Aujourd’hui je vous vais parler de PlayerUnknown’s Battlegrounds (PUBG), un jeu qui fait fureur actuellement sur Steam et qui affole tous les compteurs, aussi bien celui du nombre de copies vendues, que beaucoup de jeux lui envieraient, que celui du nombre de joueurs connectés simultanément aux serveurs Steam. Comment expliquer un tel succès en seulement quelques mois ? Cet engouement est il justifié ? Voilà mon avis et quelques éléments de réponse.

PlayerUnknown’s Battlegrounds : qu’est-ce que c’est ?

PlayerUnknown’s Battlegrounds, aussi connu sous le nom de PUBG, est un jeu de tir de type battle royale qui est sorti en accès anticipé sur Steam au mois de mars 2017. Le jeu s’est fortement inspiré de H1Z1 (un autre jeu de type Battle Royale) au niveau de son gameplay mais a réussi a créer une alchimie qui l’a propulsé en quelques semaines sous le feu des projecteurs.

Le principe est simple : 100 joueurs sont largués sans aucun équipement au-dessus d’une île de 8 par 8km (64km²) avec comme but de ramasser armes et équipement et survivre jusqu’à être le dernier joueur en vie. Pour corser le tout, la zone de jeu autorisée est réduite graduellement au fil de la partie obligeant ainsi les concurrents à se rencontrer, s’affronter et s’entretuer.

Le jeu offre plusieurs modes de jeu tels que la vue à la première ou la troisième personne mais également un système de jeu en solo, duo ou par équipe de 4, obligeant ainsi les joueurs à adapter leur style de jeu en fonction du mode choisi.

Voilà dans les grandes lignes à quoi ressemble PUBG.

 

PUBG en quelques chiffres

Vous ne le savez peut-être pas mais bien que l’on en entendre parler partout, PlayerUnknow’s Battlegrounds n’est pas encore sorti dans sa version finale et malgré cela il a fait tomber quelques records que l’on pensait, il y a encore quelques jours, inégalables. Je parle bien entendu du nombre de joueurs connectées simultanément aux serveurs steam qui a dépassé le record depuis longtemps détenu par DOTA2 et qui s’élevait à 1.291.328 joueurs connectés simultanément sur les serveurs. En effet, PUBG a atteint le 16 septembre dernier les 1.322.507 joueurs connectés simultanément, et a explosé son propre record en dépassant allègrement les 2.000.000 de joueurs, ce qui fait de lui à ce jour le jeu le plus joué sur Steam de tous les temps.

 

Niveau volume de ventes, PUBG a réussi a écouler à ce plus de 16 millions de copies… 16 MI-LLIONS !

Un jeu en accès anticipé je vous le rappelle, il n’a donc rien à envier à d’autres AAA qui aimeraient comptabiliser autant d’exemplaires écoulés et je vais essayer de vous donner quelques points de comparaison.

Voici quelques chiffres que j’ai tiré du site Steam Spy avec les dates de sorties de chacun des jeux sélectionnés :

CS:GO (21/08/2012) : 34.106.818

The Elder Scrolls V : Skyrim* (11/11/2011) : 12.036.918

GTA V (13/04/2015) : 7.690.945

H1Z1 (17/02/2016) : 7.352.275

Rocket League (07/07/2015) : 6.285.931

Ces chiffres ne concernent que les ventes sur la plateforme Steam pour 2 raisons :

1 – il est très difficile voir quasi impossible de trouver des volumes de ventes fiables tous supports confondus

2 – PUBG n’est aujourd’hui disponible que sur Steam et par soucis d’équité, j’ai essayé de sélectionner des jeux qui ne sont disponibles que sur cette plateforme

3 – Je n’ai inclus aucun Free-to-Play pour ne pas fausser la comparaison

*Pour Skyrim, je n’ai pas inclus les chiffres de la Special Edition, seulement de la toute première édition

Vous pouvez constater que PUBG est hors normes. Aussi bien au niveau du nombre d’exemplaires écoulés alors que le jeu n’est même pas encore sorti, qu’au niveau du nombre de joueurs qui y jouent. On pourrait se dire que ces statistiques sont erronées et que beaucoup de joueurs n’y ont joué que quelques minutes, voir quelques heures.

Pour vous donner une idée, 70% du nombre de joueurs total sur PUBG a passé plus de 20h sur le champ de bataille ! Avec une telle durée, on ne peut pas parler d’essai car en règle générale, l’avis sur un jeu se fait sur l’expérience des quelques premières heures manette en main. Vous vous demandez sûrement ce qui peut bien provoquer un tel engouement chez les joueurs qui viennent de tout horizons tels que CS:GO, H1Z1, Overwatch… et surtout pousser certains éditeurs tels que Epic Games (le mode battle royale récemment déployé sur Fortnite) à s’engouffrer dans la brèche. De mon point de vue, les raisons sont multiples et je vais vous expliquer pourquoi…

 

La folie PUBG

La première raison et la plus importante des raison est pour moi le gameplay qui, bien que tiré en grande partie de H1Z1, a su trouvé la petite étincelle qui font d’un simple jeu un vrai hit. J’ai pourtant testé H1Z1 afin d’avoir un point de comparaison et surtout savoir si PUBG n’était qu’une simple modification graphique d’un jeu déjà existant. Hélàs, impossible d’accrocher à H1Z1 comme j’ai pu accrocher à PUBG, impossible de retrouver les décharges d’adrénalines ou les sueurs froides que j’ai pu avoir sur PUBG. Le système de visée, les stratégies à mettre en place pour remporter la partie, le rythme des parties, la gestion de l’équipement, l’environnement avec météo aléatoire à chaque partie, le mode first person… Bref, tous ces éléments de jeu sont très bien gérés et intégrés dans PUBG et bénéficient régulièrement de mises à jour. 

Cela m’amène a la 2e raison pour laquelle PUBG rencontre un succès phénoménal c’est qu’il bénéficie de mises à jour régulières qui sont pour la plupart issues des avis des joueurs. Car oui, il ne faut pas se le cacher, écouter les demandes de sa communauté et développer des mises à jour en conséquence est aujourd’hui un facteur clé qu’aucun développeur ne devrait ignorer. En améliorant le système de visée, en équilibrant le rythme des parties, en ajustant la puissance des armes, en étoffant l’arsenal mise à disposition des joueurs, en annonçant une nouvelle maps, etc… PUBG a su s’attirer les bonnes grâces de sa communauté grandissante et surtout la fidéliser. De plus, un jeu suivi par un développeur rencontre toujours plus de succès qu’un jeu mis sur le marché et laissé à l’abandon ou progressivement délaissé (cf. H1Z1).

3e point important : l’aspect compétitif. Dès le départ, PUBG a su intégrer un aspect compétitif avec un système de classement par région / type de partie (solo, duo, squad) ce qui a eu pour effet d’attirer énormément de joueurs d’autres FPS qui voulaient voir si ils pouvaient briller dans les hautes sphères du classement (actuellement réinitialisé régulièrement). Cette facette compétitive est bien entendu là pour orienter le jeu vers l’e-sport qui connait aujourd’hui un développement exponentiel et où tout jeu multijoueurs tente de se faire une place. Mais outre cet aspect compétitif, même les joueurs ne cherchant pas la performance mais uniquement un bon moment à passer y trouverons leur compte. Il y en a pour tous les goûts !

Enfin, il existe un mode custom qui permet de créer ses parties avec les paramètres que l’on souhaite, la fonctionnalité idéale pour monter des parties personnalisées assez fun ou alors restrictives (seulement un type d’armes précis par exemple). Cette fonctionnalité permet à tout un chacun d’organiser un tournoi ou une partie fun, augmentant encore l’intérêt qu’on pouvait trouver au jeu jusqu’alors.

 

Le revers de la médaille

Les inconvénients d’un jeu en accès anticipé sont multiples. Le premier écueil qui semble avoir été évité avec aisance c’est celui d’un manque d’engouement pour le jeu qui pousse le développeur à abandonner son projet. Des précédents existent par dizaines voir centaines, au grand dam de ceux qui ont acheté le jeu lors du lancement de l’accès anticipé… Ce n’est pas le cas pour PUBG qui a su captiver ses joueurs et en attirer toujours d’avantage.

Le deuxième risque c’est que bien que suivi de façon régulière par la sortie de mises à jour plus ou moins rapprochées le jeu ne sorte jamais dans sa version finale, condamné à rester en accès anticipé soit à cause d’un développeur trop exigeant et souhaitant sortir un jeu parfait (SPOIL : c’est impossible, il y a qu’à voir le nombre de AAA qui publient un patch correctif de 30Go le jour de la sortie du jeu… Coucou Ubisoft, Bethesda, Activision), soit à cause d’un développeur trop frileux qui aimerait sortir son jeu en version finale mais qui craint qu’on lui reproche de sortir un jeu pas assez aboutit en version finale… Rester en accès anticipé ce n’est pas forcément bloquant mais cela vous prive des joueurs qui hésitent à prendre un jeu en accès anticipé pour la raison que j’évoquais juste avant. Pour PlayerUnknown’s Battleground cela ne devrait pas être le cas puisqu’une sortie en version définitive est prévue pour le début de l’année 2018 si tout va bien, sûrement grâce au soutien de Microsoft qu’il s’est offert une exclusivité temporaire sur le jeu (que le géant de Redmond espère bien prolonger d’ailleurs).

Autre soucis, et bien que PUBG soit régulièrement mis à jour, les bugs vont et viennent tant au niveau des configurations du jeu (le problème des attributions de touches qui sautent à chaque fermeture du jeu par exemple) ou encore des problèmes de connexion aux serveurs.

Je finirais avec un dernier point et non des moindres, bien qu’il y en ai surement d’autres auxquels je n’ai pas pensé : les tricheurs. Car oui, les tricheurs sont partout et il faut le dire : c’est un cancer qui gâchent l’expérience de jeu des honnêtes joueurs. Des jeux comme COD par exemple n’en sont pas exempts et malheureusement, PUBG ne déroge pas à la règle… Que ce soit via des logiciels tiers ou bien directement en jouant en équipe sans y être (2 joueurs qui jouent ensemble en mode solo ou bien 2 ou 3 équipes qui jouent ensembles en mode escouade), les moyens sont multiples et le nombre de bans ces derniers jours à atteint des sommets (322.000 bans annoncés par BattleEye, avec une moyenne par jour se situant entre 6.000 et 13.000 bans).

 

Et mon avis sur le jeu dans tout ça ?

Si vous me suivez sur Twitter, vous devez déjà savoir que je suis fan de PUBG. Acheté 3 semaines après sa sortie en accès anticipé, je comptabilise plus de 180 heures de jeu avec quelques Top1 mais surtout de supers moments ingame aussi bien en solo qu’en squad avec des potes. La possibilité de gérer sa game comme bon nous semble, en ayant le choix du point de départ, de son moyen de locomotion, de son équipement (sous réserve d’avoir de la change au loot bien entendu)… Tous ces ingrédient font que j’ai immédiatement accroché au gameplay de PlayerUnknown’s Battlegrounds.

Les graphismes sont plutôt beaux pour un monde de cette taille mais sachez qu’une bête de guerre sera nécessaire si vous voulez monter le niveau de graphisme car oui, PUBG est très gourmand en ressources ! De nombreux sites détaillent les configurations à apporter au jeu pour qu’il fonctionne de manière optimale, ne vous offusquez pas si il vous est conseillé de mettre de nombreux paramètres en faible voir très faible. Les décors sont plutôt sympa même si à l’heure actuelle on commence a avoir fait le tour de la map.

Heureusement qu’ils ont ajouté la pluie, puis le brouillard dans les conditions météorologiques, cela permet de donner un peu de piment aux parties en attendant l’arrivée de la nouvelle map !

Les parties en escouade sont top, bien qu’elles ne laissent que peu de place à l’erreur de placement ou d’atterrissage… 1 vs 3 ou 4 c’est pas vraiment à votre avantage… Bref, si vous en avez marre de H1Z1, que vous voulez tater autre chose que Fortnite ou Dofus, je ne peux que vous inciter à tenter l’expérience sur PlayerUnknown’s Battlegrounds, qui a déjà marqué de son empreinte le monde du jeu vidéo, popularisant en quelques mois le mode de jeu Battle Royal au nez et à la barbe de tous les grands studios. Il vous en coûtera 30 euros sur Steam, ni plus, ni moins.

Si vous voulez en savoir plus sur le jeu, une seule adresse : http://playbattlegrounds.com/

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Sorti fin avril, j’ai pris mon temps pour tester Sniper Ghost Warrior 3 mais surtout pour terminer le mode histoire et la plupart des objectifs secondaires… Alors certes, vous vous demandez surement après 5 mois à quoi bon publier un test sur un jeu ? Et j’ai presque envie de vous répondre, à quoi bon assommer le web d’articles pendant 2 semaines et sombrer ensuite dans l’oubli (bon y’a aussi le fait que j’étais un peu occupé à autre chose dans ma vie perso…) ? Bref… Voici mon avis sur le jeu !

1. Sniper Ghost Warrior 3 :

Jon North, ex sniper des Marines, est infiltré en Géorgie afin de neutraliser les leaders séparatistes qui menacent l’unité du pays. Les dernières écoutes des services de renseignements ayant permis d’émettre l’hypothèse que son frère Robert, disparu lors d’une mission à la frontière russo-ukrainienne deux ans plus tôt s’y trouverait, Jon voit dans sa mission une occasion de le ramener. Il pourra compter sur l’agent de renseignements Frank Simms, ainsi que sur deux opératrices recrutées pour l’occasion. La première est Lydia Jorjadze, mercenaire et ex-membre du SFB géorgien. La deuxième, Raquel Shein, est ancienne agent du Mossad à la poursuite de Sergei Flostov, un scientifique vendant ses services au plus offrant et qui a été localisé en Géorgie. Alors que l’équipe progresse sur le terrain géorgien, elle essuie les tirs d’un mystérieux sniper appelé Armazi.

Avec un petit trailer c’est encore mieux !

Le décors est planté, mais que vaut vraiment le scénario ?

 

2. Scénario :

Vous commencez le jeu avec une sorte de prologue à l’aventure qui vous attend. En effet, les premières missions sont un flashback qui vous ramène 2 ans en arrière, lorsque votre frère et vous partiez en mission ensembles. Ce retour en arrière sert de tutoriel pour la prise en main de votre personnage et de sa multitude de gadgets, il est cohérent avec la suite de l’histoire et surtout vous permet de vivre les moments qui sont à l’origine de l’Histoire.

Une fois le prologue terminé et votre attirail bien en main, vous êtes envoyé en Géorgie pour maintenir l’équilibre politique du pays et vous vous trouvez rapidement entraîné sur les traces d’une organisation criminelle internationale : la 23 Society. Mais vous trouverez en travers de votre route le sniper engagé par cette dernière, Armazi, qui vous donnera une sensation de déjà vu…

Pour compléter l’Histoire, j’ai testé 2 approches sur ce jeu :

– enchaîner les missions

– alterner missions et objectifs secondaires

La première méthode est top, l’histoire s’enchaîne plutôt bien et on suit parfaitement le déroulé des événements. En revanche, en alternant entre missions et objectifs secondaires, on perd rapidement le fil du récit car les objectifs secondaires (assassinats de criminels, récolte de trésors, traque de snipers…) sont très nombreux et on a vite tendance à s’égarer. 

Les missions sont variées et ne se ressemblent pas bien qu’à chaque fois, vous devrez faire parler la poudre quoi qu’il arrive ! Vous serez amené à visiter 4 zones différentes, tant par leur climat que par leur topographie ce qui permet de ne pas se lasser des paysages.

Pour terminer la campagne principale, comptez environ entre 15 et 20 heures et ajoutez y 5 à 10h de plus pour l’ensemble des objectifs secondaires, ce qui est tout a fait honorable pour ce type de jeu

 

3. Gameplay :

Le gameplay avec somme toute assez classique et reste dans la lignée des FPS. Là où Sniper Ghost Warrior 3 se démarque c’est sur la gestion des missions et de l’équipement.

En effet, les missions ne s’enchaînent pas comme sur un Wolfenstein, un Battlefield ou un Call of Duty, une fois que vous en avez terminé une, la suivante devra être démarrée manuellement via votre ordinateur de bord, véritable assistant de planification de mission.

La gestion de l’équipement est également particulière car vous ne pourrez pas porter l’arsenal d’un bataillon complet sur vous. Vous êtes limité à 1 fusil de sniper, 1 arme secondaire et 1 arme de poing. Si vous commencez l’aventure avec un package de base, vous devrez par la suite débloquer de nouvelles armes et accessoires en dépassant l’argent que vous aurez accumulé en réalisant des missions ou en terminant des objectifs secondaires.  

Chaque arme est totalement personnalisable avec divers accessoires tels que des chargeurs plus importants, de nouvelles lunettes ou encore des silencieux. Il est a noter également que dans Sniper Ghost Warrior 3, votre équipement peut s’user ! Chaque balle tirée endommage votre silencieux, chaque balle reçue dégrade votre gilet pare-balles… Il ne faut donc pas oublier de faire quelques réparations avant de partir en mission ! Idem pour les munitions qui sont en nombre assez limité et qui vous demanderont d’être économe si vous ne voulez pas finir la mission au couteau…

Heureusement, la quantité de munitions transportable peut être étendue en déverrouillant certains points de talents qui sont répartis selon 3 catégories, chaque catégorie ayant une jauge d’expérience alimentée par votre façon de jouer, vous obligeant ainsi à adopter un style de jeu mixte suivant les points de talents que vous souhaitez débloquer.

Dans Sniper Ghost Warrior 3, pour accomplir vos missions avec brio, vous pourrez compter sur quelques petits accessoires assez pratiques tels qu’un drone permettant de repérer les lieux avant de passer à l’attaque, ou encore de médicaments pour vous soigner, d’un kit de réparation pour remettre en état silencieux et gilet pare-balle, de divers types de balles (explosives, normales, perforantes…)… Vous aurez de quoi vous amuser et surtout de quoi semer la terreur parmi les lignes ennemies. 

Je suis assez mitigé sur les kill-cam au ralenti qui surviennent dès lors que vous réalisez un headshot. C’est sympa au départ car on voit la balle voler jusqu’à sa cible mais sur le long terme, j’ai trouvé que cela fragmentait l’action et ce n’est pas toujours judicieux d’avoir une kill-cam a chaque tir à la tête lorsque l’on cherche à décimer rapidement un groupe d’ennemi.

Hormis ce petit point de détails, le gameplay de Sniper Ghost Warrior 3 est vraiment plaisant !

 

4. Graphismes et direction artistique :

Graphiquement, le jeu est vraiment beau. Les décors, tantôt montagneux, tantôt forestiers sont vraiment réussis avec de belles profondeurs de champs et des effets de lumières magnifiques !

 

J’ai beaucoup aimé les passages en souterrains avec des effets d’ombres et de lumières qui rendent l’atmosphère oppressant à souhait.

Les couleurs, les différentes heures du jour ou de la nuit, la brume… Tous ces éléments sont plutôt harmonieux et très agréables à regarder, nous incitant souvent à nous arrêter pour contempler le panorama.

 

5. Conclusion :

Vous l’aurez compris, j’ai vraiment accroché sur ce Sniper Ghost Warrior 3 qui m’a tenu en haleine un peu plus d’une vingtaine d’heures. Les graphismes soignés, le scénario simple mais efficace, l’arsenal varié et performant m’ont vraiment plus même si j’ai trouvé que les kill-cam cassent un peu la rapidité de certaines actions.

Je ne peux donc que vous recommander d’acquérir ce jeu qui est disponible sur PC, Xbox One (36€ en édition limitée sur Amazon) et PS4 (39€ en édition limitée sur Amazon).

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Heroes of the Storm est le League of Legends du géant Blizzard et je vous parlais un peu du concept du jeu et de ses différentes mécaniques il y a quelques temps. Aujourd’hui, je vous propose un petit article pour optimiser vos gains et dépenses de pièces d’or (po), suivez le guide !

1. Soyez patients !

Cela peut paraitre futile comme conseil, mais c’est un des meilleurs que je puisse vous donner puisqu’il vous permettra d’économiser 5000 po sur chaque héros ! Comment est ce possible ? Petite explication…

Lorsque Blizzard met à disposition un nouveau héros dans Heroes of the Storm, ce dernier est proposé dans la boutique à 15000 po pendant environ 3 semaines, le temps qu’un nouveau héros soit annoncé. Ensuite, son prix baisse à 10000 po soit une économie potentielle de 5000 po pour votre porte monnaie, simplement en étant un peu patient… Si vous êtes un acharné du jeu, ces 5000 po sont largement récupérables entre 2 sorties de héros mais pour un joueur occasionnel, cette économie leur permettra d’acheter 3 héros au lieu de seulement 2 pour le même tarif !

Certains héros passent même de 10000 po à 7000 au bout de quelques mois d’existence, ne me demandez pas pourquoi je n’en sais rien mais c’est comme ça !

Pas la peine d’en dire plus, vous l’avez compris je pense, plus vous patienterez, plus vous ferez des économies en achetant les héros du Nexus.

 

2. Les quêtes journalières

Comme dans TOUS les jeux Blizzard, il existe un système de quêtes vous obligeant à jouer pour remplir des objectifs et qui vous récompensera avec des récompenses sonnantes et trébuchantes !

Heroes of the Storm : les quêtes journalières

Les objectifs de quêtes sont divers et variés :

– jouer 8 parties

– jouer 3 parties avec une classe particulière (Assassin / Spécialiste / Support / Tank)

– jouer 3 parties avec un héros d’un univers particulier (Diablo / Starcraft / Warcraft)

– gagner 3 parties

Et d’autres qui sont ajoutées régulièrement.

Ces quêtes vous sont attribuées aléatoirement chaque jour (1 par jour avec un maximum de 3 quêtes actives au même moment) et vous rapporteront des pièces d’or à dépenser dans la boutique de héros de Heroes of the Storm. Le montant des récompenses va de 200 à 800 po ! Je pense que vous aurez fait le calcul, en faisant votre quête journalière, même avec une quête à seulement 300 po, en 3 à 4 semaines (délai moyen de sortie d’un nouveau héros), vous aurez récolté entre 6000 et 9000 po ! Mais les quêtes ne sont pas la seule source de revenus…

 

3. Le brawl hebdomadaire

Depuis peu, Blizzard a ajouté à Heroes of the Storm un mode « Arène » qui change chaque semaine et propose de vous battre selon de nouvelles règles assez sympa, avec des cartes revues pour l’occasion ou des mécaniques particulières à la saison. En jouant 3 parties d’arène par semaine, je dis bien jouer et non pas gagner, vous remporterez 1000 po ! Ce sont donc 1000 po qui tombent très facilement chaque semaine dans votre bourse déjà bien remplie.

Heroes of the Storm : ne manquez pas le brawl !

L’arrivée de ce nouveau mode de jeu a clairement fait du bien à nos finances et permet donc d’amasser 3000 à 4000 po supplémentaires entre chaque sortie d’un nouveau héros. Mais il y a encore autre chose qui vous permet de gagner des po…

 

4. L’expérience

Heroes of the Storm dispose d’un double système de progression : celui de votre profil de joueur et celui de vos différents héros.

En tant que joueur, plus vous jouerez, plus vous gagnerez d’expérience et augmenterez votre level pour atteindre le maximum : 40. Mais avant d’arriver tout en haut de la chaine alimentaire, vous allez devoir gravir les échelons :

Heroes of the Storm : la progression de votre profil

Comme vous pouvez le constater sur cette capture, certains échelons vous rapporteront 1000 à 2000 pièces d’or et remporterez ainsi au total pas moins de 16000 pièces d’or.

Le système d’expérience des héros permet de faire monter ces derniers en niveaux qui vous donneront des pièces d’or à certains paliers :

 Heroes of the Storm : la progression de vos héros

Au total, c’est 4250 po à empocher par héros niveau 20 ! Attention toutefois, il est assez facile de mon les héros jusqu’au niveau 9 mais au dessus cela devient vraiment très long et seuls les plus assidus devraient accéder aux paliers les plus élevés… Mais même sans acheter tous les héros, vous pouvez tout de même accéder régulièrement à ceux que vous ne possédez pas grâce à la rotation hebdomadaire mise en place dans Heroes of the Storm. Chaque semaine, Blizzard donne la possibilité aux joueurs de tester un panel de héros et vous pouvez très bien monter leur niveau respectif pendant cette semaine de gratuité et ainsi empocher les 500 po du niveau 5 par exemple !

 

5. Jouer plus pour gagner plus

Vous avez déjà terminé toutes vos quêtes ? Vous avez fait vos 3 parties d’arène ? Tous vos héros sont au niveau maximum ? Vous pensez que vous ne pouvez plus rien gagner de plus ? Détrompez vous ! Chaque partie de Heroes of the Storm vous donne des pièces d’or, que vous la gagniez ou pas. Bien entendu, si vous gagnez une partie vous empocherez plus de pièces d’or que si vous la perdez mais sachez qu’une défaite rapporte tout de même 20 pièces tandis d’une victoire vous en apporte 30 avec un bonus de 15 pièces d’or pour la première partie jouée de la journée. Donc si on fait un rapide calcul, en faisant juste une partie chaque jour tous les jours, en 3 semaines vous aurez amassé 735 pièces d’or minimum si vous perdez tous vos matchs !

 

6. Bilan

Voila, vous avez tous mes conseils pour gagner un maximum de pièces d’or dans Heroes of the Storm et si on fait un rapide calcul voilà ce que vous pouvez gagner minimum par 1 mois à raison d’une partie par jour :

– 30 parties perdues : 30 x 35 pièces d’or = 1050 pièces d’or

– 30 quêtes à 200 po : 30 x 200 pièces d’or = 6000 pièces d’or

– 4 brawl hebdomadaires : 4 x 1000 pièces d’or = 4000 pièces d’or

Et dans ce calcul je ne prends en compte que le pire des scénarios, à savoir que le jeu ne vous aime pas et vous donne que des quêtes pourries et qu’en plus vous avez perdu toutes vos parties (oui, parfais la vie est injuste) mais cela n’arrive jamais et vous pouvez donc espérer remporter bien plus que les 11050 pièces d’or promises par ce calcul… surtout si vous optimisez la montée en niveaux de vos héros et que vous jouez plus de 30 parties par mois !

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Sorti peu de temps après la Paris Games Week pendant laquelle j’avais pu le tester, Killing Floor 2 faisait partie de mes attentes du salon. Ma première bonne impression a t’elle été confirmée ?

1. Présentation du jeu

Vous connaissez le célèbre Left 4 Dead 2 de Valve ? Et bien Killing Floor 2 c’est un peu le même principe sauf que vous pouvez éliminer du ZED à 6 au lieu de 4.

Jusqu’à 6 joueurs peuvent donc jouer en coopération pour venir à bout des vagues successives de zombies promptes à envahir les différents niveaux du jeu en utilisant un arsenal assez impressionnant. Simple non ? C’est tout ce que vous avez à savoir au niveau bases du jeu. Qu’on soit honnête, y’a pas de scénario, juste vous, vos potes, vos flingues et des zombies.

 

2. Des classes, des maps et un arsenal hétéroclites

Le jeu dispose de 10 classes différentes (Fou Furieux, Commando, Soutien, Médecin, Démolisseur, Pyromane, Flingueur, Tireur d’élite, Survivant, SWAT) disposant chacune d’améliorations qui leur sont propres. Le choix d’une classe dans Killing Floor 2 détermine votre façon de jouer et surtout, toute l’expérience que vous ramasserez en jouant avec une classe particulière alimentera la jauge qui vous permettra de gagner des niveaux et de débloquer de nouvelles compétences à chaque pallier (niv. 5 / 10 / 15 / 20 / 25), vous rendant plus efficace.

Vous partirez avec un arsenal de base correspondant à la classe que vous aurez choisie et vous devrez commencer à nettoyer le niveau avec, ce qui n’est pas toujours chose facile en fonction de la composition de votre team. Mais pas de panique, pour éviter de galérer pendant la totalité des vagues, vous aurez la possibilité de changer de classe en cours de route pour rééquilibrer les chances. De plus, chaque ZED tué c’est de l’argent qui tombe dans votre poche pour acheter du matériel entre chaque vague d’ennemis. Attention tout de même, vous serez limité dans votre capacité d’emport et devrez donc faire des concessions avec le matériel que vous transporterez.

Puisqu’on parle des maps, sachez qu’il y en a la pelle et que les possibilités sont infinies avec l’éditeur et le Workshop Steam qui permettront à tout un chacun de créer des maps ou même de nouvelles armes de destruction en pagaille. De base, il y a pour le moment 12 maps mais la communauté a déjà bien bossé et en propose énormément d’autres sur le Workshop.

 

3. Graphismes et intérêt

Killing Floor 2 est beau, il faut le dire. Les maps de base sont plutôt bien réalisées comme celle qui représente l’invasion de Paris où l’on peut voir une Tour Eiffel dévastée en proie aux flammes :

 

Le moteur graphique est basé sur Unreal Engine, une référence en la matière et déjà éprouvé sur des jeux tels que Ark,la série des Batman, des Mass Effect ou encore le prometteur Parangon. L’ambiance est en générale très sombre avec des ZEDs qui déboulent de plus en plus nombreux et puissants sur une musique entrainante à chaque vague, la 10e étant le bouquet final avec un boss qui vous donnera surement du fil à retordre ! 

Les parties se suivent et se ressemblent, vous enchaînez les vagues a un rythme effréné pour accumuler des dollars et pouvoir se payer un meilleur équipement et engranger de l’expérience pour monter les compétences de votre classe. Il se murmure qu’il faut environ une quarantaine d’heures pour monter au niveau 40, le maximum permit actuellement dans le jeu soit environ 400h pour monter à fond toutes les classes du jeu. C’est une durée de vie impressionnante mais trouverez vous la motivation d’y passer tout ce temps ? Pour ma part, refaire inlassablement des vagues et des vagues de zombies, c’est pas trop ce que j’aime du coup je me suis très vite ennuyé. Mais pour contrer ce problème de répétitivité risquant de faire fuir les joueurs, Trip Wire a décidé de développer pendant les phases de Beta un mode Coop VS où 2 équipes de 6 s’affrontent, les uns incarnant les ZEDs, les autres les humains. Belle tentative, cela ressemble un peu à du Evolve mais encore une fois, la mayonnaise n’a pas pris avec moi.

J’ai tout de même looté une clé chiffrée pour déverrouiller de l’équipement spécial. Je me suis dit « Chouette, voila qui va redonner un peu d’intérêt aux parties » sauf que pour la déchiffrer, il faut passer à la caisse et débourser quelques vrais euros…

 

Clairement, le jeu est basé sur les micro transactions pour engranger de l’argent et plus vous voudrez d’équipement de qualité, plus vous devrez passer à la caisse et ça pour moi c’est rédhibitoire. Autant je suis prêt à casquer 2 euros cinquante dans un paquet de carte Hearthstone ou 10 euros dans un héros Heroes of the Storm car je sais ce que j’aurai, alors qu’ici, y’a de forte probabilités que je récupère une arme pourrie…

 

4. Conclusion

Avec des graphismes vraiment propres, de nombreuses maps, de très nombreuses armes et 10 classes différentes, Killing Floor 2 frappe fort et propose une durée de vie assez impressionnante. Malheureusement, le tableau est entaché par une répétitivité mortelle qui viendra rapidement lasser les moins déterminés d’entre nous, bien que le mode Coop VS tente de rattraper le coup. Gros point noir au tableau, les micro transactions omniprésentes et dont le cout est clairement trop élevé pour un jeu tel que celui ci, même sur Counter Strike Global Offensive, les clés pour ouvrir les caisses ne sont pas à ce prix là… C’est donc une petite déception concernant ce jeu compte tenu de ma bonne première impression à la Paris Games Week, mais pour les fans de Left 4 Dead 2 qui attendent un L4D3 autant qu’un HL3, vous trouverez surement votre compte avec Killing Floor 2.

Le jeu est disponible sur Steam (environ 27e) et sur Playstation 4 (environ 40e sur Amazon).

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Steep a débarqué en même temps que les premières froideurs de l’hiver, un timing presque parfait qui pourrait nous donner envie de sauter dans le premier train pour chausser les skis et manger de la poudreuse. 

1. Le pari glissant d’Ubisoft

Alors que l’entreprise est sous l’épée de Damoclès Bolloré depuis de nombreuses semaines, elle a choisi de prendre un risque non négligeable : celui de développer un jeu de glisse. Pourquoi est ce un pari risqué ? Tout simplement parce que :

– développer un jeu ça coûte cher et si il se plante c’est une catastrophe financière pour Ubisoft et une occasion pour Vivendi de les bouffer tout crus

– le dernier jeu de glisse en date est Stoked en 2009 sur Xbox 360, qu’avant on avait rien de fou et que depuis on a rien eu du tout

– j’ai commencé avec SkiFree sur Windows 3.11

Donc oui, Ubisoft a pris un risque en sortant de ses sentiers battus nommés FarCry / Assassin’s Creed / Anno et qui sont massivement achetés depuis des années par tous les fans. Mais là, on se retrouve un peu comme avec The Division : une nouvelle licence qu’il va falloir développer et surtout qui va devoir convaincre un public qui attend depuis près de 7 ans un nouveau jeu de glisse. Mais chez Ubisoft on aime relever les défis et quitte a prendre des risques autant y aller à fond en confiant le développement à son studio d’Annecy qui n’a jamais encore développé de jeu en solo. C’est également la première fois en 20 ans qu’Ubisoft va concevoir un jeu de A à Z sans faire appel à aucun autre studio ! Grosse prise de risque j’vous disais…

Mais c’est un risque calculé car Ubisoft s’est entouré des meilleurs pour concevoir Steep. Le choix du studio chargé du développement, Ubisoft Annecy, situé au pied des montagnes, on ne pouvait pas faire plus proche de l’élément principal du jeu et il y a fort à parier que les employés d’Annecy connaissent cette montagne qu’ils ont mis 2 ans à modéliser. Le studio s’est également entouré des meilleurs professionnels du secteur : GoPro / RedBull / Salomon / The Northface et compagnie, des marques habituées des sports extrêmes et de la montagne qui ont pu prodiguer leurs précieux conseils aux développeurs et placer leurs produits tout azimuts, notamment une vue GoPro assez réaliste ! Enfin, des sportifs de l’extrême tels que Kevin Rolland, Horacio Llorens, Sammy Luebke, mais également l’équipe de Freestyle française qui a été mise à contribution pour réaliser la Motion Capture qui servira à animer les riders du jeu.

Oui, Ubisoft a pris un risque avec Steep, une nouvelle licence, mais c’est un risque calculé qui a un énorme potentiel. Pari réussi ?

 

2. L’appel des grands espaces

Steep, c’est un jeu de sports extrêmes se déroulant pour le moment dans les Alpes Françaises, Suisses et Italiennes, une vaste zone avec de la poudreuse à profusion pour contenter les riders de tous poils (de yéti). 

Je précise « pour le moment » concernant les Alpes car il se murmure que de nouvelles zones de ride pourraient être ouvertes comme le Japon, la Norvège ou encore l’Alaska par exemple mais on espère tous secrètement pouvoir un jour dévaler les pentes de l’Himalaya… Mais pour le moment, vous devrez vous contenter des Alpes franco-italo-suisse et croyez moi, la superficie à explorer est absolument immense !! Bien entendu, pour pouvoir en découvrir la totalité, il va vous falloir vous approcher à moins de 1000m des drop zones pour pouvoir les débloquer, ainsi que les challenges qui vont avec, à l’aide de vos jumelles et pouvoir vous y faire déposer gracieusement. Pour vous approcher des drop zones, vous aurez pour l’instant le choix entre 5 sports : 

– la marche (oui oui, c’est un sport)

– le ski

– le snowboard

– la wingsuit

– le parapente

J’ai bien dit pour l’instant puisque la luge, le rocket wings, le base jump et le speedgliding sont prévus d’arriver dans de futurs DLCs au même titre que les nouvelles zones géographiques, de quoi étancher notre soif d’adrénaline.

Un didacticiel assez cours nous permet de rapidement prendre en main les 4 sports extrêmes, nous permettant d’appréhender le fonctionnement de chacune d’entre elles à travers divers challenges. Ces challenges sont répartis en fonction des sports mais également des aptitudes que vous pourrez développer en tant que rider en participant a ces divers challenges :

– Freestyler : se développe en réalisant des tricks de fou lorsque vous dévaler les pentes et franchissez des falaises de rochers abruptes

– Pro Rider : suivez la ligne et réalisez une descente parfaite pour développer cet attribut

– Bone Collector : cassez vous la gueule, ça fait mal mais vous vous en remettrez

– Explorateur : baladez vous pour découvrir, un bon bol d’air pur ça fait du bien

– Rider Extrême : prenez tous les risques pour impressionner le public

– Freerider : baladez vous librement et prenez votre pied, sans objectif et avec pour seule pression, celle servi au restaurant d’altitude

Chaque spécialité est divisée en 5 niveaux dont la jauge d’expérience ne cesse d’augmenter à mesure que vous progressez, au début c’est assez rapide de gagner un ou deux niveaux mais cela devient de plus en plus long et demande de plus en plus d’efforts et de précision sur les tricks alors j’espère que votre manette tient la route ! Un niveau général caractérise votre personnage et ce dernier augmente quelle que soit la spécialité dans laquelle vous avez obtenue de l’expérience. Plus vous monter en niveau, plus vous débloquerez de zones réservées aux joueurs les plus expérimentés. Et des objectifs a remplir, il y en a énormément ce qui assure une durée de vie très importante aux complétionneurs les plus assidus.

Chaque fois que vous réussissez un challenge, vous obtenez une récompense qui contient toujours de l’expérience et de l’argent. Seule la médaille d’or débloquera une pièce d’équipement que vous pourrez acheter dans la boutique avec l’argent que vous aurez gagné dans le jeu, vous donnant ainsi l’occasion d’adopter un style unique !

Graphiquement, Steep est vraiment très beau avec ses reflets, ses ombres, le soleil aveuglant et surtout, les conditions de lumière qui changent en fonction de l’heure à laquelle vous ridez dans le jeu qui donneront de magnifiques nuits ou des couchers de soleil flamboyant embrasant les monts enneigés. La bande son est vraiment excellente, avec un léger arrière goût de Tony Hawk pour ceux qui ont connu le premier Pro Skater. Les cinématiques sont un peu en deçà du jeu niveau qualité mais c’est surement un effet voulu.

La maniabilité des différents sport est vraiment bluffante, que ce soit les sports de glisse ou les sports aériens la prise en main est très rapide mais la réalisation des tricks nécessitent un petit temps pour prendre le coup de main. Bien entendu, vous ne pouvez pas mourir mais vous pouvez tomber KO si vous encaissez trop de G lors de vos acrobaties conduisant ainsi à l’échec du challenge en cours. Clairement, Steep exige une manette car je ne vois vraiment pas comment c’est possible de jouer autrement.

 

3. Conclusion

Après de nombreuses années de disette coté sports extrêmes sur consoles, Ubisoft déboule avec une nouvelle licence qui risque de mettre tout le monde d’accord. Steep dispose déjà d’une excellente maniabilité, d’un univers immense avec d’excellents graphismes, 4 sports surboostés à l’adrénaline et beaucoup de contenu additionnel est à venir avec les DLCs et l’ajout de nouvelles zones / challenges / sports. Vous l’aurez compris, pour moi Steep c’est un gros oui, une valeur sûre à mettre au pied du sapin à Noel pour tous ceux qui sont accrocs à l’adrénaline et la poudreuse !

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J’ai eu la chance d’être invité à la soirée de lancement de Gears of War 4 et j’ai également reçu dans la foulée ma Xbox One S Gears of War 4 Limited Edition ! Je vous fais donc part de mon avis sur l’ensemble 🙂

1. Retour sur la soirée de lancement

Jeudi soir, avait lieu à Paris une soirée exceptionnelle pour le lancement de la toute dernière exclusivité Microsoft : Gears of war 4 ! Nous avions donc rendez vous dans un lieu grimé aux couleurs du jeu avec au programme :

– bruits angoissants

– graffitis en tout genre

– menu spécialement concocté par le commandant en chef de la soirée : Yves Candeborde

– fumée

– éclairage à dominante rouge

Tout était là pour nous mettre dans l’ambiance du jeu avec des bornes de jeu à disposition pour nous montrer un aperçu du début du jeu et pour nous asseoir… Des lits de camp militaires !

Le menu était le suivant : 

 Menu de la soirée Gears of War 4

Bien entendu, votre serviteur a testé et c’était vachement bon, quoi qu’un peu bizarre bien évidemment. Le chef Candeborde nous a d’ailleurs servi lui même le plat qu’il avait concocté, en tenue militaire pour pousser le réalisme jusqu’au bout ! Voici d’ailleurs une galerie avec quelques photos de la soirée :

Je remercie Xbox de m’avoir invité. Passons maintenant à la suite du programme : la Xbox One S Gears of War 4 Limited Edition !

 

2. Caractéristiques de la Xbox One S

La Xbox One S est une version améliorée de la Xbox One standard, mais également une version allégée puisque Microsoft a réalisé un certain nombre d’améliorations sur ce nouveau modèle. La taille a été réduite de près de 40% ce qui donne une console bien plus petite que la One d’origine avec en plus un transformateur électrique qui a disparu car directement intégré à la console. Fini le gros bloc qui traine derrière le meuble TV, un cable électrique et le tour est joué.

  Xbox One Xbox One S
 Lecteur Blu-ray 4K UHD Non  Oui 
 Upscale 4K  Non  Oui 
 Support HDR  Non  Oui 
 Processeur  AMD Jaguar (28nm) 8 coeurs 1.75GHZ  AMD Jaguar (28nm) 8 coeurs 1.75GHZ
 GPU  AMD Radeon GCN à 853MHz (1.31TFLOPS)   AMD Radeon GCN à 914MHz (1.4TFLOPS)
 Mémoire   8Go DDR3 à 2133 MHz (68.26Go/s)  8Go DDR3 à 2133 MHz (68.26Go/s)
 Disque dur   500Go / 1To  500Go / 1To / 2To
 Manette   classique compatible sans fil Windows 10 
 Ports   2 USB3.0 / Port Kinect 3 USB3.0 
 Sortie optique   Oui Oui 
 Réseau   Ethernet Gigabit / Wifi 802.11 abgn Ethernet Gigabit / Wifi 802.11 abgn 
 Sortie vidéo   HDMI in / HDMI 1.4a out

HDMI 2.0a 4K / HDR 

 Dimensions   33.3 x 27.6 x 7.8 29.7 x 23.2 x 6.5 
 Poids   3.2kg 2.3kg 

Comme vous pouvez le constater, la Xbox One S embarque désormais un lecteur Blu-ray ce qui en fait le lecteur le moins cher du marché (en plus de faire console de jeu) et la console supporte également le HDR et la 4K (pour peu que l’on soit équipé d’un écran compatible).

La Xbox One S, console Microsoft

Autre changement, la disparition du port Kinect qui implique de se procurer un adaptateur qui coûte environ 50e, sauf si vous passez d’une Xbox One à une Xbox One S où là le support Microsoft vous en enverra un gratuitement !

Comme à son habitude, Microsoft décline la console en tout plein d’éditions collector, spéciales ou limitées et j’ai opté par la version Gears of War 4 Limited Edition.

 

3. Unboxing et avis

Le carton annonce la couleur et promet une console magnifique aux couleurs de la saga.

L’intérieur du carton est rouge et paré des motifs propres à Gears of War, chaque élément étant parfaitement calé dans le carton pour un transport en toute sécurité :

 

On trouve dans un premier compartiment le câble d’alimentation de la console, un cable HDMI ainsi que la manette :

Cette dernière est juste magnifique, rouge comme le sang avec un effet coagulé à certains endroits, du plus bel effet !

On retrouve bien entendu le logo Gears of War sur la partie gauche, tandis qu’à droite prend place une trace de griffe en relief, comme si un Locuste avait tenté de nous arracher la manette !

En toute sincérité, c’est l’une des plus belles manettes Xbox One que j’ai pu voir à ce jour avec des finitions irréprochables. Du grand art ! La console trône fièrement dans le fond du carton, bien calée par de la mousse. Une fois sortie, c’est une belle claque ! La console est magnifique, dans un style identique à celui de la manette.

On retrouve une trace de griffe plus prononcée que celle de la manette et également le logo Gears of War peint sur la grille de ventilation. Les détails sont ultra soignés, la finition impeccable comme pour la manette et le petit détail qui couronne le tout : au démarrage de la console, elle joue un court extrait de la musique de Gears of War 4 !

La console est livrée dans une version 2To et avec l’édition Ultimate de Gears of War 4, de quoi passer de longues heures peinard sur le canapé ! Au niveau tarif, vous pouvez encore trouver le pack à environ 449€ sur Amazon, mais je pense que les stocks ne seront pas éternels compte tenu du fait qu’il s’agit d’une édition limitée…

Retrouvez toutes les photos de la console en attendant mon avis sur le jeu (SPOIL : c’est une tuerie) :

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Blizzard a annoncé cette semaine dans un post sur son blog dédié à Hearthstone les futures modifications de cartes qui seront appliquées lors du patch 6.1.3… et il est enfin déployé !

Je tiens à préciser que je ne suis pas un pro-gamer Hearthstone mais que j’y joue tout de même plusieurs dizaines d’heures par moi et que je préfère jouer des parties fun que de grimper dans le ladder. Par conséquent, je n’aurai probablement pas la même vision que vous 😉

1. Chaman : un nerf bien mérité

Clairement, depuis un bon moment les chamans sont forts, très forts. Blizzard a donc décidé de les calmer un petit peu en modifiant 2 cartes (sur une sélection de 6) que l’ont retrouvait jusqu’à présent presque systématiquement dans n’importe quel deck de cette classe.

Arme croque-roc

La carte Arme croque-roc est responsable de quelques combos dévastateurs, en plus d’être un outil de suppression fiable dès le début de la partie. Sa puissance et sa polyvalence en font une des cartes de chaman les plus jouées dans l’histoire de Hearthstone. En modifiant les cartes de base présentes dans chaque deck, nous cherchons à privilégier la diversité et à permettre le succès du format Standard. Et tout en préservant les synergies potentielles d’Arme croque-roc, nous réduisons sa valeur en tant qu’outil de suppression en augmentant son coût en mana de 1 à 2 cristaux.

L’arme croque-roc voit son coût en mana revu à la hausse :

Hearthstone : Arme croque-roc

On passe donc d’un coût de mana de 1 à 2, ce qui n’est pas énorme en soit mais permet de réajuster cette carte jugée trop puissante par Blizzard. Ce réajustement permet donc de la mettre au niveau d’un éclair de givre, d’une Hache de Guerre Embrasée, d’une Colère (Druide) à la différence près qu’elle ne donne que +3 attaque sans aucun autre bonus (la hache de guerre embrasée a 2 points de vie, éclair de givre permet de geler la cible…) :

 Hearthstone : Eclair de givreHearthstone : Hache de guerre embraséeHearthstone : Colère

A coté de ça, nous avons Châtiment sacré (Prêtre), Tir des Arcanes (Chasseur) ou Racine Vivante (Druide) qui n’infligent que 2 points de dégâts pour 1 point de mana et donc n’étaient pas aussi puissants qu’une  :

Hearthstone : Racines vivantesHearthstone : Tir des ArcanesHearthstone : Chatiment

Je dirais donc que ce nerf est mérité. Certes, on aura moins de chaman aggro mais au moins, on assistera peut être à un nouveau type de deck Chaman !

 

Rohart totémique

Le puk puk (comme on l’appelle dans le milieu) est la 2e carte chaman a prendre cher. Sur-utilisée dans tous les decks, le Rohart Totémique permettait d’invoquer n’importe quel totem :

Hearthstone : Rohart totémique

Cela veut dire que pour 2 manas, vous pouviez avoir une créature 3/2 et un Totem Langue de feu ou un Golem Totémique et là vous étiez vraiment bien au tour 2…

Hearthstone : Totem langue de feuHearthstone : Golem Totémique

Blizzard a donc décidé de modifier le mécanisme du cri de guerre du Rohart totémique pour qu’il n’invoque plus qu’un totem de base, bien moins intéressant du coup et qui risque donc de réduire considérablement le nombre de decks contenant le puk puk…

Comme vous pouvez le constater, le chaman a pris cher, c’est mérité et cela devrait pas mal modifier les decks que l’on rencontre en classé.

 

2. Guerrier : un ajustement léger

Le guerrier aussi subit une légère modification de 2 de ses cartes que l’on retrouve très souvent…

Exécution

Hearthstone : Exécution

Une carte surjouée par les Guerriers et très puissante puisque pour 1 point de mana, elle pouvait envoyer valser une créature blessée. Puissant, trop peut être puisque Blizzard fait passer son coût de mana à 2 !

 

Charge

 

 Hearthstone : Charge

Pour 3 mana, Charge donnait +2 attaque et chargé à un serviteur allié. Blizzard a voulu modifier cette carte qui donnait probablement un win-rate trop important aux joueurs qui l’utilisaient et Charge se voit complètement changée. Elle passe d’un coût de mana de 3 à 1, confère uniquement charge à un serviteur allié qui ne peut pas attaquer le héros adverse ce tour ci. Grosse perte d’intérêt en ce qui concerne donc car elle ne pourra plus être jouée comme un finish him pour terrasser l’ennemi.

 

3. Sergent grossier : un peu moins de force

Le Sergent grossier est une créature très appréciée des decks aggro puisque pour 1 cristal de mana, il donne +2 attaque à la créature ciblée.

Hearthstone : Sergent grossier

C’est très fort pour surprendre un ennemi qui ne s’y attend pas forcément et en plus, c’est une 2/1 (bon ok, pas la mer à boire mais 2/1 quand même). Blizzard devait la trouver trop impressionnante car il a décidé de la passer à 1 d’attaque, dont le cri de guerre donne toujours +2 attaque… Qui a dit « demi nerf » ?

 

4. Appel de la nature

Le chasseur n’est pas épargné mais s’en sort plutôt bien.

Hearthstone : Appel de la nature

La carte « Appel de la nature » introduite avec l’extension les Dieux très Anciens permet pour 8 manas d’invoquer les 3 compagnons du chasseur :

Hearthstone : MishaHearthstone : LeokkHearthstone : Souffleur

Sachant que la carte « Compagnon animal » qui permet d’invoquer l’un de ces 3 compagnons coûte 3, Appel de la nature était clairement intéressant et coutait 1 mana de moins pour obtenir le même effet et être assuré d’avoir 3 compagnons différents. Blizzard a donc décidé de remonter son coût de mana à 9 cristaux de mana, rien de bien fou mais cela oblige le joueur à temporiser un tour de plus avant de la jouer.

Bien qu’Appel de la nature soit censée être une carte puissante en fin de partie, elle l’est un peu trop par rapport à son coût de 8 cristaux de mana. En portant celui-ci à 9 cristaux, nous espérons réduire quelque peu sa puissance afin qu’elle ne soit plus un choix systématique pour tous les decks de chasseur, au point de faire de l’ombre aux autres stratégies.

 

5. Yogg Saron, la fin de l’espoir

Yogg Saron est clairement un carte YOLO comme disent les jeunes. Quand t’as plus rien à perdre et que tu sais qu’au prochain tour tu vas y rester, ta seule option : Yogg Saron !

Hearthstone : Yogg-Saron, la fin de l'espoir

Et là, t’as une chance sur 5 de remporter la partie. Mais t’as 1 chance ! Et parfois (souvent si t’as de la chance) ça passe, et ça fait bien rager le mec en face… Mais la mécanique n’était pas tout à fait au point et Blizzard a décidé d’y apporter quelques modifications.

Certains ADORENT Yogg, d’autres le détestent. De notre côté, nous n’avions pas l’intention de faire de Yogg une carte jouée en tournoi. Cette carte est destinée aux joueurs qui veulent s’amuser, mais n’est pas vraiment pensée pour les tournois de haut niveau. Yogg reste relativement faible, en termes de puissance, pour toutes les classes, mais est bel et bien au-dessus de la moyenne lorsqu’il est joué dans 2 decks : le « mage Tempo » et le « druide Jeton ».

La première est logique et tout à fait normale. Souvent, Yogg se suicide ou s’envoie en l’air (dans notre deck ou notre main) et donc qui le terrain. Par conséquent, la chaine de sorts qu’il avait commencé à lancer aurait dû s’arrêter car Yogg n’était plus en mesure de les lancer. Ce n’était malheureusement pas le cas et Blizzard a donc décidé de remédier à ça. Si Yogg quitte le terrain pour une quelconque raison, la chaine de sorts s’interrompt et c’est tout à fait normal.

En revanche, je suis beaucoup moins d’accord avec la seconde modification. Jusqu’à présent, les sorts lancés par Yogg Saron et qui comportaient la mention « Surcharge X » n’affectaient pas le joueur et c’était NORMAL.

Hearthstone : NeptulonHearthstone : Savoir ancestralHearthstone : Destruction élémentaire

En effet, sur la description de Yogg Saron il est écrit « Cri de guerre : lance un sort aléatoire pour chaque sort que vous avez lancé pendant cette partie ». « Lance un sort »… On parle de Yogg là, et non du joueur ! Par conséquent, la surcharge ne devrait pas s’appliquer au joueur… Enfin c’est mon point de vue, ce n’est surement pas celui des joueurs qui jouent en compétitif et qui se font brain sur un Yogg en fin de partie…

 

Un patch qui touche donc plusieurs classes / cartes et qui ne sera surement pas du goût de certains. Pour ma part, je trouve que certains nerfs n’en sont pas vraiment et je suis assez déçu de la modification apporté à Yogg concernant la surcharge, mais il va falloir faire avec et adapter les decks en conséquence !

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Après l’immense succès du 7e épisode de la saga au cinéma, une adaptation en jeux vidéo était inévitable et comme j’ai toujours aimé les LEGO et Star Wars, j’ai le plaisir de vous donner aujourd’hui mon avis sur LEGO Star Wars : le Réveil de la Force (oui oui… j’ai pris mon temps pour l’écrire !).

1. Synopsys

Warner revient en force avec un nouvel épisode de LEGO. Cette fois, le jeu vous fait voyager dans l’univers Star Wars, basé sur le dernier film de la saga. Incarnez Rey, Finn, Poe, BB-8, Kylo Ren, Han Solo et d’autres personnages du film ! Revivez les événements du film, toujours racontés avec l’humour propre à l’univers LEGO.

2. La Force est grande dans ce jeu

A l’instar des autres jeux de la collection LEGO, LEGO Star Wars : le Réveil de la Force suit quasiment pas à pas la chronologie du film en incluant ça et là des bribes d’histoire inédites permettant de faire le lien entre les épisodes 6 et 7. Le jeu commence donc avec une cinématique d’introduction résumant de la fin du film Le Retour du Jedi avec la bataille d’Endor et la destruction de l’étoile de la Mort, nous propulsant ainsi en plein milieu de la forêt et des ewoks pour combattre les troupes impériales. Ce prologue permet d’aborder le Réveil de la Force sur des bases solides et sert logiquement de didacticiel à qui n’aurait jamais mis la main sur un autre jeu LEGO. S’enchainent ensuite les scène du film, à la sauce LEGO.

Star Wars : le Réveil de la Force

On retrouvera ainsi les héros du Réveil de la Force comme BB-8, Rey, Kylo Ren ou encore Poe Dameron, mais également ceux de la trilogie originale comme Han Solo, Chewbacca, Amiral Ackbar et j’en passe. Au total, vous aurez la possibilité de débloquer et donc d’incarner plus de 200 personnages à travers les 18 niveaux qui composent le jeu.

Star Wars : le Réveil de la Force - Des personnages en pagaille

Les véhicules emblématiques de la saga sont également de la partie et vous pourrez vous retrouver aux commandes du X-Wing de Poe ou encore du Faucon Millenium pour ne citer qu’eux. La maniabilité des différents vaisseaux nécessite un petit temps d’adaptation les premières fois mais ensuite ça roule tout seul et c’est vraiment très très fun !

Star Wars : le Réveil de la Force - Pilote de vaisseaux

Comme à chaque fois, l’alternance entre les cinématiques et les séquences de gameplay est presque parfaite et permet au joueur de suivre sans problème le déroulé et l’enchainement des événements auxquels il prend part. Cela à 2 gros avantages selon moi :

– Premièrement, cela permet aux joueurs qui n’ont jamais vu un seul Star Wars de suivre la chronologie de l’Histoire et du pourquoi on en est là, sans avoir l’impression d’être parachuté de nul part et de simplement enchainer les résolutions d’énigmes. Ils peuvent alors se plonger a fond dans l’Histoire et cela ne peut que leur donner envie d’aller voir le film ou de se le procurer en DVD.

– Deuxièmement, les fans de la saga ne seront que ravis de pouvoir vivre une Histoire qu’ils auront surement vu au cinéma et / ou en DVD, avec une grosse touche de LEGO en plus.

Les graphismes sont plutôt bons pour un jeu LEGO et les ambiances des différents niveaux sont parfaitement retranscrites avec tous les bruits qui vont avec. Pour finir, l’humour omniprésent donne une toute autre dimension au jeu avec des clins d’oeil ou des gars. Un régal !

 Star Wars : le Réveil de la Force

 

3. Des mécaniques bien rodées

LEGO Star Wars : le Réveil de la Force reprend l’ensemble des caractéristiques des précédents jeux LEGO qui font le succès de cette collection.

Pour avancer dans l’Histoire, vous devrez donc casser des briques, beaucoup de briques, énormément de briques… Pour collecter des pièces qui vous serviront à acheter certains éléments dans la boutique, pour les ré-assembler afin de résoudre des énigmes, pour libérer le passage… Bref, il va vous falloir casser de la brique en masse ! Mais c’est l’essence même des jeux LEGO non ?

Autre point caractéristique, la résolution des énigmes. En effet, pour progresser dans l’aventure vous devrez résoudre des énigmes qui vous permettront d’actionner des mécanismes. Si la plupart d’entre elles sont assez simple à solutionner, il vous faudra parfois faire preuve d’ingéniosité et surtout bien coordonner les différents héros de votre groupe afin qu’ils exécutent les bonnes actions au bon moment, de quoi devoir s’y reprendre à plusieurs fois…

Si vous êtes un fana de la recherche d’objectifs secondaires, les développeurs ont pensé à vous ! A travers les 18 niveaux du jeu, vous pourrez trouver près de 450 briques disséminées ça et là dans les recoins du décors, objets indispensables pour déverrouiller certains succès. Bien évidemment, il est impossible de tous les récupérer en mode Histoire puisque certains demanderont une combinaison précise de héros pour être débloqués.

C’est là que le mode Libre entre en scène. Présent dans tous les autres titres de la collection, ce mode vous permettra de refaire n’importe quel niveau déjà terminé en mode Histoire afin d’essayer de glaner les objets à coté desquels vous seriez passé.

Star Wars : le Réveil de la Force - Les planètes, lieux de nombreuses aventures...

 

4. Conclusion

Avec une durée de vie d’environ 10h pour ceux qui ne perdent pas de temps mais 20 à 15h pour les plus accros à la recherche de tous les trophées / succès (source HowLongToBeat), LEGO Star Wars : le Réveil de la Force est d’une durée de vie plus que correcte. Les graphismes, l’humour et les caractéristiques propres aux jeux de la collection LEGO en font une valeur sûre que vous pouvez acheter les yeux fermés, pour vous ou vos enfants.

Que vous soyez fan ou non de la saga cinématographique, le jeu devrait sans problème vous procurer d’excellentes soirées dans votre canapé !

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J’ai pris le temps pour l’écrire, et je vous explique plus bas pourquoi, mais je vous donne enfin mon avis sur l’un des derniers jeux de Square Enix : Hitman.

1. Synopsis :

 Il existe un monde au-delà du nôtre. Au-delà des nations, de la justice, de l’éthique. Ce monde ne dort jamais. Il se trouve partout. Une fois que vous y entrez, il n’y a pas de retour possible… Bienvenue dans un monde d’assassinats : vous êtes l’agent 47, le tueur à gages ultime.

 

2. Le retour de l’homme au crane rasé :

4 ans se sont écoulés depuis Hitman Absolution, le dernier jeu sorti sur PC et consoles dans lequel nous pouvions incarner l’Agent 47 et aujourd’hui, Square Enix a décidé de ressortir son assassin fétiche du placard pour lui faire reprendre le service le temps de quelques missions.

Hitman : l'Agent 47 est de retour

Le jeu démarre sous forme d’un tutoriel habilement dissimulé sous les traits d’un prologue qui nous permet, au fil de quelques missions d’entrainement, de reprendre en main les différentes actions à notre disposition pour mener à bien le(s) contrat(s) qui nous est (sont) offert(s). La difficulté n’est bien évidemment pas insurmontable lors de ce prologue qui en profite au passage pour poser les circonstances dans lesquelles l’Agent 47 fait son retour. Lors de cette introduction, on comprend rapidement qu’il sera très difficile de s’en sortir par la force brute et que finir une mission en rushant tout le niveau, fusil d’assaut en main, est tout bonnement suicidaire. Non, Hitman n’est pas un shoot’em up, il va falloir faire travailler ses méninges !

Et c’est ce que l’on va devoir faire lors des 3 premières destinations du jeu, à savoir : Paris (France) / Sapienza (Italie) / Marrakesh (Maroc). Chaque épisode du jeu nous donne 2 cibles à éliminer par quelque moyen que ce soit, le but étant de ne pas se faire remarquer et de faire preuve de créativité pour engranger un maximum de points.

a. Paris :

L’action se déroule lors d’une énorme réception mondaine à Paris, organisé pour le lancement d’une marque. Il vous faudra abattre 2 cibles à l’intérieur d’un batiment gardé par des dizaines de gardes armés jusqu’aux dents. Une fois le bonne angle d’infiltration trouvé, entrer dans le batiment est assez facile, mais s’y déplacer sans se faire remarquer est une autre paire de manche…

b. Sapienza :

47 fait un petit crochet touristique par la ville de Sapienza en Italie pour le 2e épisode de ses aventures, un petit village de bord de mer avec ses falaises, ses restaurants typiques où le cuistot est une tête de mule et sa plage pittoresque. Votre mission, et vous l’acceptez, est de tuer Silvio Caruso, un bio-terroriste, sa femme et de détruire le virus mortel que le couple est en train de créer dans sa bat-cave personnelle.

Les opportunités sont nombreuses, les différentes possibilités d’assassinat donne une bonne rejouabilité à cette mission qui se révèle un peu plus facile que la mission de Paris. 

c. Marrakesh :

Dernière destination européenne pour cette première saison, Marrakesh au Maroc n’est pas forcément la ville qui sera la plus simple pour notre Agent. Vous devrez éliminer le banquier privé Claus Strandberg, qui s’est réfugié comme Edward Snowden dans le consulat suédois sous bonne garde, et le général Reza Zaydan qui a investi une école abandonnée avec l’ensemble de ses troupes d’élites et leur arsenal.

Pour ma part, j’ai trouvé cet épisode beaucoup plus dur que les 2 précédents. En cause, la foule de personnes présentent dans le souk dont l’ambiance est par la même occasion assez bien retranscrite. Les gens s’invectivent, nous interpellent, les soldats font leurs rondes et il faut ruser à chaque coin de rue pour obtenir des informations ou de précieux objets qui nous aideront à progresser dans notre mission. Les 2 cibles sont vraiment très bien gardées et j’avoue avoir réussi a les éliminer toutes les deux mais j’ai trébuché sur une équipe de sécurité au grand complet en tentant de rejoindre mon point d’extraction… Oups, tout à refaire !

 

3. Un bon titre mais avec quelques défauts :

Je vais commencer par exposer les bons cotés du jeu.

Les graphismes sont plutôt réussis. Les jeux d’ombres et de lumières permettent de se dissimuler et les décors des différentes villes traversées sont vraiment très bien fait. La quantité de personnages se promenant sur la carte est impressionnant, notamment lors de l’épisode de Marrakesh, et pourtant le jeu ne semble pas en patir.

La planification de chaque mission est top. Vous aurez la possibilité de choisir votre équipement de départ, votre point de départ, un équipement à votre disposition dans une planque de votre choix, etc…

Hitman : la planification des missions

Chaque mission est donc entièrement customisable mais l’accès à ces paramètres de mission se mérite ! Lorsque vous terminez une mission, votre score est calculé d’après toutes les actions et défis réalisés. Ce score alimente une jauge vous permettant de passer des niveaux relatifs à l’épisode (Paris, Sapienza ou Marrakesh) et chacun de ces niveaux débloque une série de paramètres qui peuvent être un point de départ alternatif, une planque d’équipement ou encore un équipement supplémentaire, vous permettant ainsi de recommencer le même épisode mais avec des paramètres différents.

Hitman : tuer moins pour gagner plus

Les défis à réaliser vous aideront notamment à remplir votre jauge de points. Ils sont nombreux, très nombreux et très variés ! Il y a des défis simples, d’autres compliqués, certains sont funs, d’autres demanderont d’effectuer pleins d’actions avant de pouvoir être validés… ces défis sont une vraie mine de rejouabilité pour chacun des 3 épisodes du jeu et ajouteront une durée de vie conséquente à Hitman pour ceux qui souhaiteront tous les accomplir.

Hitman : Les défis, innombrables !

Autre bonne idée, l’apparition régulière pendant une période assez courte de cibles particulières qu’il vous faudra débusquer et assassiner ! La principale difficulté réside dans le fait que ces cibles n’apparaissent que pendant 48h, un créneau très réduit qui vous obligera à vous connecter souvent aux serveurs Hitman pour vérifier la présence ou non de la cible.

Gros parti pris de la part de l’éditeur, Square Enix a en effet décidé de faire une livraison par épisode de son jeu. L’éditeur propose donc d’acquérir le prologue et l’épisode de Paris dans un package de base. Chaque épisode a été livré à intervalle régulier ensuite avec possibilité de les acquérir au coup par coup ou bien en achetant un Season Pass donnant accès à toutes les missions du jeu dès qu’elles sortent. C’est pour cette raison que j’ai pris mon temps pour publier le test du jeu, je ne voulais pas écrire un avis sur le jeu en ayant uniquement terminé une infime partie du jeu…

De nos jours, les Season Pass ont le vent en poupe. Battlefield et son « Premium » permettent ainsi d’avoir accès à toutes les nouvelles maps qui seront développées dans le futur, Ubisoft nous livre également quasiment l’intégralité de ses jeux avec une option « Season Pass » donnant accès à tout le futur contenu des jeux… Bref tous les éditeurs ou presque s’y sont mis et Square Enix a décidé de surfer sur la vague… De mon point de vue, c’est une bonne idée car le joueur peut décider de n’acheter que le prologue pour tester le jeu, et si il lui plait, il fera l’acquisition du Season Pass ou de chaque épisode séparément. Mais c’est également une mauvaise idée car le prologue et la première ne représentent pas un contenu énorme (mais ce package ne coute que 15€) et le joueur pourra être frileux en ce qui concerne l’achat des missions suivantes, pouvant penser a raison que ça n’en vaut pas la peine…

Hitman : Une tarification à la carte

Deuxième point très rébarbatif à mes yeux, les temps de chargement extrêmement longs et associés à de déconnexions fréquentes des serveurs officiels Square Enix. Dis comme ça, cela peut paraître anodin mais quand vous êtes déconnecté en pleine mission, il arrive que cela vous ramène au menu de préparation de la mission… Cela m’a valu quelques ragequit du jeu je dois l’avouer. Les temps de chargements des missions sont infinis, mais une fois une mission chargée, si vous la recommencez (Pause > Redémarrer la mission), le chargement est beaucoup plus rapide, et heureusement…

 

4. Conclusion :

Disponible sur PC, PS4 et Xbox One, Hitman signe le retour en fanfare de l’Agent 47 dans un jeu qui souffre de quelques défauts comme son mode de commercialisation par épisode, ses temps de chargement ou encore les problèmes de connexion aux serveurs. Parallèlement à ça, les graphismes, le gameplay et l’énorme rejouabilité de chaque épisode permettent de gommer légèrement ces défauts qui se font assez vite oublier… Jusqu’à la déconnexion suivante 😉 La tarification n’est pas un problème grave en soit puisqu’il permet aux joueurs d’acheter un solide aperçu du jeu avant de décider si oui ou non il fera l’acquisition du reste.

Bref, si vous voulez retrouver l’esprit des premiers Hitman, vous pouvez foncer !

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Dernier né de Green Lava Studios, je vous propose aujourd’hui mon avis sur Fenix Furia, un jeu en 2D carrément rétro.

1. Synopsis :

Vous incarnez Fenix dont le village a été réduit à néant par une explosion qui n’a laissé que 2 survivants : Fenix et Oktarus qui parvient encore et toujours à vous échapper malgré tous les efforts que vous déployez…

 

2. Furieusement 2D :

Fénix, le personnage que vous incarnez, évolue dans des niveaux en 2D à travers lesquels il poursuit inlassablement Oktarus pour accomplir son désir de vengeance. Notre petit héros va devoir traverser 9 mondes contenant chacun pas moins de 20 niveaux pour un total de 180 ! Chaque fin de chapitre est ponctuée par un boss contre lequel vous devrez vous battre pour espérer passer au monde suivant.

Fenix Furia

Les niveaux sont chronométrés et par conséquent, plus vous irez vite mieux ce sera pour votre score. De plus, dans certains niveaux se trouve un cube rouge qui disparait au bout de quelques secondes. Si vous êtes assez rapide pour vous en emparer, vous serez alors propulsé dans un niveau bonus. Mais ce cube rouge n’est pas le seul élément que vous pouvez récupérer à travers les niveaux car il y a également le cookie ! Chaque niveau du jeu contient donc un cookie plus ou moins facile d’accès et qui, une fois que vous aurez rassemblé les 20 cookies d’un même monde, vous débloquera l’accès à une recette originale de cookie (un concours est d’ailleurs lancé pour la sortie du jeu) !

Fenix Furia : les cookies !!

Récupérer l’intégralité des cookies ne sera hélas pas une partie de plaisir puisque votre parcours sera semé d’embûches… Vide, blobs toxiques, rayons incandescents… tout est fait pour vous compliquer la tâche, transformant ainsi Fenix Furia en un véritable die and retry qui en exaspérera plus d’un ! Et comme pour vous rappeler que vous mourrez un peu trop souvent, un succès existe pour marquer votre 100e décès (un peu de sadisme dans ce monde de brutes…). 

Fenix ne dispose pas de 12 milliards de compétences et n’a donc qu’un saut qu’il peut effectuer à l’infini (et donc traverser un tableau entier sans poser le pied à terre) et un dash qui lui permet de foncer vers la gauche ou la droite, pratique pour défoncer certains obstacles. Les parois enflammées disséminées ici et là permettront d’enflammer Fenix qui pourra alors pulvériser des blocs de glace gênants et ainsi poursuivre son ennemi juré. Et si par hasard vous vous ennuyez, sachez qu’il existe un mode 2 joueurs en écran splitté !

Fenix Furia : un mode multijoueur en écran splitté

Niveau graphismes, on est sur un affichage en 2D qui est très propre. Les décors ont été soignés et on appréciera leur variété mais surtout les couleurs vives qui rendent chaque monde unique.

Fenix Furia : des mondes jolis, mais compliqués

Et la bande son dans tout ça ? C’est de la bonne musique que l’on peut retrouver aujourd’hui dans les jeux des années 80, de quoi se plonger dans cette époque pour les uns ou prendre un bon coup de vieux pour les autres (oui, c’était il y a 30 ans ou presque…) mais cela colle parfaitement à l’esprit du jeu.

 

3. Conclusion :

Disponible sur Playstation 4, Xbox One et Steam (sous le nom Fenix Rage) au tarif conseillé de 14.99€, Fenix Furia devrait vous procurer quelques heures de jeu sympathiques avec quand même de grosses prises de tête pour arriver au bout de certains niveaux. La réalisation du jeu est plutôt réussie avec des décors soignés et une bande son ultra rétro. En revanche, si vous n’êtes pas trop fan des die and retry, vous risquez de vite vous en lasser. 

Sponsornot : Gratuit

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