Dans le précédent article, je vous parlais des constructeurs présents à la Paris Games Week 2016, il est temps maintenant de vous parler des jeux, car oui, il y en avait des jeux, beaucoup de jeux !

1. Sniper Elite 4 

Je suis passé sur le stand de l’éditeur Rebellion pour tâter un peu de Sniper Elite 4 pendant 15min. Les codes du 3e opus ont été conservés, on retrouve donc les mêmes mécanismes (détection des ennemis à la jumelle, gestion des battements du coeur, killcam parfois très sales…) qui sont la marque de fabrique de cette franchise. Bien qu’encore en cours de développement, le jeu est vraiment très beau, fluide et avec une bonne maniabilité. L’action ne se passe plus en Afrique mais en Italie en 1943, un changement radical de décors qui nous oblige à composer avec la végétation et les habitations.

Sniper Elite 4 à la PGW 2016

A l’issue de la démo, j’ai pu m’entretenir avec Rossie Couke, Marketing & PR Manager chez Rebellion et je lui ai posé quelques questions :

Sniper Elite 3 et 4 se déroulent tous deux pendant la Seconde Guerre Mondiale, avez vous envisagé de changer de période pour un prochain opus et de traiter une guerre plus récente (Guerre du Golfe, Guerre du Vietnam…) ?

Rossie Couke : Actuellement, nous nous concentrons à 100% sur le développement de Sniper Elite 4. Il y a énormément de travail et nous voulons que le jeu soit aussi réussi que possible. Mais nous discutons régulièrement du changement de période pour un prochain opus et cela fait l’objet de gros débats en interne. Nous serons également à l’écoute des joueurs et leur avis pèsera dans la balance lors d’un choix futur.

La démo de Sniper Elite 4 se déroule en Italie. D’autres pays seront ils à l’honneur dans le jeu ?

Rossie Couke : Non, nous avons décidé de nous focaliser sur l’Italie car c’est un pays où il s’est passé énormément de choses pendant la Seconde Guerre Mondiale, notamment en 1943 la période où se déroule l’action du jeu. Il y avait beaucoup de protagonistes comme les Alliés, les fascistes de Mussolini, les partisans, la mafia et cela nous permettait d’explorer beaucoup de pistes pour monter le scénario du jeu et le rendre vraiment intéressant. De plus, c’est un pays aux paysages variés. On y trouve de la forêt, de la montage, des grandes villes, des petits villages de pêcheurs, c’est très varié et l’Italie disposait encore de nombreux villages intacts en 1943, nous donnant ainsi une plus grande marge de manoeuvre pour le level design.

Quand avez vous débuté le développement de Sniper Elite 4 ?

Rossie Couke : Très peu de temps après la sortie de Sniper Elite 3 (NDLR : juillet 2014) car nous voulions prendre notre temps pour développer la suite et sortir un jeu le plus aboutit possible.

Rebellion est le studio qui est à l’origine du jeu Alien versus Predator sorti en 1991. J’ai d’excellent souvenirs sur ce jeu, notamment en LAN et j’aurai aimé savoir si un nouvel opus pourrait être développé par Rebellion ?

Rossie Couke : Nos studios sont encore décorés avec pleins de facehuggers, dernières traces de cette époque car la totalité de l’équipe de développeurs de ces années est partie vers d’autres horizons. Cela reste un excellent souvenir pour l’entreprise qui conserve de bonnes relations avec la Fox qui détient les droits d’exploitation de la licence. Aujourd’hui, un nouveau jeu Alien versus Predator n’est pas à l’ordre du jour pour Rebellion, mais dans le futur tout est possible.

Rossie a été très sympa, disponible et je remercie VPCom pour m’avoir permis de le rencontrer !

 

2. Killing Floor 2

Vous connaissez la série vidéoludique Left 4 Dead ? Et bien c’est quasiment la même chose. Vous êtes 6 joueurs et vous devez vous défendre contre une horde de monstres plus ou moins méchants.

 Killing Floor 2 à la PGW 2016

Nous avons pu tester un niveau complet avec 5 parfaits inconnus et franchement, si tout le monde n’a pas compris le fonctionnement des rounds et surtout du ravitaillement, cela peut vite devenir problématique avec des joueurs qui courent dans tous les sens avec une armée de monstres au cul ! Le jeu sort le 18 novembre et je publierais un test dessus soyez en sûrs !

 

3. Dragon Quest Builders

Mon coup de coeur du salon, Dragon Quest Builders est toujours développé par Square Enix et casse un peu les codes de ses prédécesseurs. On se retrouve dans un univers vraiment sympathique avec un système de jeu un peu à la Minecraft mais complètement scénarisé avec des PNJ qui nous donneront des quêtes à remplir car vous êtes un batisseur légendaire qui doit reconstruire une ville ancestrale et triompher du méchant qui controle le monde. Pour ce faire, il vous faudra casser l’environnement qui vous entoure pour récupérer des matérieu et pouvoir créer d’autres objets, des armes, de la nourriture…

 Dragon Quest Builders Square Enix PSVita PS4

Les graphismes sont plutôt jolis et les 15 petites minutes que j’ai pu passer dessus m’ont donné envie d’en voir plus, beaucoup plus et cela tombe bien, car il est disponible sur Playstation 4 et sur PS Vita ! J’ai donc acheté le jeu en dématérialisé sur la console portable et depuis, j’en suis bien à une bonne vingtaine d’heures de jeu… Le test sera prochainement disponible dans les colonnes du blog !

 

4. Elder Scrolls Legends

Petit jeu qui se fait assez discret jusqu’à présent du coté de chez Bethesda, Elder Scrolls Legends est un jeu à mi-chemin entre Hearthstone et Magic. La première impression est l’univers puisque le studio a conservé les codes graphiques de The Elder Scrolls et les a intégrés à l’interface de son jeu, gardant ainsi une certaine cohérence avec l’ensemble de son univers. 

 http://www.youtube.com/watch?v=w9TA8KDHr98

L’interface de base est un poil plus fouillie que celle proposée par Hearthstone ou bien Magic Duels, mais je suis du genre a préféré les interfaces plus sobres et épurées. Différents modes de jeu sont disponibles, en ligne, hors ligne, seul contre l’IA ou en multijoueur, il y en a pour tous les goûts et toutes les situations. Un mode arène (payant) est également disponible comme sur Hearthstone.

Les decks sont composés de 50 cartes avec maximum 3 exemplaires de chaque carte. Les cartes sont réparties selon 5 caractéristiques : Force, Intelligence, Endurance, Agilité, Volonté. 10 classes de personnages (celles que l’on retrouve dans les jeux comme Skyrim ou Morrowind) se répartissent les 5 caractéristiques en en prenant chacune 2 :

  Agilité Endurance Force Intelligence Volonté
Agilité   Scout Archer Assassin Moine
Endurance     Guerrier Sorcier Mage-lame
Force       Mage de bataille Croisé
Intelligence         Mage
Volonté          

Cette répartition permet de définir la « couleur » de votre deck et par conséquent la dominante des effets qui le composeront. Les sorts basés sur l’intelligence par exemple auront souvent des Atronachs de feu ou de givre dans leur liste, les decks basés sur l’endurance auront plutôt des créatures costaudes pour taper fort sur l’ennemi et il n’y a pas de limite au nombre de coulejurs, si vous voulez un monocolore ou un 5 couleurs, libre à vous ! Vous pouvez créer votre deck automatiquement ou totalement manuellement ou bien utiliser l’un de ceux qui vous sont proposés. Pour enrichir votre collection, vous pourrez soit être patient et engranger des crédits virtuels en jouant, soit mettre la main au portefeuille.

 The Elder Scrolls Legends

Le champ de battaile se divise en 4 zones, 2 pour vous, 2 pour votre adversaire, sachant que lorsque vous invoquez une carte, il faudra choisir entre l’une ou l’autre de vos 2 zones, la carte pouvant ensuite être basculée de l’une à l’autre. L’attaque se fera toujours sur la zone en face de celle de la carte, jamais en diagonale.

La mécanique de jeu est un peu particulière et il faut quelques parties pour apréhender le système de champ de bataille séparé mais je pense qu’avec un peu d’expérience le jeu peut se révèler très stratégique !

Le jeu est d’ors et déjà disponible en version beta sur le launcher Bethesda.

 

5. Ceux que je regrette de n’avoir pas testés

Clairement, les 3 jeux que je regrette de ne pas avoir pu tester sont Dishonored 2, Deadrising 4 et Ghost Recon Wildlands. Pour ce dernier, j’ai clairement esquivé le temps en file d’attente et ce tout a fait volontairement dès que j’ai appris que ce n’était pas un test « hands on » mais simplement regarder 3 mecs nous montrer un peu de gameplay. Désolé, mon temps sur le salon est précieux et si je veux voir un peu de gameplay je vais faire un tour sur YouTube (à noter que ce n’est pas le seul pour qui j’ai fais ça).

Pour Deadrising 4 et Dishonored 2 en revanche, c’est uniquement un manque de temps et une gestion des priorités. La file d’attente n’a presque jamais désemplie et entre passer 3h à attendre de pouvoir mettre la main sur une manette ou employer ce temps à prendre des rendez vous pour des démonstrations ou des interviews, j’ai du faire un choix. Donc oui, je regrette de n’avoir pu tester Deadrising 4 car j’ai saigné les 3 précédents opus et j’ai tellement pris mon pieds que j’attends le 4 avec impatience…

Pour Dishonored 2, j’invoque une raison identique et j’ajouterais même que le jeu sortant cette semaine, l’attente n’est fort heureusement que de courte durée ! 

Ces 3 jeux rejoindront sans aucun doute ma bibliothèque vidéoludique à leur sortie.

 

6. Et tous ces jeux déjà sortis à l’ouverture du salon

Comme chaque année, la Paris Games Week tombe à un moment plus que chargé du calendrier des sorties jeux vidéo et forcément, ça se téléscope sévère… Battlefield 1, Mafia 3, Farming Simulator 2017, Gears of War 4, Civilization 6, Dragon Quest Builders… Autant de titres qui étaient déjà disponibles chez tous les revendeurs lors du coup d’envoi du salon. Avantage ? Inconvénient ? Il y en a surement mais pour ma part cela me permet d’éviter de faire la queue un certain nombre de fois vu que j’ai bien souvent acheté les jeux précédemment cités à leur sortie…

Paris Games Week 2016 : les jeux déjà sortis 

Il y avait également un grand nombre de jeux dont la sortie est très proche de la fin du salon, c’est notamment le cas de Dishonored 2 qui sort le 11 novembre ou de COD Infinity Warfare qui est tout juste sorti. 

La seule façon de changer ce phénomène de « on vous montre des jeux que vous avez déjà chez vous » serait de décaler la Paris Games Week à une période creuse du calendrier, l’été par exemple, mais ces périodes là sont déjà monopolisées par d’autres salons comme la Gamescom ou l’E3…

 

Quoi qu’il en soit, le catalogue de licence présentes à la Paris Games Week était assez impressionnant une fois de plus avec une représentation d’à peu prêt tous les genres pour ravir un panel assez divers de gamers en herbe ou confirmés. Retrouvez toutes les photos du salon dans la galerie dédiée !

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Cette année, nous avons eu une belle édition 2016 de la Paris Games Week et elle a été marquée par la présence d’un nombre important de constructeurs et revendeurs de matériels ! Suivez le guide.

1. Les revendeurs

Les revendeurs de produits dérivés ont répondus présent à l’appel du salon mais j’ai personnellement trouvé qu’il y avait moins de stands mais que la qualité était un peu plus élevée que d’habitude. Bien entendu, nous avions les habituels revendeurs de tee shirts, casquettes et autres bonnets de Teemo mais ceux ci étaient bien moins nombreux que les années passées. En revanche, les spécialistes des produits dérivés des jeux vidéo étaient surement un poil plus nombreux avec de belles pièces à disposition de nos portefeuilles. Les Funko POP étaient là par centaines, les  les figurines de manga également et dont certaines étaient vraiment magnifiques.

 

Cotés revendeurs de matériel informatique et périphériques gaming, LDLC était présent comme chaque année avec un stand ENORME dans le hall 3 dédié à l’e-sport avec de belles animations au rendez vous. La scène e-sport LDLC était bien entendu là, mais on pouvait également trouver un atelier « Gaming Expérience » avec des PC et des Xbox One à disposition des visiteurs qui voudraient s’essayer à quelques jeux. Un autre stand LDLC, surement mis en place en partenariat avec Samsung, proposait un mini salon présentant l’éco-système du fabricant sud coréen avec notamment des écrans, des tablettes, des SSD et un casque GearVR, car oui cette année de nombreux stands proposaient de tester l’expérience de la Réalité Virtuelle (dont je vous parlerais dans le prochain article) ! Le revendeur Lyonnais proposait également aux visiteurs de s’essayer au pilotage spatiale avec 2 configurations de fou faisant tourner le jeu Star Citizen dans lequel vous pouviez piloter un vaisseau spatial grâce au Thrustmaster HOTAS Warthog (mon test est disponible sur le blog).

 

La Fnac occupait son emplacement habituel avec une grosse sélection de jeux vidéo et accessoires parmi lesquels figurait un HTC Vive et tous les jeux récemment sortis ou en précommande… Achat Mania était également là avec son stock de matériel Astro Gaming, Steelseries, Mad Catz, Tritton ou encore Cooler Master et a rencontré un vif succès semblerait il ! Parmi les autres revendeurs, nous avions Burn Controllers et Stealth Gamer venus nous faire étalage de toute leurs collections de prêt à porter pour manettes de gamers. Il y avait de jolies choses pour lesquelles j’ai failli craquer pour remplacer ma manette Blast Controllers car la qualité des 2 autres est quand même largement au dessus du lot.

  

Certains éditeurs de jeux vidéo avaient également leur propre échoppe comme par exemple Bandai Namco ou encore Square Enix, proposant tous deux leurs jeux vidéo ou encore des produits dérivés issus de ces derniers. Bon soyons clair, cette année j’ai fait preuve d’un mental à toute épreuve puisque je ne n’ai strictement rien acheté malgré une tentation relativement forte ! Une première depuis que j’arpente les allées du salon…

 

 

2. Les constructeurs

a. Turtle Beach

Turtle Beach est un célèbre fabricant de matériel audio dédié au monde du jeu vidéo, il était présent à la Paris Games Week et j’ai donc pu redécouvrir leur gamme pour PC, Playstation et Xbox qui est assez conséquente. Je dis bien redécouvrir car Turtle Beach est une marque qui est déjà apparue sur ce blog avec le test du XO Seven, un casque Xbox One assez haut de gamme qui est toujours à la page.

Parmi les différents produits qui nous étaient présentés, l’impressionnant casque Turtle Beach Elite Pro avec son panel de commande séparé. Clairement, on est sur un produit très haut de gamme plutôt réservé aux joueurs exigeants ou au monde de l’e-sport. Je pense que je vous en reparlerais très bientôt à travers un test complet qui décortiquera dans les moindres détails ce casque sur lequel j’ai complètement craqué, craquage dû particulièrement à la présence du panel de commande séparé qui permet de procéder à certains réglages en direct, sans passer par une interface logicielle. Pour le peu que je l’ai porté, le casque m’a paru extrêmement confortable grâce à son système unique de coussinets et de réglage de l’arceau qui permet de positionner idéalement le casque sur la tête. Mon Plantronics RIG Surround a trouvé son remplaçant, cela ne fait aucun doute !

Deuxième produit phare qui est une première chez Turtle Beach : un micro ! Le Stream Mic est une nouveauté chez le constructeur qui s’essaye pour la toute première fois à la conception d’un micro autonome dédié comme son nom l’indique au monde du streaming. Sa première particularité c’est sa compatibilité puisque vous pouvez vous en servir sur PC, Playstation 4 et Xbox One ! La technologie embarquée lui permet d’être ultra performant, aussi bien chez vous tranquillement installé dans votre canapé que dans l’univers bruyant d’une scène e-sport, parfait pour les commentateurs de compétitions League of Legends ou CSGO officielles.

Merci à Elisa et Clément qui m’ont accordé un peu de leur précieux temps pour me présenter le matériel et répondre à mes questions.

 

b. Thermaltake

Le deuxième stand qui m’a accordé une bonne part de leur temps lors de la soirée réservée à la presse et aux influenceurs est Thermaltake. Ceux qui s’intéressent un petit peu au hardware informatique ou au modding PC connaissent forcément cette marque, mais pour les autres je vais vous faire une présentation rapide. Thermaltake est une entreprise Taïwanaise qui est spécialisé à l’origine dans les boitiers PC et tout ce qui s’y rapporte concernant le refroidissement. Depuis quelques temps, ils se diversifient avec des périphériques et des sièges gaming.

J’ai donc eu le droit à une présentation par le grand patron de l’entreprise lui même, un immense privilège car c’est très rare de s’adresser directement au sommet de la pyramide. Il a donc commencé par me présenter leur nouveau boitier phare dont la sortie ne devrait plus tarder : le Tower.

Un boitier impressionnant réalisé en partenariat avec un moddeur : Mathieu Heredia. Sa forme est totalement atypique puisqu’il a une base carrée, est plus haut qu’un boitier grand tour et permet d’implanter un sacré dispositif de watercooling à l’intérieur !

Deuxième produit phare, les kit de ventilateurs Riing RGB. Ce sont des ventilateurs pour boitier ou kit watercooling qui se branchent sur un petit boitier de contrôle capable de piloter jusqu’à 3 ventilateurs différents de façon totalement indépendante.

Les ventilateurs sont déclinés en 120mm et 140mm et les boitiers de contrôles peuvent se connecter les uns aux autres jusqu’à concurrence de 16 boitiers, soit 48 ventilateurs. Quel est l’intérêt de les connecter les uns aux autres me direz vous ? Et bien cela permet d’offrir une gestion centralisée des ventilateurs via une application installée sur le PC qui permet entre autres de régler la vitesse et l’éclairage de chaque ventilateur.

Le stand Thermaltake présentait également une partie de leur gamme d’accessoires dédiés au watercooling, comme les fluides colorés, les embouts de tuyaux lumineux, les kit watercooling all-in-one, etc… Que du matos qui donne envie de se faire une jolie configuration !

 

c. Acer, MSI, Asus, NVidia et cie

Acer était présent sur le salon pour nous présenter tout son attirail estampillé Predator. Que ce soit des tours (G1 / G3) ou bien des PC portables (17 / 17X), le stand regorgeait de postes informatiques sur lesquels tout le monde pouvait s’essayer à divers jeux. Un des ordinateurs portables présentait notamment la fonction eye tracking qui permet de cibler les ennemis simplement en les regardant et cela fonctionnait vraiment bien !

Asus, MSI, NVidia, Lenovo, ROCCAT, Logitech, Plantronics et bien d’autres étaient également présents pour nous présenter leurs dernières nouveautés. Logitech a d’ailleurs réalisé un coup de maitre avec son Logitech Wall, un mur entier de son stand entièrement recouvert de clavier G810 et dont les touches s’allumaient pour former des mots ou des dessins :

 

Bref, du matos, il y en avait pour tous les goûts, avec du sobre, du coloré, du gaming, du hardcore gaming, du pas cher, du très cher…. Me tenant régulièrement au fait des différentes nouveautés, je ne m’y suis donc pas énormément attardé.

 

Les constructeurs étaient plus nombreux que les années passées, surement du au fait que le public s’équipe de plus en plus et que la Paris Games Week devient un rendez vous incontournable en France si l’on veut vendre ses produits. Chaque constructeur ou revendeur a fait preuve d’originalité dans la présentation de son matériel avec souvent des animations permettant au public d’affronter des guest stars venues faire le show pour l’occasion. Des choses magnifiques étaient parfois exposées et je regrette un peu la grosse galerie modding LDLC de l’année dernière…

Si vous l’avez manqué, je vous invite à aller visiter le reste de la galerie photo de la PGW 2016 !

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Comme chaque année, j’arpente les allées du plus grand salon français dédié aux jeux vidéo : la Paris Games Week. Cette année encore, le salon a évolué, s’est agrandit et je vous fait partager aujourd’hui ma vision de cette édition 2016 au travers plusieurs articles. Et voici le premier !

1. Un salon qui prend de l’ampleur

Cette année, la Paris Games Week (PGW) s’est étalée sur 5 jours et 3 halls du parc des expositions de la porte de Versailles. Si la durée reste identique par rapport à l’édition 2015, la superficie occupée a été elle augmentée d’un hall complet, le hall 3, ce qui représente une augmentation de la surface d’environ 20% ! 

Le Hall 1 rassemblait tous les éditeurs, constructeurs, développeurs et quelques revendeurs, le Hall 2 était réservé à la Paris Games Week Junior avec de nombreuses activités pour enfants ainsi qu’au jeu vidéo made in France tandis que le Hall 3 accueillait tous les acteurs de l’e-sport ! Cette compartimentation permettait de bien distinguer les 3 espaces sans créer un espèce de fouillis comme l’année passée avec les exposants cotoyant l’ambiance électrique de la scène e-sport dans le hall 1. 

Mais c’est aussi virtuellement que le salon a pris de l’ampleur puisque les statistiques Internet ont explosées comme en atteste cette infographie publiée par le SELL (Syndicat des Editeurs de Logiciels de Loisir) :

Il est à noté qu’avec la campagne de sensibilisation au PEGI qui est passée récemment, le SELL a passé quelques consignes aux exposants pour qu’ils soient vigilants sur l’age des visiteurs venus essayer leurs jeux en fonction du PEGI de ces derniers.

Certains ont joué le jeu, d’autres non, sans système d’identification simple (un bracelet de couleur comme à la Gamescom par exemple) c’est de toute façon compliqué de demander sa carte d’identité à chaque visiteur et sur chaque stand… Bravo à ceux qui ont fait l’effort en tout cas !

Les statistiques de fréquentation n’ont pour l’heure toujours pas été communiquées mais dans les allées, j’ai eu l’impression d’être beaucoup moins à l’étroit que les années passées. Est ce dû à l’ouverture d’un 3e hall ? Au fait qu’il y avait cette année moins de stands de produits dérivés que les années passées ? Y’a t’il eu une baisse de la fréquentation ? J’attend les chiffres du SELL avec impatience !

 

2. Un grand absent

Nintendo est LE grand absent de cette Paris Games Week. Dans les allées, on pouvait parfois entendre « tu as pas vu le stand Nintendo par hasard ? » et la réponse est « Non, Nintendo n’est pas là cette année ». Tout le monde ou presque aura noté cette absence, tous tellement habitués à voir les 3 concurrents (Microsoft / Sony / Nintendo) côte à côté lors de ce genre d’événement.

Ormi cette justification officielle :

Chaque année, Nintendo cherche les meilleurs moyens et les meilleurs moments pour permettre à ses fans d’avoir accès à ses jeux.

Cette année, Nintendo a décidé de ne pas participer à la Paris Games Week, car elle ne s’insérait pas dans le plan annuel.

Nous souhaitons à tous les participants et aux organisateurs un très bel événement.

aucune autre raison particulière n’a toutefois été évoquée il me semble mais si je me risquais à quelques spéculations diverses et variées, je dirais que Nintendo n’avait rien d’extraordinaire à nous montrer, pas de nouvelle licence tout juste sortie ou à venir, pas de nouvelle console puisque la Nintendo NX récemment rebaptisée Nintendo Switch n’est pas encore prête à se dévoiler en public.

http://www.youtube.com/watch?v=EEmNofPNHTI

Pas de tournoi Mario Kart ou de chasse aux Pokémons cette année donc, espérons simplement que ce ne soit qu’exceptionnel et que nous reverrons le géant nippon trôner fièrement aux cotés de ses deux adversaires de toujours lors de la prochaine édition.

 

3. Les jeux vidéo Made In France à l’honneur !

Au sein du hall 2, aux cotés de la Paris Games Week Junior, trônait fièrement le stand Made In France dédié aux studios français. Sur cet espace, ce sont pas moins de 26 jeux qui étaient présentés au public, la plupart jouables avec une date de sortie prochaine et d’autres déjà sortis comme Trackmania par exemple.

Le premier que j’ai pu tester c’est Battlecrew Space Pirates développé par DONTNOD (Life is Strange / Remember Me), un jeu de tir multijoueur par équipe où votre but sera d’aller récupérer des coffres disséminés sur la carte pour en engranger un maximum. C’est rapide, nerveux et le level design est plutôt sympa. Vu les productions de ce studio, je pense que le jeu devrait être une réussite. Sortie en 2017.

Le second jeu sur lequel j’ai posé les mains c’est Styx Shards of Darkness développé par Cyanide. Ce nom vous dit surement quelque chose puisqu’il s’agit du deuxième volet des aventures du célèbre gobelin assassin qui nous était présenté. Basé sur le moteur Unreal Engine 4, Styx Shards of Darkness a corrigé beaucoup des défauts dont souffrait son petit frère avec un ajout important : le craft qui vous permettra de créer vos certains items. Les jeux de lumières sont magnifiques, l’ambiance vraiment glauque et le gameplay plutôt intuitif !

 

4. Et l’Art dans tout ça ?

Toujours dans le hall 2, on pouvait retrouver une galerie d’Art où était exposées de nombreuses oeuvres du collectif ARTtitude en rapport avec l’univers du jeu vidéo. Un de leur récent fait d’arme est d’avoir redécoré la Bibliothèque François Mitterrand aux couleurs de la nouvelle extension World of Warcraft : Légion.

Far Cry, Borderland, ICO, Blizzard… De nombreux emblèmes voir même monuments des jeux vidéo étaient représentés sous forme d’oeuvre d’art et fort heureusement, aucun n’était en vente sinon je pense que je n’aurai plus qu’un rein, un poumon et que je serais manchot à l’heure qu’il est…

  

Sur le contour de la galerie, 3 oeuvres ont été réalisées pendant le salon. La première n’est pas une oeuvre en soit puisqu’il s’agissait d’une fresque à colorier avec tout plein de héros de jeux vidéo. Il va sans dire que dès le premier jour, c’était déjà du grand n’importe quoi, très peu de coloriage pour beaucoup de gribouillages à caractère plus ou moins correct… (Mention spéciale au spoil de TWD saison 7 Episode 1 !)

Ensuite, dans un registre plus street art, une grande fresque avec le logo du salon a été peinte, tandis qu’à l’opposé a été réalisé une oeuvre représentant le prochain jeu de Bethesda : Dishonored 2. Une oeuvre magnifique que j’ai pu voir évoluer au fil du salon, une sorte de fil rouge artistique réalisé par l’artiste Tsuchinoko et qui a attiré l’attention de plus d’un visiteur !

Je vous reparlerais prochainement de ce collectif d’Art avec un article le concernant et présentant un de leur livre en édition limitée que j’ai la chance d’avoir pu obtenir…

 

5. Place à l’e-sport

Le hall a donc été en feu pendant les 5 jours du salon avec les gros acteurs du secteur au rendez vous (LDLC, ESCW, Twitch, MSI et d’autres) qui ont galvanisé les foules lors de tournois du circuit pro et d’exhibitions où le public était invité à affronter les stars des différents jeux proposés. Car oui, cette année pas question de caler la composante e-sport du jeu vidéo dans un petit coin du hall, le SELL a préféré faire les choses en grand.

Au programme, des matchs officiels de l’ESCW sur Counter Strike Global Offensive (finale mondiale), Clash Royale (grande finale mondiale), Just Dance et FIFA 17 mais également des showmatchs où l’on a pu voir des personnalités du jeux vidéo (Mamytwink ou bien Gotaga pour ne citer qu’eux) affronter des équipes de joueurs sélectionner dans le public sur Overwatch notamment.

Des matchs de l’ESL était également de la partie avec du League of Legend qui a attiré beaucoup de monde pour les IEM Challenger permettant de décrocher un billet de qualification pour les IEM Oakland & Gyeonggi !

 

Voilà, c’est tout pour cette fois, un article dédié aux jeux vidéo est en cours de rédaction et devrait débarquer sur le blog dans la semaine alors… restez branchés ! Et en attendant, vous pouvez jeter un oeil à la galerie photo complète 😉

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Comme chaque année à la même époque, vous pouvez me retrouver avec mon reflex à la main en train d’arpenter les allées du plus gros salon français dédié aux jeux vidéo : la Paris Games Week. Pour cette édition 2016, j’ai pris environ 300 clichés avec au final seulement 180 sélectionnés pour apparaitre sur le blog. J’espère que les photos vous plairont et qu’elles vous rappellerons des souvenirs ou vous donnerons envie d’y aller l’année prochaine. On s’y donne rendez vous ?

3e année consécutive que je couvrais le salon français dédié au jeu vidéo. Armé de mon accréditation et de mon appareil photo numérique, je vous livre aujourd’hui une partie des photos prises pendant la Paris Games Week 2015. Vous pouvez également retrouver mon avis sur cette édition 2015 sur le blog.

Pour la 2e année consécutive, je couvrais une fois de plus l’un des plus grands salons européens dédié au monde du jeu vidéo : la Paris Games Week. Vous pouvez retrouver mon avis sur cette édition 2014 sur le blog et une sélection de mes plus belles photos ci-dessous.

Première fois que je couvre sérieusement le salon français du jeu vidéo. Vous pouvez retrouver ci dessous une sélection de mes meilleurs clichés.

Avec plus de 272000 entrées, cette édition 2014 de la Paris Games Week est une réussite sur le plan de la fréquentation. Comme tous les ans, j’ai arpenté les 50000 m² du salon et voici mes impressions…

PGW : le stand Orange est complet

 

1 – Soirée Presse :

J’ai eu la chance d’être accrédité par Orange à partir de 19h pour la pré-ouverture de l’événement. Cette soirée, réservée à la Presse, aux blogueurs et YouTubeurs nous permet de tester un maximum de jeux en réduisant les temps d’attente. Hélàs, dans la réalité nous sommes loin du compte… Quand je suis entré dans le Pavillon 3 du Parc des Expositions de la porte de Versailles à 19h tapante, il y avait déjà beaucoup de monde. Certes, beaucoup moins qu’un samedi ou un dimanche, mais pour une soirée presse, cela faisait beaucoup. Deuxième effet kiss cool : la privatisation de certains stands. Oui vous avez bien lu, des stands comme Playstation ou Ubisoft étaient entièrement privatisés ! Quel est l’intérêt de privatiser des stands lorsque c’est déjà une soirée « privée » ? Aucun.

Par conséquent, je ne vous parlerais pas des jeux Ubisoft (Assassin’s Creed Unity / Far Cry 4) ni des jeux Playstation (Bloodborne ou The Order 1886 pour ne citer qu’eux) car je n’ai pas pu mettre les yeux dessus. Certains me diront « tu aurais pu faire les 3h de queue pour chaque jeu le vendredi si tu avais vraiment eu envie de les tester » mais mes soucis de santé actuels contre indiquent fortement la station debout à ne rien faire donc j’ai passé mon tour.

J’ai par contre pu tester Lara Croft et le temple d’Osiris avec Deloriand et un joueur inconnu avec qui nous avons bien sympathisé (un vieux de 40 ans, si tu lis ces lignes l’ami, on a passé un bon moment !). Le jeu est très sympa et la coopération est strictement obligatoire, les graphismes sont plutôt agréables et je suivrais le jeu avec intérêt !

Autre jeu sur lequel j’ai pu mettre la main : Evolve. Basé sur le principe de Left4Dead avec 4 joueurs ayant chacun une classe différente et 1 autre qui incarne le monstre à traquer et à tuer, Evolve s’annonce comme une petite bombe sur PC et consoles. C’est rythmé, très joli (enfin si je juge la puissance du PC qui faisait tourner le jeu à la PGW à la température de l’air qu’il me soufflait au visage, je pense qu’il s’agissait de super calculateurs de la NASA…) et chaque classe est extrêmement importante… Nous l’avons malheureusement appris à nos dépends lorsque notre Medic nous a lâché sans prévenir, surement pour aller faire une photo avec Cyprien… Bref, je l’ai trouvé vraiment excellent et dans le même esprit que Left4Dead donc forcément… J’achète !

Comme j’étais de passage sur le stand Xbox, j’en ai profité pour jeter un oeil sur le stand et j’ai posé mes mains sur Sunset Overdrive dont on parle partout. C’est fun, coloré, nerveux et c’est un très bon défouloir. Après 15min de jeu, j’étais conquis et tellement conquis que je l’ai commandé aussi sec quand je suis rentré chez moi le soir (et ma première impression est confirmée, je publierais un petit test du jeu).

Autre jeu testé, ScreamRide sort tout simplement des sentiers battus et nous propose de créer. Créer ? Oui, mais pas n’importe quoi ni n’importe comment… Le but est simple : imaginer la montagne russe la plus spectaculaire pour faire crier un maximum les passagers mais sans en perdre un seul. Inutile de vous dire que j’ai lamentablement échoué avec un train complètement vide à l’arrivée ! Il faut donc se creuser les méninges, assembler les 10 dizaines de pièces différentes ensembles pour arriver à nos fins et surtout faire attention à la vitesse et aux courbures car un passager mort est un passager qui ne crie pas !

J’ai ensuite posé mon regarde sur Ori and the Blind Forest et là… Bah je suis resté à regarder la personne qui jouait. Oui, juste à la regarder. Le jeu est vraiment très réussi visuellement et rien que ça m’a donné envie de me le procurer à la sortie. C’est beau, c’est magnifique et on en redemanderait encore. Quand la personne a enfin lâché le pad je me suis rué dessus pour tester ce petit bijou et o rage o désespoir… Le mec a lâché le pad parce que le jeu était planté… Snif !

PGW : Ori and the Blind Forest

Voila en gros les jeux que j’ai testé lors de la soirée presse, Far Cry 4 et Assassin’s Creed Unity étaient malheureusement inaccessibles tout comme Bloodborne et The Order 1886. Dead Island 2 je ne l’ai pas testé volontairement car j’ai tellement aimé le premier que je ne veux pas apercevoir quoi que ce soit du deuxième tant qu’il ne saura pas sorti ! Quant aux autres, Lords of the Fallen, Fifa 15, Forza Horizon 2, etc… je les avais déjà testé auparavant ou certains ne sont pas du tout à mon goût…

 

2 – Les stands :

Cette année, la PGW est passée de 32000 m² de surface à 50000 m² mais pour quoi ? Les allées m’ont parues plus larges que l’année d’avant car je n’ai pas eu cette sensation d’étouffement par la foule que j’avais eu les années précédentes. 

Au niveau du nombre de stands, on était cette année à 125 exposants contre un peu moins de 80 l’année dernière. Comme l’année dernière, je trouve qu’il y a encore beaucoup trop de stands vendant des goodies, il y en a même plus que l’année dernière ! Entre les tee shirts, les casquettes, les perruques, les caleçons, les mangas, les aliments japonnais, les peignoirs, les figurines, portes clés, mugs, bonnets, pin’s, peluches, etc… Je n’ai pas compté précisément mais on doit être au moins à 15 ou 20 stands de ce genre… 

Nous avons vu cette année apparaitre un espace réservé aux objets connectés et là je me suis attardé sur 2 objets en particulier.

Le premier c’est le Lima. Un petit adaptateur sur lequel on connecte un disque dur USB et qu’on raccorde à sa Livebox. Il collecte tous les fichiers du répertoire « Users » de tous les ordinateurs sur lesquels l’utilitaire est installé, il créé une base de fichiers à partir de toutes ces données et les rend accessibles depuis n’importe du moment que l’utilitaire est installé sur le périphérique utilisé. Lima agit ainsi comme un NAS « Low cost » (comptez tout de même 150$ pour acquérir Lima et le prix d’un disque dur externe) facile à mettre en oeuvre. Je suis assez intéressé pour tester ce petit boitier et voir quels seraient les avantages et inconvénients par rapport à un véritable NAS.

Le deuxième objet qui a retenu mon attention c’est le bracelet connecté Iro. Plutôt que d’afficher l’heure, les notifications, le pouls, etc… Iro prend le parti de ne fonctionner qu’avec des couleurs (Iro veut dire couleur en japonnais) qui changeront en fonction de l’intensité de votre effort. La couleur évoluera donc en fonction de l’effort produit et enregistrera ces données (les calories brûlées) grâce à l’accéléromètre intégré pour les rendre accessibles depuis un smartphone fonctionnant sous Android ou iOS (une version Windows Phone est en cours de développement, enfin un constructeur qui fait l’effort…). Commercialisé à partir de fin novembre au tarif de 49€, j’ai trouvé que le Iro était un concept intéressant et j’espère pouvoir le tester lors de sa sortie !

PGW : le bracelet connecté Iro

On pouvait retrouver aussi une foule d’objets, connectés ou non, tels que le thermostat Nest ou le Nest Protect, le gyropode Ninebot, des imprimantes 3D… L’Occulus Rift avait également un stand qui lui était dédié et qui a remporté un franc succès auprès des visiteurs.

Au niveau décors, c’est pour moi le stand de Koch Media avec Dead Island 2 qui remporte le prix du plus beau stand de cette PGW avec en bonus 3 zombies assez flippant qui erraient dans les allées à la recherche de cervelles à dévorer…

PGW : les zombies de Dead Island 2

 

 3 – Les copains :

Principale raison qui me fait venir à la Paris Games Week chaque année : les copains que j’aime revoir à chaque event. Parmi je citerais LirycSama, Deloriand, Margxtp, Asgard que je vois donc très souvent !

Puis il y a ceux que j’ai rencontré pour la première fois depuis qu’on se parle sur Twitter, comme Gohanblog, LuxBox, Ideealize, Preciouzy, etc…

Et pour terminer, il y a les nouvelles rencontres parmi qui je citerais notamment Commodus ou Marc Jalabert.

Cette année encore, sur le plan social cette PGW est une réussite !

 

4 – Les jeux :

Forcément, je garde les jeux pour la fin. La liste de jeux présentée est très longue je l’accorde. Mais parmi ces jeux, si on retire ceux qui étaient déjà sortis (Fifa 15, Destiny, Forza Horizon 2…), ceux qui sortaient dans les 15 jours suivants la fin de la Paris Games Week ou qui avaient déjà bénéficié d’une beta (Sunset Overdrive, Evolve, CoD Advanced Warfare, Far Cry 4…), la liste des jeux à venir et mais pas pour tout de suite diminuait à vue d’oeil. Une de mes grosses attentes, Quantum Break, ne m’a proposé qu’une vidéo de présentation. Maigre consolation, j’aurai aimé en avoir plus…

Comme d’habitude, les stands de l’ESWC ont affichés complet pendant tout l’événement, tout comme les stands des gros acteurs Microsoft, Playstation et Nintendo. Un hall entier était également dédié aux enfants ou jeunes joueurs qui cohabitaient avec les grandes écoles.

Les ténors (CoD, Ubisoft, PES, Xbox, Playstation) ont fait stand comble pendant 4 jours avec des files d’attentes défiant directement les lois du temps ! Complètement dingue, on pouvait presque lire dans les yeux des parents qui accompagnaient leurs enfants de 12 ans dans la file pour CoD (un jeu PEGI18) : « pitié achevez moi ».

PGW : les files d'attentes interminables

La Paris Games Week est encore une réussite du point de vue chiffres, pour ma part je reste un peu sur ma faim mais espérons que l’année prochaine un vent de nouveautés s’abattra sur le parc des expositions pour nous proposer un peu plus de jeux et moins de goodies…

Sponsornot : Zéro collaboration

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