Je vous avais fait part en début d’année de ma réflexion avant achat d’un Raspberry Pi et je l’ai reçu il y a quelques semaines en direct de chez Farnell, l’occasion pour moi de faire un petit tutoriel pour bien démarrer avec ce micro PC.

 

1) Matériel nécessaire :

Tout d’abord, il vous faudra le matériel suivant :

Indispensable :

– Raspberry Pi

– Carte mémoire SD (minimum 8Go pour être à l’aise)

– Alimentation 5v

– Cable HDMI

– Cable réseau

– Clavier / Souris / Ecran

Facultatif :

– Boitier de protection

Pour ma part histoire d’être à l’aise j’ai opté pour une carte de 32Go, qui peut le plus peut le moins.

J’ai commencé par tout brancher sauf l’alimentation car il faut avant tout préparer sa carte SD pour permettre au Raspberry Pi de booter correctement.

 

2) Préparation de la carte mémoire :

Dans cette partie du tutoriel, je vais utiliser une image ISO de Raspbian, un fork de Debian optimisé pour le Raspberry Pi. Ce choix n’a été fait qu’à titre d’exemple et vous trouverez partout sur internet des ISO compatibles avec ce tutoriel, en voici d’ailleurs une liste non exhaustive : OpenElec / Raspbian / RaspBMC / Arch Linux que vous pourrez retrouver sur le site officiel de la carte : http://www.raspberrypi.org/downloads/

 

En fouillant sur Google, il existe bien d’autres distributions compatibles, n’hésitez donc pas à prendre le temps de trouver celle qui correspond à ce que vous souhaitez faire.

 

a) Logiciels requis :

Pour préparer votre carte mémoire, il vous faudra un lecteur de carte mémoire et 2 logiciels :

– SDFormatter : https://www.sdcard.org/downloads/formatter_4/

– DiskImager : http://sourceforge.net/projects/win32diskimager/

DiskImage et SDFormatter

Le premier permet de formater de façon optimale votre carte mémoire afin de la préparer à recevoir l’OS qui sera mis en place par le second utilitaire.

 

b) Formatage de la carte mémoire :

Il faut commencer par insérer la carte mémoire dans le lecteur de carte et ensuite lancer l’utilitaire. Vous devriez obtenir la fenêtre suivante :

SDFormatter : les options

Comme vous pouvez le constater, il y a peu de paramètres à appliquer et l’utilitaire SDFormatter est très simple d’utilisation. Sélectionnez le lecteur correspondant à votre carte mémoire, donnez lui un nom et jetez un oeil aux Options pour les activer ou non. Je recommande d’activer le Full Erase et le Format Size Adjustment. Une fois les réglages effectués, cliquez sur ok puis patientez le temps du formatage qui affichera le message suivant une fois qu’il sera terminé :

SDFormatter : Formatage terminé !

Passons maintenant à l’installation du système de base.

 

c) Mise en place du système d’exploitation :

DiskImager est aussi simple d’utilisation que SDFormatter. 

DiskImager : Installation du système

Comme vous pouvez le constater, il vous suffit d’aller chercher votre image ISO préalablement téléchargée, de sélectionner le lecteur sur lequel vous souhaitez l’installer et de cliquer sur Write. Confirmez et patientez. Cette phase peut être plus ou moins longue en fonction des performances de votre carte SD ou de la taille de l’ISO que vous avez choisi.

Disk Imager : Copie du système en cours

A ce stade là, le système d’exploitation est présent sur la carte, il ne vous reste plus qu’à l’insérer dans le Raspberry Pi et à mettre ce dernier sous tension. Vous devriez avoir l’écran de configuration initiale à l’écran et pouvez dès à présent vous lancer dans le grand bain ! Si comme moi vous avez rencontré un soucis d’affichage avec un écran qui reste désespérément noir pas de panique ! Ce n’est pas le Raspberry Pi qui est cramé mais uniquement un soucis de configuration.

Pour le régler, insérez votre carte SD dans le lecteur de carte mémoire de votre PC et cherchez le fichier « config.txt ». Ouvrez le et cherchez l’option « hdmi_force_hotplug » :

Raspberry Pi / Raspbian : modification du fichier de configuration

Changez la de 0 à 1, sauvegardez, remettez la carte SD dans le Raspberry Pi et démarrez le. Vous devriez avoir récupéré l’affichage !

Amusez vous bien.

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A 3 semaines de la sortie de Reaper of Souls, la première extension du jeu Diablo 3 développé par Blizzard, je vous propose aujourd’hui un petit guide pratique pour bien préparer la sortie de l’extension et que le leveling de vos personnages ne se transforme pas en calvaire.

Ce guide va s’articuler sur 3 points :

1 – Monter son niveau Paragon

2 – Préparer le stuff de pex de son main

3 – Préparer le stuff de pex de son Croisé

 

1 – Monter son niveau parangon :

Le niveau maximal de vos personnages est actuellement de 60 et passera à 70 lors de la sortie de l’extension Reaper of Souls. Une fois que vous avez atteint le niveau maximal, vos personnage continuent d’engranger de l’expérience pour alimenter la jauge Parangon, commune à tous vos personnages, afin de monter les niveaux Parangon qui sont désormais sans limite.

Chaque niveau parangon gagné vous donne des statistiques supplémentaires et des points à dépenser pour améliorer certaines caractéristiques classées en 4 catégories : caractéristiques de base, offensives, défensives et utilitaires. Le niveau de parangon étant commun à chacun de vos personnage quel que soit leur niveau, vous avez alors tout intérêt à le monter au maximum avant la sortie de l’extension de Diablo 3 si vous comptez monter un Croisé. En effet, les points gagnés à chaque niveau de parangon vous permettrons de booster les caractéristiques de votre personnage bas niveau afin de pouvoir enchainer les différentes zones du jeu.

Afin d’optimiser votre leveling parangon, il faut impérativement sélectionner le mode de difficulté adapté à votre personnage ou à votre groupe : 

Difficulté Vie des monstres Dégâts des monstres % d’or bonus % d’xp bonus
Normal 100% 100% 0 0
Difficile 200% 130% 75 75
Expert 320% 188.5% 100 100
Maître 512% 273.33% 200 200
Tourment I 819% 396.32% 300 300
Tourment II 1311% 574.67% 400 400
Tourment III 2097% 833.27% 550 550
Tourment VI 3355% 1208.23% 800 800
Tourment V 5369% 1751.94% 1150 1150
Tourment VI 8590%  2540.31% 1600 1600

 

Si vous vous mettez en Tourment VI et que vous mourrez en permanence ou bien que vous ne pouvez pas enchaîner les packs de mobs, certes le bonus gagné pour chaque monstre tué sera conséquent mais sur la durée, ce sera surement beaucoup moins rentable qu’un tourment II à IV dans lequel vous avancerez vite sans trop de difficulté. A l’inverse, se mettre en Expert ou en Maître et se balader dans les niveaux sans aucune difficulté sera moins rentable que vous mettre 2 à 3 niveaux de difficulté au dessus. Pour le choix de la difficulté, c’est à chacun d’adapter le niveau en fonction de la puissance de son personnage afin d’avoir la meilleure rentabilité possible au niveau du gain d’expérience par heure.

Exemple : mon moine a terminé le mode Normal lvl 35 avec un stuff lvl 22 optimisé pour la prise d’XP. Plutôt que de continuer avec le mode difficile, je suis directement passé en Expert. Certes, les monstres sont plus puissants et plus résistants mais le bonus d’XP gagné est supérieur de 25%. Non négligeable.

 

2 – Préparer le stuff pex de son main :

Je vais passer rapidement sur cette partie car vous avez longtemps baroudé avec votre personnage principal dans l’univers de Diablo 3, par conséquent vous connaissez la chanson. N’ayant pas testé la beta de Reaper of Souls, je ne peux vous donner la quantité d’expérience nécessaire pour monter du niveau 60 au niveau 70, mais il y a fort à parier que ce soit long, très long.

L’idée, c’est de farmer de l’équipement avec des bonus au gain d’expérience. Plus vous aurez de pièces avec des bonus d’expérience, moins la montée en niveau sera longue et fastidieuse. Attention, à vouloir absolument des bonus d’expérience sur vos pièces d’équipement, il ne faut pas non plus sacrifier vos statistiques principales au risque d’être obligé de diminuer la difficulté (et donc le bonus d’expérience gagné). Là encore, il faut faire un compromis en étant vigilant sur une éventuelle perte de DPS.

Un point incontournable de votre équipement : le casque. Il faut IM-PE-RA-TI-VE-MENT qu’il ai une chasse de gemme ! Un casque sans chasse, c’est facilement 25% d’expérience qui part dans le néant… Dommage !

Rubis étoilé : 25% d’expérience en plus

Rubis étoilé sans défaut : 27% d’expérience en plus

Rubis étoilé parfait : 29% d’expérience en plus

Rubis étoilé iridescent : 31% d’expérience en plus

Rubis marquise : 33% d’expérience en plus

Si vous avez un petit stock de gemmes dans votre inventaire, créer un Rubis étoilé parfait ne sera qu’une formalité. En revanche, le Rubis étoilé iridescent et le Rubis marquise seront réservés aux plus fortunés ou aux plus acharnés d’entre vous (pour 2 ou 4% d’expérience en plus, pas sûr que cela compense le temps de farming nécessaire pour rassembler les composants…).

Autre objet indispensable :

Anneau : Anneau des flammes infernales

Craft qui est un must have si vous avez pu faire quelques run machines infernales. Il procure un gros bonus dans une des statistiques utiles (force, dextérité, intelligence et vitalité) et un bonus de 35% à l’expérience ! Cela vaut le coup de faire quelques runs avant la sortie de l’extension pour ramasser des clés et crafter quelques machines infernales.

Pour ma part, le pex se fera avec un Rubis étoilé parfait dans le casque mais peu de pièces disposant d’un bonus d’expérience. Je préfère conserver la totalité de mon DPS pour enchainer les différentes régions de Sanctuaire.

 

3 – Préparer le stuff pex de son Croisé :

Le croisé est la nouvelle classe de personnage de Diablo 3, introduit avec l’extension Reaper of Souls. Sorte de paladin tiré de Diablo 2, le Croisé est assurément une classe qui aime en prendre plein la tronche et qui semble vraiment très plaisante à jouer, c’est pourquoi j’ai décidé d’en monter un juste après la sortie de l’extension.

Le plus pénible lors de la phase de pex sera de monter au dessus du niveau 20. En effet, il y a peu d’équipement intéressant et optimisé pour le gain d’expérience avant ce niveau là. Par conséquent, pour monter du niveau 0 à 20, l’idéal sera de trouver un casque bas niveau avec une chasse et des pièces de stuff donnant un bonus d’expérience. Voici ensuite quels sont les pièces d’équipements indispensables pour monter rapidement ses niveaux :

Set de Cain : LE meilleur set d’objets pour monter rapidement ses niveaux. Son bonus 2 pièces est intéressant car il augmente de 2% la vitesse d’attaque (pas ultime mais un bonus de dps sympathique) mais c’est surtout son bonus 3 pièces qui est impressionnant : 10% à la découverte d’objets magiques et 30% au bonus d’expérience ! Associé à la gemme du casque, nous voilà à 60% de bonus d’expérience ! Et n’oubliez pas que chaque pièce du set vous octroie également un bonus d’expérience supplémentaire.

Casque : Mémoire de Cain

Gants : Mitaines de Cain

Jambes : Toge de Cain

Pieds : Sandales de Cain

Le set au complet vous donnera donc un bonus d’expérience de : 30% (bonus set 3 pièces) + 25-33% (casque Mémoire de Cain avec une chasse) + 60-76 points d’expérience / monstre tué ! C’est une bonne base. Afin de faire quand même un peu de dégâts et nous permettre d’avancer rapidement, nous nous efforcerons bien sûr de sélectionner des items ayant un bonus de force, caractéristique principale du Croisé, ou ayant des chasses de gemmes pour y insérer des rubis de la qualité la plus élevée possible.

 

Set de Born : Moins ultime que le set de Cain, le set de Born vous donnera un bonus de 2% aux points vie et de +20 expérience / monstre tué dès lors que vous aurez équipé au moins 2 pièces. On est très loin des bonus du set de Cain pour ce qui est de l’expérience mais le bonus aux points de vie vous donnera plus de résistance.

Epaules : Impunité de Born

Torse : Coeur d’acier de Born

Epée 1M : Malveillance ardente de Born

Vous aurez peu de difficultés à trouver un torse disposant de 2 chasses de gemmes vous permettant ainsi d’augmenter votre force et/ou votre vitalité en y insérant des rubis ou des améthystes ajustant ainsi dps et/ou survivabilité. Je conseille dans ce cas précis de se cantonner à un combo épaules + torse car il sera beaucoup plus difficile d’augmenter votre dps si vous conservez cette arme pendant toute la phase de montée de niveau que si vous en changez régulièrement.

 

Un peu de hors set :

Il reste quelques pièces d’équipement intéressantes à glaner avant la sortie de l’extension Reaper of Souls pour améliorer un peu notre équipement.

Anneau : Chevalière de Léoric

Cet anneau est plus qu’intéressant pour la phase de pex puisqu’il propose un bonus d’expérience entre 20 et 30%, un bonus de coup critique et si vous avez de la chance : une chasse de gemme. What Else ?

Anneau : Anneau des flammes infernales

Craft qui est un must have si vous avez pu faire quelques run machines infernales. Il procure un gros bonus dans une des statistiques utiles (force, dextérité, intelligence et vitalité) et un bonus de 35% à l’expérience ! Cela vaut le coup de faire quelques runs avant la sortie de l’extension pour ramasser des clés et crafter quelques machines infernales.

Arme : n’importe quelle arme disposant d’un gros bonus aux dégâts de base.

 Iris Diablo 3

Comme vous pouvez le constater, mon Iris a des statistiques de dps monstrueuses pour son niveau grâce au bonus de dégâts de l’arme. L’épée me permet ainsi de combattre des monstres plus puissants sans trop de problème et d’amasser ainsi beaucoup plus d’XP.

 Voilà les quelques recommandations non exhaustives pour démarrer sereinement la monté de niveaux à la sortie de Reaper of Souls, la prochaine extension de Diablo 3.

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Avant même de songer au type de distribution Linux et d’ensemble logiciel pour lesquels vous aller opter, il faut d’abord définir quels sont vos besoins en terme de puissance, d’espace de stockage et de fonctionnalités afin de choisir un serveur dédié qui soit adapté à l’utilisation que vous allez en faire et à votre projet…

Tout d’abord, il faut commencer par réfléchir à la question suivante : « quel usage vais je faire de mon serveur ? ». Je précise que l’objectif final de cette grande série d’articles est de monter un serveur Linux fournissant divers services. Plusieurs possibilités s’offrent à vous :

– Hébergement de site web (Apache / MySQL)

– Serveur FTP

– Serveur Teamspeak3 / Mumble

– Serveur de jeu (Minecraft / CSS / etc…)

– Cloud

– Tout ça à la fois

Une fois que vous avez ciblé l’usage, il suffit d’y adapter la dimension de votre serveur et par conséquent son coût mensuel. Voici quelques indications de tarifs en fonction de la configuration choisie, issues du site Online.net  :

Dedibox SC Gen2 Dedibox SC L Dedibox Classic+ Gen2 Dedibox LT Dedibox MD
Nano U2250 Nano U2250 Intel Xeon E3 1220 v2 Intel Xeon E3 1220 Intel Xeon E3 1240
1 Core @ 1.6 GHz 1 Core @ 1.6 GHz 4 Core @ 3.5 GHz 4 Core @ 3.1 GHz 4 Core @ 3.7 GHz
2 Go 2 Go 8 Go DDR 16 Go DDR 24 Go DDR
500 Go Hybrid + SSD 1 To Hybrid + SSD 2 x 1 To 2 x 2 To 2 x 2 To
Pas de RAID Pas de RAID RAID 0/1 Hard RAID 0/1 Hard RAID 0/1 Hard
200 Mbit/s 200 Mbit/s 300 Mbit/s 300 Mbit/s 300 Mbit/s
9.99 € HT/mois 14.99 € HT/mois  29.99 € HT/mois 49.99 € HT/mois 64.99 € HT/mois


ATTENTION : CETTE GRILLE DE CONFIGURATIONS ET DE TARIFS EST FOURNIE A TITRE INDICATIF, SEUL LE SITE ONLINE.FR FAIT FOI.

 Online.net Hebergement Serveurs Domaines

Vous souhaitez héberger quelques sites (entre 5 et 10) de taille modeste, un ftp et éventuellement un Teamspeak ou un Mumble avec un Cloud, un serveur de type Dedibox SC Gen2 devrait vous suffire. En revanche, si vous souhaitez héberger un serveur de jeu, vous devrez obligatoirement vous orienter vers un serveur de type Dedibox Classic+ Gen2 minimum si vous ne voulez pas souffrir de perturbations en cours de jeu tels que des lags ou des plantages du serveur. Ensuite, en ce qui concernent les gammes supérieures de serveur, c’est en fonction de votre budget. Plus vous pourrez débourser d’argent tous les mois, plus vous pouvez vous prendre un serveur onéreux et donc puissant ! Quoi qu’il en soit, plus le logiciel qui fera tourner votre serveur sera puissant et possédera de slots, plus vous devrez avoir une configuration puissante pour le faire tourner.

Bien évidemment, il existe des serveurs beaucoup plus onéreux que je n’ai pas jugé utile d’inclure dans ce type de dédié car de mon point de vue ils ne sont pas destiné à une usage personnel, à moins que vous n’ayez une grosse fortune, un mécène ou que la publicité vous rapporte suffisamment pour couvrir les frais !

Cas particulier : le serveur Minecraft. En effet, Minecraft avec quelques mods et une grande est relativement gourmand au niveau des ressources en particulier la mémoire vive. Par conséquent, il sera probablement plus rentable de vous orienter vers un serveur fourni par un provider tel que NitroServ, SmallMine, OMGServ ou encore VeryGames qui seront bien plus attractifs au niveau tarif qu’un serveur dédié « maison » à niveau de prestations égales (live map, joueurs illimités, taille de map illimité…).

Pour terminer, il est important de regarder la tolérance de panne. En effet, le serveur de type 1 ne possédera pas de disque dur en RAID ce qui engendrera une perte des données en cas de crash de l’un des deux disques. D’autre part, il est également primordial de penser à la sauvegarde. Ce n’est pas parce que vous louez un serveur, que les données qui y sont hébergées sont à l’abri. En cas de piratage, de mauvaise manipulation, de panne matériel ou de plantage du système d’exploitation, il est indispensable d’avoir une sauvegarde des données importantes quelque part. Sachez par exemple qu’Online mets à disposition gratuitement un espace de sauvegarde de 10Go (extensible à 200Go moyennant finances) pour toute souscription à un serveur dédié ce qui peut être un point déterminant dans le choix de votre dédié. Si l’hébergeur que vous avez choisi ne propose pas ce service gratuitement, il est probable qu’il le propose de façon payante, si ce n’est pas non plus le cas, il faudra envisager une solution de sauvegarde alternative (2ème serveur dédié à la sauvegarde du premier, téléchargement quotidien de vos sauvegardes…).

Voilà, on a fait le tour des différents points à considérer. Pour ma part, à l’heure où j’écris ces lignes, mes noms de domaines sont pour le moment enregistrés chez OVH et mon serveur dédié vous l’aurez compris est hébergé par Online. Pourquoi une séparation du fournisseur de service ? Tout simplement parce que j’ai commencé avec des hébergements mutualisés chez OVH jusqu’à ce que je me rende compte qu’un dédié me couterait moins cher que l’ensemble de mes mutualisés. A partir de ce jour là, j’ai décidé de passer sur un dédié et je suis depuis janvier 2011 un client satisfait d’Online. Je publierais d’ailleurs probablement un feedback de 3 années passées chez eux dans les semaines qui viennent.

En espérant que cet article pourra vous orienter dans le choix de votre futur serveur dédié, à bientôt pour la suite !

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Après avoir mis mon NAS/HTPC en test pendant 2 semaines, je me suis enfin décidé à le configurer aux petits oignons et à le mettre en pré-production en attendant de commander les disques. Je vous détaille donc aujourd’hui le choix du système d’exploitation et les différents réglages que je lui ai appliqué…

Résumé de mes articles sur le sujet :

1. A la recherche de mon futur NAS

2. Mon NAS : Cahier des charges

3. Mon NAS/HTPC : Choix matériels

4. Mon NAS/HTPC : Montage et premiers tests

5. Mon NAS/HTPC : Configuration du système

Bonus : Choisir son serveur NAS

 

Conformément à ce que j’avais commencer à indiquer dans l’article précédent, je me suis orienté vers un Windows 8 Pro. En effet, après un mois de test, il s’est avéré que le dernier système d’exploitation de la firme de Redmond soit assez stable et assez peu gourmand en ressources ce qui est un vrai changement. De plus, la possibilité d’utiliser RDP pour l’administration à distance et les différentes commandes système avancées sont un réel plus qui me faciliterons la vie lors de la maintenance.

Je n’ai finalement pas pris le temps de tester avec une distribution Ubuntu pour voir ce que cela pouvait donner mais si quelqu’un a fait un article dessus, qu’il me le signale que je l’ajoute à l’article ! D’autre part, pour ceux qui voudraient tenter l’aventure, sachez qu’il est possible d’installer le système d’exploitation embarqué sur les NAS Synology : le DSM 4.2. Pour cela, je vous invite à vous rendre sur le site suivante : http://astrolabo.fr/?p=6179

 

1) Installation du système d’exploitation :

J’ai fais une installation basique de l’OS en partageant le disque de 500Go en 2 partitions de 250Go. Ce choix de partitionnement permet d’avoir suffisamment d’espace pour le système d’exploitation et également une seconde partition pour y stocker des fichiers tels que les drivers, les fichiers de configuration ou encore les différents fichiers (pochettes d’albums, de DVDs, etc…) d’XBMC. 

Infos système Windows 8

Pour la gestion des comptes utilisateurs, la grosse nouveauté de Windows 8 c’est de pouvoir s’y connecter en utilisant un compte « Microsoft », en gros une adresse hotmail, outlook, msn, etc… L’intérêt, c’est de pouvoir retrouver sa configuration lorsque l’on se promène d’un poste à un autre. Dans mon cas, l’intérêt de ce mode de connexion est nul, par conséquent je me suis orienté vers un compte « Classique ». L’avantage dans notre cas du compte local, c’est d’une part la possibilité d’utiliser la connexion RDP (via la connexion bureau à distance) et d’autre part de pouvoir avoir 2 comptes : un utilisateur et un administrateur. Pourquoi 2 comptes ? Tout d’abord, XBMC n’a pas besoin de droits administrateurs pour fonctionner et nous permettre de lire des vidéos. D’autre part, le NAS/HTPC est destiné à rester allumer H24, je ne serais pas tout le temps chez moi (je bosse de temps en temps quand même) et si quelqu’un d’autre souhaite y jeter un oeil, je ne risque pas de retrouver toutes sortes de logiciels installés alors que je ne l’avais pas décidé. D’autre part, cela me permet également d’affiner les réglages des différents services afin de ne donner par exemple que les droits en lecture sur certaines parties du serveur, mais nous y reviendrons plus tard.

 Comptes utilisateurs

Une fois l’installation terminée, j’ai installé tous les drivers pour mon matériel et également un antivirus, Kaspersky dont il me restait une licence sur mon contrat 5 postes. L’installation de base est terminée, nous pouvons maintenant passer à toute la partie configuration.

 

2) Configuration du système d’exploitation :

Dans cette partie, je vais aborder toute la partie configuration de l’OS, c’est à dire la configuration de l’espace de stockage (provisoire car je n’ai pas encore acheté les disques finaux), des comptes utilisateurs et administrateurs et du FTP.

a) L’espace de stockage :

L’espace de stockage est un des points crucial de notre installation, c’est pourquoi il est très important de bien définir ses besoins lors de la rédaction du cahier des charges. Dans mon cas, j’ai choisi le RAID5 afin d’avoir à la fois de la redondance et un maximum d’espace de stockage utile. Nous allons voir ici les notions de pools de stockage et d’espaces de stockage qui, quand on ne connait pas bien, sont un peu déroutantes, pour toute question, laissez moi un commentaire et j’essaierai de vous éclairer (si il y a beaucoup de demande je ferais un tutoriel la dessus).

Pour gérer l’espace de stockage, rendez vous dans le panneau de configuration et choisissez l’option « Espaces de stockage » :

 Configuration du stockage

 

Choisissez l’option « Créer un nouveau pool et un nouvel espace de stockage » dans la fenêtre qui vient de s’afficher :

 Configuration du stockage

 

Vous arrivez maintenant sur une fenêtre qui vous propose de sélection l’ensemble des disques que vous souhaitez inclure à votre Pool de stockage. La capacité totale du pool de stockage est l’addition des capacités respectives de chacun des disques que vous allez lui attribuer (si vous lui attribuez 2 disques de 2To et 1 de 3To, sa capacité sera de 7To). Vous pouvez utiliser des disques de capacités différentes si vous le désirez, cela ne pose aucun problème.

 Création d'un pool de stockage

 

 

Sélectionnez les disques que vous voulez intégrer à votre pool, cliquez sur « Créer un pool » et patientez pendant sa création. L’utilitaire vous propose maintenant de créer un espace de stockage au sein de votre pool. Nous allons donc créer un espace de stockage qui va occuper la totalité du pool :

 

Vous pouvez le nommer, lui attribuer une lettre de votre choix, sélectionner le type de résilience et sa taille. Je ne vais expliquer que le choix du type de résilience, car le reste coule de source. Nous allons choisir la résilience de type « Parité » qui équivaut au RAID5. Nous allons alors être amputé d’environ 30% de notre pool de stockage pour le calcul de parité mais nous aurons alors de la redondance avec une perte minimale d’espace (pour rappel : miroir double > 50% de la capacité totale en mois, miroir triple > près de 70% en moins !) :

 Miroir Double  Miroir Triple Parité 
     

 

Cliquez sur « Créer un espace de stockage » et patientez jusqu’à la fin du processus. Notre espace de stockage est maintenant créé, pour contrôler le bon déroulement du processus, un rapide coup d’oeil sur l’explorateur Windows suffit :

 Vérification de la création d'un espace de stockage

 

Passons maintenant à la configuration des comptes utilisateurs…

 

b) Les comptes utilisateurs :

Comme je l’ai indiqué au début de l’article, j’ai créé 2 comptes avec mot de passe. Nous allons maintenant configurer l’ensemble afin que lors d’un redémarrage du NAS/HTPC, il se reconnecte automatiquement avec le bon utilisateur.

Faites un « Windows +R » et saisissez la commande suivante :

control userpasswords2

 Commande d'accès à la gestion des utilisateurs

 

Décochez l’option « Les utilisateurs doivent entrer un nom d’utilisateur et un mot de passe pour utiliser cet ordinateur », cliquez su « Appliquer » et saisissez l’identifiant et le mot de passe de votre compte utilisateur (celui qui n’a pas de droit administrateur) avant de valider.

Gestion des comptes utilisateurs

Saisie des identifiants

 

La partie comptes utilisateurs est finie, lors du prochain redémarrage, Windows ouvrira directement la session de votre utilisateur standard. Passons aux options d’alimentation.

 

c) La gestion de l’alimentation :

Nous sommes actuellement en train de monter un NAS/HTPC. Le HTPC peut être éteint (ou mis en veille) et rallumé à la demande alors qu’un NAS doit être accessible à tout moment. Par conséquent, c’est sur ce principe que nous allons baser la configuration de l’alimentation. Cette partie de la configuration est à réaliser avec le compe « utilisateur » donc déconnectez le compte « Admin » et reconnectez vous avez le compte « utilisateur ».

Dans le panneau de configuration, ouvrez la « Options d’alimentation » et configurez comme ceci :

 Options d'alimentation

 

Certains diront que ça va consommer à mort vu qu’on est sur une base de PC desktop mais les photos parlent d’elles mêmes (5 disques dur installés et branchés à l’intérieur). 

Consommation au repos Consommation en activité
Consommation au repos Consommation en activité

 

La plupart du temps, lorsque que le NAS/HTPC est au repos, il ne consomme que 30w (dans la configuration actuelle) et le double lorsque l’on le sollicite (transfert FTP, lecture de vidéo…) donc pas non plus énormément et à peine le double « en charge ». Passons à la mise en place du FTP !

 

3) Mise en place du FTP :

La mise en place du FTP est assez simple lorsque l’on sait comment le paramétrer, mais il faut utiliser le compte « administrateur » pour effectuer l’ensemble de ces modifications.

Ouvrez le champ « Exécuter » avec un « Windows + R » et entrez la commande suivante :

appwiz.cpl

Installation du FTP

 

Cela va ouvrir la fonctionnalité « Ajout / Suppression de programmes », sélectionnez alors « Activer ou désactiver des fonctionnalités Windows » :

Installation du FTP

 

Ensuite, cochez les fonctionnalités « Internet Information Services (IIS) » en prenant soin de vérifier que le « Service FTP » et la « Console de gestion IIS » sont bien cochés :

Installation du FTP

 

Validez et patientez pendant l’installation des nouvelles fonctionnalités, l’ordinateur va devoir redémarrer. Attention, compte tenu de la configuration effectuée sur les comptes, il va redémarrer avec le compte utilisateur. Déconnectez vous et reconnectez vous avec le compte administrateur pour terminer la configuration du FTP.

 

4) Configuration du FTP :

On approche de la fin du tutoriel avec la configuration du FTP. Sur la page d’accueil de Windows 8, vous pouvez voir que l’icone du gestionnaire IIS est apparue, cliquez dessus : 

Icone Gestionnaire IIS

 

L’interface du gestionnaire est ouverte, je vous invite à faire un clic droit sur le site d’exemple et le supprimer. L’interface devrait ressembler à ça :

 

Je ne vais pas détailler l’ensemble des configurations, je mets les screenshots des différentes zones à configurer, je détaillerais plus dans la vidéo qui vient. Les configurations portent sur les options suivantes :

 

Authentification FTP : 

Authentification FTP

 

Exploration des répertoires FTP : 

Exploration des répertoires FTP

 

Filtrage des demandes FTP : On ne touche rien

Journalisation FTP :

Journalisation FTP

 

Messages FTP : On ne touche rien

Paramètres SSL FTP : On ne touche rien

Prise en charge du pare-feu FTP : On ne touche rien

Règles d’autorisation FTP :

 Règles d'autorisation FTP

Restrictions de tentatives de connexion FTP : On ne touche rien

Restrictions liées au domaine et à l’adresse IP FTP : 

Restrictions liées au domaine et a l'adresse IP FTP

 

Maintenant que la configuration de base est faite, il ne nous reste plus qu’à créer notre FTP !

Cliquez droit sur le répertoire « Sites » et ensuite sur « Ajouter un site FTP » : 

Créer site FTP

 

Sur la fenêtre qui s’affiche, indiquez un nom et un chemin d’accès physique. Ce chemin défini la racine de votre FTP et cela peut être un disque dur (ou espace de stockage précédemment créé) entier ou juste un répertoire situé sur cet espace de stockage. Pour ma part, j’ai sélectionné un disque entier : 

Créer site FTP

 

Sur la page suivante, ne touchez pas à la configuration IP, nous n’avons qu’une carte réseau donc le FTP choisira automatiquement la bonne. En revanche, si vous avez 2 cartes réseaux et que vous utilisez les deux (une pour les flux vidéos et une pour les transferts FTP par exemple), il sera judicieux d’indiquer quelle adresse (carte) il doit utiliser. Laissez ensuite cocher « Démarrer automatiquement le site FTP » et sélectionnez l’option « Pas de SSL » : 

Créer site FTP

 

Pour l’authentification, cochez l’option « De base » et cliquez sur terminer. Vous pouvez voir que nous n’avons pas défini d’autorisation particulière car cette configuration a été réalisée précédemment : 

Créer site FTP

 

Créer site FTP

 

Une fois que vous aurez valider, sur un autre PC de votre réseau local, lancez votre logiciel FTP favoris et testez une connexion vers votre serveur. La connexion devrait s’établir sans problème, votre serveur FTP est alors prêt à fonctionner : 

Créer site FTP

 

Ce tutoriel est à présent terminé, une vidéo complète est en cours de montage et sera ajoutée dans les jours qui viennent.

Prochaine étape : la configuration d’XBMC !

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Seulement 3 jours après ma commande, j’accuse livraison de tout le matériel nécessaire pour monter mon HTPC/NAS… Voici ce qu’il en est et les premiers tests !

Résumé de mes articles sur le sujet :

1. A la recherche de mon futur NAS

2. Mon NAS : Cahier des charges

3. Mon NAS/HTPC : Choix matériels

4. Mon NAS/HTPC : Montage et premiers tests

5. Mon NAS/HTPC : Configuration du système

Bonus : Choisir son serveur NAS

 

Rappel de la configuration commandée :

– Boitier : Lian-Li PC-C60 Gris

– Processeur : AMD – A6 – 5400K Black Edition (3.6GHz)

– Carte mère : ASRock FM2A85X Extreme 4 (ATX)

– Mémoire vive : G.Skill NS Series 4Go DDR3 PC3-12800

– Disque dur : Seagate Momentus 5400.6 500Go

– Alimentation : Corsair CX430M 80PLUS

 

1) Déballage et montage :

J’ai passé commande de l’ensemble des pièces sur @LDLC donc pas de surprise au niveau du colis, c’est nickel. J’ouvre sans attendre le carton (le boitier est un colis à lui tout seul) contenant tous les composants et je découvre donc les différentes boites des différentes pièces.

{rokbox}ressources/nas/pieces.jpg{/rokbox}

Le boitier tout aluminium est un poids plume, ce qui m’a vraiment surpris lorsque je l’ai sorti du carton. D’une finition impeccable (vu le prix c’est un minimum), l’alu brossé est juste magnifique et l’ensemble des ouvertures/ports/baies externes sont très bien intégrés et ne jurent pas avec le reste.

{rokbox}ressources/nas/boitier.jpg{/rokbox}

L’intérieur est très bien pensé. On retrouve nos 2 racks modulables pouvant accueillir chacun 3 disques de 3.5 pouces et 1 de 2.5 et un rack pour les lecteurs 5.25 pouces. Bien sûr l’ensemble est démontable facilement mais uniquement avec un tournevis, pas de montage sans vis c’est dommage mais cela évite aussi les éventuelles vibrations. 

{rokbox}ressources/nas/boitierinterieur.jpg{/rokbox}

Je ne vais pas vous faire une description détaillée du reste des composants car ils se ressemblent tous plus ou moins. Le montage s’est passé sans accro, la place dans le boitier est largement suffisante pour installer la carte mère au format ATX (après un démontage complet des 3 racks) avec une alimentation de taille standard. L’espace à l’intérieur du boitier est largement suffisante au niveau du processeur pour ceux qui voudraient changer le système de refroidissement vendu de base.

{rokbox}ressources/nas/interieurmonte.jpg{/rokbox}

La machine est montée, passons maintenant à l’allumage et à la première installation de l’OS provisoire (je ne me suis pas encore totalement décidé sur le système d’exploitation final).

Pour plus de photos, voir tout en bas de cet article !

 

2) Installation et premiers tests de performances :

 J’appuie sur le bouton, je vois les lumières s’allumer, ça y est c’est parti ! Mais !? C’est quoi cette turbine ? Le bruit s’atténue un peu après la passage du BIOS, mais c’est toujours bien présent. Après une rapide investigation, si j’arrête le ventilo d’origine du processeur, c’est un silence quasi total, je verrais donc pour remplacer le ventirad par une solution plus silencieuse (et performante ?).

Pour le premier OS en test, j’installe donc un Windows 8 Pro. J’en entends déjà rigoler sur le choix de l’OS mais pour l’usage que je vais en avoir, ce choix n’est pas si dénué de sens… En effet, la gestion de l’espace de stockage sous Windows 8 est un pur bonheur et je vous ferais un petit article là dessus. De plus, si c’est l’absence de menu « démarrer » qui pourrait rebuter, pour une NAS/HTPC quelle utilité a-t-il ? L’installation est assez rapide sur le disque Seagate qui se révèle très silencieux, conformément aux différents commentaires sur le site du revendeur.

Je ne prends pas énormément de temps pour la configuration, le but est de tester la stabilité de l’OS avec un XBMC, donc j’installe les quelques drivers nécessaires et un XBMC de base. Après un paramétrage rapide du logiciel, j’ai laissé la bécane tourner pendant 24h en lançant de temps en temps un film et en navigant dans les menus. La mémoire utilisée n’est jamais montée à plus de 1.3Go / 4Go !

Les performances après quelques jours de fonctionnement en mode normal (vidéo + météo le matin et vidéo + tests de configuration le soir) :

Performances

De plus, la configuration matérielle du NAS/HTPC a extrêmement bien encaissé la lecture de gros fichiers HD avec son processeur graphique intégré à la carte mère et au CPU donc jusque là tout se passe comme prévu ! Si ce n’est le bruit du processeur bien évidemment…

Les premiers tests sont donc très prometteurs avec un Windows 8 Pro, passons maintenant à la revue des différents OS envisageables.

 

3) Les différentes possibilités de systèmes d’exploitations :

a) Windows 8 :

Système assez peu gourmand en ressources systèmes. Outils de gestion du stockage adapté à nos besoins et notre utilisation. Tous les outils sont intégrés et disponibles de base sans surcouche supplémentaire (FTP/WEB/STOCKAGE…). Interface agréable pour un HTPC.

b) Windows Serveur 2012 :

Comme Windows 8 mais beaucoup d’autres fonctionnalités supplémentaires qui nous ne seront pas vraiment utiles pour l’utilisation que nous souhaitons en faire.

c) Windows 7 :

Inutile de présenter l’OS, il ne dispose malheureusement pas de la même gestion de stockage que 2012 Server et Windows 8.

d) Windows Home Server 2011 :

Basé sur un Windows Server 2008 R2, c’est une distribution serveur orientée grand public avec une interface et une gestion simplifiée.

e) FreeNAS :

Distribution Linux orientée 100% NAS, lui ajouter les fonctionnalités qui nous intéressent risque d’être compliqué voir impossible. Distribution parfaite pour ceux qui ne souhaitent monter qu’un NAS !

f) Ubuntu :

Distribution qui semble très bien fonctionner avec XBMC, parfait pour ceux qui souhaitent réduire les coût en ne dépensant pas d’argent dans une licence système. Seul problème qui pourrait éventuellement se poser : la compatibilité matérielle.

 

Maintenant que la revue des différents OS est faite, il ne me reste plus qu’à passer ceux retenu au banc d’essai pour rendre un verdict dans les prochaines semaines ! A très bientôt pour un nouvel épisode.

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Bonsoir à tous, un petit article avant de rattaquer une nouvelle semaine pour vous parler d’une petite astuce qui permet d’empêcher les lags avec VLC quand vous souhaitez lire des .mkv volumineux sur un PC doté d’une faible puissance…

C’est quand ma copine a voulu regarder un film sur son mini PC portable (peu de puissance et de ressources disponibles donc) que le problème est apparu. Le film saccadais comme pas possible, il était donc impossible de le regarder dans de bonnes conditions. Après quelques recherches, j’ai fini par trouver la solution. L’astuce est toute simple et devrait convenir à toutes les machines de faibles puissances rencontrant des soucis de lags. Pour résoudre le problème, il suffit de décocher une option dans les réglages du logiciel et voici comment procéder :

Dans le menu « Outils », cliquer sur « Préférences » puis aller à la rubrique « Lecture et Codecs ». Décocher ensuite l’option « Précharger les fichiers MKV qui sont dans le même dossier » et enfin enregistrer.

{rokbox}ressources/vlc-prechargermkv.jpg{/rokbox}

La lecture des .mkv devrait à nouveau avoir retrouvé sa fluidité d’antan !

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Aujourd’hui, je vais vous présenter FalconPro, un client Twitter qui a réussi à me faire oublier l’excellent TweetBot d’iOS ! Et comme un bonheur ne vient jamais seul, vous aurez un test 2 en 1 : smartphone ET tablette !

Utilisant énormément Twitter sur smartphone et maintenant sur tablette, j’ai longtemps cherché un client Twitter se rapprochant au maximum de TweetBot pour iOS, laissé sur le bas-côté lors de mon abandon de tout matériel estampillé Apple. Après plusieurs mois de recherche et de tests de diverses applications (Tweetline, Plume, Slices, Carbon, Tweetcaster…), j’ai enfin trouvé mon bonheur auprès de FalconPro.

L’interface est sobre, dans les tons blancs/gris clair ou bien en nuances de gris foncé selon vos préférences, pas de fioritures graphiques ce qui permet d’avoir une application vraiment très fluide en toutes circonstances.

{rokbox}ressources/falconpro/falcon-greydesign.png{/rokbox} – {rokbox}ressources/falconpro/falcon-whitedesign.png{/rokbox}

 

1) L’application sur Smartphone

La présentation sur smartphone est plutôt sympa avec une timeline très claire au centre épaulée de chaque côté par un menu et tout en haut de 5 touches d’accès rapide au menu principal, à la timeline, les mentions, les messages privés et la rédaction d’un nouveau tweet.

{rokbox}ressources/falconpro/falcon-centre.png{/rokbox}

A gauche le profil, accessible par un slide vers la droite, avec un résumé ultra succinct de notre profil (PP, Pseudo, Nom du Compte, Suiveurs et Suivis) et les liens d’accès rapides vers la Timeline, les Mentions, les DM, les Retweets, les Favoris, la Recherche et le Panneau de configuration. Une simple pression sur l’un d’entre ouvre la fonctionnalité choisie en lieu et place de la timeline quasi instantanément. Fluidité je vous ai dit !

{rokbox}ressources/falconpro/falcon-gauche.png{/rokbox}

Le menu de droite, accessible par un slide vers la gauche, vous pourrez retrouver vos listes, vos utilisateurs favoris, les recherches sauvegardées et pour terminer les tendances mondiales et locales. Encore une fois, une pression donne un accès immédiat à l’information désirée. Très rapide et pratique pour accéder à toutes les fonctions principales en quelques secondes !

 {rokbox}ressources/falconpro/falcon-droite.png{/rokbox}

Je ne m’attarde pas sur les différentes possibilités tout de suite, j’y reviendrai un peu plus bas.

 

2) L’application sur Tablette

L’application sur tablette est similaire au niveau du design général mais l’organisation diffère quelque peu du fait de la taille de l’écran beaucoup plus importante que sur un smartphone. Nous retrouvons toujours les menus décris précédemment à gauche et droite.

{rokbox}ressources/falconpro/falcon-colonnegauche.png{/rokbox} – {rokbox}ressources/falconpro/falcon-greydesign.png{/rokbox} – {rokbox}ressources/falconpro/falcon-colonnedroite.png{/rokbox}

En revanche, l’affichage central est légèrement différent. En effet, aussi bien en mode portrait qu’en mode paysage, le premier tiers (à gauche) de l’écran est occupé par la colonne choisie (timeline, mentions, DMs, Followers, etc…) et les 2 tiers restants permettent d’afficher ce que l’on souhaite.

{rokbox}ressources/falconpro/falcon-conversation.png{/rokbox} – {rokbox}ressources/falconpro/falcon-dm.png{/rokbox}

Que ce soit la conversation en cours, un profil, le contenu cible d’un lien posté dans un tweet grâce à un navigateur intégré (page web, photo, etc..), on peut tout y afficher ou presque ! Et CA, c’est très bon !

{rokbox}ressources/falconpro/falcon-navigateurintegre.png{/rokbox}

 

3) Les différentes fonctionnalités

L’accès aux différentes fonctionnalités est d’une simplicité à toute épreuve. Une simple pression sur l’élément de notre choix nous permet d’accéder à des informations plus détaillées sur cet élément. Exemple, une pression sur la PP d’un twittos donne accès à son profil. Une pression sur un tweet permet d’afficher la conversation liée à ce tweet ou la photo/page internet dont le lien figure dans ce tweet (via un navigateur intégré). Pas besoin donc de quitter l’application pour visionner un contenu externe.

 {rokbox}ressources/falconpro/falcon-greydesign.png{/rokbox}

D’autre part, une pression longue sur un tweet permet d’afficher en dessous un menu permettant de répondre, retweeter, mettre en favoris, partager et quelques autres fonctionnalités.

Falcon

Petit bémol au niveau des DMs. Pas de classement par contact, les DMs sont tous dans un dossier, classés par ordre chronologique décroissant ce qui est dommage car un classement des DMs par contact aurait permis un suivi des conversations avec nos différents contacts (peut être l’objet d’une mise à jour future)…

{rokbox}ressources/falconpro/falcon-dmenvrac.png{/rokbox}

Deuxième ombre au tableau : l’absence du support multi-compte pour le moment. Oui oui, j’ai bien dis pour le moment car il semblerait que cette fonction soit dans la feuille de route du développeur donc avec un peu de patience, nous devrions voir débarquer cette possibilité prochainement !

La présence du tweetmarker (comme sur Tweetbot) est un plaisir, pouvoir reprendre la lecture de votre timeline là où nous l’avions laissé est vraiment très pratique et permet un gain de temps non négligeable. Au niveau notifications, nous avons droit ici à la panoplie complète, chacune d’entre elle étant désactivable séparément ce qui permet de vraiment sélectionner quelles sont les notifications que nous souhaitons recevoir.

{rokbox}ressources/falconpro/falcon-config1.png{/rokbox}

Enfin, vous retrouverez toutes les petites configurations habituelles telles que le choix de l’hébergeur d’images, le délai de rafraîchissement automatique, le design, les formats horaires, etc… présentes sur la plupart des autres clients Twitter.

{rokbox}ressources/falconpro/falcon-config.png{/rokbox}

Le petit plus : l’existence d’un widget officiel (gratuit).

{rokbox}ressources/falconpro/falcon-widget.png{/rokbox}

 

 

4) Conclusion

Je conclurais par le point qui va fâcher certains : le prix. En effet, FalconPro n’est pas gratuit malheureusement et est affiché sur le GooglePlay au prix exorbitant (humour) de 1€. Vous l’aurez compris, j’ai été plus que séduit par cette application qui malgré quelques petits noirs tels que l’absence de multi-compte ou encore l’organisation perfectible des DMs, a quand même d’énormes atouts par rapport à bon nombre de ses concurrents qui souffrent soit de problèmes de lenteur (applications mal optimisées) soit de lacunes au niveau fonctionnalités/ergonomie. Si vous n’avez pas encore trouvé votre bonheur en terme de client Twitter, je pense que FalconPro devrait satisfaire à tous vos besoins.

Pour en savoir plus : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.jv.falcon.pro

 

Si par malheur ce test ne vous a pas convaincu ou si tout simplement cette application ne répond pas à vos attentes, je vous invite à essayer l’un des clients Twitter suivant :

 

Tweetline (mon deuxième choix)https://play.google.com/store/apps/details?id=com.happydroid.tweetline

Quelques crash sur mon Samsung Galaxy S3 mais rien de bien méchant, interface très épurée, développeur amateur sur-motivé, bonne ergonomie et de la fluidité.

 

Plume : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.levelup.touiteur

Supporte le multi-compte, mais application plutôt lourde.

 

Tweetcaster : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.handmark.tweetcaster

Design à revoir.

 

Slices : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.onelouder.tweetvision

Supporte le multi-compte, mais application plutôt lourde.

 

Carbon : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.dotsandlines.carbon

Interface innovante et originale, bonne ergonomie.

 

Tweetdeck : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.thedeck.android.app

 

Twitter : https://play.google.com/store/apps/details?id=com.twitter.android

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Un NAS (Network Attached Storage) est un serveur de fichiers autonome, relié à un réseau dont la principale fonction est le stockage de données accessibles aux clients connectés sur le même réseau. De nombreux modèles existent et ce guide devrait vous aider à faire votre choix.

Avant de s’orienter vers un modèle en particulier, il faut définir les différentes caractéristiques que l’on recherche sur son NAS.

1 – L’usage :

Commençons par l’usage. Serveur de fichiers ? De sauvegarde ? DLNA ? D’applications ? Hébergement web ? A l’heure actuelle, les différents modèles de serveurs NAS Grand Public disponibles sur le marché proposent des fonctionnalités plus ou moins avancées, pour un prix qui peut varier énormément entre chaque modèle.

En règle générale, la plupart des NAS sont clé en main et proposent de base les fonctionnalités suivantes :

– OS dédié préinstallé pour la gestion du NAS

– Serveur de fichiers

– DLNA (partage de médias audio, photos, vidéos sur les appareils du réseau compatibles)

– FTP

 

Schéma réseau NAS

 

Largement suffisant pour la plupart des utilisateurs, ces fonctionnalités vous permettront de sauvegarder et partager vos fichiers sur le réseau, créer un espace FTP accessible depuis l’Internet ou encore de visionner vos contenus médias (photos, vidéos…) sur votre TV ou tout autre accessoire de votre réseau compatible DLNA (tablette, smartphone, PC…).

Si vous souhaitez pouvoir profiter de certaines applications complémentaires (serveur web, streaming, mail, P2P…), il faudra alors monter en gamme de produit afin d’avoir une interface plus complète vous donnant accès à toutes ces fonctions. Sachez que certaines gammes proposent même de faire office de serveur DHCP, DNS…

Cas particulier : besoin d’une application particulière ou envie d’installer, de configurer et de personnaliser votre NAS de A à Z ? Je vous proposerais plus bas une solution alternative aux solutions clé en main.

A cette étape vous devrez avoir défini : quel(s) usage(s) pour le futur serveur NAS ? Solution clé en main ou non ?

  

2 – La sécurité :

Nous savons l’usage que nous allons faire de notre NAS ce qui nous amène directement à sa sécurité. La sécurité d’un NAS est située à 2 niveaux, matériels et logiciels, qui convergent vers un seul but : la sécurité des données stockées.

a) Niveau matériel :

La sécurité matérielle réside principalement dans l’utilisation de plusieurs disques fonctionnant en RAID, assurant ainsi une redondance de l’information.

Le principal avantage de l’usage de disques en RAID réside dans le fait que si l’un d’entre eux est victime d’une défaillance, il sera toujours possible de régénérer les données sans perte.

L’inconvénient de cette solution : la « perte » d’espace de stockage. En effet, dans le cadre d’un RAID1, l’espace de stockage utile est égal à la moitié de l’espace de stockage total (soit une amputation de 50% !) et dans le cadre d’un RAID5, l’espace de stockage est égal à : (nombre de disques utilisés moins 1) x la capacité du plus petit disque (soit une « perte » d’espace de stockage équivalente à 1 disque).

b) Niveau logiciel :

La sécurité logicielle est principalement basée sur un antivirus directement intégré à l’OS du NAS, garantissant ainsi vos données contre les attaques virales et les fichiers infectés. Cette fonctionnalité n’est malheureusement pas présente sur tous les modèles de NAS.

A cette étape vous devrez avoir choisi : le niveau de sécurité requis (Pas de RAID, RAID1, RAID5, avec ou sans antivirus)

 

3 – La capacité de stockage :

La capacité de stockage nécessaire va conditionner la quantité de disques nécessaires et l’achat d’un certain modèle de boitier. L’évaluation de la capacité de votre futur NAS s’insère donc naturellement après le choix de la sécurité (disques en RAID ou non) puisque suivant le type de RAID choisi, il vous faudra ajuster le nombre de disques nécessaires et par conséquent le nombre de slots du boitier NAS.

Un règle est universelle : plus le boitier aura de slots de disques, plus il coûtera cher. Il faut donc évaluer correctement la quantité de données que l’on va déposer dessus, et anticiper une éventuelle augmentation de cette quantité.

A cette étape vous devrez avoir évalué : la quantité de données totale nécessaire en téraoctets.

 

4 – Différentes marques et différents modèles :

Depuis quelques temps, les marques de NAS fleurissent à vitesse grand V car l’engouement du grand public et des TPE/PME pour le stockage de fichiers « homemade » va crescendo. Synology, Qnap, Iomega, Netgear, LaCie, D-Link… Les marques sont légions, proposant chacune une interface différente ainsi que des prestations techniques différentes. Comment choisir le modèle qui vous conviendra ? C’est tout simplement une histoire de goûts. Certains le mettront dans leur salon et souhaiteront un design sympa, d’autres chercheront les performances ou encore les fonctionnalités de l’OS… Bref, le seul moyen de faire votre choix est de vous jeter sur www.google.fr et de chercher des tests et des comparatifs. Vous trouverez des screenshots vous montrant l’interface de gestion des différents NAS et des commentaires d’acheteurs sur les sites d’e-commerce qui permettront d’aiguiller votre choix.

Pour ceux qui n’ont pas peur de mettre les mains dans le cambouis, sachez qu’il existe une solution alternative. Si jamais monter le NAS vous même (installer les disques, la mémoire, quelques accessoires…) et faire une installation maison sous Linux ou Windows Serveur ne vous effraie pas, vous pouvez toujours vous orienter vers un NAS Homemade. En effet, HP vend le mini serveur Proliant N40L dont les caractéristiques sont les suivantes :

Processeur : AMD Turion II Neo N40L / 1.5GHz

Mémoire vive : 2Go DDR3 PC3-10600 ECC (extensible à 8Go)

Stockage : Disque dur SATA 250Go 7200 trs/min (4 à 6 slots supplémentaires)

Contrôleur de stockage : 1xSATA (support du RAID 0 et du RAID 1)

Contrôleur graphique : Intégré avec 128Mo partagé (sortie VGA)

Réseaux : Ethernet Gigabit

Extension/connectivité :

Baies : 1 (total) / 1 (libre) x externe 5.25 x 1/2H ? 4 (total) / 3 (libre) x interne 3.5 LFF

Emplacements : 1 (total) / 1 (libre) x PCIe 2.0 x16 – demi-longueur, extra-plat / 1 (total) / 1 (libre) x PCIe 2.0 x1 – demi-longueur, extra-plat / 2 (total) / 1 (libre) x DIMM 240 broches / 1 (total) / 0 (libre) x CPU

Interfaces : 1 x VGA / 6 x USB 2.0 ( 2 à l’avant, 4 à l’arrière ) / 1 x LAN (Gigabit Ethernet) / 1 x eSATA-300

 

Il est vendu aux alentours de 200€ ce qui plus qu’abordable pour disposer de 4 à 6 slots utiles (soit à l’heure actuelle de 10 à 15Go de stockage en RAID 5 !!!)

Plus d’informations : en français sur maison et domotique / en anglais sur un wiki dédié

 

 

5 – Décision finale :

Voici 3 tableaux récapitulant la capacité utile du NAS en fonction du nombre de slots disponibles et de la taille des disques, afin de mieux comprendre la fluctuation de l’espace de stockage en fonction du type de RAID choisi.

Pas de RAID   RAID 1   RAID 5
  1To 2To 3To

1 Slot

1 2 3
2 Slots 6
3 Slots 9
4 Slots 12 
5 Slots 10  15 
6 Slots 12  18 
 
  1To 2To 3To

1 Slot

X X X
2 Slots 1
3 Slots X X X
4 Slots 2 4 6
5 Slots X X X
6 Slots 3 6 9
 
  1To 2To 3To

1 Slot

X X X
2 Slots X X X
3 Slots 2 4
4 Slots 3 6 9
5 Slots 4 8 12
6 Slots 5 10 15

 

En mettant en relation la quantité de données totale nécessaire (évaluée au point 3) et le type de sécurité (défini au point 2) avec les résultats des tableaux précédents, et en fouinant un peu à la recherche des tests, comparatifs et commentaires sur Internet, choisir son type de NAS est un jeu d’enfant !

Pour l’achat en lui même, libre à vous de vous orienter vers le revendeur le moins cher ou bien chez celui en lequel vous avez confiance en terme de SAV ou de Service client !

Alors vous avez choisi quel modèle ? 

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Quel joueur n’a pas été un jour passablement irrité par des temps de chargement à rallonge ? Des coupures interminables entre 2 changements de zones ? Un PC qui semble pédaler dans la semoule ? Pour peu qu’on ai les moyens de s’en offrir un, le SSD est une solution à tous ces symptômes. Voici un guide qui vous permettra d’assurer une durée de vie maximale et un rendement optimal à votre petit bijou… Suivez le guide !

PLAN

1. MISE A JOUR DU FIRMWARE DU SSD

2. CARTE MERE CONFIGUREE EN AHCI

3. INSTALLATION DE WINDOWS : RECOMMANDATIONS

4. MISE A JOUR DU CHIPSET DE LA CARTE MERE

5. DESACTIVER LA SAUVEGARDE SYSTEME

6. DESACTIVER L’INDEXATION DU DISQUE

7. DESACTIVER LA DEFRAGMENTATION AUTOMATIQUE

8. DESACTIVER LA MEMOIRE VIRTUELLE

9. DESACTIVER LA MISE EN VEILLE PROLONGEE

10. DEPLACER LES FICHIERS TEMPORAIRES

11. CONCLUSION

1. MISE A JOUR DU FIRMWARE DU SSD

Afin de profiter au mieux des performances et évolutions de votre SSD, il est indispensable de mettre à jour le firmware de ce dernier avec la toute dernière version mise à disposition par le fabricant :

– SSD OCZ : http://www.ocztechnology.com/ssd_tools/

– SSD Crucial : http://www.crucial.com/support/firmware.aspx

– SSD Intel : http://downloadcenter.intel.com/Default.aspx?lang=fra

– SSD Corsair : http://forum.corsair.com/v3/forumdisplay.php?f=206

– SSD Samsung : http://www.samsung.com/fr/support/download/supportDownloadMain.do

Télécharger et installer la dernière version de votre firmware.

 

2. CARTE MERE CONFIGUREE EN AHCI (ET NON EN IDE)

Avec les performances élevées et la démocratisation du SATA, la norme IDE tend aujourd’hui à disparaitre. Par conséquent, il est judicieux de passer votre carte mère en AHCI afin de gagner en performances :

  • Ouvrir « regedit » (Menu démarrer > taper « regedit » > valider)
  • Chercher dans l’arborescence :
« HKEY_LOCAL_MACHINE\SYSTEM\CurrentControlSet\Services\msahci »
  • Modifier « Start » de 3 à 0 puis redémarrer l’ordinateur.

ATTENTION : vérifier dans le BIOS que ce réglage est également actif sur votre carte mère.

 

3. INSTALLATION DE WINDOWS : RECOMMANDATION

Afin d’éviter de re-télécharger plusieurs giga-octets de données sur votre SSD après une installation de votre système d’exploitation, il est recommandé d’utiliser un DVD avec SP1 intégré. De cette manière, vous prolongerez la durée de vie de votre SSD. Si vous ne disposez d’une version avec le Service Pack intégré, vous pouvez toujours télécharger le service pack et le conserver sur un dvd pour vous en servir lors de vos réinstallations, cette solution vous évitera également d’écrire de grandes quantités de données sur votre disque.

Service Pack 1 Windows 7 :

Version 64bits : http://download.microsoft.com/download/0/A/F/0AFB5316-3062-494A-AB78-7FB0D4461357/windows6.1-KB976932-X64.exe

Version 32bits : http://download.microsoft.com/download/0/A/F/0AFB5316-3062-494A-AB78-7FB0D4461357/windows6.1-KB976932-X86.exe

 

4. MISE A JOUR DU CHIPSET DE LA CARTE MERE

Quel que soit le chipset que vous possédez, faire les mises à jour de ce dernier est vivement recommandé pour profiter des performances de votre SSD.

Pour Intel :

Pour Marvell, en fonction du système d’exploitation, faire une recherche sur leur site : http://www.marvell.com/support/downloads/search.do

 

5. DESACTIVER LA SAUVEGARDE SYSTEME

Afin de vous permettre de faire machine arrière suite à un souci après une installation ou une mise à jour, Windows sauvegarde automatiquement des points de restauration. Ce processus écrit une grande quantité de données sur le disque par conséquent, désactiver cette option fera gagner capacité et longévité à votre SSD :

  • Cliquer droit sur « Ordinateur » dans le menu démarrer, puis sur « Propriétés ».
  • Ouvrir « Paramètres système avancés ».
  • Sous l’onglet « Protection du système », cliquer sur « Configurer ».
  • Cocher « Désactiver la protection du système ».

 Désactiver la sauvegarde système

 

 

6. DESACTIVER L’INDEXATION DU DISQUE

Vu la rapidité d’accès aux données contenues sur votre SSD, il est recommandé de désactiver l’indexation du disque :

  • Cliquer droit sur le lecteur C dans « Ordinateur », puis sur « Propriétés »
  • Décocher « Autoriser l’indexation du contenu… »

 Désactiver indexation du disque dur

 

 

7. DESACTIVER LA DEFRAGMENTATION AUTOMATIQUE

Défragmenter un SSD ne sert strictement à rien avec les taux d’accès en lecture/écriture actuels, le gain de temps sera insignifiant. Désactiver la défragmentation automatique augmentera la durée de vie de votre disque :

  • Dans « Ordinateur », cliquer droit sur le SSD puis « Propriétés »
  • Dans l’onglet « outils », cliquer « Défragmenter maintenant… »
  • Vérifier que la défragmentation planifiée est bien désactivée

 Désactiver la défragmentation automatique

 

 

8. DESACTIVER LA MEMOIRE VIRTUELLE

Si vous disposez d’au moins 4Go de RAM et que vous n’êtes jamais à court de mémoire vive, désactivez la mémoire virtuelle. En effet, la suppression du fichier « pagefile.sys » libère à lui seul environ 4Go d’espace sur votre SSD :

  • Cliquer droit sur « Ordinateur », puis « Propriétés »
  • Ouvrir « Paramètres système avancés ».
  • Dans « Paramètres système avancés », puis dans la zone performances, cliquez sur « Paramètres »
  • Dans l’onglet « Avancé », cliquer sur  « Modifier »
  • Sélectionner le SSD dans la liste, puis cocher « Aucun fichier d’échange » et cliquer sur définir

 Désactiver la mémoire virtuelle

Si vous craignez malgré tout d’être à court de mémoire et que vous souhaitez disposer d’un fichier d’échange, rien ne vous empêche d’en créer un sur un autre disque. Pour cela, sélectionnez le disque que vous voulez utiliser, cochez « Taille gérée par le système », cliquez sur « définir » et ensuite sur « ok ».

 

 

9. DESACTIVER LA MISE EN VEILLE PROLONGEE

Compte tenu de la vitesse de démarrage de votre machine avec un SSD, la mise en veille prolongée est quelque peu futile.

  • Ouvrir une invite de commande en tant qu’administrateur
  • Entrer la commande suivante :
 powercfg -h off

 Désactiver veille prolongée

 

10. DEPLACER LES FICHIERS TEMPORAIRES

Pour réduire la quantité de données écrites sur le disque, vous pouvez également déplacer l’ensemble des fichiers temporaires sur une autre partition. ATTENTION : Avec certains logiciels, cette manipulation peut entraîner des dysfonctionnements ! 

  • Ouvrir les propriétés du Poste de Travail
  • Dans « Paramètres système avancés », ouvrir « Variables d’environnement »
  • Modifier le chemin vers les variables d’environnement TEMP et TMP

Exemple :

D:\Temp

Déplacer fichiers temporaires

 

 

 

11. CONCLUSIONS :

Une fois ces différentes manipulations effectuées, vous devriez observer un gain de rapidité de votre SSD et surtout, sur le long terme, vous allongerez sa durée de vie de façon non négligeable. Il ne vous reste plus qu’à installer vos jeux sur le SSD pour obtenir des performances largement supérieures à un disque dur classique.

Attention : si vous ne pouvez vous offrir un SSD de grande capacité pour pouvoir y installer un grand nombre de jeux, sachez que vous pouvez très bien laisser votre système d’exploitation sur un disque classique mais votre Windows ou Linux ne démarrera pas plus vite, seuls les jeux verront leurs performances impactées (et beaucoup des configurations de ce tutoriel seront alors inutiles).

Par ailleurs, d’autres manipulations peuvent également être entreprises. J’en cite ici à titre d’exemple sans en détailler la mise en oeuvre car elles relèvent des goûts de chacun :

– Déplacer le profil utilisateur sur un autre disque dur (gain de place et de longévité, sécurité des données en cas de crash disque)

– Déplacer la corbeille (gain de place et de longévité)

Il en existe d’autres, je vous laisse le soin de faire chauffer Google !

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Des symboles comme s’il en pleuvait, le Pan European Game Information est une source de confusion pour de nombreuses personnes… Cet articles n’est pas fait pour les hardcore gamer (qui s’en tapent complètement du PEGI) mais plus pour les parents soucieux de ce qu’ils mettent à la disposition de leurs enfants…

Le système de classification des jeux PEGI est divisé en 2 critères :

– l’age minimum adapté au contenu

– le type de contenu présent dans le jeu

Une seule icône d’age sera présente sur la jaquette d’un jeu tandis qu’il peut y avoir plusieurs pictogrammes concernant le type de contenu :

Rayman contre les Lapins Crétins Bioshock 2

La plupart du temps, vous pourrez trouver l’indication d’age minimum recommandé sur l’avant ET l’arrière de la jaquette tandis que les indications de types de contenu ne seront présent qu’à l’arrière du boitier.

Voici les différents pictogrammes qui existent :

Pictogrammes d’age :

3 ans et + 3 ans et plus 16 ans et + 16 ans et plus
7 ans et + 7 ans et plus 18 ans et + 18 ans et plus
12 ans et + 12 ans et plus    

 

 

Pictogrammes de types de contenus :

Sexe Sexe et nudité Jeux de hasard Jeux de Hasard
Violence Violence Drogues Drogues
Discrimination Discrimination Langage grossier Grossièreté
Online Jeu en ligne Peur Peur

 

Une petite vidéo est également visible sur YouTube et montre la classification de façon imagée et explicite pour tous, quel que soit l’age ou le degré d’utilisation des jeux vidéoludiques :

{rokbox title=|Jouez malin ! Vérifiez la PEGI| text=|Jouez malin ! Vérifiez la PEGI| thumb=|ressources/pegi/pegi-youtube.jpg| size=|854 505|}http://www.youtube.com/watch?v=UBoSiojznps{/rokbox}

Et pour tous les possesseurs d’iPhone, n’hésitez pas à télécharger l’application dédiée :

http://itunes.apple.com/fr/app/pegi/id371439512

Sa fonction la plus utile : elle vous permettra d’effectuer des recherches de jeux en fonction de critères PEGI précis, très utile lorsque vous souhaitez offrir un jeu vidéo à quelqu’un.

 

J’espère que cet article vous aura éclairé sur les différents pictogrammes, prenez le temps de bien regarder la classification des jeux que vous achetez à vos enfants, celà pourra leur éviter des cauchemards ou des séances au poste de police ou chez un psychologue…

VISITEZ LE SITE OFFICIEL DE LA PEGI POUR PLUS D’INFORMATIONS

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