Depuis l’avènement de l’ADSL et l’apparition massive de box faisant office de routeur dans nos chaumières, il est devenu fréquent que pour jouer à nos jeux favoris nous rencontrions des problèmes de NAT et je vous propose aujourd’hui un tutoriel pour y remédier si vous possédez une Livebox Orange.

Si vous voulez savoir quels sont les ports à ouvrir pour tels périphériques ou telles applications, je vous invite à jeter un oeil à la rubrique « NAT Strict » du blog.

1. Connexion à la Livebox Orange

Pour vous connecter à votre Livebox Orange, ouvrez votre navigateur et accédez à l’URL suivante :

http://192.168.1.1

A moins que vous ne l’ayez modifié auparavant, cette adresse est l’adresse IP par défaut de votre Livebox et ne changera jamais !

Orange Livebox : interface d'administration

Les identifiants sont également ceux par défaut si vous ne les avez jamais modifiés.

Login : admin (impossible à modifier)

Mot de passe : 8 derniers caractères de la clé wifi (disponible sur un autocollant collé sur votre Livebox)

Adaptez ces paramètres en fonction de vos paramètres si vous les avez modifiés.

 

2. Sauvegarde de la configuration

On est pas des apprentis sorciers donc si on est pas sûr à 100% de ce qu’on est en train de faire, une petite sauvegarde de la configuration de sa Livebox Orange s’impose. Il suffit de se rendre sur l’onglet « Assistance » et de chercher « Sauvegarder ma configuration » dans le menu de gauche.

Orange Livebox : sauvegarde de la configuration 

Ensuite, cliquez sur « Sauvegarder » pour télécharger une copie de sauvegarde de la configuration actuelle de votre box. Nous pouvons commencer les modifications.

 

3. Passage de votre périphérique en IP fixe

Ca peut faire peur au premier abord mais pas de panique, on ne touche pas à la configuration de votre Xbox, Playstation ou PC ! Tout se fait directement sur la Livebox et c’est vraiment très simple. Le fait de garder une IP fixe sur vos périphériques vous permet d’éviter de devoir refaire la configuration NAT à chaque fois que ceux ci changeront d’adresse (et croyez moi, cela arrivera).

Orange Livebox : ajout d'une IP fixe

Dans l’onglet « Configuration avancée », vous avez accès à la configuration « Réseau » de votre box et c’est pile ce qui nous intéresse. Dans l’encart « Baux DHCP statiques », nous ne devriez avoir aucun équipement renseigné pour le moment.

Orange Livebox : ajout d'une IP fixe

Pour ajouter votre périphérique à la liste des baux statiques, sélectionnez le dans le menu déroulant et cliquez sur « ajouter ». Il apparait maintenant dans la liste.

 Orange Livebox : ajout d'une IP fixe

Répétez l’opération pour chacun de vos autres équipements (PC, PS4, Xbox One, etc…) et redémarrez les pour qu’ils prennent en compte la nouvelle configuration.

Passons maintenant à la configuration de la NAT.

 

4. Configuration de la NAT

On reste dans l’onglet « Configuration avancée » mais cette fois on visite la section « NAT/PAT » qui nous affiche un tableau des règles de NAT qui sont en vigueur sur notre Livebox Orange. Normalement, à ce stade le tableau doit être vide et nous allons le remplir !

Orange Livebox : les règles de NAT

Il se découpe en 6 colonnes :

Application : permet de donner un nom à sa règle afin de savoir à quoi elle correspond (option « personnalisé » dans le menu déroulant)

Port interne : le port interne à utiliser

Port externe : le port externe à utiliser

Protocole : le protocole utilisé (TCP / UDP / les 2)

Appareil : une liste déroulante vous permettant de choisir à quel appareil s’applique la règle

Activer : si coché, c’est activé et inversement !

Par exemple, si vous devez ouvrir le port 3074 en TCP et UDP pour le Xbox Live, la ligne de configuration sera alors la suivante : « Xbox Live | 3074 | 3074 | les deux | Xbox »

Orange Livebox : les règles de NAT

Une fois les paramètres entrés, cliquez sur enregistrer et répétez l’opération pour chacun des ports à ouvrir. Dans le cas où il vous faut ajouter une plage de port (exemple : de 27000 à 27030), inutile d’entrer les ports un par un, indiquez portA-portB (dans notre exemple : 27000-27030) dans les champs port interne et port externe.

Orange Livebox : les règles de NAT

Si malgré tout ceci, votre NAT reste en strict et que vous êtes sur PC, pensez à jeter un oeil à votre pare-feu Windows par exemple 🙂 Si vous avez des questions, n’hésitez pas à me les poser en commentaire !

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Je suis abonné à la Fibre d’Orange depuis 3 ans et depuis de nombreux mois, j’ai des problèmes d’erreur S01 et d’erreur S04 avec le boitier TV…

1. Symptômes 

a. La box TV en carafe

Le premier symptôme et non des moindres est l’arrêt pur et simple du fonctionnement de la TV. Pour faire simple, vous allumez votre TV et la box TV d’Orange et vous vous trouvez alors en présence d’une magnifique erreur S01 ou d’une erreur S04.

Ca arrive systématiquement tous les matins et très souvent également suite au reboot de la box TV… Et je ne vous parle même pas des coupures lorsque vous êtes en train de regarder un programme. Bref c’est une plaie, ça arrive très souvent et malheureusement, pas vraiment de règle donc identification de la source du problème difficile.

b. Le réseau hors service

Non contente de me foutre en l’air la TV, ma Livebox Orange casse aussi mon réseau local, mes périphériques ne récupèrent plus d’adresse IP et le service DNS ne fonctionne plus non plus que ce soit en wifi ou en filaire. Du coup, impossible d’accéder à Internet ni même à mon réseau local et c’est probablement ce qui provoque également l’erreur S01 dont je parlais juste au dessus. Clairement, c’est LE truc qui me saoule le plus car la TV, je ne la regarde pas beaucoup à part le soir pour le journal TV mais pour ce qui est du PC, je passe beaucoup plus de temps dessus.

 

2. Les solutions proposées par Orange

Au départ, je mettais tout hors tension (transceiver fibre / box internet / box TV) et redémarrais tous les équipements l’un après l’autre. Parfois, cela fonctionnait et parfois non, mettant mes nerfs à rude épreuve jusqu’au jour où la box TV est tombé carrément en panne, probablement en raison du nombre de fois où je l’ai arrêtée / redémarrée électriquement… Du coup, contact de l’assistance Orange qui me propose un remplacement du boitier TV en boutique. Je procède donc à l’échange le jour même, l’employé du SAV me dit que si les dysfonctionnements persistent, je n’aurai qu’à leur rapporter le boitier Internet pour qu’ils me le changent également. Je rentre, rebranche tout et là… Miracle tout fonctionne !

Malheureusement, au bout d’une semaine les problèmes recommencent et je procède donc au changement de la box Internet. Malheureusement, aucune amélioration et je décide alors de recontacter l’assistance Orange qui m’envoie alors un technicien le jour même ! Il diagnostique ma ligne qui ne présente aucun défaut, vérifie les branchements, change le transceiver fibre dans le doute, c’est le seul élément qui n’avait pas été changé jusqu’ici et constate que tout fonctionne parfaitement… Forcément, quand le technicien est là, ce serait dommage que la panne se montre.

S’en est suivi quelques mois de fonctionnement presque sans accroc, un peu comme si le technicien avait fait une incantation vaudou pour exorciser l’esprit malin venu hanter ma Livebox… Et puis rebelote ! C’est reparti de plus, avec nouveau changement complet des équipements, une fois de plus sans succès. Le technicien s’est donc déplacé une fois de plus et coup de bol : c’était le même technicien que la première fois ! Il m’a donc demandé plus d’informations sur mon installation et m’a dit que dans certains cas, si il y a un peu trop de périphériques sur le réseau local, un switch ou autre périphérique que l’on ne rencontre pas chez monsieur tout le monde, la Livebox peut rencontrer des problèmes… 

La solution finale qui m’a été conseillée par le technicien envoyé par Orange c’est de ne laisser qu’un minimum de périphériques branchés pour que cela fonctionne car le problème vient de la conception de la box et qu’on ne peut pas y faire grand chose… Je n’en veut pas au technicien de me donner cette réponse car je sais pertinemment qu’il a raison, les Livebox Orange sont très loin des Freebox en terme de conception aussi bien matérielle que logicielle…

 

3. Ma solution miracle

J’ai testé de tout mettre en IP fixe pour soulager la box avec des DNS pointant vers l’extérieur directement et cela ne fonctionne malheureusement qu’un temps… Du coup je me suis demandé comment je pourrais feinter le système en réduisant le nombre de périphériques sur mon réseau local Livebox sans pour autant débrancher mes périphériques et c’est là que l’idée m’est venue : un équipement de coupure

Schéma de l'équipement de coupure

En gros, je créé 2 réseaux séparés chez moi, un géré par le routeur Livebox Orange qui gérera l’accès à Internet, la box TV et l’autre par un second routeur dont j’aurai fait l’acquisition et qui sera en charge de tous les autres périphériques (PCs, consoles de jeu, boitiers multimédia, Raspberry Pi, boitier NAS, etc…) et qui assurera la liaison de ces derniers avec le réseau de la Livebox. 

J’ai donc cherché un routeur qui ai au moins 4 ports RJ45 et qui fasse wifi histoire de tout basculer dessus y compris les périphériques mobiles (PC portable, Surface Pro, smartphones…). Il y en a énormément et à tous les prix mais je me suis tourné vers un routeur Synology RT1900AC (149€ sur Amazon) car je possède déjà un NAS Synology et que je connais leur sérieux, leur fiabilité et surtout leur interface. Le routeur a toutes les qualités requises que je cherche :

– Wifi 2.4GHz / 5GHz

– 4 ports RJ45 LAN + 1 port RJ45 WAN

Il présente également d’autres fonctionnalités intéressantes dont je vous parlerais dans une review du produit. L’installation du routeur s’est fait en 2 bonnes heures le temps de faire la configuration initiale et de repasser tous les cables proprement et à l’heure où j’écris ces lignes, cela fait maintenant plus d’un mois que le routeur Synology est en place et je n’ai pas eu une seule erreur S01 ou erreur S04 ! Bien entendu, cela a un coût mais malheureusement c’est à mon avis le seul moyen et je ne peux que vous conseiller d’opter pour cette solution si vous rencontrez vous aussi fréquemment l’erreur S01 ou l’erreur S04.

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Bonjour à tous, ce tutoriel s’adresse aux possesseurs d’appareils dédiés au sport de la marque Suunto. En effet, nous allons voir comment paramétrer un nouvel exercice pour nos séances de sport…

Tout d’abord, il vous faut un compte Movescount et un équipement rattaché à ce compte. Voici ensuite les différentes étapes à suivre pour paramétrer votre appareil :

1ère étape : 

Dans le menu tout en haut de la page, dans l’onglet « Equipement », sélectionnez l’appareil que vous souhaitez paramétrer.

Movescount Menu Equipement

Vous devriez voir cette page se charger :

 

 

2ème étape :

Faites défiler la page, pour trouver l’onglet « Personnalisation » et cliquez pour afficher les options :

 

Sélectionnez l’activité que vous souhaitez ajouter à votre montre dans le menu déroulant. Vous pouvez afficher les paramètres avancés en cliquant sur le lien « Afficher les paramètres avancés » :

 

 

3ème étape :

Chaque petite montre correspond à un écran de votre montre que vous pourrez afficher en appuyant sur la touche « Next » (sur la Suunto Ambit) :

 

Il vous suffit alors de sélectionner les informations que vous souhaitez afficher sur chaque écran, dans la limite de 8 écrans. La ligne supérieur et celle du milieu n’accueillent qu’un paramètre par écran, tandis que la ligne du bas peut en accepter jusqu’à 5 maximum. Cliquez sur chaque option pour afficher l’écran de sélection du paramètre que dont vous souhaitez effectuer le suivi pendant vos séance :

 

 

4ème étape :

Une fois que la configuration des écrans vous convient et correspond à vos attentes, sauvegardez la. Elle apparaîtra alors dans la liste des modes de votre montre :


Une petite synchronisation via le câble prévu à cet effet et vous serez prêt pour votre séance de sport !

Petit conseil pour ceux qui ne sauraient pas vraiment quoi afficher :

Déterminez bien quels sont les paramètres importants à vos yeux, et ceux qui sont secondaires. Affichez les paramètres importants sur la ligne du milieu (la plus grosse) afin de pouvoir visualiser d’un coup d’oeil le chrono, la distance, votre vitesse…. Et ensuite, vous pouvez inclure les paramètres secondaires sur les lignes du haut et du bas comme bon vous semble. 

Sportivement.

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Un NAS (Network Attached Storage) est un serveur de fichiers autonome, relié à un réseau dont la principale fonction est le stockage de données accessibles aux clients connectés sur le même réseau. De nombreux modèles existent et ce guide devrait vous aider à faire votre choix.

Avant de s’orienter vers un modèle en particulier, il faut définir les différentes caractéristiques que l’on recherche sur son NAS.

1 – L’usage :

Commençons par l’usage. Serveur de fichiers ? De sauvegarde ? DLNA ? D’applications ? Hébergement web ? A l’heure actuelle, les différents modèles de serveurs NAS Grand Public disponibles sur le marché proposent des fonctionnalités plus ou moins avancées, pour un prix qui peut varier énormément entre chaque modèle.

En règle générale, la plupart des NAS sont clé en main et proposent de base les fonctionnalités suivantes :

– OS dédié préinstallé pour la gestion du NAS

– Serveur de fichiers

– DLNA (partage de médias audio, photos, vidéos sur les appareils du réseau compatibles)

– FTP

 

Schéma réseau NAS

 

Largement suffisant pour la plupart des utilisateurs, ces fonctionnalités vous permettront de sauvegarder et partager vos fichiers sur le réseau, créer un espace FTP accessible depuis l’Internet ou encore de visionner vos contenus médias (photos, vidéos…) sur votre TV ou tout autre accessoire de votre réseau compatible DLNA (tablette, smartphone, PC…).

Si vous souhaitez pouvoir profiter de certaines applications complémentaires (serveur web, streaming, mail, P2P…), il faudra alors monter en gamme de produit afin d’avoir une interface plus complète vous donnant accès à toutes ces fonctions. Sachez que certaines gammes proposent même de faire office de serveur DHCP, DNS…

Cas particulier : besoin d’une application particulière ou envie d’installer, de configurer et de personnaliser votre NAS de A à Z ? Je vous proposerais plus bas une solution alternative aux solutions clé en main.

A cette étape vous devrez avoir défini : quel(s) usage(s) pour le futur serveur NAS ? Solution clé en main ou non ?

  

2 – La sécurité :

Nous savons l’usage que nous allons faire de notre NAS ce qui nous amène directement à sa sécurité. La sécurité d’un NAS est située à 2 niveaux, matériels et logiciels, qui convergent vers un seul but : la sécurité des données stockées.

a) Niveau matériel :

La sécurité matérielle réside principalement dans l’utilisation de plusieurs disques fonctionnant en RAID, assurant ainsi une redondance de l’information.

Le principal avantage de l’usage de disques en RAID réside dans le fait que si l’un d’entre eux est victime d’une défaillance, il sera toujours possible de régénérer les données sans perte.

L’inconvénient de cette solution : la « perte » d’espace de stockage. En effet, dans le cadre d’un RAID1, l’espace de stockage utile est égal à la moitié de l’espace de stockage total (soit une amputation de 50% !) et dans le cadre d’un RAID5, l’espace de stockage est égal à : (nombre de disques utilisés moins 1) x la capacité du plus petit disque (soit une « perte » d’espace de stockage équivalente à 1 disque).

b) Niveau logiciel :

La sécurité logicielle est principalement basée sur un antivirus directement intégré à l’OS du NAS, garantissant ainsi vos données contre les attaques virales et les fichiers infectés. Cette fonctionnalité n’est malheureusement pas présente sur tous les modèles de NAS.

A cette étape vous devrez avoir choisi : le niveau de sécurité requis (Pas de RAID, RAID1, RAID5, avec ou sans antivirus)

 

3 – La capacité de stockage :

La capacité de stockage nécessaire va conditionner la quantité de disques nécessaires et l’achat d’un certain modèle de boitier. L’évaluation de la capacité de votre futur NAS s’insère donc naturellement après le choix de la sécurité (disques en RAID ou non) puisque suivant le type de RAID choisi, il vous faudra ajuster le nombre de disques nécessaires et par conséquent le nombre de slots du boitier NAS.

Un règle est universelle : plus le boitier aura de slots de disques, plus il coûtera cher. Il faut donc évaluer correctement la quantité de données que l’on va déposer dessus, et anticiper une éventuelle augmentation de cette quantité.

A cette étape vous devrez avoir évalué : la quantité de données totale nécessaire en téraoctets.

 

4 – Différentes marques et différents modèles :

Depuis quelques temps, les marques de NAS fleurissent à vitesse grand V car l’engouement du grand public et des TPE/PME pour le stockage de fichiers « homemade » va crescendo. Synology, Qnap, Iomega, Netgear, LaCie, D-Link… Les marques sont légions, proposant chacune une interface différente ainsi que des prestations techniques différentes. Comment choisir le modèle qui vous conviendra ? C’est tout simplement une histoire de goûts. Certains le mettront dans leur salon et souhaiteront un design sympa, d’autres chercheront les performances ou encore les fonctionnalités de l’OS… Bref, le seul moyen de faire votre choix est de vous jeter sur www.google.fr et de chercher des tests et des comparatifs. Vous trouverez des screenshots vous montrant l’interface de gestion des différents NAS et des commentaires d’acheteurs sur les sites d’e-commerce qui permettront d’aiguiller votre choix.

Pour ceux qui n’ont pas peur de mettre les mains dans le cambouis, sachez qu’il existe une solution alternative. Si jamais monter le NAS vous même (installer les disques, la mémoire, quelques accessoires…) et faire une installation maison sous Linux ou Windows Serveur ne vous effraie pas, vous pouvez toujours vous orienter vers un NAS Homemade. En effet, HP vend le mini serveur Proliant N40L dont les caractéristiques sont les suivantes :

Processeur : AMD Turion II Neo N40L / 1.5GHz

Mémoire vive : 2Go DDR3 PC3-10600 ECC (extensible à 8Go)

Stockage : Disque dur SATA 250Go 7200 trs/min (4 à 6 slots supplémentaires)

Contrôleur de stockage : 1xSATA (support du RAID 0 et du RAID 1)

Contrôleur graphique : Intégré avec 128Mo partagé (sortie VGA)

Réseaux : Ethernet Gigabit

Extension/connectivité :

Baies : 1 (total) / 1 (libre) x externe 5.25 x 1/2H ? 4 (total) / 3 (libre) x interne 3.5 LFF

Emplacements : 1 (total) / 1 (libre) x PCIe 2.0 x16 – demi-longueur, extra-plat / 1 (total) / 1 (libre) x PCIe 2.0 x1 – demi-longueur, extra-plat / 2 (total) / 1 (libre) x DIMM 240 broches / 1 (total) / 0 (libre) x CPU

Interfaces : 1 x VGA / 6 x USB 2.0 ( 2 à l’avant, 4 à l’arrière ) / 1 x LAN (Gigabit Ethernet) / 1 x eSATA-300

 

Il est vendu aux alentours de 200€ ce qui plus qu’abordable pour disposer de 4 à 6 slots utiles (soit à l’heure actuelle de 10 à 15Go de stockage en RAID 5 !!!)

Plus d’informations : en français sur maison et domotique / en anglais sur un wiki dédié

 

 

5 – Décision finale :

Voici 3 tableaux récapitulant la capacité utile du NAS en fonction du nombre de slots disponibles et de la taille des disques, afin de mieux comprendre la fluctuation de l’espace de stockage en fonction du type de RAID choisi.

Pas de RAID   RAID 1   RAID 5
  1To 2To 3To

1 Slot

1 2 3
2 Slots 6
3 Slots 9
4 Slots 12 
5 Slots 10  15 
6 Slots 12  18 
 
  1To 2To 3To

1 Slot

X X X
2 Slots 1
3 Slots X X X
4 Slots 2 4 6
5 Slots X X X
6 Slots 3 6 9
 
  1To 2To 3To

1 Slot

X X X
2 Slots X X X
3 Slots 2 4
4 Slots 3 6 9
5 Slots 4 8 12
6 Slots 5 10 15

 

En mettant en relation la quantité de données totale nécessaire (évaluée au point 3) et le type de sécurité (défini au point 2) avec les résultats des tableaux précédents, et en fouinant un peu à la recherche des tests, comparatifs et commentaires sur Internet, choisir son type de NAS est un jeu d’enfant !

Pour l’achat en lui même, libre à vous de vous orienter vers le revendeur le moins cher ou bien chez celui en lequel vous avez confiance en terme de SAV ou de Service client !

Alors vous avez choisi quel modèle ? 

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Salut à tous et bienvenue pour ce tutoriel traitant de la restauration du firmware OpenWrt vers le firmware usine de votre TPL MR3020!

Pourquoi restaurer le firmware d’origine ? Tout simplement en cas de mauvaise manipulation, ou si vous souhaitez revendre (ce qui m’étonnerai mais sais-t-on jamais) votre mini-routeur… Mais cette procédure est applicable à n’importe quel firmware. Suivez le guide !

 

ATTENTION : Cette procédure va totalement réinitialiser le firmware de votre routeur et par conséquent supprimer l’ensemble de vos configurations ! Pensez à faire une sauvegarde !

Tout d’abord, il est important de télécharger le firmware que vous souhaitez installer dans le répertoire : /tmp, point de montage d’un lecteur tmpfs. Le fichier va ainsi être chargé dans la RAM et non sur l’espace de stockage Flash de votre routeur qui risque d’être trop rapidement saturé.

Voici maintenant la marche à suivre, en ligne de commande, pour restorer le firmware d’origine.

Restorer le firmware d’origine

Tout d’abord, vérifiez la quantité de RAM disponible en entrant la commande suivante :

free

Dans le cas où la RAM serait saturée, la méthode la plus rapide et la plus sûre pour libérer de la mémoire est de supprimer les packages opkg :

rm -r /tmp/opkg-lists/

Et de vider la cache :

echo 3 > /proc/sys/vm/drop_caches
L’étape suivante est facultative !!! Elle permet de conserver toutes les configurations que vous avez auparavant effectuées (ce qui est inutile si vous souhaitez réinstaller le firmaware d’usine)

Remplissez le fichier /etc/sysupgrade.conf . :

vi /etc/sysupgrade.conf
Contenu du fichier sysupgrade.conf :
## This file contains files and directories that should ## be preserved during an upgrade.  # /etc/example.conf # /etc/openvpn/ /etc/config /etc/profile /etc/firewall.user /etc/TC_hfsc.sh /etc/hotplug.d/iface/30-trafficc /etc/init.d/trafficc /root /etc/crontabs/root

 

Il faut maintenant récupérer et installer le firmware d’origine TPLink officiel (réalisé sans problème sur mon routeur MR3020) :

cd /tmp wget http://www.geek-chronicles.com/ressources/firmware/tpl-mr3020-factory.bin sysupgrade -v /tmp/tpl-mr3020-factory.bin
Vous devriez voir défiler les lignes suivantes :
root@openwrt:/tmp$ sysupgrade -v tpl-mr3020-factory.bin Switching to ramdisk... Performing system upgrade... Unlocking firmware ...  Writing from <stdin> to firmware ... Appending jffs2 data from /tmp/sysupgrade.tgz to firmware...TRX header not found Error fixing up TRX header  Writing from <stdin> to firmware ... Upgrade completed Rebooting system...

 Après le redémarrage automatique de votre routeur, vous aurez un MR3020 prêt à faire feu !

Pour une raison inconnue, il est souvent nécessaire de faire un Hard Reset du boitier, en le débranchant électriquement.
 
Tutoriel traduit et amélioré depuis OpenWRT

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Quel joueur n’a pas été un jour passablement irrité par des temps de chargement à rallonge ? Des coupures interminables entre 2 changements de zones ? Un PC qui semble pédaler dans la semoule ? Pour peu qu’on ai les moyens de s’en offrir un, le SSD est une solution à tous ces symptômes. Voici un guide qui vous permettra d’assurer une durée de vie maximale et un rendement optimal à votre petit bijou… Suivez le guide !

PLAN

1. MISE A JOUR DU FIRMWARE DU SSD

2. CARTE MERE CONFIGUREE EN AHCI

3. INSTALLATION DE WINDOWS : RECOMMANDATIONS

4. MISE A JOUR DU CHIPSET DE LA CARTE MERE

5. DESACTIVER LA SAUVEGARDE SYSTEME

6. DESACTIVER L’INDEXATION DU DISQUE

7. DESACTIVER LA DEFRAGMENTATION AUTOMATIQUE

8. DESACTIVER LA MEMOIRE VIRTUELLE

9. DESACTIVER LA MISE EN VEILLE PROLONGEE

10. DEPLACER LES FICHIERS TEMPORAIRES

11. CONCLUSION

1. MISE A JOUR DU FIRMWARE DU SSD

Afin de profiter au mieux des performances et évolutions de votre SSD, il est indispensable de mettre à jour le firmware de ce dernier avec la toute dernière version mise à disposition par le fabricant :

– SSD OCZ : http://www.ocztechnology.com/ssd_tools/

– SSD Crucial : http://www.crucial.com/support/firmware.aspx

– SSD Intel : http://downloadcenter.intel.com/Default.aspx?lang=fra

– SSD Corsair : http://forum.corsair.com/v3/forumdisplay.php?f=206

– SSD Samsung : http://www.samsung.com/fr/support/download/supportDownloadMain.do

Télécharger et installer la dernière version de votre firmware.

 

2. CARTE MERE CONFIGUREE EN AHCI (ET NON EN IDE)

Avec les performances élevées et la démocratisation du SATA, la norme IDE tend aujourd’hui à disparaitre. Par conséquent, il est judicieux de passer votre carte mère en AHCI afin de gagner en performances :

  • Ouvrir « regedit » (Menu démarrer > taper « regedit » > valider)
  • Chercher dans l’arborescence :
« HKEY_LOCAL_MACHINE\SYSTEM\CurrentControlSet\Services\msahci »
  • Modifier « Start » de 3 à 0 puis redémarrer l’ordinateur.

ATTENTION : vérifier dans le BIOS que ce réglage est également actif sur votre carte mère.

 

3. INSTALLATION DE WINDOWS : RECOMMANDATION

Afin d’éviter de re-télécharger plusieurs giga-octets de données sur votre SSD après une installation de votre système d’exploitation, il est recommandé d’utiliser un DVD avec SP1 intégré. De cette manière, vous prolongerez la durée de vie de votre SSD. Si vous ne disposez d’une version avec le Service Pack intégré, vous pouvez toujours télécharger le service pack et le conserver sur un dvd pour vous en servir lors de vos réinstallations, cette solution vous évitera également d’écrire de grandes quantités de données sur votre disque.

Service Pack 1 Windows 7 :

Version 64bits : http://download.microsoft.com/download/0/A/F/0AFB5316-3062-494A-AB78-7FB0D4461357/windows6.1-KB976932-X64.exe

Version 32bits : http://download.microsoft.com/download/0/A/F/0AFB5316-3062-494A-AB78-7FB0D4461357/windows6.1-KB976932-X86.exe

 

4. MISE A JOUR DU CHIPSET DE LA CARTE MERE

Quel que soit le chipset que vous possédez, faire les mises à jour de ce dernier est vivement recommandé pour profiter des performances de votre SSD.

Pour Intel :

Pour Marvell, en fonction du système d’exploitation, faire une recherche sur leur site : http://www.marvell.com/support/downloads/search.do

 

5. DESACTIVER LA SAUVEGARDE SYSTEME

Afin de vous permettre de faire machine arrière suite à un souci après une installation ou une mise à jour, Windows sauvegarde automatiquement des points de restauration. Ce processus écrit une grande quantité de données sur le disque par conséquent, désactiver cette option fera gagner capacité et longévité à votre SSD :

  • Cliquer droit sur « Ordinateur » dans le menu démarrer, puis sur « Propriétés ».
  • Ouvrir « Paramètres système avancés ».
  • Sous l’onglet « Protection du système », cliquer sur « Configurer ».
  • Cocher « Désactiver la protection du système ».

 Désactiver la sauvegarde système

 

 

6. DESACTIVER L’INDEXATION DU DISQUE

Vu la rapidité d’accès aux données contenues sur votre SSD, il est recommandé de désactiver l’indexation du disque :

  • Cliquer droit sur le lecteur C dans « Ordinateur », puis sur « Propriétés »
  • Décocher « Autoriser l’indexation du contenu… »

 Désactiver indexation du disque dur

 

 

7. DESACTIVER LA DEFRAGMENTATION AUTOMATIQUE

Défragmenter un SSD ne sert strictement à rien avec les taux d’accès en lecture/écriture actuels, le gain de temps sera insignifiant. Désactiver la défragmentation automatique augmentera la durée de vie de votre disque :

  • Dans « Ordinateur », cliquer droit sur le SSD puis « Propriétés »
  • Dans l’onglet « outils », cliquer « Défragmenter maintenant… »
  • Vérifier que la défragmentation planifiée est bien désactivée

 Désactiver la défragmentation automatique

 

 

8. DESACTIVER LA MEMOIRE VIRTUELLE

Si vous disposez d’au moins 4Go de RAM et que vous n’êtes jamais à court de mémoire vive, désactivez la mémoire virtuelle. En effet, la suppression du fichier « pagefile.sys » libère à lui seul environ 4Go d’espace sur votre SSD :

  • Cliquer droit sur « Ordinateur », puis « Propriétés »
  • Ouvrir « Paramètres système avancés ».
  • Dans « Paramètres système avancés », puis dans la zone performances, cliquez sur « Paramètres »
  • Dans l’onglet « Avancé », cliquer sur  « Modifier »
  • Sélectionner le SSD dans la liste, puis cocher « Aucun fichier d’échange » et cliquer sur définir

 Désactiver la mémoire virtuelle

Si vous craignez malgré tout d’être à court de mémoire et que vous souhaitez disposer d’un fichier d’échange, rien ne vous empêche d’en créer un sur un autre disque. Pour cela, sélectionnez le disque que vous voulez utiliser, cochez « Taille gérée par le système », cliquez sur « définir » et ensuite sur « ok ».

 

 

9. DESACTIVER LA MISE EN VEILLE PROLONGEE

Compte tenu de la vitesse de démarrage de votre machine avec un SSD, la mise en veille prolongée est quelque peu futile.

  • Ouvrir une invite de commande en tant qu’administrateur
  • Entrer la commande suivante :
 powercfg -h off

 Désactiver veille prolongée

 

10. DEPLACER LES FICHIERS TEMPORAIRES

Pour réduire la quantité de données écrites sur le disque, vous pouvez également déplacer l’ensemble des fichiers temporaires sur une autre partition. ATTENTION : Avec certains logiciels, cette manipulation peut entraîner des dysfonctionnements ! 

  • Ouvrir les propriétés du Poste de Travail
  • Dans « Paramètres système avancés », ouvrir « Variables d’environnement »
  • Modifier le chemin vers les variables d’environnement TEMP et TMP

Exemple :

D:\Temp

Déplacer fichiers temporaires

 

 

 

11. CONCLUSIONS :

Une fois ces différentes manipulations effectuées, vous devriez observer un gain de rapidité de votre SSD et surtout, sur le long terme, vous allongerez sa durée de vie de façon non négligeable. Il ne vous reste plus qu’à installer vos jeux sur le SSD pour obtenir des performances largement supérieures à un disque dur classique.

Attention : si vous ne pouvez vous offrir un SSD de grande capacité pour pouvoir y installer un grand nombre de jeux, sachez que vous pouvez très bien laisser votre système d’exploitation sur un disque classique mais votre Windows ou Linux ne démarrera pas plus vite, seuls les jeux verront leurs performances impactées (et beaucoup des configurations de ce tutoriel seront alors inutiles).

Par ailleurs, d’autres manipulations peuvent également être entreprises. J’en cite ici à titre d’exemple sans en détailler la mise en oeuvre car elles relèvent des goûts de chacun :

– Déplacer le profil utilisateur sur un autre disque dur (gain de place et de longévité, sécurité des données en cas de crash disque)

– Déplacer la corbeille (gain de place et de longévité)

Il en existe d’autres, je vous laisse le soin de faire chauffer Google !

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Bonjour à tous !

Ayant été obligé de renvoyer mon pc portable Asus ROG G51j en SAV il y a quelques mois, j’ai eu la désagréable expérience de le récupérer avec un clavier dont le rétro-éclairage ne fonctionnait pas !

Au départ je me suis dit « tant pi, je ne le renvoi pas pour en être privé encore 3 semaines, je ferais avec » et puis il y a quelques semaines, je me suis mis en tête de chercher si il n’y avait pas une solution qui trainai sur le net…

Il semblerait effectivement que ce problème soit plus que récurrent lors des retours au SAV et il peut avoir 2 solutions différentes mais parfois complémentaires. Suivez le guide !

2 cas de figures existes, et voici les moyens d’y remédier mais attention, c’est à vos risques et périls ! A vous de voir si vous vous en sentez capable ! De plus, avant d’effectuer ces manipulations, assurez vous d’avoir correctement installé les drivers du claviers et des différentes touches de raccourcis !

1) Votre clavier ne s’allume plus :

Pour ce problème, seul un démontage du clavier et un reconnexion correcte de ses nappes pourront remédier à ce problème. Prenez votre temps, gardez votre sang froid, et armez vous de votre tournevis de précision favoris ! 

Vérifiez que la plus petite des 2 nappes est branchée avec les broches face au ciel ! Une fois la nappe correctement branchée, vous pouvez remonter votre portable.

 

2) Le rétro-éclairage fonctionne mais impossible de le modifier avec les touches de raccourcis ou même de le désactiver :

Ce soucis est purement logiciel. Pour y remédier, il va falloir que vous utilisiez l’utilitaire « Fix my Keyboard », voici les étapes à suivre.

 

a) Récupération des outils :

Voir pièces jointes de cet article

 

b) Création de la clé USB bootable :

ATTENTION : Assurez vous bien de n’avoir rien d’important sur votre clé USB car elle va être formatée.

Décompressez l’archive Rar contenant l’utilitaire

Exécutez en tant qu’administrateur le fichier « HPUSBFW.exe »

Ensuite dans Device, sélectionnez la clé USB que vous allez utiliser

Dans File System, sélectionnez FAT

Donnez lui un nom si vous le souhaitez

Cochez « Create a DOS startup disk » puis « Using DOS system files located at : »

Grâce au bouton avec les « … » allez chercher et sélectionnez le dossier ou se trouve le fichier « HPUSBFW.exe »

Cliquez sur « Start » et patientez

Une fois le processus terminé, votre clé est bootable

Création d'une clé USB bootable

 

c) Copie du script :

Décompressez l’archive Rar « Fixmykb.rar »

Copiez l’intégralité du contenu du dossier (« bt.exe » et « fixmybt.bat ») sur votre clé USB

 

d) Exécution du script :

Démarrer votre PC portable en lui indiquant la clé USB comme support système

Patientez pendant le démarrage de MS-DOS

Une fois MS-DOS lancé, vous n’avez qu’à taper « fixmykb » dans l’invite de commande et à valider

Quelques écritures s’affichent, vous pouvez ensuite redémarrer le PC

Votre clavier est normalement à nouveau fonctionnel

 

Enjoy 🙂

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