !

 

2. Killing Floor 2

Vous connaissez la série vidéoludique Left 4 Dead ? Et bien c’est quasiment la même chose. Vous êtes 6 joueurs et vous devez vous défendre contre une horde de monstres plus ou moins méchants.

 Killing Floor 2 à la PGW 2016

Nous avons pu tester un niveau complet avec 5 parfaits inconnus et franchement, si tout le monde n’a pas compris le fonctionnement des rounds et surtout du ravitaillement, cela peut vite devenir problématique avec des joueurs qui courent dans tous les sens avec une armée de monstres au cul ! Le jeu sort le 18 novembre et je publierais un test dessus soyez en sûrs !

 

3. Dragon Quest Builders

Mon coup de coeur du salon, Dragon Quest Builders est toujours développé par Square Enix et casse un peu les codes de ses prédécesseurs. On se retrouve dans un univers vraiment sympathique avec un système de jeu un peu à la Minecraft mais complètement scénarisé avec des PNJ qui nous donneront des quêtes à remplir car vous êtes un batisseur légendaire qui doit reconstruire une ville ancestrale et triompher du méchant qui controle le monde. Pour ce faire, il vous faudra casser l’environnement qui vous entoure pour récupérer des matérieu et pouvoir créer d’autres objets, des armes, de la nourriture…

 Dragon Quest Builders Square Enix PSVita PS4

Les graphismes sont plutôt jolis et les 15 petites minutes que j’ai pu passer dessus m’ont donné envie d’en voir plus, beaucoup plus et cela tombe bien, car il est disponible sur Playstation 4 et sur PS Vita ! J’ai donc acheté le jeu en dématérialisé sur la console portable et depuis, j’en suis bien à une bonne vingtaine d’heures de jeu… Le test sera prochainement disponible dans les colonnes du blog !

 

4. Elder Scrolls Legends

Petit jeu qui se fait assez discret jusqu’à présent du coté de chez Bethesda, Elder Scrolls Legends est un jeu à mi-chemin entre Hearthstone et Magic. La première impression est l’univers puisque le studio a conservé les codes graphiques de The Elder Scrolls et les a intégrés à l’interface de son jeu, gardant ainsi une certaine cohérence avec l’ensemble de son univers. 

 http://www.youtube.com/watch?v=w9TA8KDHr98

L’interface de base est un poil plus fouillie que celle proposée par Hearthstone ou bien Magic Duels, mais je suis du genre a préféré les interfaces plus sobres et épurées. Différents modes de jeu sont disponibles, en ligne, hors ligne, seul contre l’IA ou en multijoueur, il y en a pour tous les goûts et toutes les situations. Un mode arène (payant) est également disponible comme sur Hearthstone.

Les decks sont composés de 50 cartes avec maximum 3 exemplaires de chaque carte. Les cartes sont réparties selon 5 caractéristiques : Force, Intelligence, Endurance, Agilité, Volonté. 10 classes de personnages (celles que l’on retrouve dans les jeux comme Skyrim ou Morrowind) se répartissent les 5 caractéristiques en en prenant chacune 2 :

  Agilité Endurance Force Intelligence Volonté
Agilité   Scout Archer Assassin Moine
Endurance     Guerrier Sorcier Mage-lame
Force       Mage de bataille Croisé
Intelligence         Mage
Volonté          

Cette répartition permet de définir la « couleur » de votre deck et par conséquent la dominante des effets qui le composeront. Les sorts basés sur l’intelligence par exemple auront souvent des Atronachs de feu ou de givre dans leur liste, les decks basés sur l’endurance auront plutôt des créatures costaudes pour taper fort sur l’ennemi et il n’y a pas de limite au nombre de coulejurs, si vous voulez un monocolore ou un 5 couleurs, libre à vous ! Vous pouvez créer votre deck automatiquement ou totalement manuellement ou bien utiliser l’un de ceux qui vous sont proposés. Pour enrichir votre collection, vous pourrez soit être patient et engranger des crédits virtuels en jouant, soit mettre la main au portefeuille.

 The Elder Scrolls Legends

Le champ de battaile se divise en 4 zones, 2 pour vous, 2 pour votre adversaire, sachant que lorsque vous invoquez une carte, il faudra choisir entre l’une ou l’autre de vos 2 zones, la carte pouvant ensuite être basculée de l’une à l’autre. L’attaque se fera toujours sur la zone en face de celle de la carte, jamais en diagonale.

La mécanique de jeu est un peu particulière et il faut quelques parties pour apréhender le système de champ de bataille séparé mais je pense qu’avec un peu d’expérience le jeu peut se révèler très stratégique !

Le jeu est d’ors et déjà disponible en version beta sur le launcher Bethesda.

 

5. Ceux que je regrette de n’avoir pas testés

Clairement, les 3 jeux que je regrette de ne pas avoir pu tester sont Dishonored 2, Deadrising 4 et Ghost Recon Wildlands. Pour ce dernier, j’ai clairement esquivé le temps en file d’attente et ce tout a fait volontairement dès que j’ai appris que ce n’était pas un test « hands on » mais simplement regarder 3 mecs nous montrer un peu de gameplay. Désolé, mon temps sur le salon est précieux et si je veux voir un peu de gameplay je vais faire un tour sur YouTube (à noter que ce n’est pas le seul pour qui j’ai fais ça).

Pour Deadrising 4 et Dishonored 2 en revanche, c’est uniquement un manque de temps et une gestion des priorités. La file d’attente n’a presque jamais désemplie et entre passer 3h à attendre de pouvoir mettre la main sur une manette ou employer ce temps à prendre des rendez vous pour des démonstrations ou des interviews, j’ai du faire un choix. Donc oui, je regrette de n’avoir pu tester Deadrising 4 car j’ai saigné les 3 précédents opus et j’ai tellement pris mon pieds que j’attends le 4 avec impatience…

Pour Dishonored 2, j’invoque une raison identique et j’ajouterais même que le jeu sortant cette semaine, l’attente n’est fort heureusement que de courte durée ! 

Ces 3 jeux rejoindront sans aucun doute ma bibliothèque vidéoludique à leur sortie.

 

6. Et tous ces jeux déjà sortis à l’ouverture du salon

Comme chaque année, la Paris Games Week tombe à un moment plus que chargé du calendrier des sorties jeux vidéo et forcément, ça se téléscope sévère… Battlefield 1, Mafia 3, Farming Simulator 2017, Gears of War 4, Civilization 6, Dragon Quest Builders… Autant de titres qui étaient déjà disponibles chez tous les revendeurs lors du coup d’envoi du salon. Avantage ? Inconvénient ? Il y en a surement mais pour ma part cela me permet d’éviter de faire la queue un certain nombre de fois vu que j’ai bien souvent acheté les jeux précédemment cités à leur sortie…

Paris Games Week 2016 : les jeux déjà sortis 

Il y avait également un grand nombre de jeux dont la sortie est très proche de la fin du salon, c’est notamment le cas de Dishonored 2 qui sort le 11 novembre ou de COD Infinity Warfare qui est tout juste sorti. 

La seule façon de changer ce phénomène de « on vous montre des jeux que vous avez déjà chez vous » serait de décaler la Paris Games Week à une période creuse du calendrier, l’été par exemple, mais ces périodes là sont déjà monopolisées par d’autres salons comme la Gamescom ou l’E3…

 

Quoi qu’il en soit, le catalogue de licence présentes à la Paris Games Week était assez impressionnant une fois de plus avec une représentation d’à peu prêt tous les genres pour ravir un panel assez divers de gamers en herbe ou confirmés. Retrouvez toutes les photos du salon dans la galerie dédiée !

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Cette année, nous avons eu une belle édition 2016 de la Paris Games Week et elle a été marquée par la présence d’un nombre important de constructeurs et revendeurs de matériels ! Suivez le guide.

1. Les revendeurs

Les revendeurs de produits dérivés ont répondus présent à l’appel du salon mais j’ai personnellement trouvé qu’il y avait moins de stands mais que la qualité était un peu plus élevée que d’habitude. Bien entendu, nous avions les habituels revendeurs de tee shirts, casquettes et autres bonnets de Teemo mais ceux ci étaient bien moins nombreux que les années passées. En revanche, les spécialistes des produits dérivés des jeux vidéo étaient surement un poil plus nombreux avec de belles pièces à disposition de nos portefeuilles. Les Funko POP étaient là par centaines, les  les figurines de manga également et dont certaines étaient vraiment magnifiques.

 

Cotés revendeurs de matériel informatique et périphériques gaming, LDLC était présent comme chaque année avec un stand ENORME dans le hall 3 dédié à l’e-sport avec de belles animations au rendez vous. La scène e-sport LDLC était bien entendu là, mais on pouvait également trouver un atelier « Gaming Expérience » avec des PC et des Xbox One à disposition des visiteurs qui voudraient s’essayer à quelques jeux. Un autre stand LDLC, surement mis en place en partenariat avec Samsung, proposait un mini salon présentant l’éco-système du fabricant sud coréen avec notamment des écrans, des tablettes, des SSD et un casque GearVR, car oui cette année de nombreux stands proposaient de tester l’expérience de la Réalité Virtuelle (dont je vous parlerais dans le prochain article) ! Le revendeur Lyonnais proposait également aux visiteurs de s’essayer au pilotage spatiale avec 2 configurations de fou faisant tourner le jeu Star Citizen dans lequel vous pouviez piloter un vaisseau spatial grâce au Thrustmaster HOTAS Warthog (mon test est disponible sur le blog).

 

La Fnac occupait son emplacement habituel avec une grosse sélection de jeux vidéo et accessoires parmi lesquels figurait un HTC Vive et tous les jeux récemment sortis ou en précommande… Achat Mania était également là avec son stock de matériel Astro Gaming, Steelseries, Mad Catz, Tritton ou encore Cooler Master et a rencontré un vif succès semblerait il ! Parmi les autres revendeurs, nous avions Burn Controllers et Stealth Gamer venus nous faire étalage de toute leurs collections de prêt à porter pour manettes de gamers. Il y avait de jolies choses pour lesquelles j’ai failli craquer pour remplacer ma manette Blast Controllers car la qualité des 2 autres est quand même largement au dessus du lot.

  

Certains éditeurs de jeux vidéo avaient également leur propre échoppe comme par exemple Bandai Namco ou encore Square Enix, proposant tous deux leurs jeux vidéo ou encore des produits dérivés issus de ces derniers. Bon soyons clair, cette année j’ai fait preuve d’un mental à toute épreuve puisque je ne n’ai strictement rien acheté malgré une tentation relativement forte ! Une première depuis que j’arpente les allées du salon…

 

 

2. Les constructeurs

a. Turtle Beach

Turtle Beach est un célèbre fabricant de matériel audio dédié au monde du jeu vidéo, il était présent à la Paris Games Week et j’ai donc pu redécouvrir leur gamme pour PC, Playstation et Xbox qui est assez conséquente. Je dis bien redécouvrir car Turtle Beach est une marque qui est déjà apparue sur ce blog avec le test du XO Seven, un casque Xbox One assez haut de gamme qui est toujours à la page.

Parmi les différents produits qui nous étaient présentés, l’impressionnant casque Turtle Beach Elite Pro avec son panel de commande séparé. Clairement, on est sur un produit très haut de gamme plutôt réservé aux joueurs exigeants ou au monde de l’e-sport. Je pense que je vous en reparlerais très bientôt à travers un test complet qui décortiquera dans les moindres détails ce casque sur lequel j’ai complètement craqué, craquage dû particulièrement à la présence du panel de commande séparé qui permet de procéder à certains réglages en direct, sans passer par une interface logicielle. Pour le peu que je l’ai porté, le casque m’a paru extrêmement confortable grâce à son système unique de coussinets et de réglage de l’arceau qui permet de positionner idéalement le casque sur la tête. Mon Plantronics RIG Surround a trouvé son remplaçant, cela ne fait aucun doute !

Deuxième produit phare qui est une première chez Turtle Beach : un micro ! Le Stream Mic est une nouveauté chez le constructeur qui s’essaye pour la toute première fois à la conception d’un micro autonome dédié comme son nom l’indique au monde du streaming. Sa première particularité c’est sa compatibilité puisque vous pouvez vous en servir sur PC, Playstation 4 et Xbox One ! La technologie embarquée lui permet d’être ultra performant, aussi bien chez vous tranquillement installé dans votre canapé que dans l’univers bruyant d’une scène e-sport, parfait pour les commentateurs de compétitions League of Legends ou CSGO officielles.

Merci à Elisa et Clément qui m’ont accordé un peu de leur précieux temps pour me présenter le matériel et répondre à mes questions.

 

b. Thermaltake

Le deuxième stand qui m’a accordé une bonne part de leur temps lors de la soirée réservée à la presse et aux influenceurs est Thermaltake. Ceux qui s’intéressent un petit peu au hardware informatique ou au modding PC connaissent forcément cette marque, mais pour les autres je vais vous faire une présentation rapide. Thermaltake est une entreprise Taïwanaise qui est spécialisé à l’origine dans les boitiers PC et tout ce qui s’y rapporte concernant le refroidissement. Depuis quelques temps, ils se diversifient avec des périphériques et des sièges gaming.

J’ai donc eu le droit à une présentation par le grand patron de l’entreprise lui même, un immense privilège car c’est très rare de s’adresser directement au sommet de la pyramide. Il a donc commencé par me présenter leur nouveau boitier phare dont la sortie ne devrait plus tarder : le Tower.

Un boitier impressionnant réalisé en partenariat avec un moddeur : Mathieu Heredia. Sa forme est totalement atypique puisqu’il a une base carrée, est plus haut qu’un boitier grand tour et permet d’implanter un sacré dispositif de watercooling à l’intérieur !

Deuxième produit phare, les kit de ventilateurs Riing RGB. Ce sont des ventilateurs pour boitier ou kit watercooling qui se branchent sur un petit boitier de contrôle capable de piloter jusqu’à 3 ventilateurs différents de façon totalement indépendante.

Les ventilateurs sont déclinés en 120mm et 140mm et les boitiers de contrôles peuvent se connecter les uns aux autres jusqu’à concurrence de 16 boitiers, soit 48 ventilateurs. Quel est l’intérêt de les connecter les uns aux autres me direz vous ? Et bien cela permet d’offrir une gestion centralisée des ventilateurs via une application installée sur le PC qui permet entre autres de régler la vitesse et l’éclairage de chaque ventilateur.

Le stand Thermaltake présentait également une partie de leur gamme d’accessoires dédiés au watercooling, comme les fluides colorés, les embouts de tuyaux lumineux, les kit watercooling all-in-one, etc… Que du matos qui donne envie de se faire une jolie configuration !

 

c. Acer, MSI, Asus, NVidia et cie

Acer était présent sur le salon pour nous présenter tout son attirail estampillé Predator. Que ce soit des tours (G1 / G3) ou bien des PC portables (17 / 17X), le stand regorgeait de postes informatiques sur lesquels tout le monde pouvait s’essayer à divers jeux. Un des ordinateurs portables présentait notamment la fonction eye tracking qui permet de cibler les ennemis simplement en les regardant et cela fonctionnait vraiment bien !

Asus, MSI, NVidia, Lenovo, ROCCAT, Logitech, Plantronics et bien d’autres étaient également présents pour nous présenter leurs dernières nouveautés. Logitech a d’ailleurs réalisé un coup de maitre avec son Logitech Wall, un mur entier de son stand entièrement recouvert de clavier G810 et dont les touches s’allumaient pour former des mots ou des dessins :

 

Bref, du matos, il y en avait pour tous les goûts, avec du sobre, du coloré, du gaming, du hardcore gaming, du pas cher, du très cher…. Me tenant régulièrement au fait des différentes nouveautés, je ne m’y suis donc pas énormément attardé.

 

Les constructeurs étaient plus nombreux que les années passées, surement du au fait que le public s’équipe de plus en plus et que la Paris Games Week devient un rendez vous incontournable en France si l’on veut vendre ses produits. Chaque constructeur ou revendeur a fait preuve d’originalité dans la présentation de son matériel avec souvent des animations permettant au public d’affronter des guest stars venues faire le show pour l’occasion. Des choses magnifiques étaient parfois exposées et je regrette un peu la grosse galerie modding LDLC de l’année dernière…

Si vous l’avez manqué, je vous invite à aller visiter le reste de la galerie photo de la PGW 2016 !

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Comme chaque année, j’arpente les allées du plus grand salon français dédié aux jeux vidéo : la Paris Games Week. Cette année encore, le salon a évolué, s’est agrandit et je vous fait partager aujourd’hui ma vision de cette édition 2016 au travers plusieurs articles. Et voici le premier !

1. Un salon qui prend de l’ampleur

Cette année, la Paris Games Week (PGW) s’est étalée sur 5 jours et 3 halls du parc des expositions de la porte de Versailles. Si la durée reste identique par rapport à l’édition 2015, la superficie occupée a été elle augmentée d’un hall complet, le hall 3, ce qui représente une augmentation de la surface d’environ 20% ! 

Le Hall 1 rassemblait tous les éditeurs, constructeurs, développeurs et quelques revendeurs, le Hall 2 était réservé à la Paris Games Week Junior avec de nombreuses activités pour enfants ainsi qu’au jeu vidéo made in France tandis que le Hall 3 accueillait tous les acteurs de l’e-sport ! Cette compartimentation permettait de bien distinguer les 3 espaces sans créer un espèce de fouillis comme l’année passée avec les exposants cotoyant l’ambiance électrique de la scène e-sport dans le hall 1. 

Mais c’est aussi virtuellement que le salon a pris de l’ampleur puisque les statistiques Internet ont explosées comme en atteste cette infographie publiée par le SELL (Syndicat des Editeurs de Logiciels de Loisir) :

Il est à noté qu’avec la campagne de sensibilisation au PEGI qui est passée récemment, le SELL a passé quelques consignes aux exposants pour qu’ils soient vigilants sur l’age des visiteurs venus essayer leurs jeux en fonction du PEGI de ces derniers.

Certains ont joué le jeu, d’autres non, sans système d’identification simple (un bracelet de couleur comme à la Gamescom par exemple) c’est de toute façon compliqué de demander sa carte d’identité à chaque visiteur et sur chaque stand… Bravo à ceux qui ont fait l’effort en tout cas !

Les statistiques de fréquentation n’ont pour l’heure toujours pas été communiquées mais dans les allées, j’ai eu l’impression d’être beaucoup moins à l’étroit que les années passées. Est ce dû à l’ouverture d’un 3e hall ? Au fait qu’il y avait cette année moins de stands de produits dérivés que les années passées ? Y’a t’il eu une baisse de la fréquentation ? J’attend les chiffres du SELL avec impatience !

 

2. Un grand absent

Nintendo est LE grand absent de cette Paris Games Week. Dans les allées, on pouvait parfois entendre « tu as pas vu le stand Nintendo par hasard ? » et la réponse est « Non, Nintendo n’est pas là cette année ». Tout le monde ou presque aura noté cette absence, tous tellement habitués à voir les 3 concurrents (Microsoft / Sony / Nintendo) côte à côté lors de ce genre d’événement.

Ormi cette justification officielle :

Chaque année, Nintendo cherche les meilleurs moyens et les meilleurs moments pour permettre à ses fans d’avoir accès à ses jeux.

Cette année, Nintendo a décidé de ne pas participer à la Paris Games Week, car elle ne s’insérait pas dans le plan annuel.

Nous souhaitons à tous les participants et aux organisateurs un très bel événement.

aucune autre raison particulière n’a toutefois été évoquée il me semble mais si je me risquais à quelques spéculations diverses et variées, je dirais que Nintendo n’avait rien d’extraordinaire à nous montrer, pas de nouvelle licence tout juste sortie ou à venir, pas de nouvelle console puisque la Nintendo NX récemment rebaptisée Nintendo Switch n’est pas encore prête à se dévoiler en public.

http://www.youtube.com/watch?v=EEmNofPNHTI

Pas de tournoi Mario Kart ou de chasse aux Pokémons cette année donc, espérons simplement que ce ne soit qu’exceptionnel et que nous reverrons le géant nippon trôner fièrement aux cotés de ses deux adversaires de toujours lors de la prochaine édition.

 

3. Les jeux vidéo Made In France à l’honneur !

Au sein du hall 2, aux cotés de la Paris Games Week Junior, trônait fièrement le stand Made In France dédié aux studios français. Sur cet espace, ce sont pas moins de 26 jeux qui étaient présentés au public, la plupart jouables avec une date de sortie prochaine et d’autres déjà sortis comme Trackmania par exemple.

Le premier que j’ai pu tester c’est Battlecrew Space Pirates développé par DONTNOD (Life is Strange / Remember Me), un jeu de tir multijoueur par équipe où votre but sera d’aller récupérer des coffres disséminés sur la carte pour en engranger un maximum. C’est rapide, nerveux et le level design est plutôt sympa. Vu les productions de ce studio, je pense que le jeu devrait être une réussite. Sortie en 2017.

Le second jeu sur lequel j’ai posé les mains c’est Styx Shards of Darkness développé par Cyanide. Ce nom vous dit surement quelque chose puisqu’il s’agit du deuxième volet des aventures du célèbre gobelin assassin qui nous était présenté. Basé sur le moteur Unreal Engine 4, Styx Shards of Darkness a corrigé beaucoup des défauts dont souffrait son petit frère avec un ajout important : le craft qui vous permettra de créer vos certains items. Les jeux de lumières sont magnifiques, l’ambiance vraiment glauque et le gameplay plutôt intuitif !

 

4. Et l’Art dans tout ça ?

Toujours dans le hall 2, on pouvait retrouver une galerie d’Art où était exposées de nombreuses oeuvres du collectif ARTtitude en rapport avec l’univers du jeu vidéo. Un de leur récent fait d’arme est d’avoir redécoré la Bibliothèque François Mitterrand aux couleurs de la nouvelle extension World of Warcraft : Légion.

Far Cry, Borderland, ICO, Blizzard… De nombreux emblèmes voir même monuments des jeux vidéo étaient représentés sous forme d’oeuvre d’art et fort heureusement, aucun n’était en vente sinon je pense que je n’aurai plus qu’un rein, un poumon et que je serais manchot à l’heure qu’il est…

  

Sur le contour de la galerie, 3 oeuvres ont été réalisées pendant le salon. La première n’est pas une oeuvre en soit puisqu’il s’agissait d’une fresque à colorier avec tout plein de héros de jeux vidéo. Il va sans dire que dès le premier jour, c’était déjà du grand n’importe quoi, très peu de coloriage pour beaucoup de gribouillages à caractère plus ou moins correct… (Mention spéciale au spoil de TWD saison 7 Episode 1 !)

Ensuite, dans un registre plus street art, une grande fresque avec le logo du salon a été peinte, tandis qu’à l’opposé a été réalisé une oeuvre représentant le prochain jeu de Bethesda : Dishonored 2. Une oeuvre magnifique que j’ai pu voir évoluer au fil du salon, une sorte de fil rouge artistique réalisé par l’artiste Tsuchinoko et qui a attiré l’attention de plus d’un visiteur !

Je vous reparlerais prochainement de ce collectif d’Art avec un article le concernant et présentant un de leur livre en édition limitée que j’ai la chance d’avoir pu obtenir…

 

5. Place à l’e-sport

Le hall a donc été en feu pendant les 5 jours du salon avec les gros acteurs du secteur au rendez vous (LDLC, ESCW, Twitch, MSI et d’autres) qui ont galvanisé les foules lors de tournois du circuit pro et d’exhibitions où le public était invité à affronter les stars des différents jeux proposés. Car oui, cette année pas question de caler la composante e-sport du jeu vidéo dans un petit coin du hall, le SELL a préféré faire les choses en grand.

Au programme, des matchs officiels de l’ESCW sur Counter Strike Global Offensive (finale mondiale), Clash Royale (grande finale mondiale), Just Dance et FIFA 17 mais également des showmatchs où l’on a pu voir des personnalités du jeux vidéo (Mamytwink ou bien Gotaga pour ne citer qu’eux) affronter des équipes de joueurs sélectionner dans le public sur Overwatch notamment.

Des matchs de l’ESL était également de la partie avec du League of Legend qui a attiré beaucoup de monde pour les IEM Challenger permettant de décrocher un billet de qualification pour les IEM Oakland & Gyeonggi !

 

Voilà, c’est tout pour cette fois, un article dédié aux jeux vidéo est en cours de rédaction et devrait débarquer sur le blog dans la semaine alors… restez branchés ! Et en attendant, vous pouvez jeter un oeil à la galerie photo complète 😉

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J’ai assisté il y a peu à la présentation du jeu Assetto Corsa dans sa version console et voici mon avis…

Assetto Corsa n’est pas un jeu récent car il est sorti le 19 décembre 2014 sur PC. Développé par Kunos Simulazioni et édité par 505 Games, le jeu bénéficie aujourd’hui d’une adaptation consoles et va donc sortir sur Playstation 4 et Xbox One, l’occasion pour l’éditeur de nous convier à une soirée de présentation.

Toutes les conditions étaient réunies pour nous mettre dans l’ambiance. Le lieu a été judicieusement choisi puisque la soirée s’est déroulé à l’Auto Passion Café qui, comme son nom l’indique, est entièrement décoré dans la plus pure inspiration du racing. Au fond, 7 postes de jeu de rêve étaient installés avec au menu par station :

– un siège baquet haut de gamme RSeat RS1 (ne pas confondre avec PlaySeat… rien a voir niveau qualité et finitions)

– un pack Thrustmaster T300 Ferrari Integral Racing Wheel Alcantara Edition (avec le volant 599XX EVO 30 Wheel en Alcantara véritable)

– une grosse TV 50 pouces en guise de pare brise

Vous l’aurez compris, à peine arrivé, j’avais déjà envie de me poser dans un siège et de faire fondre les pneus…

Assetto Corsa : un setup de rêve

Mais avant de faire vrombir les moteurs, Marco Massarutto, le co-fondateur de Kunos Simulazioni, nous a fait une petite présentation de son bébé dans sa version console. Il nous a expliqué qu’il n’y aurait pas 1000 voitures à conduire (taclant gentiment au passage Playstation et son Gran Turismo) mais que chaque voiture serait réellement unique et extrêmement fidèle à son modèle réel. On a vite compris que le nombre de véhicules disponibles au final dans Assetto Corsa se situerai autour d’une centaine, mais que chaque modèle présent dans le jeu serait au plus proche de la réalité.

Ferrari à l'honneur

Pour les pistes, Marco nous a indiqué là aussi que leur volonté était de proposer une expérience la plus fidèle possible. Pour cela, ils ont utilisé la technique du laser-scan pour capturer les moindres aspérités, bosses, ou défauts du bitume des circuits reproduits dans Assetto Corsa.

Assetto Corsa : Des circuits au plus proche de la réalité

Vous possédez une installation type siège baquet (avec Buttkicker) / volant chez vous ? Vous aurez l’impression d’être sur le circuit nous assène t’il. L’occasion alors pour nous de nous glisser enfin dans l’un des sièges disponibles…

Assetto Corsa : votre humble serviteur en pleine course

Alpha oblige, nous n’avions à disposition que 2 circuits, Spa Francorchamps et Barcelona-Catalunya, et 3 voitures d’exception : la Ferrari FXX K, Audi R8 V10 Plus et McLaren P1, mais c’était déjà bien suffisant pour appréhender la jouabilité d’Assetto Corsa.

Après quelques minutes de prise en main, la conduite est intuitive malgré une boite de vitesse en mode manuelle et c’est très agréable. Il est impératif de bien ralentir avant d’attaquer un virage au risque sinon de se retrouver dans le décors et de perdre un temps précieux. On ressent bien le relief du circuit à travers le retour de force du volant Thrustmaster, tout comme les caprices de direction du bolide que l’on a lancé à pleine vitesse dans la ligne droite : si on lâche le volant, la voiture quitte totalement sa trajectoire.

Assetto Corsa : un setup de rêve pour un bon jeu

Graphiquement c’est plutôt fluide et joli pour une version PS4 mais malheureusement on regrettera l’absence d’un cycle jour/nuit ou des conditions météo défavorables. Rendez vous donc le 22 avril prochain pour le verdict final, date à laquelle le jeu devra tenir toutes ses promesses, même si l’on ne détient pas un package siege/volant comme celui qui nous a été mis à disposition… Car il ne faut pas se mentir, avoir un siège RSeat ultra confortable et un volant Thrustmaster au top du top améliorent significativement l’expérience ressentie.

Crédits photo : Margxt.fr

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Comme chaque année depuis maintenant 6 ans (la première édition s’est tenue en 2010), la capitale accueillait la Paris Games Week Edition 2015 et je fais partie des chanceux qui ont pu obtenir une accréditation ! J’y étais et voici mon bilan (un peu à la bourre il est vrai ^^’).

Comme chaque année, le salon s’est déroulé au parc des expositions de la porte de Versaille sur 5 jours (du 28 octobre au 1er novembre). En 2010, la PGW a attiré 56587 visiteurs pour sa première édition et n’occupait que 14000m² du parc des expositions. En 2015, 307000 passionnés de jeux vidéo se sont rués sur les 60000m² occupés par les différents stands ! Comme vous pouvez le constater, en l’espace de quelques années, le SELL a réussi a créer et pérenniser un événement capable de rivaliser avec son voisin Allemand, la Gamescom, qui a attiré cette année 345000 visiteurs et rien que pour ça, ils peuvent être fiers d’eux.

Malgré cette affluence record, la circulation dans les allées m’a parue moins pénible que les autres années et pour cause, les voies de circulation entre les stands ont été élargies et je l’ai clairement ressenti.

Autre gros point positif, c’est la création de la Paris Games Week Junior avec ses 2000m² dédiés aux enfants avec des bornes de jeu, les traditionnels jeux tels que Skylanders ou LEGO Dimensions, un gros stand UCPA avec des activités physiques réservées aux enfants… Ce nouvel espace a procuré selon moi 2 avantages :

– isoler les enfants du gros de la foule et du bruit

– les mettre à l’abri des licences qui leur sont habituellement déconseillées

Paris Games Week : le coin des enfants dans un hall séparé

Dans cet espace, on pouvait également retrouver une partie dédiée au jeu vidéo français, car oui, il y a d’excellents jeux vidéo créés par des français, un espace consacré littérature vidéo-ludique et la collection PGW par Iddealizse.

Paris Games Week : Amplitude Studios à l'honneur

Venons en maintenant à la partie qui intéressera les plus agés ou les plus hardcore gamer d’entre vous, je parle bien entendu des gros éditeurs, ceux qui orchestrent avec brio (ou pas) la sortie de leurs futurs fers de lances !

Comme chaque année, nous avons eu le plaisir de retrouver les 3 gros constructeurs à savoir Microsoft, Nintendo et Sony avec chacun leurs arguments pour attirer la foule sur leurs rangs. Parmi les éditeurs, nous avons pu retrouver Square Enix, Ubisoft, 2K (dont c’était la toute première participation) ou encore Bandai Namco (d’ailleurs, merci de me rendre mon dragon quand vous aurez fini de vous amuser avec !).

Paris Games Week : Merci de me rendre mon dragon à la fin du salon

Nintendo occupait comme à son habitude l’entrée du hall avec un énorme stand dédié à sa console : la Wii U. On pouvait par ailleurs retrouver Splatoon, les Amiibo ou encore une compétition de Super Smash Bros sur la scène. Bien évidemment, l’environnement portable du constructeur n’était pas en reste avec de nombreuses Nintendo 3DS à disposition pour essayer les tout derniers hits ou ceux à venir.

Paris Games Week : Platoon sur le stand Nintendo

Sony a également dégainé l’artillerie lourde avec le très attendu Uncharted 4 qui a fait se presser des milliers de joueurs impatients de tester en avant première ce futur hit.

Paris Games Week : Uncharted 4, une des grosses attentes des fans de Sony

Pour enfoncer le clou, Playstation avait sous son aile Star Wars Battlefront avec son TieFighter ou son quadripode gardant le stand sur lequel on pouvait observer des files d’attente de folie quelle que soit l’heure de la journée. 

Du coté du géant de Redmond, Halo était à l’honneur avec un très gros stand collé à un autre très gros stand… celui de Tomb Raider, une exclue temporaire Xbox One / PC qui basculera prochainement chez Sony.

Fifa 16 était également de la partie aux cotés de Forza 6 dont le stand était équipé de sièges RSeat et de volants Thrustmaster pour une immersion totale.

Mais un tout petit stand, coincé entre le terrain de foot et la piste en asphalte a retenu toute mon attention… Je vous parle bien entendu du très attendu Quantum Break qui n’en fini pas de nous faire patienter ! Après un rapide topo d’un des développeurs du jeu, la séquence vidéo est lancée pour notre plus grand bonheur… Le système de maîtrise temporelle est absolument époustouflant ! Vous avez vu Interstellar ? Et bien la gestion de l’espace temps du film représente assez bien ce que l’on peut faire dans Quantum Break, maîtriser les événements avec le temps qui passe. Nous avons par ailleurs appris que le jeu sera vécu du point de vue du héros, tandis que la série qui sera rattachée au jeu se déroulera quant à elle coté méchant. Cela nous permettra d’avoir les 2 points de vue, pour peu qu’on possède une Xbox One car Quantum Break est une exclusivité Microsoft !

Paris Games Week : Quantum Break, un hit annoncé !

Mon degré d’attente pour ce jeu ? 

ATTENTE OVER 9000 !!!

Un autre stand, beaucoup plus gros celui là, m’a également attiré comme un aimant attirerait un trombone, je vous parle bien évidemment de The Divsion du géant Ubisoft. Cela fait longtemps maintenant que nous avons notre petit rituel annuel du Far Cry + Assassin Creed et il était vraiment temps que cela change un peu… Le message semble avoir été reçu chez Ubisoft qui nous proposera au printemps 2016 sa nouvelle franchise : The Division.

Paris Games Week : The Division est là !!!

Le pitch est simple. Inspiré par l’opération Dark Winter (simulation d’une attaque bioterroriste) et de la Directive 51 (directive présidentielle en cas de catastrophe majeure), dans le jeu, une maladie se propageant lors du Black Friday provoque la chute des États-Unis en cinq jours. L’action se passerait deux semaines après la catastrophe à New York. Le joueur incarne un « agent » de la division (the division) qui doit établir une base et « reprendre » New York qui est en proie au chaos depuis la mise en quarantaine de la ville pour stopper la propagation du virus.

La queue en valait la chandelle, j’ai pris place sur mon siège devant une Xbox One qui vrombissait d’impatience de nous voir jouer avec Pitch… Dès le départ, direction la dark zone pour récupérer et extraire l’objectif. J’ai adoré la vue façon Gears of War avec un système de couverture similaire. L’interface est plutôt réussi et le gameplay intuitif. En quelques secondes, les balles pleuvaient sur nos ennemis… et sur nous par la même occasion.

The Divsion : ma plus grosse attente de 2016 !

Les graphismes sont vraiment très beaux malgré les vidéos qui nous ont été présentées récemment et qui ont provoqué une vague d’indignation parmi les joueurs, comparant la toute première vidéo qui nous avait été montré avec les plus récentes, et pointant du doigt le downgrade graphique… La beta arrivant prochainement devrait confirmer la qualité graphique du jeu !

Les 15 minutes de test sont passées à une vitesse folle… Cela va être dur de patienter jusqu’en mars, bien que l’on devrait avoir une ou deux sessions de beta d’ici là.

Au détour des allées, j’ai également pu tomber sur les stands de The Witcher, Dark Souls 3, Just Cause 3, Battleborn, et tout un tas d’autres jeux aux qualités diverses et variées !

Coté constructeurs et revendeurs spécialisés, on a pu retrouver comme d’habitude Turtle Beach, Stealth Gamer, Burn Controller… Un stand assez imposant était occupé par Thrustmaster qui nous présentait la quasi totalité de son éco-système dédié au racing.

Paris Games Week : Thrustmaster nous présente son savoir faire

On pouvait notamment retrouver ses différents volants adaptables sur ses bases T300 ou TX Wheel, en cuir ou en Alcantara pour certains !

Paris Games Week : Thrustmaster nous présente sa gamme de périphériques racing

Un des gros poles de cette édition 2015 est la scène esport. Que ce soit LDLC, ROCCAT, Orange Jeux, l’ESL ou encore le Meltdown… Chacun a voulu proposer un aperçu de ce qu’est l’esport, probablement pour promouvoir ce sport auprès du grand public. Chez Orange Jeux, on a donc pu voir Bruce Grannec (champion du monde de Fifa) défier son public sur scène. Chez LDLC, on était plutôt branché Starcraft / League of Legend tandis qu’au Meltdown Counter Strike a occupé la majeur partie du programme. Et l’ESL a une nouvelle fois rempli la totalité de ses sièges et même plus pour la compétition League of Legend !

Paris Games Week : l'esport à l'honneur !

La VR que tout le monde attend était également de la partie avec HTC qui nous présenté son HTC Vive développé en partenariat avec Valve.

Paris Games Week : la VR est en marche !

Le stand énorme renfermait les précieuses lunettes que je n’ai malheureusement pas pu tester faute de temps mais d’après les retours que j’ai pu en avoir, il semblerait que ce soit une vraie tuerie !

Contrairement à l’année dernière, les stands de vente de goodies et autres accessoires étaient un peu moins nombreux et tous concentrés au même endroit. Les points de restauration étaient également disposés judicieusement sur le pourtour du hall pour faciliter leur accès et surtout conserver une bonne cohérence dans l’organisation générale du salon.

Si l’on compare la Paris Games Week à d’autres salons, on peut constater que le salon parisien a un peu de mal a attirer de grandes quantités de cosplayers de qualité. Certes, certains comme Lilidin par exemple, qui font du cosplay d’excellente qualité, étaient présents mais en nombre beaucoup trop minime, c’est dommage.

Pour conclure, j’ai vraiment été emballé par cette édition 2015 du salon. On a vraiment l’impression que l’organisation  a pris en considération les remarques formulées sur les éditions précédentes pour améliorer ce grand rendez vous des gameurs et des geeks de tous poils et c’est tant mieux ! Vivement l’année prochaine !

Retrouvez toutes mes photos sur la galerie dédiée !

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Jeudi dernier, j’étais invité à la soirée de lancement du jeu vidéo Mad Max dans un bar du 18e arrondissement de Paris, les Petites Gouttes (12 Espl. Nathalie Sarraute – 75018 Paris).

Bar Les Petites Gouttes

 

Vous me direz que c’est un peu paradoxal comme choix de lieu, un bar à visée éco-responsable, pour promouvoir un jeu post-apocalyptique où l’environnement est en proie à une désolation totale mais vraiment excellent pour organiser un event presse. Si vous passez dans le coin, n’hésitez pas à y aller déguster un cocktail ou un de leurs burgers, l’endroit vaut vraiment le détour.

Dès l’arrivée, le ton est donné avec la présence d’une réplique de l’Interceptor garée juste à l’entrée, vraiment magnifique !

Event Mad Max : L'interceptor était là !

D’ailleurs, heureusement que les clés n’étaient pas sur le contact car sinon c’est pas en métro que je serais rentré…

Event Mad Max : L'interceptor

Au programme des réjouissances nous avions une démonstration de live-painting assez impressionnante :

Event Mad Max : live painting

Le tableau final représente Max entre 2 véhicules, vraiment superbe, il aurait été du plus bel effet dans mon salon. Il y avait également un DJ, des fabricants de tote bags à l’effigie du jeu et la possibilité de se faire tatouer sur place avec des flashs inspirés de l’univers du jeu (non, je n’ai pas sauté le pas cette fois ci ;)).

Mais surtout quelques consoles Xbox One et TV pour tester le jeu tranquillement installés dans des fauteuils :

Event Mad Max : des Xbox One étaient à disposition pour tester le jeu

Ayant déjà pu jouer quelques heures au jeu, j’ai préféré laisser ma place à tous ceux qui étaient impatient de conduire à vive allure dans les terres arides du Wasteland. Quoi qu’il en soit, je peux déjà vous dire que le jeu est vraiment bon et que je vous en parlerais très prochainement sur le blog ! En attendant, voici quelques screenshots pour vous faire patienter :

Mad Max The Game

Mad Max The Game

Mad Max The Game

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J’ai pu tester il y a quelques jours le casque de réalité virtuelle créé par Samsung : le Galaxy Gear VR et voici mon avis sur ce produit.

A la course à la réalité virtuelle, chaque gros constructeur y va de son casque. Que ce soit Sony avec son Project Morpheus, Microsoft et son Hololens plus orienté réalité augmentée ou encore Google et son projet avorté de Google Glass, tous les constructeurs ont voulu s’engouffrer dans la brèche du virtuel. Samsung a donc développé sur une base d’Oculus son propre casque de réalité virtuelle : le Galaxy Gear VR.

Samsung Galaxy Gear VR

Le principe est toutefois légèrement différent des casques concurrents puisque Samsung a décidé de s’appuyer sur ce qu’il fait de mieux : ses smartphones. Et en l’occurrence sur son tout dernier flagship, le Samsung Galaxy S6 et Galaxy S6 Edge.

Samsung Galaxy S6 Gear VR

L’écran du smartphone sert d’écran au casque profitant ainsi de la résolution Quad HD du Galaxy S6 pour offrir une qualité d’image assez remarquable. Pour le mettre en route, il suffit d’insérer le téléphone directement dans le casque qui va alors démarrer l’application Oculus VR automatiquement.

Un pavé tactile situé sur la droite du casque permet de sélectionner les applications que l’on souhaite démarrer ou la possibilité d’en télécharger d’autres directement sur Internet. Vous avez l’embarras du choix, que ce soit au niveau jeux, démos techniques ou encore applications vidéo.

Samsung Galaxy Gear VR

J’ai pu tester les fonds sous marins dans lesquels vous endossez le role d’un plongeur qui verra passer toutes sortes de créatures aquatiques.

J’ai également essayé un jeu de tir où il faut viser avec le casque et tirer avec le pavé tactile. C’est rapide, précis et très très addictif !

Dans le même ordre d’idée, il y avait un jeu de combat spatial jouable en réseau entre tous les casques de la pièce. Assez sympa mais vite fatigant dû au fait qu’il faille bouger la tête dans tous les sens et en permanence !

Enfin, il y avait une application qui simulait une salle de cinéma et on avait vraiment l’impression d’y être ! Il suffisait de tourner la tête pour voir les sièges de chaque coté comme dans une vraie salle de cinéma. La cerise sur le gâteau est que l’on pouvait diffuser n’importe quel fichier vidéo, pratique pour se faire une séance à la carte !

Samsung Galaxy Gear VR

Au final, l’expérience m’a plutôt réconcilié avec la réalité virtuelle car l’Oculus de première génération et le prototype du Project Morpheus m’avaient laissé sur ma faim en raison d’une qualité plutôt moyenne… Le seul hic pour ma part avec le Galaxy Gear VR est l’obligation de posséder un smartphone de la marque Samsung, qui plus est un Galaxy S6 ou S6 Edge qui restent des smartphones assez onéreux.

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Jeudi soir avait lieu la soirée Acer Swtich Project à laquelle j’ai été invité, et voici mon compte rendu !

Jeudi 18 juin, j’étais convié dans le 3e arrondissement de Paris pour un event organisé par le constructeur Taïwanais Acer qui nous a présenté ses produits phares. Plutôt que d’organiser une présentation classique, Acer a décidé de nous préparer une petite mise en scène qui sortait de l’ordinaire : une scène de crime. Quel rapport avec leurs produits ? Aucun… Enfin à première vue !

Acer Switch Project : enquête sur un homicide

En effet, qui dit scène de crime dit enquête et qui dit enquête dit matériel d’investigation de pointe. C’est là que nous nous sommes retrouvés à mener l’enquête armés d’une tablette Acer Swtich 10E pour prendre des notes sur les différents indices que nous découvrions.

Acer Switch Project : une tablette pour prendre des notes

Après avoir relevé des indices sur un mannequin qui détenait dans une de ses poches un smartphone Acer de la série Jade, nous avons pu visionner les caméras de vidéosurveillance nous montrant un suspect et diffusées sur un écran Acer S7 grâce à un PC de bureau Revo One LR85. Une fois le suspect identifié, nous avons recréé son portrait robot à l’aide d’un PC portable Acer Aspire V Nitro avant de nous diriger vers l’ultime pièce : le labo. Dans le labo, nous avons pu identifier 3 échantillons au microscope pour enfin pouvoir tirer nos conclusions et identifier le coupable !

Acer Switch Project : la police est sur les lieux

Comme vous pouvez le constater, plutôt que de présenter ses produits sur des stands, Acer a choisi de les mettre en scène et de nous les faire manipuler ce qui change vraiment de l’ordinaire ! 5 équipes participaient à cette soirée et l’équipe gagnante est repartie avec… une tablette Acer Aspire Switch 10E !

Acer Switch Project : l'équipe qui a remporté le concours

Une soirée plutôt sympathique donc qui j’espère se renouvellera prochainement.

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Il y a presque 2 semaines, j’avais participé à une avant première Destin reforgé dans une boutique pour la sortie de la dernière extension Magic The Gathering. Vendredi dernier, j’ai eu la chance d’être invité chez Warning Up pour taper le carton sur Destin Reforgé, la toute nouvelle extension du célèbre JCC parue le 23 janvier !

Magic The Gathering : Destin reforgé

Outre la présence d’autres blogueurs / responsables de sites d’information, nous avons pu compter parmi nous Nicolas G. le community manager de Wizards France ! Nous avons commencé par faire un paquet scellé, 6 boosters qui doivent aboutir à un deck de 40 cartes minimum, où je suis parti sur un deck Abzan grâce auquel j’ai pu rouler sur quelques personnes…

Ensuite, il a été décidé à l’unanimité de faire un draft (2 boosters Khans of Tarkir et 1 booster Destin Reforgé). Après un tirage moyen, j’ai créé un deck orienté Témur qui ma fait remporter 50% des matchs disputés, bien mais pas terrible.

Et pour finir, j’ai découvert pour la première fois le format 5PV où je me suis fais rouler dessus. Le 5PV est un format qui se joue avec 1 booster par personne, chaque joueur ne dispose que des cartes présentent dans le booster pour jouer et de 5 points de vie uniquement. C’est sympa, fun et rapide à jouer et je ferais probablement un article prochainement pour vous en dire plus sur ce format.

Destin Reforgé arrive avec son lot de nouveautés. Les dragons sont de retour avec 11 représentants dont par exemple Dromoka l’éternelle, Atarka, broyeuse de monde ou encore Kolaghan, la Furie de l’orage, certaines cartes profitent de ce retour pour apporter de nouvelles possibilités de choix comme les cartes de siège par exemple (siège de la citadelle ou siège de la frontière).

Une nouvelle capacité inspirée de la mue fait son apparition : « manifester ». Manifester une carte consiste à prendre la carte du dessus de sa bibliothèque et de la poser face cachée sur le champ de bataille comme une créature 2/2. Cette carte peut donc être n’importe quelle carte de votre deck. Si c’est une créature, vous pouvez la retourner à n’importe quel moment pour son coût de mana un peu à la manière d’une carte Mue.

 Morph vs Manifest

Cette nouvelle capacité permet donc de bluffer énormément puisque votre adversaire ne pourra pas savoir si la carte « manifestée » est un terrain, un éphémère ou un rituel qui resteront alors face cachée ou bien une créature surpuissante que vous retournerez au moment opportun. Il faudra peut être alors prévoir d’inclure quelques Drown in Sorrow dans son deck pour lutter contre les decks basés sur cette mécanique !

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